A la poursuite du temple perdu
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Re: A la poursuite du temple perdu
Qu'est-ce que c'est ? C'est un peu trop gros pour être un feu de camp.
Évidemment que c’était trop important pour n’être qu’un simple feu de camp. La seule idée qui me vint était celle d’un redoutable incendie, au vu de l’intensité de la lumière, cela ne pouvait être autre chose. J’imaginais de pauvres gens blesser et agonisant, criant au ciel de venir les aider. Quelle que soit l’importance de ma sainte mission, ma tâche principale et de servir et aider autrui. Je ne pouvais pas ignorer un potentiel danger qui mettrait la vie d’innocents en péril. J’avais la foi, je savais que chacun de mes gestes serait guidé par les divins et qu’ils me protégeraient en cas de menace, en plus de l’aide de Bremig. Je me dirigeai vers la source de ce feu sans frémir en disant :
« Allons voirsss. Des gens peuvent avoirss besssoin d’aide. »
Je me doutais que Bremig ne serait pas trop pour cette idée, la jugeant trop risqué ou inutile. Mais il était payé pou veiller sur moi et c’est ce qu’il fera, de plus ce feu ne nous dévirait pas trop de notre chemin et si cela se trouvait, on pourrait trouver un abri pour la nuit. Je ne voyais pas de réels problèmes.
Évidemment que c’était trop important pour n’être qu’un simple feu de camp. La seule idée qui me vint était celle d’un redoutable incendie, au vu de l’intensité de la lumière, cela ne pouvait être autre chose. J’imaginais de pauvres gens blesser et agonisant, criant au ciel de venir les aider. Quelle que soit l’importance de ma sainte mission, ma tâche principale et de servir et aider autrui. Je ne pouvais pas ignorer un potentiel danger qui mettrait la vie d’innocents en péril. J’avais la foi, je savais que chacun de mes gestes serait guidé par les divins et qu’ils me protégeraient en cas de menace, en plus de l’aide de Bremig. Je me dirigeai vers la source de ce feu sans frémir en disant :
« Allons voirsss. Des gens peuvent avoirss besssoin d’aide. »
Je me doutais que Bremig ne serait pas trop pour cette idée, la jugeant trop risqué ou inutile. Mais il était payé pou veiller sur moi et c’est ce qu’il fera, de plus ce feu ne nous dévirait pas trop de notre chemin et si cela se trouvait, on pourrait trouver un abri pour la nuit. Je ne voyais pas de réels problèmes.
Euryssa- (personnage abandonné)
Re: A la poursuite du temple perdu
Bremig n'attendait pas de réponse d'Euryssa : elle ne pouvait pas savoir mieux que lui la nature de ce feu qu'ils apercevaient au loin. Au mieux, elle pouvait lui donner son avis. Bremig, lui, penchait pour un bâtiment en feu. S'il s'agissait d'un incendie, il ne s'agissait pas d'un bois entier. Cela dit, un départ d'incendie restait inquiétant : Bremig maîtrisait la magie de la terre, non celle de l'eau, et il doutait que ce soit le cas d'Euryssa. S'il s'agissait d'un incendie de bosquet, cela soulèrevait une autre question : quelle en était l'origine ? En effet, en plein hiver, avec la neige qui avait commencé à tomber, un départ d'incendie naturel maintenant était plus qu'improbable. Si ce feu était donc celui d'un incendie de bosquet, alors il était forcément artificiel. Si, en revanche, comme le supposait Bremig de prime abord, il s'agissait d'un bâtiment en feu, alors il fallait se précipiter pour sauver de potentielles victimes.
EURYSSA – Allons voir sss. Des gens peuvent avoirss besssoin d'aide.
BREMIG – Oui.
Bremig ne savait pas trop à quelle vitesse Euryssa pouvait ramper en vitesse de course. La femelle Naga était-elle capable de se déplacer aussi rapidement qu'un Humain qui courait ? Ce n'était pas en tout cas le cas du lent Orc. Bremig accéléra quand même le pas, se mettant à sa vitesse de course, que n'importe quel Humain en bonne condition physique dépassait facilement. Certes, en voulant s'approcher du feu, Euryssa se mettait peut-être en danger et Bremig avait donc le devoir de la suivre pour la protéger ; mais s'il courait vers ce feu, ce n'était même pas par devoir. Il avait lui-même envie de savoir de quoi il en retournait. Et peut-être qu'Euryssa ne serait pas la seule personne à avoir besoin de secours...
EURYSSA – Allons voir sss. Des gens peuvent avoirss besssoin d'aide.
BREMIG – Oui.
Bremig ne savait pas trop à quelle vitesse Euryssa pouvait ramper en vitesse de course. La femelle Naga était-elle capable de se déplacer aussi rapidement qu'un Humain qui courait ? Ce n'était pas en tout cas le cas du lent Orc. Bremig accéléra quand même le pas, se mettant à sa vitesse de course, que n'importe quel Humain en bonne condition physique dépassait facilement. Certes, en voulant s'approcher du feu, Euryssa se mettait peut-être en danger et Bremig avait donc le devoir de la suivre pour la protéger ; mais s'il courait vers ce feu, ce n'était même pas par devoir. Il avait lui-même envie de savoir de quoi il en retournait. Et peut-être qu'Euryssa ne serait pas la seule personne à avoir besoin de secours...
Bremig- Elite
Re: A la poursuite du temple perdu
Nous avancions beaucoup trop lentement à cause de notre organisme, mais aussi à cause de se fichu temps. La neige au sol nous ralentissait bien. J’ai dû utiliser deux fois ma bénédiction du serpent, une sur Bremig et une sur moi pour que nous progression plus vite. A force, je n’utiliserais que cette bénédiction si cela continuait. En tout cas, cela était fort pratique, nous arrivions au feu en seulement quelque minute. Il ne restait plus grand-chose, de cet endroit. C’était non loin au bord de l’eau. Il y avait trois structures en bois disposé en cercle, deux étaient presque totalement ravager par les flammes, la troisième commençait tout juste à prendre feu. On aurait dit une ferme d’élevage, mais vu leur état actuel, on ne pouvait être sur de rien. Il fallait se dépêcher de trouver des survivants et des gens pièges dans les flammes. Je m’avançai vers le centre lorsque de l’un des bâtiments, des silhouettes en noir portant des masques macabres en sortirent avec des torches. Leur identité ne faisait aucun doute et, à peine les vrots chasser, nous devrions affronter déjà quelque chose de bien plus coriace.
Les trois pyromanes nous faisaient face et nous menacèrent dans une langue étrange. Je n’avais besoin d’interprète, je savais de quoi il en retournait. Je leur fis face aussi, d’un regard noir, je me mis à grogner. Avant que l’un deux ne puisse faire un pas, je me redressai sur ma queue avant de me balançais vers l’avant et de pousser un cri de rage. Mes yeux devinrent lumineux et ils envoyèrent un puissant flash sur nos assaillants, ces derniers se retrouvèrent aveugler sur le moment et déstabiliser.
« Allez-y Bremig ! Sss’est le bon moment ! »
Les trois pyromanes nous faisaient face et nous menacèrent dans une langue étrange. Je n’avais besoin d’interprète, je savais de quoi il en retournait. Je leur fis face aussi, d’un regard noir, je me mis à grogner. Avant que l’un deux ne puisse faire un pas, je me redressai sur ma queue avant de me balançais vers l’avant et de pousser un cri de rage. Mes yeux devinrent lumineux et ils envoyèrent un puissant flash sur nos assaillants, ces derniers se retrouvèrent aveugler sur le moment et déstabiliser.
« Allez-y Bremig ! Sss’est le bon moment ! »
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A la poursuite du temple perdu
La couleur du feu se mêlait sans contraste aux teintes ocres du crépuscule. Bremig n'avait aucune idée de comment éteindre ce tableau pour que seules restent des cendres froides une fois la nuit tombée. Il fallait pour l'instant agir vite pour sauver d'éventuelles victimes en danger. L'Orc se sentit soudain devenir moins lent dans sa course. Maintenant, il en savait la cause : Euryssa venait de lui lancer un sort de rapidité. La femme-serpent se l'était lancée sur elle-même également. Tous deux arrivèrent donc plus rapidement que prévu au niveau des bâtiments en flamme.
Il y en avait trois, rapprochés les uns des autres. Cela pouvait être une ferme, comme autre chose. Cela n'avait plus beaucoup d'importance. Bremig et Euryssa se déplacèrent au centre des trois bâtiments. L'Orc tendit l'oreille, espérant entendre un cri ou des plaintes. Avant de percevoir quoi que ce soit y ressemblant, il vit trois personnes sortir de l'un des bâtiments. Elles portaient chacune une torche. Vêtues en noir, portant des masques macabres, il ne faisait aucun doute qu'elles étaient les auteurs criminels de cet incendie.
Euryssa eut une réaction assez surprenante : elle se dressa sur sa queue et se balança vers l'avant. C'est alors qu'un flash lumineux produit par ses yeux aveugla les trois criminels.
EURYSSA – Allez-y Bremig ! Ssc'est le bon moment !
Par expérience de ce genre d'embuscades, Bremig observa les toits, se disant qu'il y avait peut-être d'autres personnes, en hauteur, pouvant attaquer avec des armes à distance.
Dans le mille. Il repéra un archer sur chaque toit. A deux contre six, le combat s'annonçait critique. Heureusement, Bremig savait comment résister à des archers en dépit de sa lenteur. Il maîtrisait une métamorphose qui lui offrait une protection efficace contre les flèches. En revanche, il fallait aussi protéger Euryssa, et pour cela, il avait aussi une solution. Il matérialisa un bouclier de roche, et le donna à Euryssa en l'alertant :
BREMIG – Il y a des archers sur les toits, protégez-vous avec ça !
Sans perdre un instant, il enclencha sa métamorphose, et devint en deux secondes un turoctauche. Ses écailles extrêmement solides réduiraient les blessures des flèches. Sa carapace, solide comme le quartz, ne subirait même pas l'impact d'un tir de flèche. La seule partie tendre de son épiderme, était son cou entier. Il n'avait plus qu'à espérait qu'aucun des trois archers ne serait assez chanceux pour réussir à lui tirer une flèche dans cette zone. Une zone de toute façon mortelle pour tout être vivant.
En se métamorphosant, Bremig matérialisa une hache lourde. L'homme-tortue était encore un peu plus lent que sous sa forme originelle d'Orc, mais ce ne serait pas un problème ici, car il gagnait bien trop d'avantages à côté : une défense très difficile à percer et une arme puissante.
L'un des trois criminels masqués au sol en fit l'expérience sans douleur, tué sur le coup, l'épaule droite et une partie du buste se détachant du reste du corps. Ames sensibles : détournez le regard.
Il y en avait trois, rapprochés les uns des autres. Cela pouvait être une ferme, comme autre chose. Cela n'avait plus beaucoup d'importance. Bremig et Euryssa se déplacèrent au centre des trois bâtiments. L'Orc tendit l'oreille, espérant entendre un cri ou des plaintes. Avant de percevoir quoi que ce soit y ressemblant, il vit trois personnes sortir de l'un des bâtiments. Elles portaient chacune une torche. Vêtues en noir, portant des masques macabres, il ne faisait aucun doute qu'elles étaient les auteurs criminels de cet incendie.
Euryssa eut une réaction assez surprenante : elle se dressa sur sa queue et se balança vers l'avant. C'est alors qu'un flash lumineux produit par ses yeux aveugla les trois criminels.
EURYSSA – Allez-y Bremig ! Ssc'est le bon moment !
Par expérience de ce genre d'embuscades, Bremig observa les toits, se disant qu'il y avait peut-être d'autres personnes, en hauteur, pouvant attaquer avec des armes à distance.
Dans le mille. Il repéra un archer sur chaque toit. A deux contre six, le combat s'annonçait critique. Heureusement, Bremig savait comment résister à des archers en dépit de sa lenteur. Il maîtrisait une métamorphose qui lui offrait une protection efficace contre les flèches. En revanche, il fallait aussi protéger Euryssa, et pour cela, il avait aussi une solution. Il matérialisa un bouclier de roche, et le donna à Euryssa en l'alertant :
BREMIG – Il y a des archers sur les toits, protégez-vous avec ça !
Sans perdre un instant, il enclencha sa métamorphose, et devint en deux secondes un turoctauche. Ses écailles extrêmement solides réduiraient les blessures des flèches. Sa carapace, solide comme le quartz, ne subirait même pas l'impact d'un tir de flèche. La seule partie tendre de son épiderme, était son cou entier. Il n'avait plus qu'à espérait qu'aucun des trois archers ne serait assez chanceux pour réussir à lui tirer une flèche dans cette zone. Une zone de toute façon mortelle pour tout être vivant.
En se métamorphosant, Bremig matérialisa une hache lourde. L'homme-tortue était encore un peu plus lent que sous sa forme originelle d'Orc, mais ce ne serait pas un problème ici, car il gagnait bien trop d'avantages à côté : une défense très difficile à percer et une arme puissante.
L'un des trois criminels masqués au sol en fit l'expérience sans douleur, tué sur le coup, l'épaule droite et une partie du buste se détachant du reste du corps. Ames sensibles : détournez le regard.
Bremig- Elite
- Race : Demi-Orc
Re: A la poursuite du temple perdu
Il y a des archers sur les toits, protégez-vous avec ça !
L’orc m’avait donné un bouclier de pierre. Je le pris et me suis abriter avec. En effet, des archers étaient positionnés sur les toits. Idiot, vu que cela allait flamber dans pas longtemps. Et depuis quand étaient-ils passé maître dans l’archerie ? Sans doute des mercenaires ou quelque chose comme ça. Je me repliai en tenant fermement mon bouclier. Mon flash aveuglant m’avait bien fatigué. C’était sans doute mon pouvoir de lumière le plus puissant. J’espérais que Bremig profiterait de cette occasion pour neutraliser les aveuglé.
