Le voyage pour la capitale !
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Le voyage pour la capitale !
Le soleil se levait à peine, mais le ciel étant dégagé, il fera très certainement un temps magnifique aujourd'hui. Bien que ce soit actuellement l'hiver en Orcande, il ne fait pas si froid que ça... ou bien est-ce la tenue de mon père qui me tient chaud ?
En tout cas, tout était propice à mon départ ; tout ? Nan... car même si je devais partir pour venger la mort de mes parents, l'idée de devoir m'éloigner de Sölena et de Rayos ne me plaisait pas. Après tout , ils avaient été là pour moi il y'a 5 ans, et si je suis toujours en vie et que je parviens à le rester, ça sera bien grâce à eux...
Mes affaires étaient prêtes, mon cheval scellé, j'étais sur le départ.
" Désolé Sölena... je t'avais dit que je t'attendrais, mais je préfère partir avant de te voir, ou le départ risque d'être plus dur... mais je te promets de rester en vie ! "
Alors que je disais cela, mon cheval me donna un léger coup de museau comme pour me réconforter... je le remercia, puis lui monta dessus.
J'avais dit néanmoins à Sölena que je reviendrai ici le plus possible, même lorsque j'aurai une piste, je rentrerai chez moi pour en tenir informés Sölena ainsi que Rayos.
Bien que je ne voulais pas qu'elle me voit, je décida de longer le fleuve puis la côte pour rejoindre Telbara, car au fond de moi j'espérais que Sölena ou même Rayos arrive... Et puis le paysage le long du fleuve, avec les arbres... je trouvais qu'il y'avait quelque chose de magique dans ce paysage.
Cela faisait quelques heures que j'étais parti, le soleil était entièrement levé et visible ; je laissais mon cheval aller à son allure, je ne le dirigeais plus si ce n'est pour la direction à prendre, j'avais d'autre problème que la vitesse de mon cheval... en effet, je sentais la présence d'une autre personne dans les bois... Etant très méfiant, je m'apprêtais à dégainer mon épée si jamais il s'agissait d'une personne hostile, je dégainerais pour la première fois en situation réelle !
Je scrutais la zone boisée autour de moi puis lança :
" Qui est là ?! Je sais qu'il y'a quelqu'un, alors montrez vous ! "
En tout cas, tout était propice à mon départ ; tout ? Nan... car même si je devais partir pour venger la mort de mes parents, l'idée de devoir m'éloigner de Sölena et de Rayos ne me plaisait pas. Après tout , ils avaient été là pour moi il y'a 5 ans, et si je suis toujours en vie et que je parviens à le rester, ça sera bien grâce à eux...
Mes affaires étaient prêtes, mon cheval scellé, j'étais sur le départ.
" Désolé Sölena... je t'avais dit que je t'attendrais, mais je préfère partir avant de te voir, ou le départ risque d'être plus dur... mais je te promets de rester en vie ! "
Alors que je disais cela, mon cheval me donna un léger coup de museau comme pour me réconforter... je le remercia, puis lui monta dessus.
J'avais dit néanmoins à Sölena que je reviendrai ici le plus possible, même lorsque j'aurai une piste, je rentrerai chez moi pour en tenir informés Sölena ainsi que Rayos.
Bien que je ne voulais pas qu'elle me voit, je décida de longer le fleuve puis la côte pour rejoindre Telbara, car au fond de moi j'espérais que Sölena ou même Rayos arrive... Et puis le paysage le long du fleuve, avec les arbres... je trouvais qu'il y'avait quelque chose de magique dans ce paysage.
Cela faisait quelques heures que j'étais parti, le soleil était entièrement levé et visible ; je laissais mon cheval aller à son allure, je ne le dirigeais plus si ce n'est pour la direction à prendre, j'avais d'autre problème que la vitesse de mon cheval... en effet, je sentais la présence d'une autre personne dans les bois... Etant très méfiant, je m'apprêtais à dégainer mon épée si jamais il s'agissait d'une personne hostile, je dégainerais pour la première fois en situation réelle !
Je scrutais la zone boisée autour de moi puis lança :
" Qui est là ?! Je sais qu'il y'a quelqu'un, alors montrez vous ! "
Ïlvaar- Novice
- Race : Demi-sang
Re: Le voyage pour la capitale !
Poledra revenait vers Telbara. La jeune femme avait été envoyée là-bas, un... "Echange" entre les deux Guildes des Guerriers. Celui-ci avait été initié à son instigation : après ce qui était arrivé, durant le test d'Astorok, Lectone s'était... Éloigné d'elle et elle-même ne savait guère ce qu'il pensait. L'Humain était juste devenu distant, mais il ne s'en était pas ouvert pour autant aux autres Guerriers, concernant le secret de Poledra. Quoi qu'il en soit, cette dernière, quelque peu douchée par la soudaine froideur de sa relation avec son ami, avait demandé à quitter Tacomnal quelque temps, et de se rendre à Telbara à la place. Sa demande avait été acceptée et c'est avec le cœur lourd qu'elle avait préparé son paquetage. Une fois dans la nouvelle Guilde, la jeune femme prit le temps de trouver ses marques, avant de se lancer dans les missions diverses et variées, afin de s'occuper l'esprit. L'Argilite revenait actuellement d'une mission des plus mineures, c'est-à-dire porter une lettre de réconciliation d'une famille noble à une autre, tâche qui ne requérait en soit que peu de compétence, mais semblait être un avancement certain entre les deux familles, des rivales de longue date si elle avait bien compris.