Il avait usé de son don de métamorphose pour se changer en tortue hybride. Je ne me souvenais plus du nom de ce genre de créature. En plus, Bremig s’était armé d’une hache. Il devait aimer ce type d’arme. Malgré sa lenteur aggravée à cause de sa nouvelle apparence, l’orc parvint à trancher en morceau l’un des incendiaires. Sa carapace lui conférait une protection idéale, les armes comme les flèches rebondissaient sur son bouclier naturel, si l’on peut dire.
Je ne voulais pas rester en arrière pendant tout le combat. Pourtant, je ne savais pas quoi faire. Si je m’en prenais à ceux qui étaient à terre, ceux sur les toits me déguiseront en hérissons avec leurs flèches. Et si je m’attaquais à ces derniers, ce serait difficile de les atteindre. Je n’étais pas doué pour l’escalade, à cause de mon corps de serpent. Il existait des nagas qui eut avaient développé une technique, par exemple, ils s’enroulaient au tour d’une colonne pour grimper au sommet. Mais ça, je n’en étais incapable.
Comme tous nos ennemis actuels étaient concentrés sur mon garde du corps, j’en ai profité pour e glissé derrière l’un des bâtiments discrètement. Derrière, il se trouvait une petite cabane en bois, collé contre le mur en bois. On dirait plus un poulailler en piteux état. Je posais à côté le bouclier de terre. Je m’agrippais en haut pour me hisser avant de renouveler l’expérience pour arriver sur le toit. L’archer qui se tenait devant moi tirait ses flèches sur sa cible au sol. Doucement, je rampais jusqu’à lui en sifflent. « Sssssssss ». Il ne m’avait pas repéré à temps. Je me redressai en silence derrière son dos et avec ma queue, je le saisis pour l’immobiliser. Il se retrouvait prisonnière de mes anneaux. Je le serrais si fort que le bras qui avait tenu l’arc s’était brisé. Il hurla de douleur et moi, je le menaçais de mes crocs.
L’orc m’avait donné un bouclier de pierre. Je le pris et me suis abriter avec. En effet, des archers étaient positionnés sur les toits. Idiot, vu que cela allait flamber dans pas longtemps. Et depuis quand étaient-ils passé maître dans l’archerie ? Sans doute des mercenaires ou quelque chose comme ça. Je me repliai en tenant fermement mon bouclier. Mon flash aveuglant m’avait bien fatigué. C’était sans doute mon pouvoir de lumière le plus puissant. J’espérais que Bremig profiterait de cette occasion pour neutraliser les aveuglé.
Il avait usé de son don de métamorphose pour se changer en tortue hybride. Je ne me souvenais plus du nom de ce genre de créature. En plus, Bremig s’était armé d’une hache. Il devait aimer ce type d’arme. Malgré sa lenteur aggravée à cause de sa nouvelle apparence, l’orc parvint à trancher en morceau l’un des incendiaires. Sa carapace lui conférait une protection idéale, les armes comme les flèches rebondissaient sur son bouclier naturel, si l’on peut dire.
Je ne voulais pas rester en arrière pendant tout le combat. Pourtant, je ne savais pas quoi faire. Si je m’en prenais à ceux qui étaient à terre, ceux sur les toits me déguiseront en hérissons avec leurs flèches. Et si je m’attaquais à ces derniers, ce serait difficile de les atteindre. Je n’étais pas doué pour l’escalade, à cause de mon corps de serpent. Il existait des nagas qui eut avaient développé une technique, par exemple, ils s’enroulaient au tour d’une colonne pour grimper au sommet. Mais ça, je n’en étais incapable.
Comme tous nos ennemis actuels étaient concentrés sur mon garde du corps, j’en ai profité pour e glissé derrière l’un des bâtiments discrètement. Derrière, il se trouvait une petite cabane en bois, collé contre le mur en bois. On dirait plus un poulailler en piteux état. Je posais à côté le bouclier de terre. Je m’agrippais en haut pour me hisser avant de renouveler l’expérience pour arriver sur le toit. L’archer qui se tenait devant moi tirait ses flèches sur sa cible au sol. Doucement, je rampais jusqu’à lui en sifflent. « Sssssssss ». Il ne m’avait pas repéré à temps. Je me redressai en silence derrière son dos et avec ma queue, je le saisis pour l’immobiliser. Il se retrouvait prisonnière de mes anneaux. Je le serrais si fort que le bras qui avait tenu l’arc s’était brisé. Il hurla de douleur et moi, je le menaçais de mes crocs.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A la poursuite du temple perdu
Après avoir tué le premier criminel avec gore, le turoctauche s'orienta vers le suivant le plus proche. Une flèche vint se briser sur sa carapace, une autre sur son bras gauche. L'homme-tortue ne prêta aucune attention aux archers, se concentrant uniquement sur les deux ennemis au sol. Il ne tourna la tête que quand il entendit un cri venant d'un toit. Un cri de douleur à sonorité masculine : ce n'était pas Euryssa. Il vit en fait, sur un toit, un archer se faire broyer dans les anneaux de la femme-serpent. Euryssa avait trouvé le moyen de grimper sur le toit et passait à l'attaque. Téméraire, pour une prêtresse. Tant mieux si elle savait se battre.
Entre temps, le turoctauche avait déjà éliminé le deuxième criminel. Il n'en restait plus qu'un au sol et deux sur les toits. D'un nouveau mouvement de la hache, il réduisit encore ce nombre. C'était trop facile : les criminels étaient comme des pantins incapables de se défendre. Ils ne prenaient même pas la fuite en voyant que le monstre qui les attaquait était trop puissant pour eux.
En fait, dans le feu de l'action, Bremig n'avait pas réalisé qu'il y avait déjà plusieurs éléments bizarres. Déjà, les trois premiers criminels étaient sortis d'un bâtiment en flammes. Qu'avaient-ils attendu à l'intérieur ? Lorsque l'on met le feu à un bâtiment, l'on évite de rester à l'intérieur, tant qu'à faire. Et puis, que faisaient ces archers sur les toits de ces bâtiments en flammes ? Cela n'avait pas plus de sens. Enfin, l'incendie ne semblait pas évoluer. Le feu ne se répandait pas.
Ayant éliminé, trop facilement, tous les ennemis à sa portée, Bremig commença à réaliser tous ces éléments étranges. Comment les expliquer ? Bremig versait dans l'art de la magie. Il chercha donc à expliquer tout cela par la magie. Une illusion ? Ce feu n'était pas du vrai feu ? Et peut-être même que ces criminels n'étaient pas de vraies personnes. Que se passait-il ? Il hurla à Euryssa :
BREMIG – Quelque chose ne va pas, Euryssa !
Bremig commençait vraiment à être inquiet. Il hésita à quitter sa métamorphose, mais se dit que s'il devait se défendre contre un danger invisible, avoir un corps résistant et une grosse hache le rendait déjà prêt. Le turoctauche marcha vers le bâtiment sur le toit duquel se trouvait Euryssa.
BREMIG – Je le sens pas !
Entre temps, le turoctauche avait déjà éliminé le deuxième criminel. Il n'en restait plus qu'un au sol et deux sur les toits. D'un nouveau mouvement de la hache, il réduisit encore ce nombre. C'était trop facile : les criminels étaient comme des pantins incapables de se défendre. Ils ne prenaient même pas la fuite en voyant que le monstre qui les attaquait était trop puissant pour eux.
En fait, dans le feu de l'action, Bremig n'avait pas réalisé qu'il y avait déjà plusieurs éléments bizarres. Déjà, les trois premiers criminels étaient sortis d'un bâtiment en flammes. Qu'avaient-ils attendu à l'intérieur ? Lorsque l'on met le feu à un bâtiment, l'on évite de rester à l'intérieur, tant qu'à faire. Et puis, que faisaient ces archers sur les toits de ces bâtiments en flammes ? Cela n'avait pas plus de sens. Enfin, l'incendie ne semblait pas évoluer. Le feu ne se répandait pas.
Ayant éliminé, trop facilement, tous les ennemis à sa portée, Bremig commença à réaliser tous ces éléments étranges. Comment les expliquer ? Bremig versait dans l'art de la magie. Il chercha donc à expliquer tout cela par la magie. Une illusion ? Ce feu n'était pas du vrai feu ? Et peut-être même que ces criminels n'étaient pas de vraies personnes. Que se passait-il ? Il hurla à Euryssa :
BREMIG – Quelque chose ne va pas, Euryssa !
Bremig commençait vraiment à être inquiet. Il hésita à quitter sa métamorphose, mais se dit que s'il devait se défendre contre un danger invisible, avoir un corps résistant et une grosse hache le rendait déjà prêt. Le turoctauche marcha vers le bâtiment sur le toit duquel se trouvait Euryssa.
BREMIG – Je le sens pas !
Bremig- Elite
- Race : Demi-Orc
Re: A la poursuite du temple perdu
Mon garde du corps semblait réfléchir. Après avoir massacré le reste des sbires, il semblait plus inquiet que d’habitude. Il venait de mettre en morceaux le dernier de ses monstres. Il devait trouver tout cela bizarre et c’était normal. Il s’approcha de moi. Avec son apparence imposante et sa grosse hache, il faisait peur. J’imaginais un minotaure sanguinaire dans un labyrinthe, mais sans cornes. Il était un peu perdu et scrutait chaque recoin qu’il pouvait voir. Il se tourna vers moi et prouva ce à quoi je pensais.
BREMIG – Quelque chose ne va pas, Euryssa !
Je le sens pas !
Je ne sentais plus grand-chose au tour de moi. A part la présence de l’orc, je ne sentais plus de vibration étrangère, aucune odeur inconnue. J’étais rassuré en pensant qu’on était en sécurité à présent, même si ce n’était que de courte duré. Je me dressai de tout mon être pour surveiller les environs. Je ne voyais aucune menace. Je voulais donc prévenir Bremig contre quoi nous nous battions :
Euryssa – Faites ssatention Bremig ! Ssse sssont des sbires ! Leur maître est un nécromancien ! Il faut ss’atendre à voir tout arriver.
Ce fut alors que les flammes de la grange disparurent. Un homme encapuchonné en sortie. Son long manteau dissimulait chaque partie de son corps. Ce dernier fixa Bremig et ne semblait pas broncher devant une tortue géante avec une hache. Il leva une main et un zombi apparu à travers une boule de fumée noire. Ce dernier était monstrueux. Il devait se douter que ce démembré ne ferait pas le poids face au mastodonte devant. Il devait surement cacher quelque chose.
BREMIG – Quelque chose ne va pas, Euryssa !
Je le sens pas !
Je ne sentais plus grand-chose au tour de moi. A part la présence de l’orc, je ne sentais plus de vibration étrangère, aucune odeur inconnue. J’étais rassuré en pensant qu’on était en sécurité à présent, même si ce n’était que de courte duré. Je me dressai de tout mon être pour surveiller les environs. Je ne voyais aucune menace. Je voulais donc prévenir Bremig contre quoi nous nous battions :
Euryssa – Faites ssatention Bremig ! Ssse sssont des sbires ! Leur maître est un nécromancien ! Il faut ss’atendre à voir tout arriver.
Ce fut alors que les flammes de la grange disparurent. Un homme encapuchonné en sortie. Son long manteau dissimulait chaque partie de son corps. Ce dernier fixa Bremig et ne semblait pas broncher devant une tortue géante avec une hache. Il leva une main et un zombi apparu à travers une boule de fumée noire. Ce dernier était monstrueux. Il devait se douter que ce démembré ne ferait pas le poids face au mastodonte devant. Il devait surement cacher quelque chose.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A la poursuite du temple perdu
Euryssa se dressa depuis son toit pour observer les alentours. Son point de vue en hauteur lui permettait de dominer le lieu. Bremig l'imita depuis le sol. Le turoctauche mesurait deux mètres cinquante, aussi n'avait-il pas non plus un point de vue des plus bas. Et l'un des autres avantages de cette métamorphose, à l'instar de celle en Arachnéen, en pojore ou en coarpal, est qu'il conservait l'usage de la parole. Et puis, accessoirement, cela harmonisait leur duo désormais reptilien : une femme-serpent avec un homme-tortue, cela ressemblait à quelque chose.
Euryssa mit en garde Bremig que les criminels qu'ils venaient de défaire étaient des sbires aux ordres d'un nécromancien. Comment pouvait-elle le savoir ? Avait-elle senti des traces de magie nécromantique, si tant est que cela soit possible ? Et d'ailleurs, il restait deux archers qui n'avaient pas été attaqués par le duo reptilien. Où étaient-ils ? Bremig ne les voyait plus. Ils avaient dû prendre la fuite, ce que les criminels auraient pu faire plus tôt au demeurant. La situation ne plaisait quand même pas à Bremig.
Ce dernier ouvrit la bouche pour demander à Euryssa comment elle pouvait savoir qu'un nécromancien était à l'origine de tout cela, mais fut coupé par un événement : toutes les flammes disparurent soudain. Comme ça. Cela confirma au moins à Bremig qu'il y avait bien eu quelque chose d'étrange. Soit les flammes n'étaient pas réelles, soit le vrai ennemi à venir était capable de contrôler le feu. Si c'était un nécromancien, cette seconde hypothèse était à éliminer.
Un homme sortit de ce qui ressemblait à une grange. Il portait une longue cape noire à capuche qui voilait son corps et sa tête. Il s'avança lentement, nullement impressionné par le turoctauche. Il leva une main et invoqua un zombi. Quoi, seulement cela ? Il devait être bien plus puissant qu'il ne voulait le montrer.
BREMIG – Qui es-tu ?
Il se moquait bien de savoir qui était la personne face à lui : il savait que c'était un ennemi et qu'il devait réussir à le tuer, voilà tout ce qui importait. Il voulait juste le faire parler pour avoir une meilleure idée de comment le battre. Il laissa le zombi s'approcher, puis fit un pas en avant au dernier moment et planta sa hache dans le cou du mort-vivant, qui en fut presque décapité tant le morceau de chair qui retenait encore la tête au reste du corps était fin. Le zombi s'écroula. Encore une fois, c'était trop facile.
Alors Bremig voulut bousculer son ennemi pour le forcer à dévoiler ses capacités : il balança sa lourde hache sur lui. Il comptait quitter cette métamorphose de toute manière, ce qui ferait disparaître l'arme automatiquement. Autant s'en servir maintenant à distance. L'homme-tortue était lent et ses gestes imprécis, mais si la cible ne bougeait pas, elle risquait de subir une blessure grave.
Bremig quitta sa métamorphose.
Euryssa mit en garde Bremig que les criminels qu'ils venaient de défaire étaient des sbires aux ordres d'un nécromancien. Comment pouvait-elle le savoir ? Avait-elle senti des traces de magie nécromantique, si tant est que cela soit possible ? Et d'ailleurs, il restait deux archers qui n'avaient pas été attaqués par le duo reptilien. Où étaient-ils ? Bremig ne les voyait plus. Ils avaient dû prendre la fuite, ce que les criminels auraient pu faire plus tôt au demeurant. La situation ne plaisait quand même pas à Bremig.
Ce dernier ouvrit la bouche pour demander à Euryssa comment elle pouvait savoir qu'un nécromancien était à l'origine de tout cela, mais fut coupé par un événement : toutes les flammes disparurent soudain. Comme ça. Cela confirma au moins à Bremig qu'il y avait bien eu quelque chose d'étrange. Soit les flammes n'étaient pas réelles, soit le vrai ennemi à venir était capable de contrôler le feu. Si c'était un nécromancien, cette seconde hypothèse était à éliminer.
Un homme sortit de ce qui ressemblait à une grange. Il portait une longue cape noire à capuche qui voilait son corps et sa tête. Il s'avança lentement, nullement impressionné par le turoctauche. Il leva une main et invoqua un zombi. Quoi, seulement cela ? Il devait être bien plus puissant qu'il ne voulait le montrer.
BREMIG – Qui es-tu ?
Il se moquait bien de savoir qui était la personne face à lui : il savait que c'était un ennemi et qu'il devait réussir à le tuer, voilà tout ce qui importait. Il voulait juste le faire parler pour avoir une meilleure idée de comment le battre. Il laissa le zombi s'approcher, puis fit un pas en avant au dernier moment et planta sa hache dans le cou du mort-vivant, qui en fut presque décapité tant le morceau de chair qui retenait encore la tête au reste du corps était fin. Le zombi s'écroula. Encore une fois, c'était trop facile.
Alors Bremig voulut bousculer son ennemi pour le forcer à dévoiler ses capacités : il balança sa lourde hache sur lui. Il comptait quitter cette métamorphose de toute manière, ce qui ferait disparaître l'arme automatiquement. Autant s'en servir maintenant à distance. L'homme-tortue était lent et ses gestes imprécis, mais si la cible ne bougeait pas, elle risquait de subir une blessure grave.
Bremig quitta sa métamorphose.
Bremig- Elite
- Race : Demi-Orc
Re: A la poursuite du temple perdu
Bremig voulut savoir qui était la personne qui nous faisait face. J’aurais pensé que la réponse serait évidente. Peut-être demandait-il cela machinalement, et quand réalité, il s’en moquait. D’ailleurs, il attaqua de suite l’invocation du disciple noir. Comme je m’y attendais, l’orc-tortue détruisit le zombie en un coup de hache. Une fois fini avec cette abomination, il lança sa hache sur l’invocateur. Ce dernier esquiva avec rapidité l’arme. Bremig reprit son apparence d’origine.
Je voulais descendre pour prêter main-forte. Je ne pouvais pas me laisser tomber à terre, je devais repasser par là où j’étais venue. Je surveillais encore un peu le combat pour savoir ce qui nous attendait. L’homme sombre invoqua un nouveau monstre, une goule, plus répugnante que le zombi. Je commençais à voir clair dans sa façon de faire, il invoquerait des monstres de plus en plus puissants à chaque fois que le précédent sera vaincu, et ce, jusqu’à ce qu’il soit défait. Sachant de quoi était capable une goule, j’avais un peu peur pour Bremig. Ces choses étaient agiles et rapides, en plus d’apporter des maladies avec leurs griffes. Certes, un orc était immuniser contre ça, mais la rapidité n’était pas son fort. À nouveau, je fis une courte prière et relançai la bénédiction du serpent. Mon éclair lumineux siffla fort et vain frapper mon compagnon. Même s’il changeait encore de forme, il devrait pouvoir mieux contrer les attaques de la chose.
Je retournai en arrière pour rejoindre là, où j’étais venu. Je me laissai glisser sur le toit du soi-disant poulailler et à nouveau sur le sol en terre. J’avais manqué de tomber face contre terre, mais heureusement, j’ai pu me rattraper grâce à ma queue qui ma aider à amortir ma chute faisant office de coussin. J’utilisais mon sceptre pour me redressais et sans attendre une seconde, je fis le tour du bâtiment pour rejoindre Bremig. Je n’étais pas vraiment de taille contre une goule, ni contre ceux qui va venir par la suite, mais ce sera plus facile pour moi d’aider l’orc, comme par exemple le toucher s’il était blessé.
Je voulais descendre pour prêter main-forte. Je ne pouvais pas me laisser tomber à terre, je devais repasser par là où j’étais venue. Je surveillais encore un peu le combat pour savoir ce qui nous attendait. L’homme sombre invoqua un nouveau monstre, une goule, plus répugnante que le zombi. Je commençais à voir clair dans sa façon de faire, il invoquerait des monstres de plus en plus puissants à chaque fois que le précédent sera vaincu, et ce, jusqu’à ce qu’il soit défait. Sachant de quoi était capable une goule, j’avais un peu peur pour Bremig. Ces choses étaient agiles et rapides, en plus d’apporter des maladies avec leurs griffes. Certes, un orc était immuniser contre ça, mais la rapidité n’était pas son fort. À nouveau, je fis une courte prière et relançai la bénédiction du serpent. Mon éclair lumineux siffla fort et vain frapper mon compagnon. Même s’il changeait encore de forme, il devrait pouvoir mieux contrer les attaques de la chose.
Je retournai en arrière pour rejoindre là, où j’étais venu. Je me laissai glisser sur le toit du soi-disant poulailler et à nouveau sur le sol en terre. J’avais manqué de tomber face contre terre, mais heureusement, j’ai pu me rattraper grâce à ma queue qui ma aider à amortir ma chute faisant office de coussin. J’utilisais mon sceptre pour me redressais et sans attendre une seconde, je fis le tour du bâtiment pour rejoindre Bremig. Je n’étais pas vraiment de taille contre une goule, ni contre ceux qui va venir par la suite, mais ce sera plus facile pour moi d’aider l’orc, comme par exemple le toucher s’il était blessé.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A la poursuite du temple perdu
Le nécromancien esquiva agilement la lourde hache qui aurait pu lui être déjà fatale. Il se sentait suffisamment puissant pour affronter avec sang-froid ce qui avait eu l'apparence d'un turoctauche mais qui se révélait être autre chose et donc potentiellement plus dangereux. Il n'avait pas peur, cela se sentait. Il ne laissait pas voir son visage, ni la moindre parcelle de peau. Il ressemblait à une ombre sous sa cape. Mais ce n'était qu'un nécromancien, il devait être bien vivant, et ild evait avoir une odeur, la Naga devait pouvoir la sentir.
Nécromancien – Un Orc métamorphe. La vie réserve donc bien quelques surprises.
Il tendit le bras, et cette fois, c'est une goule qu'il invoqua. Quelle ironie pour lui de parler de la vie alors que seule la mort n'avait de beauté à ses yeux. Ces nécromanciens étaient tous des fous à éliminer. Celui-ci était un invocateur. Le problème avec les invocateurs, c'est que l'on est tenté de s'attaquer à chacune de leur invocations, et c'est de cette manière que l'on tombe à l'usure. Si Bremig ne voulait pas que cet invocateur nécromancien ne l'ait à l'usure, il allait devoir l'attaquer directement.
Seulement, la goule n'allait pas le laisser faire. Bremig aurait pu contourner le zombi, mais la goule, elle, pouvait tirer avantage de la lenteur de l'Orc. Ces morts-vivants étaient rapides et Bremig allait être obligé de s'en débarrasser. Il tourna la tête pour voir Euryssa se rapprocher, descendue de son toit. L'Orc sentit la magie de la prêtresse lui donner à nouveau une vitesse accrue. Parfait. Il n'allait pas se montrer aussi lent que le nécromancien et sa goule pouvaient s'y attendre.
BREMIG – Oui, la vie réserve des surprises, tout au contraire de la mort. On me cherche, on meurt : c'est aussi simple que ça, c'est sans surprise.
Ca, c'était juste pour la provocation. Evidemment que la mort pouvait surprendre et ne frappait pas toujours quand on s'y attendait. Seulement, personne n'allait débattre là-dessus maintenant. Bremig chargea la goule maintenant que le sort d'Euryssa le rendait presque aussi rapide voire plus que son ennemi. Il para un coup de griffe prévisible, tordit le bras de la goule, et de son poing libre, frappa à répétition le ventre tout en maintenant le bras de la goule tordu.
Le mort-vivant encaissa, mais riposta dès que Bremig eut fini, en griffant de sa main libre le bras musclé de l'Orc. Bremig grogna en supportant la douleur et en réalisant que ses coups auraient été efficaces sur un être ressentant la douleur, mais pas sur un mort-vivant. Il frappa alors la tête, toujours de son poing, puis força la goule au sol. Il lui broya le crâne sous son énorme pied.
Il leva la tête vers le nécromancien qui avait déjà dû préparer sa prochaine invocation. Bremig ne devait pas lui laisser le temps. Il allait le distraire. L'Orc tendit le bras, et le sol sous le nécromancien se mit à devenir vaseux et à l'embourber. Durant cette distraction, Bremig se métamorphosa en chien de styx. Ainsi, il pourrait bondir sur le nécromancien sans toucher le sol altéré par magie.
Et c'est ce qu'il fit. Le chien de styx, lui, se déplaçait de base avec rapidité, chose accrue avec le sort d'Euryssa.
Il bondit, griffes devant, gueule ouverte, sur le nécromancien...
Nécromancien – Un Orc métamorphe. La vie réserve donc bien quelques surprises.
Il tendit le bras, et cette fois, c'est une goule qu'il invoqua. Quelle ironie pour lui de parler de la vie alors que seule la mort n'avait de beauté à ses yeux. Ces nécromanciens étaient tous des fous à éliminer. Celui-ci était un invocateur. Le problème avec les invocateurs, c'est que l'on est tenté de s'attaquer à chacune de leur invocations, et c'est de cette manière que l'on tombe à l'usure. Si Bremig ne voulait pas que cet invocateur nécromancien ne l'ait à l'usure, il allait devoir l'attaquer directement.
Seulement, la goule n'allait pas le laisser faire. Bremig aurait pu contourner le zombi, mais la goule, elle, pouvait tirer avantage de la lenteur de l'Orc. Ces morts-vivants étaient rapides et Bremig allait être obligé de s'en débarrasser. Il tourna la tête pour voir Euryssa se rapprocher, descendue de son toit. L'Orc sentit la magie de la prêtresse lui donner à nouveau une vitesse accrue. Parfait. Il n'allait pas se montrer aussi lent que le nécromancien et sa goule pouvaient s'y attendre.
BREMIG – Oui, la vie réserve des surprises, tout au contraire de la mort. On me cherche, on meurt : c'est aussi simple que ça, c'est sans surprise.
Ca, c'était juste pour la provocation. Evidemment que la mort pouvait surprendre et ne frappait pas toujours quand on s'y attendait. Seulement, personne n'allait débattre là-dessus maintenant. Bremig chargea la goule maintenant que le sort d'Euryssa le rendait presque aussi rapide voire plus que son ennemi. Il para un coup de griffe prévisible, tordit le bras de la goule, et de son poing libre, frappa à répétition le ventre tout en maintenant le bras de la goule tordu.
Le mort-vivant encaissa, mais riposta dès que Bremig eut fini, en griffant de sa main libre le bras musclé de l'Orc. Bremig grogna en supportant la douleur et en réalisant que ses coups auraient été efficaces sur un être ressentant la douleur, mais pas sur un mort-vivant. Il frappa alors la tête, toujours de son poing, puis força la goule au sol. Il lui broya le crâne sous son énorme pied.
Il leva la tête vers le nécromancien qui avait déjà dû préparer sa prochaine invocation. Bremig ne devait pas lui laisser le temps. Il allait le distraire. L'Orc tendit le bras, et le sol sous le nécromancien se mit à devenir vaseux et à l'embourber. Durant cette distraction, Bremig se métamorphosa en chien de styx. Ainsi, il pourrait bondir sur le nécromancien sans toucher le sol altéré par magie.
Et c'est ce qu'il fit. Le chien de styx, lui, se déplaçait de base avec rapidité, chose accrue avec le sort d'Euryssa.
Il bondit, griffes devant, gueule ouverte, sur le nécromancien...
Bremig- Elite
- Race : Demi-Orc
Re: A la poursuite du temple perdu
Bremig massacra la goule à gros coup de poing. D’abord, il la frappait plusieurs fois dans le ventre, la retenant par le bras, puis, elle le griffa et enfin, l’orc la mit à terre et lui explosa le crâne avec son pied d’éléphant. La chose n’avait eut aucune chance. En peu de temps, Bremig l’avait occis. Je me doutais que le nécromancien allât nous sortir quelque chose d’autre. Un nouveau cauchemar en putréfaction. Je priais pour que Bremig puisse tenir le coup jusqu’au bout. Heureusement, il avait compris la chose. Il savait qu’il devait tuer l’invocateur, car sinon, on en finirait jamais. Il refit comme avec le vrot, il fit devenir le sol comme de la boue qui embourbait le nécromancien. Bon plan, le mage des ténèbres était coincé et il était trop concentré à se sortir de là. Grossière erreur, Bremig se changea en chien du styx. Encore une abomination, je ne savais pas quoi penser. En tout cas, il se jeta sur l’encapuchonner, touts crocs dehors. Le nécromancien se mit à râler de rage jusqu’à ce que Bremig lui arrache la tête avec sa puissante mâchoire. Le combat prit enfin fin.
Je me rapprochais. Bremig pouvait avoir besoin de soins. J’en profitais pour dévoiler le visage de l’invocateur. Il était encore cacher par le tissu de son vêtement, arraché avec. Il s’agissait d’une tête humanoïde, couverte de pustule et à moitié ronger par de la moisissure. J’exprimais mon dégoût en grognant. Puis me retournant vers le chien du styx, je me mis à lui sifflet :
« Beau travail. Sss. Avez-vous besoin de sssoin ? »
Je me rapprochais. Bremig pouvait avoir besoin de soins. J’en profitais pour dévoiler le visage de l’invocateur. Il était encore cacher par le tissu de son vêtement, arraché avec. Il s’agissait d’une tête humanoïde, couverte de pustule et à moitié ronger par de la moisissure. J’exprimais mon dégoût en grognant. Puis me retournant vers le chien du styx, je me mis à lui sifflet :
« Beau travail. Sss. Avez-vous besoin de sssoin ? »
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A la poursuite du temple perdu
Le chien de styx était trop rapide grâce au sort d'Euryssa, et le nécromancien invocateur était trop distrait par l'embourbement dont il essayait de s'épargner. L'attaque fut un succès. Le chien de styx mordit le nécromancien au cou en s'aggripant à sa poitrine, plantant les griffes de ses quatre pattes là où il put. Le chien de styx mordit, encore et encore, mâchant à vif le cou du nécromancien. Les râles de ce dernier se changèrent en gargouillis. Le chien de styx arracha la chair jusqu'à laisser le cou en charpie. Le nécromancien, mort, s'écroula sur le dos. Le chien de styx bondit aussitôt pour se mettre hors de la zone d'effet du sort.
Les grognements du chien de styx se calmèrent. Euryssa s'approcha et dévoila le visage du nécromancien. Un visage couvert de pustules. Voilà dans quoi venait de mordre Bremig métamorphosé en chien de styx. Nul doute que la maladie infectieuse dont était atteint le nécromancien n'avait pas une origine tout à fait naturelle. Euryssa se tourna vers son compagnon :
EURYSSA – Beau travail. Sss. Avez-vous besoin de sssoin ?
Bremig quitta sa métamorphose, d'autant que s'il restait trop longtemps sans se déplacer, le chien de styx risquait de coller sur place. S'il avait été un Humain, il aurait eu un haut-le-cœur en voyant dans quoi il avait mordu. Mais il était un Orc.
Il regarda les griffures infligées par la goule à son bras gauche. Là encore, s'il avait été un Humain, il aurait risqué l'infection. Mais il était un Orc.
BREMIG – Ce ne sont que quelques petites griffures, j'ai connu pire. Garde ta magie, si c'est ça qui t'a affaiblie la dernière fois.
Bremig croyait toujours en cette hypothèse. Euryssa savait que la cause était autre, mais Bremig ne pourrait la deviner si elle ne lui en parlait pas.
Les grognements du chien de styx se calmèrent. Euryssa s'approcha et dévoila le visage du nécromancien. Un visage couvert de pustules. Voilà dans quoi venait de mordre Bremig métamorphosé en chien de styx. Nul doute que la maladie infectieuse dont était atteint le nécromancien n'avait pas une origine tout à fait naturelle. Euryssa se tourna vers son compagnon :
EURYSSA – Beau travail. Sss. Avez-vous besoin de sssoin ?
Bremig quitta sa métamorphose, d'autant que s'il restait trop longtemps sans se déplacer, le chien de styx risquait de coller sur place. S'il avait été un Humain, il aurait eu un haut-le-cœur en voyant dans quoi il avait mordu. Mais il était un Orc.
Il regarda les griffures infligées par la goule à son bras gauche. Là encore, s'il avait été un Humain, il aurait risqué l'infection. Mais il était un Orc.
BREMIG – Ce ne sont que quelques petites griffures, j'ai connu pire. Garde ta magie, si c'est ça qui t'a affaiblie la dernière fois.
Bremig croyait toujours en cette hypothèse. Euryssa savait que la cause était autre, mais Bremig ne pourrait la deviner si elle ne lui en parlait pas.
Bremig- Elite
- Race : Demi-Orc
Re: A la poursuite du temple perdu
BREMIG – Ce ne sont que quelques petites griffures, j'ai connu pire. Garde ta magie, si c'est ça qui t'a affaiblie la dernière fois.
EURYSSA – Très bien alorssss.
J’examinais les lieux. Les flammes magiques avaient disparu, et aucun autre sbire ne s’était manifesté après la mort du nécromancien. Ceux qui avaient pris la fuite ne devraient revenir de si tôt. La nuit était bien là. On n’y voyait rien et je ne voulais pas me tuer de fatigue sur le trajet. Peut-être que cet endroit pourrait convenir pour dormir un peu. Mes sens ne m’indiquaient aucune menace. Ces personnes sentaient la mort et là, il n’y avait que Bremig qui me dérangeait. Aucunes vibrations particulières ne me vinrent. On était tous les deux dans cette… Ferme abandonné. J’usai du pouvoir de l’illumination. Je me mis à serrer du poing devant moi et après un peu de concentration, je relâchai une lumière blanche qui se mit à flotter au tour de ma tête. Elle éclairait jusqu’à cinq mètres au tour de moi, suffisant à mon goût. Puis me mis à avancer vers l’un des bâtiments. Cet endroit avait moins de neige que les alentours. J’avançai mieux ainsi. Je m’approchai d’une fenêtre. Elle était barricadée et ma faible lueur ne me renvoyait pas beaucoup de détail sur ce qui nous attendait à l’intérieur.
Je me retournai vers Bremig pour lui demander :
EURYSSA – Vous resssentez une présssence dangereuse ? Magique ou non ? Sssss.
Cet endroit pourrait servir de décor à une histoire d’horreur. Je n’étais pas imprudente, je n’allais pas m’installer ici comme ça. Il fallait s’assurer qu’aucun danger ne planait ici avant. En plus, si les sbires revenaient, on pourrait s’abriter ici. Ils attaquent de préférence la nuit, je vous laisse deviner pourquoi. Le jour serait donc notre meilleur allié dans cette mission. En plus, j’étais exténué et je ne pourrais pas tenir encore bien longtemps. Mon flash aveuglant l’avait vidé de plus de la moitié de mon énergie et ces confrontations ne m’ont pas plus aidé à me revigorer. Un des défauts des nagas, on est plus sensibles aux efforts physiques.
EURYSSA – Très bien alorssss.
J’examinais les lieux. Les flammes magiques avaient disparu, et aucun autre sbire ne s’était manifesté après la mort du nécromancien. Ceux qui avaient pris la fuite ne devraient revenir de si tôt. La nuit était bien là. On n’y voyait rien et je ne voulais pas me tuer de fatigue sur le trajet. Peut-être que cet endroit pourrait convenir pour dormir un peu. Mes sens ne m’indiquaient aucune menace. Ces personnes sentaient la mort et là, il n’y avait que Bremig qui me dérangeait. Aucunes vibrations particulières ne me vinrent. On était tous les deux dans cette… Ferme abandonné. J’usai du pouvoir de l’illumination. Je me mis à serrer du poing devant moi et après un peu de concentration, je relâchai une lumière blanche qui se mit à flotter au tour de ma tête. Elle éclairait jusqu’à cinq mètres au tour de moi, suffisant à mon goût. Puis me mis à avancer vers l’un des bâtiments. Cet endroit avait moins de neige que les alentours. J’avançai mieux ainsi. Je m’approchai d’une fenêtre. Elle était barricadée et ma faible lueur ne me renvoyait pas beaucoup de détail sur ce qui nous attendait à l’intérieur.
Je me retournai vers Bremig pour lui demander :
EURYSSA – Vous resssentez une présssence dangereuse ? Magique ou non ? Sssss.
Cet endroit pourrait servir de décor à une histoire d’horreur. Je n’étais pas imprudente, je n’allais pas m’installer ici comme ça. Il fallait s’assurer qu’aucun danger ne planait ici avant. En plus, si les sbires revenaient, on pourrait s’abriter ici. Ils attaquent de préférence la nuit, je vous laisse deviner pourquoi. Le jour serait donc notre meilleur allié dans cette mission. En plus, j’étais exténué et je ne pourrais pas tenir encore bien longtemps. Mon flash aveuglant l’avait vidé de plus de la moitié de mon énergie et ces confrontations ne m’ont pas plus aidé à me revigorer. Un des défauts des nagas, on est plus sensibles aux efforts physiques.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A la poursuite du temple perdu
Euryssa ne fit qu'acquiescer, n'osant toujours pas avouer la vérité à Bremig. Elle partit inspecter les lieux, et l'Orc fit de même. Ce dernier rentra dans chacun des trois bâtiments. Il y avait une grange, une étable, et une habitation. Cela confirmait que cet ensemble avait bien été une ferme, mais aujourd'hui abandonnée. Tout juste restait-il un peu de paille dans la grande et dans l'étable. Les stalles étaient vides, les seuls animaux présents étaient des rats et les stalles n'avaient pas été prévues pour eux. Dans l'habitation, il restait des meubles miteux, un lit dans lequel seul un Orc pouvait oser se coucher... C'était insolite de trouver une telle ferme abandonnée ici en plein dans les Ganavarelles.
Surtout, Bremig put constater que rien n'avait été brûlé. Il n'y avait aucune trace d'incendie sur les murs, nulle part. Ce qu'ils avaient vu n'avaient donc bel et bien été qu'une illusion pour les attirer dans une embuscade. Si cet endroit servait de repaire à des bandits, cela expliquait pourquoi cette ferme restait abandonnée. Il faudrait une intervention de soldats pour déloger les bandits. Le baron local n'était peut-être même pas au courant de ce qui se passait ici. Bremig se dit qu'après avoir fini d'escorter Euryssa jusqu'au temple, il proposerait ses services au baron local pour nettoyer cette ferme abandonnée de toute la vermine qui s'y regroupait.
EURYSSA – Vous resssentez une présssence dangereuse ? Magique ou non ? Sssss.
Comment le pourrait-il ? Il n'avait pas de don de détection de danger, il ne pouvait se fier qu'à son instinct. Ils venaient de chasser un groupe de bandits en tuant leur chef, un nécromancien. Etait-il prudent de dormir ici cette nuit ? Les bandits survivants ne reviendraient peut-être pas sur place tout de suite. Il fallait espérer, en tout cas.
BREMIG – Je sens juste qu'on vient de chasser des bandits de leur repaire. Et toi, comment as-tu pu savoir que leur chef était un nécromancien ?
Surtout, Bremig put constater que rien n'avait été brûlé. Il n'y avait aucune trace d'incendie sur les murs, nulle part. Ce qu'ils avaient vu n'avaient donc bel et bien été qu'une illusion pour les attirer dans une embuscade. Si cet endroit servait de repaire à des bandits, cela expliquait pourquoi cette ferme restait abandonnée. Il faudrait une intervention de soldats pour déloger les bandits. Le baron local n'était peut-être même pas au courant de ce qui se passait ici. Bremig se dit qu'après avoir fini d'escorter Euryssa jusqu'au temple, il proposerait ses services au baron local pour nettoyer cette ferme abandonnée de toute la vermine qui s'y regroupait.
EURYSSA – Vous resssentez une présssence dangereuse ? Magique ou non ? Sssss.
Comment le pourrait-il ? Il n'avait pas de don de détection de danger, il ne pouvait se fier qu'à son instinct. Ils venaient de chasser un groupe de bandits en tuant leur chef, un nécromancien. Etait-il prudent de dormir ici cette nuit ? Les bandits survivants ne reviendraient peut-être pas sur place tout de suite. Il fallait espérer, en tout cas.
BREMIG – Je sens juste qu'on vient de chasser des bandits de leur repaire. Et toi, comment as-tu pu savoir que leur chef était un nécromancien ?
Bremig- Elite
- Race : Demi-Orc
Re: A la poursuite du temple perdu
Il me répondit que non, qu’il pensait qu’on avait chassé tous ces bandits. Il me posa la question pour savoir comment je savais qu’il s’agissait d’un nécromancien tout à l’heure. Je ne m’attendais pas à cela. Ne le savait-il pas ? N’avait-il pas été prévenu quand on l’avait engagé pour m’escorter ?
EURYSSA – De quoi vous avons sss parlé quand on voussss à payer ?
Je l’aurais souhaité, car cela l’aurait aidé à mieux se préparer contre ces « hommes ». Visiblement, Pierik ne lui a pas tout dit. Étrange, je trouvais cela idiot et dangereux. Il faudrait que l’on en parle quand je serais de retour. Il va falloir que j’explique les choses à Bremig. Je ressentais à la fois de la colère et de la peur. Je me demandais bien si tout cela ne cachait pas quelque chose de malsain.
EURYSSA - Je vais voussss expliquer qui ils sssont. Ils font partis d’une sssecte au service d’un nécromancien. Très puisssant. Je me préparais à l’affronter, maisss je ne suis pas encore de taille. Ce monssstre est entouré de disciples et de sssbires comme ceux-là. On les reconnait pars ccces vêtements grotesssque. Cela fait longtemps que nous les traquions.
Je me préparais à répondre à toutes autres questions de Bremig. S’il n’avait pas été mit au courant sur ces gens, ils ne doit pas savoir grand-chose de notre mission, à part la destination et sa paye. Je voulais qu’il ait toutes les informations nécessaires pour qu’on puisse survivre. Si cela se trouvait, il ne devait pas savoir ce qui nous attendait dans ce temple perdu et si c’était le cas… J’attendais donc sa réaction et s’il avait d’autres questions. À partir de ce moment, je ne le savais as encore, les choses commençaient juste à s’envenimer.
EURYSSA – De quoi vous avons sss parlé quand on voussss à payer ?
Je l’aurais souhaité, car cela l’aurait aidé à mieux se préparer contre ces « hommes ». Visiblement, Pierik ne lui a pas tout dit. Étrange, je trouvais cela idiot et dangereux. Il faudrait que l’on en parle quand je serais de retour. Il va falloir que j’explique les choses à Bremig. Je ressentais à la fois de la colère et de la peur. Je me demandais bien si tout cela ne cachait pas quelque chose de malsain.
EURYSSA - Je vais voussss expliquer qui ils sssont. Ils font partis d’une sssecte au service d’un nécromancien. Très puisssant. Je me préparais à l’affronter, maisss je ne suis pas encore de taille. Ce monssstre est entouré de disciples et de sssbires comme ceux-là. On les reconnait pars ccces vêtements grotesssque. Cela fait longtemps que nous les traquions.
Je me préparais à répondre à toutes autres questions de Bremig. S’il n’avait pas été mit au courant sur ces gens, ils ne doit pas savoir grand-chose de notre mission, à part la destination et sa paye. Je voulais qu’il ait toutes les informations nécessaires pour qu’on puisse survivre. Si cela se trouvait, il ne devait pas savoir ce qui nous attendait dans ce temple perdu et si c’était le cas… J’attendais donc sa réaction et s’il avait d’autres questions. À partir de ce moment, je ne le savais as encore, les choses commençaient juste à s’envenimer.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A la poursuite du temple perdu
Euryssa eut l'air surprise par la question.
EURYSSA – De quoi vous avons-nous sss parlé quand on voussss a payé ?
Il fallait comprendre que Bremig n'avait pas eu toutes les informations quand le prêtre Pierik l'avait engagé.
BREMIG – Ton coreligionnaire m'a juste dit qu'il fallait que je t'escorte jusqu'à un sanctuaire dans les Ganavarelles. Il n'a pas parlé de nécromancien, si c'est la question.
Il n'en avait pas eu besoin pour convaincre Bremig d'accepter la mission. L'on pouvait tout de même se demander pourquoi il n'en avait pas parlé. Avait-il eu peur de perdre le mercenaire en parlant de nécromancien ? Au pire, cela lui aurait permis d'en trouver un autre qui se serait senti apte à combattre un tel ennemi. Cacher une information aussi importante à Bremig n'avait pas été très malin. Maintenant, Euryssa allait lui révéler tout ce qu'il y avait à savoir.
Il y avait donc une secte au service d'un nécromancien puissant. Pas de chance pour ce dernier, Bremig aussi était puissant. Euryssa reconut qu'elle ne s'était pas sentie de taille, voilà pourquoi elle avait eu besoin d'une escorte. Cela faisait pourtant longtemps qu'elle et les autres membres de son temple traquaient cette secte.
Bremig posa une première question :
BREMIG – Alors ce puissant nécromancien, c'était lui ? (il pointait du doigt le nécromancien qu'il avait éliminé) Ou bien y a-il un autre nécromancien plus puissant ?
EURYSSA – De quoi vous avons-nous sss parlé quand on voussss a payé ?
Il fallait comprendre que Bremig n'avait pas eu toutes les informations quand le prêtre Pierik l'avait engagé.
BREMIG – Ton coreligionnaire m'a juste dit qu'il fallait que je t'escorte jusqu'à un sanctuaire dans les Ganavarelles. Il n'a pas parlé de nécromancien, si c'est la question.
Il n'en avait pas eu besoin pour convaincre Bremig d'accepter la mission. L'on pouvait tout de même se demander pourquoi il n'en avait pas parlé. Avait-il eu peur de perdre le mercenaire en parlant de nécromancien ? Au pire, cela lui aurait permis d'en trouver un autre qui se serait senti apte à combattre un tel ennemi. Cacher une information aussi importante à Bremig n'avait pas été très malin. Maintenant, Euryssa allait lui révéler tout ce qu'il y avait à savoir.
Il y avait donc une secte au service d'un nécromancien puissant. Pas de chance pour ce dernier, Bremig aussi était puissant. Euryssa reconut qu'elle ne s'était pas sentie de taille, voilà pourquoi elle avait eu besoin d'une escorte. Cela faisait pourtant longtemps qu'elle et les autres membres de son temple traquaient cette secte.
Bremig posa une première question :
BREMIG – Alors ce puissant nécromancien, c'était lui ? (il pointait du doigt le nécromancien qu'il avait éliminé) Ou bien y a-il un autre nécromancien plus puissant ?
Bremig- Elite
- Race : Demi-Orc
Re: A la poursuite du temple perdu
BREMIG – Alors ce puissant nécromancien, c'était lui ? (il pointait du doigt le nécromancien qu'il avait éliminé) Ou bien y a-il un autre nécromancien plus puissant ?
« Ts-ts-ts » fis-je pour rigoler, amusez par ce qu’il venait de dire. Il croyait que cet être était le maître ? Il se croyait donc si puissant que ça pour vaincre aussi facilement celui qui était vraisemblablement le plus puissant et le plus cruel des nécromanciens ? Si tel était le cas, il prenait ses désirs pour une réalité. Je me mis à lui expliquer un eu mieux qui il était.
EURYSSA - Ssset être n’était qu’un dissciple. Un parmi toute une armée d’âme corrompu. Leur maître, se faisssant appeler Morkas, reste cacher comme un rat dans ssson repère. Il n’agit que dans l’ombre et vous ne risssquez pas de le rencontrer aussi tôt. Ssss. Ce serviteur n’était qu’un chaton, comparé au monsstre qui se cachhe derrière tout ça. Dont la raissson de notre balade. Nous cherchons ssson repère et des informasssions sur ce lieu ssse trouve dans le temple en ruine.
Je venais de dire tout le nécessaire à cette affaire. Inutile d’en dire plus. Je pourrais le faire, mais ce ne serait que du remplissage et une perte de temps. Je pourrais parler des méthodes d’investigation employée par les prêtres, mais cela ne devrait l’intéresser. Sinon le lien entre Morkas et ma famille. Mais ça, je ne voulais pas du tout en discuter. Il était responsable de la honte et du malheur de ma famille et de ma cité aussi. Au combien je le haïssais. Je ne connaissais pas son vrai nom, ni sa nature, juste ce que je savais par les prêtres et les gardes. Mais cela me suffisait pour le détester à mort. Non seulement pour le mal qui nous a causés, mais aussi pour son projet diabolique qui menaçait toute vie existante. D’ailleurs à ce sujet, Bremig avait-il besoin de savoir ce que projetait cet esprit fou et détraquer ? Un projet au combien irréalisable, mais dangereux pour nous tous. Cela peut être vu que comme une information superflue. Je pourrais lui en parler plus tard, si nous le pouvons et s’il le veut. C’était quelque chose de tellement abjecte que je ne désirais pas mentionner ou jeter en première sur la table.
Par la suite, je me dirigeais doucement vers le bâtiment servant de maison. J’étais fatigué et j’avais envie de dormir. Mes paupières n’en pouvaient déjà plus. L’intérieur était moche, abandonné et puait fortement le moisie. Ce qui devait servir de lit ressemblait à un tas de compost avec la paille, les peaux et… Je ne savais quoi avec. Beurk. J’allais vers la grange dans ce cas. Grande, presque vide, le foin semblait en meilleur état que le reste. J’avais récupéré le sac à provisions et y manger quelques radis. Je pris une belle pomme que je tendais à Bremig. Je ne savais pas s’il aimait les fruits. Car je n’avais pas grand-chose sur moi. Il va sûrement falloir trouver de la nourriture en chemin, car il risquait de ne pas avoir assez pour l’aller-retour.
« Ts-ts-ts » fis-je pour rigoler, amusez par ce qu’il venait de dire. Il croyait que cet être était le maître ? Il se croyait donc si puissant que ça pour vaincre aussi facilement celui qui était vraisemblablement le plus puissant et le plus cruel des nécromanciens ? Si tel était le cas, il prenait ses désirs pour une réalité. Je me mis à lui expliquer un eu mieux qui il était.
EURYSSA - Ssset être n’était qu’un dissciple. Un parmi toute une armée d’âme corrompu. Leur maître, se faisssant appeler Morkas, reste cacher comme un rat dans ssson repère. Il n’agit que dans l’ombre et vous ne risssquez pas de le rencontrer aussi tôt. Ssss. Ce serviteur n’était qu’un chaton, comparé au monsstre qui se cachhe derrière tout ça. Dont la raissson de notre balade. Nous cherchons ssson repère et des informasssions sur ce lieu ssse trouve dans le temple en ruine.
Je venais de dire tout le nécessaire à cette affaire. Inutile d’en dire plus. Je pourrais le faire, mais ce ne serait que du remplissage et une perte de temps. Je pourrais parler des méthodes d’investigation employée par les prêtres, mais cela ne devrait l’intéresser. Sinon le lien entre Morkas et ma famille. Mais ça, je ne voulais pas du tout en discuter. Il était responsable de la honte et du malheur de ma famille et de ma cité aussi. Au combien je le haïssais. Je ne connaissais pas son vrai nom, ni sa nature, juste ce que je savais par les prêtres et les gardes. Mais cela me suffisait pour le détester à mort. Non seulement pour le mal qui nous a causés, mais aussi pour son projet diabolique qui menaçait toute vie existante. D’ailleurs à ce sujet, Bremig avait-il besoin de savoir ce que projetait cet esprit fou et détraquer ? Un projet au combien irréalisable, mais dangereux pour nous tous. Cela peut être vu que comme une information superflue. Je pourrais lui en parler plus tard, si nous le pouvons et s’il le veut. C’était quelque chose de tellement abjecte que je ne désirais pas mentionner ou jeter en première sur la table.
Par la suite, je me dirigeais doucement vers le bâtiment servant de maison. J’étais fatigué et j’avais envie de dormir. Mes paupières n’en pouvaient déjà plus. L’intérieur était moche, abandonné et puait fortement le moisie. Ce qui devait servir de lit ressemblait à un tas de compost avec la paille, les peaux et… Je ne savais quoi avec. Beurk. J’allais vers la grange dans ce cas. Grande, presque vide, le foin semblait en meilleur état que le reste. J’avais récupéré le sac à provisions et y manger quelques radis. Je pris une belle pomme que je tendais à Bremig. Je ne savais pas s’il aimait les fruits. Car je n’avais pas grand-chose sur moi. Il va sûrement falloir trouver de la nourriture en chemin, car il risquait de ne pas avoir assez pour l’aller-retour.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A la poursuite du temple perdu
Le ricanement d'Euryssa fit comprendre à Bremig qu'il se méprenait : non, ce nécromancien qu'il venait de tuer n'était pas le chef de la secte. Euryssa le confirma d'un ton posé, expliquant que celui-ci n'était qu'un disciple parmi plusieurs âmes corrompues. Le vrai maître se faisait appeler Morkas, et ne se montrait pas comme ça. Euryssa doutait que Bremig puisse le rencontrer facilement. Morkas resté terré dans son repaire. Seulement, Euryssa n'avait pas assez d'informations sur ce repaire. Bremig se dit que cela ne concernait plus la mission, puisqu'il s'agissait simplement d'escorter Euryssa jusqu'au sanctuaire. Il pensait que cette mission n'avait rien à voir, quand Euryssa ajouta :
EURYSSA – Nous cherchons ssson repère et des informasstions sur ce lieu ssse trouvent dans le temple en ruine.
Le temple en ruine ? Parlait-elle du sanctuaire ? Le frère Pierik avait-il été vraiment si imprécis dans le détail de la mission ? Bremig s'était figuré que le sanctuaire était un endroit en bon état. Les gens devaient s'y sentir à l'abri pour protéger leur culte, d'où le terme “sanctuaire” justement. Maintenant, Euryssa parlait d'un temple en ruine. A moins qu'elle ne parle d'un autre endroit...
L'air fatiguée, la Naga se rendit dans l'habitation, avant d'en sortir, trop dégoûtée par l'état des meubles et l'odeur qui stagnait dans l'unique pièce, comme Bremig pouvait s'y attendre. Elle opta donc pour la grange, où l'Orc la suivit. Elle offrit une pomme à son protecteur, que Bremig accueillit avec enthousiasme : il commençait mine de rien à avoir faim. Cette pomme ne calmerait sans doute pas sa faim à elle seule, mais elle ferait du bien quand même. Bremig hocha la tête en guise de remerciement et croqua à pleines dents dans le fruits. Le jus se mêla à sa bave, ruisselant sur son menton. La viscosité de sa bave le fit pendre en un long fil qui finit par céder pour s'écraser sur sa cuisse alors qu'il était assis.
BREMIG – Je ne savais même pas que le sanctuaire jusqu'où je dois t'escorter est en ruine, ni que tu t'y rends pour trouver le repaire d'un nécromancien.
EURYSSA – Nous cherchons ssson repère et des informasstions sur ce lieu ssse trouvent dans le temple en ruine.
Le temple en ruine ? Parlait-elle du sanctuaire ? Le frère Pierik avait-il été vraiment si imprécis dans le détail de la mission ? Bremig s'était figuré que le sanctuaire était un endroit en bon état. Les gens devaient s'y sentir à l'abri pour protéger leur culte, d'où le terme “sanctuaire” justement. Maintenant, Euryssa parlait d'un temple en ruine. A moins qu'elle ne parle d'un autre endroit...
L'air fatiguée, la Naga se rendit dans l'habitation, avant d'en sortir, trop dégoûtée par l'état des meubles et l'odeur qui stagnait dans l'unique pièce, comme Bremig pouvait s'y attendre. Elle opta donc pour la grange, où l'Orc la suivit. Elle offrit une pomme à son protecteur, que Bremig accueillit avec enthousiasme : il commençait mine de rien à avoir faim. Cette pomme ne calmerait sans doute pas sa faim à elle seule, mais elle ferait du bien quand même. Bremig hocha la tête en guise de remerciement et croqua à pleines dents dans le fruits. Le jus se mêla à sa bave, ruisselant sur son menton. La viscosité de sa bave le fit pendre en un long fil qui finit par céder pour s'écraser sur sa cuisse alors qu'il était assis.
BREMIG – Je ne savais même pas que le sanctuaire jusqu'où je dois t'escorter est en ruine, ni que tu t'y rends pour trouver le repaire d'un nécromancien.
Bremig- Elite
- Race : Demi-Orc
Re: A la poursuite du temple perdu
Quelle bonne surprise de voir l’orc mangeait ce fruit, même si ce fut de façon dégoutante. Le jus du fruit se mélangeait avec la bave qui s’écoulait de sa bouche… Il devait avoir très faim. J’ouvris bien grand mon sac pour le laisser manger quelque chose d’autres. Au vu de sa corpulence, il faudrait tout un banquet pour le rassasier. J’espérais qu’il ne prendrait pas tout et qu’il me resterait quelque chose. Je pris aussi un fruit, une bonne pêche bien juteuse. J’ai dus éviter de regarder l’orc manger pour éviter de vomir mon fruit.
BREMIG – Je ne savais même pas que le sanctuaire jusqu'où je dois t'escorter est en ruine, ni que tu t'y rends pour trouver le repaire d'un nécromancien.
Mais il ne savait rien du tout ! Que lui a-t-on dit ? « Bonjour, on vous engage pour surveillé une prêtresse jusqu’à un temple en Ganavanarelles. Voici la première moitié de l’argent, vous aurez l’autre moitié en revenant. » J’avais une envi de gifler Pierik. En tout cas, mon garde du corps semblait bien gérer la situation. Je commençais à en avoir assez de toute cette histoire, j’étais presser qu’on en finisse. Si seulement je pouvais être plus forte, assez pour vaincre ces mécréants une bonne fois pour toute. Un coup de lumière et les ténèbres seront chassés. Mais je dois me reprendre. La frustration ne me mènerait à rien. Une fois finis mon fruit je me retournai vers Bremig et lui souris.
Euryssa – Bonne nuit à vousss. A demain et reposssez-vous bien. Sss.
Je m’allongeai sur ma queue et mes bras croisés pour avoir un minimum de confort et essayai de trouver le sommeil. J’étais fatigué, mais mon esprit me tourmentait avec tout cela. Je stressais. Je me mis à prier pour trouver la paix et me mis à penser à des choses positives, comme mes jeux d’enfant, mes amis… Ceux qui m’aidèrent à me relaxer, suffisamment pour que je m’endorme.
BREMIG – Je ne savais même pas que le sanctuaire jusqu'où je dois t'escorter est en ruine, ni que tu t'y rends pour trouver le repaire d'un nécromancien.
Mais il ne savait rien du tout ! Que lui a-t-on dit ? « Bonjour, on vous engage pour surveillé une prêtresse jusqu’à un temple en Ganavanarelles. Voici la première moitié de l’argent, vous aurez l’autre moitié en revenant. » J’avais une envi de gifler Pierik. En tout cas, mon garde du corps semblait bien gérer la situation. Je commençais à en avoir assez de toute cette histoire, j’étais presser qu’on en finisse. Si seulement je pouvais être plus forte, assez pour vaincre ces mécréants une bonne fois pour toute. Un coup de lumière et les ténèbres seront chassés. Mais je dois me reprendre. La frustration ne me mènerait à rien. Une fois finis mon fruit je me retournai vers Bremig et lui souris.
Euryssa – Bonne nuit à vousss. A demain et reposssez-vous bien. Sss.
Je m’allongeai sur ma queue et mes bras croisés pour avoir un minimum de confort et essayai de trouver le sommeil. J’étais fatigué, mais mon esprit me tourmentait avec tout cela. Je stressais. Je me mis à prier pour trouver la paix et me mis à penser à des choses positives, comme mes jeux d’enfant, mes amis… Ceux qui m’aidèrent à me relaxer, suffisamment pour que je m’endorme.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A la poursuite du temple perdu
Bremig pouvait faire le constat que les informations sur sa mission dévoilées par le frère Pierik avaient été largement lacunaires. Pourtant, il ne s'énervait pas. Ce n'était pas parce qu'il était d'un tempérament calme et prenait tout avec recul et sang-froid, ce serait mal le connaître que de penser cela. Simplement, sa mission était d'escorter Euryssa jusqu'au sanctuaire ; et finalement, tout ce qu'il avait pu apprendre de plus précis et de plus exact sur sa mission, n'en changeait pas la substance. Il devait protéger une femelle Naga d'un point A à un point B. Ladite Naga voulait trouver le repaire d'un nécromancien ? Cela ne changeait rien. La destination était un bâtiment en ruine et non un temple en bon état ? Cela ne changeait rien.
Euryssa lui offrit plus à manger que la pomme dont il attaquait maintenant le trognon. L'Orc se servit en pain et en viande pour combler un peu mieux sa faim. La Naga se contenta d'un repas plus frugal que l'Orc. Elle ne dit rien de plus et la soirée se conclut donc dans le silence, si l'on ignorait les bruits de mastication. Bremig se détendit après avoir fini de manger. Il s'était sali et bavé dessus mais ne s'essuya pas : ce n'était sale que pour les autres. Euryssa se lova sur son corps de serpent et lui souhaita bonne nuit.
Bremig veilla un peu sur elle jusqu'à ce que le sommeil l'emportât. Il se réveilla, dans une position couchée sur le côté, la main en oreiller, de la bave s'écoulant lentement sur son avant-bras. Il regarda Euryssa, qui se portait bien. Le soleil venait de se lever depuis moins d'une heure. Ils n'avaient pas été attaqués durant la nuit. Bremig se leva lentement. Il laissa Euryssa décider du moment de leur départ. Il regarda machinalement le bras griffé par la goule... et fronça les sourcils, perplexe : il n'avait plus aucune griffure. Même pas de cicatrice. Rien. Comme s'il n'avait pas été blessé. Comme si le combat de la veille n'avait été qu'un rêve. Pour lui, cela ne pouvait signifier qu'une seule chose, car il savait n'avoir pas rêvé ce combat :
BREMIG – Je t'ai dit que ce n'était pas la peine de soigner les griffures à mon bras ! Je ne veux pas que tu t'épuises en utilisant ta magie. Si t'es faible, tu seras un fardeau.
Euryssa lui offrit plus à manger que la pomme dont il attaquait maintenant le trognon. L'Orc se servit en pain et en viande pour combler un peu mieux sa faim. La Naga se contenta d'un repas plus frugal que l'Orc. Elle ne dit rien de plus et la soirée se conclut donc dans le silence, si l'on ignorait les bruits de mastication. Bremig se détendit après avoir fini de manger. Il s'était sali et bavé dessus mais ne s'essuya pas : ce n'était sale que pour les autres. Euryssa se lova sur son corps de serpent et lui souhaita bonne nuit.
Bremig veilla un peu sur elle jusqu'à ce que le sommeil l'emportât. Il se réveilla, dans une position couchée sur le côté, la main en oreiller, de la bave s'écoulant lentement sur son avant-bras. Il regarda Euryssa, qui se portait bien. Le soleil venait de se lever depuis moins d'une heure. Ils n'avaient pas été attaqués durant la nuit. Bremig se leva lentement. Il laissa Euryssa décider du moment de leur départ. Il regarda machinalement le bras griffé par la goule... et fronça les sourcils, perplexe : il n'avait plus aucune griffure. Même pas de cicatrice. Rien. Comme s'il n'avait pas été blessé. Comme si le combat de la veille n'avait été qu'un rêve. Pour lui, cela ne pouvait signifier qu'une seule chose, car il savait n'avoir pas rêvé ce combat :
BREMIG – Je t'ai dit que ce n'était pas la peine de soigner les griffures à mon bras ! Je ne veux pas que tu t'épuises en utilisant ta magie. Si t'es faible, tu seras un fardeau.
Bremig- Elite
- Race : Demi-Orc
Re: A la poursuite du temple perdu
La nuit ne m’était pas aussi agréable que je l’aurais crue. J’étais mal installé et j’avais quelques douleurs en me relevant. Toutefois, je me sentais beaucoup mieux qu’hier. Je pouvais voyager pendant toute la journée si besoin est. En me retournant, je voulais attraper le sac pour manger quelque chose avant de partir. Je ne voulais être la encore longtemps. Le soleil s’était levé depuis peu, tant mieux, nous ne voyagerons sans perdre de temps. Mais je vis l’orc me lançait un regard furieux. Quoi encore ? Que se passait-il ? Avait-il mal dormi ou me reprochait-il quoi que ce soit ? Ce fut la deuxième possibilité qui semblait s’avérer.
BREMIG – Je t'ai dit que ce n'était pas la peine de soigner les griffures à mon bras ! Je ne veux pas que tu t'épuises en utilisant ta magie. Si t'es faible, tu seras un fardeau.
De quoi me parlait-il ? Non seulement, il m’accusait en me grondant, mais en plus, il me traitait de fardeau. Cet Orc était étrange et agaçant. Non seulement, il m’accusait en me grondant, mais en plus, il me traitait de fardeau. J’en fus vexé. Je regardais son bras qui devait être blessé, et en effet, il était comme neuf, si l’on peut dire. Je fus aussi étonné que lui de sa guérison. Je lui répondis, sur un ton sec serte :
EURYSSA - Je n'ais rien avoir dans vossstre guérissson.
Je pris le sac et en pris du pain, conserver pour éviter qu’il ne soit sec, avec une pomme et m’en contenta pour petit-déjeuner. Je tendis le sac vers mon garde du corps.
EURYSSA - Tenez ! Mangez donc un peu au lieusss de dire des bêtisssse. Quand vous aurez finis, noussss partirons.
Je finis rapidement de manger avant de me redresser. Je m’ai tirai touts mes muscles. En prenant mon bâton de prêtrise, je m’élançais à l’extérieur pour commencer la suite de notre voyage. Je me motivais en me disant que nous n’étions sûrement plus très loin de notre destination. Encore quelques jours et ce sera fini… Pour l’instant.
BREMIG – Je t'ai dit que ce n'était pas la peine de soigner les griffures à mon bras ! Je ne veux pas que tu t'épuises en utilisant ta magie. Si t'es faible, tu seras un fardeau.
De quoi me parlait-il ? Non seulement, il m’accusait en me grondant, mais en plus, il me traitait de fardeau. Cet Orc était étrange et agaçant. Non seulement, il m’accusait en me grondant, mais en plus, il me traitait de fardeau. J’en fus vexé. Je regardais son bras qui devait être blessé, et en effet, il était comme neuf, si l’on peut dire. Je fus aussi étonné que lui de sa guérison. Je lui répondis, sur un ton sec serte :
EURYSSA - Je n'ais rien avoir dans vossstre guérissson.
Je pris le sac et en pris du pain, conserver pour éviter qu’il ne soit sec, avec une pomme et m’en contenta pour petit-déjeuner. Je tendis le sac vers mon garde du corps.
EURYSSA - Tenez ! Mangez donc un peu au lieusss de dire des bêtisssse. Quand vous aurez finis, noussss partirons.
Je finis rapidement de manger avant de me redresser. Je m’ai tirai touts mes muscles. En prenant mon bâton de prêtrise, je m’élançais à l’extérieur pour commencer la suite de notre voyage. Je me motivais en me disant que nous n’étions sûrement plus très loin de notre destination. Encore quelques jours et ce sera fini… Pour l’instant.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A la poursuite du temple perdu
Euryssa s'arrêta un instant, comme surprise de se faire gronder. Elle jeta un coup d'œil au bras de Bremig. Allait-elle essayer de lui faire croire qu'elle découvrait l'absence de la blessure ?
EURYSSA – Je n'ai rien avoir dans vossstre guérissson.
Dans le mille. Elle se foutait de lui ! Qui d'autre aurait pu soigner Bremig, ici ? L'Orc était certes d'une solide constitution, mais ses blessures ne disparaissaient pas pour autant en une nuit ! Euryssa se payait sa tête et il n'appréciait pas.
Comme pour changer de sujet, elle ouvrit son sac pour attraper de quoi rompre le jeûne de la nuit. Elle se servit du pain et tendit le sac à Bremig.
EURYSSA – Tenez ! Mangez donc un peu au lieu sss de dire des bêtisssses. Quand vous aurez fini, nous sss partirons.
Elle s'enfonçait dans son mensonge en l'accusant de dire des bêtises ! Elle croyait que Bremig était du genre à se laisser parler comme ça ? Elle voulait le mettre en colère de bon matin ? Quel était son problème, à ce serpent ?
BREMIG – Enfin, les griffures de la goule ne sont pas disparues toutes seules ! Je ne maîtrise pas la magie du soin, et je ne vois personne d'autre pour m'avoir soigné le bras !
Euryssa n'avait aucun alibi pour nier. Elle l'avait soigné pendant qu'il dormait, mais voyant que cela déclenchait chez lui une réaction à l'opposé d'un simple remerciement, elle préférait nier, comme si cela allait apaiser l'Orc. Cerveau de serpent ! Tous plus débiles les uns que les autres, ces animaux. Le plus ironique est que Bremig était capable de se métamorphoser en deux espèces de serpents – un cobra et un python – et même en d'autres animaux. Seulement, la métamorphose, cela n'affectait pas son esprit. Ce n'était qu'une magie physique, et heureusement, Bremig ne devenait pas bête comme un animal dans ces moments-là.
EURYSSA – Et moi j'ai pour vocation de ne jamais mentir. Votre guérison est un mystère pour moi aussi.
Elle allait finir par le faire douter, en plus ! Ne jamais mentir... Cela pouvait bien être un truc de prêtres, tiens ! Gulain ne lui avait pas enseigné cela, mais d'autres prêtres avaient sans doute fait vœu de vérité. Si Euryssa comptait de ceux-là, alors elle n'avait donc pas soigné Bremig cette nuit. Mais qui ? Quoi ? Comment ?
Bremig mangea, pour ne pas avoir faim dans la matinée. Puis la Naga et lui reprirent la route. L'Orc resté préoccupé par la disparition de sa blessure. Il n'en avait même pas gardé une cicatrice.
BREMIG – Si la goule n'avait été qu'une illusion, elles auraient disparu au moment de la mort de son invocateur. Et tu me dis que tu ne mens jamais ? Brâa... Mais je te préviens, si tu es en train de te foutre de moi, les choses vont très mal se passer entre nous. Et si tu as un autre malaise parce que tu as utilisé ta magie sur moi, je n'en ferai rien. Faudra pas te plaindre de te sentir mal.
EURYSSA – Je n'ai rien avoir dans vossstre guérissson.
Dans le mille. Elle se foutait de lui ! Qui d'autre aurait pu soigner Bremig, ici ? L'Orc était certes d'une solide constitution, mais ses blessures ne disparaissaient pas pour autant en une nuit ! Euryssa se payait sa tête et il n'appréciait pas.
Comme pour changer de sujet, elle ouvrit son sac pour attraper de quoi rompre le jeûne de la nuit. Elle se servit du pain et tendit le sac à Bremig.
EURYSSA – Tenez ! Mangez donc un peu au lieu sss de dire des bêtisssses. Quand vous aurez fini, nous sss partirons.
Elle s'enfonçait dans son mensonge en l'accusant de dire des bêtises ! Elle croyait que Bremig était du genre à se laisser parler comme ça ? Elle voulait le mettre en colère de bon matin ? Quel était son problème, à ce serpent ?
BREMIG – Enfin, les griffures de la goule ne sont pas disparues toutes seules ! Je ne maîtrise pas la magie du soin, et je ne vois personne d'autre pour m'avoir soigné le bras !
Euryssa n'avait aucun alibi pour nier. Elle l'avait soigné pendant qu'il dormait, mais voyant que cela déclenchait chez lui une réaction à l'opposé d'un simple remerciement, elle préférait nier, comme si cela allait apaiser l'Orc. Cerveau de serpent ! Tous plus débiles les uns que les autres, ces animaux. Le plus ironique est que Bremig était capable de se métamorphoser en deux espèces de serpents – un cobra et un python – et même en d'autres animaux. Seulement, la métamorphose, cela n'affectait pas son esprit. Ce n'était qu'une magie physique, et heureusement, Bremig ne devenait pas bête comme un animal dans ces moments-là.
EURYSSA – Et moi j'ai pour vocation de ne jamais mentir. Votre guérison est un mystère pour moi aussi.
Elle allait finir par le faire douter, en plus ! Ne jamais mentir... Cela pouvait bien être un truc de prêtres, tiens ! Gulain ne lui avait pas enseigné cela, mais d'autres prêtres avaient sans doute fait vœu de vérité. Si Euryssa comptait de ceux-là, alors elle n'avait donc pas soigné Bremig cette nuit. Mais qui ? Quoi ? Comment ?
Bremig mangea, pour ne pas avoir faim dans la matinée. Puis la Naga et lui reprirent la route. L'Orc resté préoccupé par la disparition de sa blessure. Il n'en avait même pas gardé une cicatrice.
BREMIG – Si la goule n'avait été qu'une illusion, elles auraient disparu au moment de la mort de son invocateur. Et tu me dis que tu ne mens jamais ? Brâa... Mais je te préviens, si tu es en train de te foutre de moi, les choses vont très mal se passer entre nous. Et si tu as un autre malaise parce que tu as utilisé ta magie sur moi, je n'en ferai rien. Faudra pas te plaindre de te sentir mal.
Bremig- Elite
- Race : Demi-Orc
Re: A la poursuite du temple perdu
Nous avions enfin repris la route, et ce dans une atmosphère des plus tendu. Bremig me prenait la tête avec sa guérison, m’accusant de l’avoir guéri. J’aurais pus le faire oui, mais ce n’était pas moi, je lui avais bien dit que j’avais pour principe de ne pas mentir. Quelle tête de mule. Si je me laissai aller à mon impression, j’aurais dit que les orcs sont vraiment stupide. Il n’a aucune réponse, et moi non plus. Mais au lieu de réfléchir un minimum, il se laissa facilement aveuglé par le basique, sans plus se poser de question. Cela se voyait que l’érudition ne faisait pas partie de la culture orc. Ils sont si impulsifs et brutaux, pas étonnants au vu de leur « civilisation », alors que nous, nous avons des cités magnifiques au fond des océans et une culture et un savoir si poussé. Enfin bref, je ne devais pas laisser la colère m’emporter, ce serait se retrouver au même niveau que les orcs non ? Et voilà que je recommençai. Il ne faut pas que je m’énerve, sinon cela risquait de devenir sanguinaire. Et il fallait dire que Bremig n’arrangeait pas les choses.
BREMIG – Si la goule n'avait été qu'une illusion, elles auraient disparu au moment de la mort de son invocateur. Et tu me dis que tu ne mens jamais ? Brâa... Mais je te préviens, si tu es en train de te foutre de moi, les choses vont très mal se passer entre nous. Et si tu as un autre malaise parce que tu as utilisé ta magie sur moi, je n'en ferai rien. Faudra pas te plaindre de te sentir mal.
Certes, si la goule n’était qu’une illusion, elle n’aurait survécu à celui qui la créer. À moins que ce soit une magie plus puissante. Était-il possible que le mage noir ait trouvé un moyen transgressé les règles de la magie ? Si oui, ce serait chaotique. J’avais entendu en plus parler d’un mage vivant à Garnavelle qui suivait la même voie sur la magie de transformation, mais cela était une autre histoire. A part ça, Bremig savait rester des plus offensants. À ce moment, je ne savais pas s’il le faisait exprès ou non. Peut-être se comportait-il ainsi pour faire oublier son sang humain. Et bien, ce serait raté. Je lui répondis pour lui rabattre sa fierté :
EURYSSA – Je vous rassssure, je sssuis en pleine forme. Et je resssserve mes sssoins pour plus tard. Désolé de vous décccevoir . A présent avançons ! On pourra réfléchir à ssse qu’il vous arrive en chemin ! Vous êtes mages, peut être un sssort de soin caché non qu’est-ce que j’en sssais.
Si Bremig continuait ainsi, il risquerait d’avoir une mauvaise surprise. Je me doute bien que finir sur une mauvaise relation entre nous ne lui ferait pas peur, à moi non plus, mais cela risquait de se répercuter sur son salaire d’une façon ou d’une autre. J’avais cette idée en idée avec une envi de vengeance, lui donner moins que prévu. Je me mis à siffler fort un long moment. Pour beaucoup, cela serait comme un grognement.
EURYSSA - Ssssssssssssssssssssssssssssssssssssssss....
BREMIG – Si la goule n'avait été qu'une illusion, elles auraient disparu au moment de la mort de son invocateur. Et tu me dis que tu ne mens jamais ? Brâa... Mais je te préviens, si tu es en train de te foutre de moi, les choses vont très mal se passer entre nous. Et si tu as un autre malaise parce que tu as utilisé ta magie sur moi, je n'en ferai rien. Faudra pas te plaindre de te sentir mal.
Certes, si la goule n’était qu’une illusion, elle n’aurait survécu à celui qui la créer. À moins que ce soit une magie plus puissante. Était-il possible que le mage noir ait trouvé un moyen transgressé les règles de la magie ? Si oui, ce serait chaotique. J’avais entendu en plus parler d’un mage vivant à Garnavelle qui suivait la même voie sur la magie de transformation, mais cela était une autre histoire. A part ça, Bremig savait rester des plus offensants. À ce moment, je ne savais pas s’il le faisait exprès ou non. Peut-être se comportait-il ainsi pour faire oublier son sang humain. Et bien, ce serait raté. Je lui répondis pour lui rabattre sa fierté :
EURYSSA – Je vous rassssure, je sssuis en pleine forme. Et je resssserve mes sssoins pour plus tard. Désolé de vous décccevoir . A présent avançons ! On pourra réfléchir à ssse qu’il vous arrive en chemin ! Vous êtes mages, peut être un sssort de soin caché non qu’est-ce que j’en sssais.
Si Bremig continuait ainsi, il risquerait d’avoir une mauvaise surprise. Je me doute bien que finir sur une mauvaise relation entre nous ne lui ferait pas peur, à moi non plus, mais cela risquait de se répercuter sur son salaire d’une façon ou d’une autre. J’avais cette idée en idée avec une envi de vengeance, lui donner moins que prévu. Je me mis à siffler fort un long moment. Pour beaucoup, cela serait comme un grognement.
EURYSSA - Ssssssssssssssssssssssssssssssssssssssss....
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A la poursuite du temple perdu
EURYSSA – Je vous rasssure, je sssuis en pleine forme. Et je réserve mes sssoins pour plus tard. Désolée de vous désscevoir. A présent avançons ! On pourra réfléchir à ssce qu'il vous arrive en chemin ! Vous êtes mages, peut-être un sssort de soin caché, non ? Qu'est-ce que j'en sssais.
Y croyait-elle vraiment, à son histoire de sort caché ? En tout cas, cela avait de quoi rendre perplexe. A cet instant, Bremig était encore très loin de s'imaginer qu'il avait développé des facultés de régénération extraordinaire. S'il ne voulait pas qu'Euryssa le soigne, c'est simplement parce qu'il croyait toujours que le malaise de la prêtresse avait été dû à un manque d'endurance suite à l'utilisation de ses sorts de soin, et qu'il ne voulait pas se la traîner comme un boulet. La vérité ne serait pas plaisante à entendre pour l'Orc mais elle aurait le mérite d'arranger les choses au final. Si Euryssa avait déjà expliqué la vraie raison de son malaise, Bremig n'aurait pas été là à la réprimander pour l'avoir soigné. Elle avait dit avoir pour principe de ne pas mentir, mais laisser quelqu'un continuer à croire quelque chose d'erroné ne semblait pas la déranger.
Euryssa poussa un sifflement long et strident, qui sonnait comme une menace, à la manière d'un loup qui grognerait en montrant les crocs. Bremig ne savait pas s'il devait réellement interpréter ce sifflement comme ça.
BREMIG – Eh bien, qu'est-ce qu'il te prend ?
L'Orc se remit en marche de toute manière, pas intimidé le moins du monde par la prêtresse femme-serpent qui lui paraissait faible et facile à maîtriser. Il restait encore dela route à faire avant d'arriver au sanctuaire.
Y croyait-elle vraiment, à son histoire de sort caché ? En tout cas, cela avait de quoi rendre perplexe. A cet instant, Bremig était encore très loin de s'imaginer qu'il avait développé des facultés de régénération extraordinaire. S'il ne voulait pas qu'Euryssa le soigne, c'est simplement parce qu'il croyait toujours que le malaise de la prêtresse avait été dû à un manque d'endurance suite à l'utilisation de ses sorts de soin, et qu'il ne voulait pas se la traîner comme un boulet. La vérité ne serait pas plaisante à entendre pour l'Orc mais elle aurait le mérite d'arranger les choses au final. Si Euryssa avait déjà expliqué la vraie raison de son malaise, Bremig n'aurait pas été là à la réprimander pour l'avoir soigné. Elle avait dit avoir pour principe de ne pas mentir, mais laisser quelqu'un continuer à croire quelque chose d'erroné ne semblait pas la déranger.
Euryssa poussa un sifflement long et strident, qui sonnait comme une menace, à la manière d'un loup qui grognerait en montrant les crocs. Bremig ne savait pas s'il devait réellement interpréter ce sifflement comme ça.
BREMIG – Eh bien, qu'est-ce qu'il te prend ?
L'Orc se remit en marche de toute manière, pas intimidé le moins du monde par la prêtresse femme-serpent qui lui paraissait faible et facile à maîtriser. Il restait encore dela route à faire avant d'arriver au sanctuaire.
Bremig- Elite
- Race : Demi-Orc
Re: A la poursuite du temple perdu
BREMIG – Eh bien, qu'est-ce qu'il te prend ?
Comment osait-il me le demander ? Il me prenait la tête depuis tout à l’heure et il osait me le demander ? Était-il si cruel ou stupide ? Vraiment, un orc cela ne volait pas haut. Les dieux avaient fait fort en lançant cette malédiction. On n’aurait pas cru qu’ils s’agissaient d’Elfe autre fois. En plus de son odeur mortelle, il devenait de plus en plus désagréable, un exploit. Il devait se croire au-dessus des autres, tu parles. Je dirais qu’il subit une sorte de complexe d’infériorité à cause de leur barbarie et de leur niveau intellectuel bas. Ils n’ont que comme avantage leur force titanesque. Leur résistance aux maladies les pousse à vivre dans la saleté et donc, facilement repérable. Il ferait bien de s’analyser avant. Par pitié Déesse Kulani, empêchez-moi de sombrer dans la colère comme un orc .
J’avais envis de lui faire peur en parlant de mon désir de réduire sa paye à la fin, cela me brûlait les lèvres comme on dit. Mais je me ravisai. J’inspirais profondément, sans trop sentir Bremig sur tous les plans, ainsi mon esprit arrivait mieux à rester clair. Il était évident pour moi, que pour m’être un terme à cette dispute, il fallait trouver la cause de sa guérison. Je réfléchissais à différentes théories : suis-je somnambule ? Quelqu’un était-il passé par là ? Bremig pouvait-il se guérir tout seul ? Les dieux ont-ils agi directement ? Il faudrait les vérifier une par une. Déjà actuellement, le somnambulisme devrait attendre cette nuit, pour les dieux, je n’avais aucune idée. Pour Bremig, on pouvait voir cela directement. Une idée folle, mais à tenter, comme ça, on serait fixé.
EURYSSA – Faisons une exsssspérience. Blesssez-vous au bras et voyons sssi vous posssédez un don de régénerasssion.
Je ne demandais pas une amputation, ni même une plaie, juste une entaille, quelque chose de pas grave, de quoi bien voir la guérison se faire si c’était ça. Et puis je pourrais toujours le soigner après.
Comment osait-il me le demander ? Il me prenait la tête depuis tout à l’heure et il osait me le demander ? Était-il si cruel ou stupide ? Vraiment, un orc cela ne volait pas haut. Les dieux avaient fait fort en lançant cette malédiction. On n’aurait pas cru qu’ils s’agissaient d’Elfe autre fois. En plus de son odeur mortelle, il devenait de plus en plus désagréable, un exploit. Il devait se croire au-dessus des autres, tu parles. Je dirais qu’il subit une sorte de complexe d’infériorité à cause de leur barbarie et de leur niveau intellectuel bas. Ils n’ont que comme avantage leur force titanesque. Leur résistance aux maladies les pousse à vivre dans la saleté et donc, facilement repérable. Il ferait bien de s’analyser avant. Par pitié Déesse Kulani, empêchez-moi de sombrer dans la colère comme un orc .
J’avais envis de lui faire peur en parlant de mon désir de réduire sa paye à la fin, cela me brûlait les lèvres comme on dit. Mais je me ravisai. J’inspirais profondément, sans trop sentir Bremig sur tous les plans, ainsi mon esprit arrivait mieux à rester clair. Il était évident pour moi, que pour m’être un terme à cette dispute, il fallait trouver la cause de sa guérison. Je réfléchissais à différentes théories : suis-je somnambule ? Quelqu’un était-il passé par là ? Bremig pouvait-il se guérir tout seul ? Les dieux ont-ils agi directement ? Il faudrait les vérifier une par une. Déjà actuellement, le somnambulisme devrait attendre cette nuit, pour les dieux, je n’avais aucune idée. Pour Bremig, on pouvait voir cela directement. Une idée folle, mais à tenter, comme ça, on serait fixé.
EURYSSA – Faisons une exsssspérience. Blesssez-vous au bras et voyons sssi vous posssédez un don de régénerasssion.
Je ne demandais pas une amputation, ni même une plaie, juste une entaille, quelque chose de pas grave, de quoi bien voir la guérison se faire si c’était ça. Et puis je pourrais toujours le soigner après.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A la poursuite du temple perdu
Bremig ne cherchait pas la provocation gratuite, il était naturel. Brut de décoffrage. Il parlait tel qu'il pensait, ne prenait aucune pincette pour s'adresser à Euryssa. Ce n'était pas par plaisir d'énerver Euryssa et de tester ses limites. Il était simplement sans gêne et fier. Pendant qu'il marchait sur plusieurs mètres, Euryssa se taisait. Bremig réfléchissait à la guérison de son bras sans se douter qu'Euryssa faisait exactement de même. Il s'en rendit compte quand cette dernière émit une idée :
EURYSSA – Faisons une exssspérience. Blesssez-vous au bras et voyons sssi vous posssédez un don de régénerasstion.
Il n'avait jamais eu un tel don et n'avait pas cherché à l'acquérir, quoiqu'il fallait admettre que l'idée était intéressante. Quel guerrier ne rêvait pas de pouvoir se régénérer de ses blessures à vue d'œil ? Si l'on pouvait se moquer de sortir blessé d'un combat, cela conférait une certaine puissance. Bremig n'y croyait pas, mais qu'est-ce que ça coûtait d'essayer ? D'autres auraient prétexté qu'ils n'allaient pas se blesser pour le bon plaisir d'Euryssa, mais Bremig refusait de faire son tendre. Et puis cela permettrait d'éliminer une hypthèse, aussi farfelue fût-elle.
L'Orc n'avait aucune arme sur lui, à moins de se métamorphoser en salgöhl, en turoctauche, en Arachnéen ou en pojore. Qu'importe, il prit son couteau de voyage, qui ferait parfaitement l'affaire. C'est son bras gauche qui avait été blessé par la goule, alors pour que le test soit le plus probant, il décida de s'écorcher le bras droit. Il décida un court trait avec la lame du couteau, se faisant aussitôt saigner. Il rangea son couteau en laissant le sang couler, et observa la blessure. Il ne s'attendait à rien, mais...
Au bout d'une dizaine de secondes, le sang s'arrêta de couler. Lentement, le trait commença à se raccourcir. Bremig haussa les sourcils. Il n'y croyait pas. Pourtant, ce n'était pas une hallucination : en quelques secondes, l'écorchure qu'il venait de s'ouvrir au bras droit disparut totalement. Seules restaient les gouttes de sang qui avaient eu le temps de s'en échapper en dix secondes.
BREMIG – Bah ça alors...
Il regarda Euryssa, mais la prêtresse n'avait pas agi.
BREMIG – Comment est-ce possible ?
L'Orc se mit à réfléchir aux explications possibles.
BREMIG – Peut-être que j'ai absorbé l'énergie magique de vos sorts de soin, et cela agit tout seul maintenant...
EURYSSA – Faisons une exssspérience. Blesssez-vous au bras et voyons sssi vous posssédez un don de régénerasstion.
Il n'avait jamais eu un tel don et n'avait pas cherché à l'acquérir, quoiqu'il fallait admettre que l'idée était intéressante. Quel guerrier ne rêvait pas de pouvoir se régénérer de ses blessures à vue d'œil ? Si l'on pouvait se moquer de sortir blessé d'un combat, cela conférait une certaine puissance. Bremig n'y croyait pas, mais qu'est-ce que ça coûtait d'essayer ? D'autres auraient prétexté qu'ils n'allaient pas se blesser pour le bon plaisir d'Euryssa, mais Bremig refusait de faire son tendre. Et puis cela permettrait d'éliminer une hypthèse, aussi farfelue fût-elle.
L'Orc n'avait aucune arme sur lui, à moins de se métamorphoser en salgöhl, en turoctauche, en Arachnéen ou en pojore. Qu'importe, il prit son couteau de voyage, qui ferait parfaitement l'affaire. C'est son bras gauche qui avait été blessé par la goule, alors pour que le test soit le plus probant, il décida de s'écorcher le bras droit. Il décida un court trait avec la lame du couteau, se faisant aussitôt saigner. Il rangea son couteau en laissant le sang couler, et observa la blessure. Il ne s'attendait à rien, mais...
Au bout d'une dizaine de secondes, le sang s'arrêta de couler. Lentement, le trait commença à se raccourcir. Bremig haussa les sourcils. Il n'y croyait pas. Pourtant, ce n'était pas une hallucination : en quelques secondes, l'écorchure qu'il venait de s'ouvrir au bras droit disparut totalement. Seules restaient les gouttes de sang qui avaient eu le temps de s'en échapper en dix secondes.
BREMIG – Bah ça alors...
Il regarda Euryssa, mais la prêtresse n'avait pas agi.
BREMIG – Comment est-ce possible ?
L'Orc se mit à réfléchir aux explications possibles.
BREMIG – Peut-être que j'ai absorbé l'énergie magique de vos sorts de soin, et cela agit tout seul maintenant...
Bremig- Elite
- Race : Demi-Orc
Re: A la poursuite du temple perdu
L’orc utilisa un couteau et se coupa le bras avec. Je le voyais à son visage qu’il n’était pas vraiment convaincu, et moi non plus à vrai. Au moins, nous serrions fixer. J’examinais l’ouverture avec attention pour y noter quoi que ce soit. Au début, c’était dégoutant en voyant le sang coulait et la chaire ouverte. Soudain, au bout d’une dizaine de secondes, un véritable miracle se produisit. Le sang coulait moins et la blessure commençait à se refermer rapidement, tout seul sans laisser la moindre cicatrice. Stupéfiant. Jamais je n’aurais cru cela possible. L’orc n’avait pas ce don avant, comment l’avait-il obtenu ? Cette théorie fut donc prouvée. J’avais envis d’acclamer les dieux en voyant une telle chose. Pourtant, je connaissais des cas, très rares de personne pouvant se soigner tout seul ainsi, mais c’était de naissance, là… C’était en latente.
BREMIG – Comment est-ce possible ?
J’en étais toute bouche bé. Lui aussi apparemment. Il ne se moquait pas de moi, c’était bien tout nouveau pour lui et il n’avait aucune idée de la provenance de cette faculté.
EURYSSA – Je… Je n’en ai aucune idéessssss.
BREMIG – Peut-être que j'ai absorbé l'énergie magique de vos sorts de soin, et cela agit tout seul maintenant...
Il émit une idée intéressante. Surprenant et plaisant de voir qu’il pouvait avoir de bonnes idées finalement. Il fallait avouer que notre compréhension de notre propre monde nous échappait beaucoup. Il existait encore tant de mystères et de choses à étudier. Même nous, prêtres, ne sachions pas tout. Nous poursuivons ainsi une quête de connaissance des créations divines. Nos pouvoirs accordés pouvaient cacher de grand secret. Et si justement, le don de guérison des dieux qui nous fut donné avait pour but de soigner le monde de ses maux ainsi, tout le monde pourrait se guérir lui-même et devenir plus fort. Cette idée me plaisait bien. Hélas, Bremig serait le seul cas connu. Peut-être n’est-ce que le commencement. Ou alors il avait toujours ce pouvoir, mais qui sommeillait en lui pendant tout ce temps. Sinon, ce serait un don des dieux. Pourquoi à Bremig ? Voilà bien le mystère.
EURYSA – Sss’est posssible. Honnêtement, je n’ai pas de réponssse. Ssoit oui mon don à intégrer votre corps, ou bien, il était en sssommeil en vous. Sssinon c’est un cadeau des dieux. Ssse qu’il ssserait bien, ssss, ce serait qu’après notre missssion, vous alliez voir des sssavants comme des mages, des chercheurs, des érudits, ou même des prêtres plus gradé que moi. Ils pourront ssurement trouvé une explication à ce qu’il vous arrive. Enfin, si vous le voulez bien.
Evidemment, je n’allais pas lui forcer la main. Ce choix lui appartenait et il était hors de question de le traiter comme un cobaye de laboratoire d’alchimie.
BREMIG – Comment est-ce possible ?
J’en étais toute bouche bé. Lui aussi apparemment. Il ne se moquait pas de moi, c’était bien tout nouveau pour lui et il n’avait aucune idée de la provenance de cette faculté.
EURYSSA – Je… Je n’en ai aucune idéessssss.
BREMIG – Peut-être que j'ai absorbé l'énergie magique de vos sorts de soin, et cela agit tout seul maintenant...
Il émit une idée intéressante. Surprenant et plaisant de voir qu’il pouvait avoir de bonnes idées finalement. Il fallait avouer que notre compréhension de notre propre monde nous échappait beaucoup. Il existait encore tant de mystères et de choses à étudier. Même nous, prêtres, ne sachions pas tout. Nous poursuivons ainsi une quête de connaissance des créations divines. Nos pouvoirs accordés pouvaient cacher de grand secret. Et si justement, le don de guérison des dieux qui nous fut donné avait pour but de soigner le monde de ses maux ainsi, tout le monde pourrait se guérir lui-même et devenir plus fort. Cette idée me plaisait bien. Hélas, Bremig serait le seul cas connu. Peut-être n’est-ce que le commencement. Ou alors il avait toujours ce pouvoir, mais qui sommeillait en lui pendant tout ce temps. Sinon, ce serait un don des dieux. Pourquoi à Bremig ? Voilà bien le mystère.
EURYSA – Sss’est posssible. Honnêtement, je n’ai pas de réponssse. Ssoit oui mon don à intégrer votre corps, ou bien, il était en sssommeil en vous. Sssinon c’est un cadeau des dieux. Ssse qu’il ssserait bien, ssss, ce serait qu’après notre missssion, vous alliez voir des sssavants comme des mages, des chercheurs, des érudits, ou même des prêtres plus gradé que moi. Ils pourront ssurement trouvé une explication à ce qu’il vous arrive. Enfin, si vous le voulez bien.
Evidemment, je n’allais pas lui forcer la main. Ce choix lui appartenait et il était hors de question de le traiter comme un cobaye de laboratoire d’alchimie.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
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