Sur sa monture, elle chevauchait lentement dans la forêt, plongée dans ses pensées. La "jeune" femme songeait à envoyer une lettre à Lectone, afin d'avoir de ses nouvelles. Le silence forcé auquel elle s'était astreint lui pesait. Certes, les Guerriers de Telbara l'avaient accueilli comme dans une famille, mais sa relation avec Lectone était toute autre. Jusque-là, il s'était toujours trouvé présent quand elle avait besoin de se confier, quand l'angoisse l'étreignait, etc...
Le soleil était haut dans le ciel quand un cri la tira de ses réflexions. Quelqu'un l'avait interpellé, ou du moins, lancé un appel au hasard, mais elle devait être la seule autre personne dans les parages. La "jeune" femme fit avancer son cheval en direction de la voix, tout en interpellant l'inconnu de sa voix rauque :
"Ne craignez rien ! Je suis une Guerrière, membre de la Guilde de Telbara ! Vous n'avez rien à craindre de moi !"
Elle fit avancer son cheval, jusqu'à rencontrer un jeune homme, à la peau sombre, vêtu de cuir et portant des griffes à ses gants. Poledra, en arrivant devant lui, tendit les mains, paumes ouvertes, tout en inclinant la tête à son encontre. Le petit diadème, un cercle métallique qui l'identifiait comme une Guerrière, était pleinement visible sur son front.
"Mon nom est Poledra, et je me rends actuellement à Telbara après avoir achevé une mission au nom de la Guilde. Et vous ? Quel est votre nom, voyageur ? Et... Avez-vous une quelconque intention hostile ?"
Sur sa monture, elle chevauchait lentement dans la forêt, plongée dans ses pensées. La "jeune" femme songeait à envoyer une lettre à Lectone, afin d'avoir de ses nouvelles. Le silence forcé auquel elle s'était astreint lui pesait. Certes, les Guerriers de Telbara l'avaient accueilli comme dans une famille, mais sa relation avec Lectone était toute autre. Jusque-là, il s'était toujours trouvé présent quand elle avait besoin de se confier, quand l'angoisse l'étreignait, etc...
Le soleil était haut dans le ciel quand un cri la tira de ses réflexions. Quelqu'un l'avait interpellé, ou du moins, lancé un appel au hasard, mais elle devait être la seule autre personne dans les parages. La "jeune" femme fit avancer son cheval en direction de la voix, tout en interpellant l'inconnu de sa voix rauque :
"Ne craignez rien ! Je suis une Guerrière, membre de la Guilde de Telbara ! Vous n'avez rien à craindre de moi !"
Elle fit avancer son cheval, jusqu'à rencontrer un jeune homme, à la peau sombre, vêtu de cuir et portant des griffes à ses gants. Poledra, en arrivant devant lui, tendit les mains, paumes ouvertes, tout en inclinant la tête à son encontre. Le petit diadème, un cercle métallique qui l'identifiait comme une Guerrière, était pleinement visible sur son front.
"Mon nom est Poledra, et je me rends actuellement à Telbara après avoir achevé une mission au nom de la Guilde. Et vous ? Quel est votre nom, voyageur ? Et... Avez-vous une quelconque intention hostile ?"
Poledra- Elite
- Race : Argilite
Re: Le voyage pour la capitale !
Il régnait un silence pesant dans la forêt... Je redoubla de vigilance, je m'attendais à me faire attaquer à tout moment !
J'entendis une voix rauque venir de ma droite.
Poledra : "Ne craignez rien ! Je suis une Guerrière, membre de la Guilde de Telbara ! Vous n'avez rien à craindre de moi !"
Je cabra mon cheval, et me tourna dans la direction d'où provenait cette voix. Il s'agissait d'une jeune femme qui avançait sur son cheval dans ma direction. Elle mit ses mains face à moi et inclina la tête pour m'affirmer qu'elle ne me voulait aucun mal. Quelque chose attira mon attention sur son front... une sorte de couronne ! S'agirait il d'une princesse ou quelque chose du genre ?!... Non, ce n'étais pas une couronne, mais un diadème ; si je me souviens bien, il devrait s'agir du signe distinctif des Guerriers dont mes parents m'avaient déjà parlé. Cela prouvait bien qu'elle ne me mentais pas.
Poledra : "Mon nom est Poledra, et je me rends actuellement à Telbara après avoir achevé une mission au nom de la Guilde. Et vous ? Quel est votre nom, voyageur ? Et... Avez-vous une quelconque intention hostile ?"
Je fus surpris de voir qu'il s'agissait d'une humaine ! Ceci dit, mon père étant Humain, je ne fus pas si " surpris " que ça.
Elle venait de finir une mission et se rendait au même endroit que moi... Telbara ! J'observa attentivement Poledra voir si je voyais un signe quelconque pouvant attirer mon attention, mais rien ne m'interpela.
" Pardonnez moi mademoiselle, je ne voulais pas vous effrayer. C'est juste que depuis que je suis né je n'ai rencontré que deux personnes, vous êtes la troisième que je rencontre, c'est pour cela que j'étais très méfiant et que je pouvais paraître hostile ; mais Je ne vous ferez aucun mal si vous même ne désirez pas m'en faire. Vous pouvez baisser vos mains et relever la tête. Vous m'avez donné votre nom alors il est normal que je vous donne le miens, je m'appel Ïlvaar et... "
Je réfléchis à ce que j'allais bien pouvoir lui dire... après tout elle semblait avoir était honnête avec moi, alors bon... je repris
" je suis un Assassin, par héritage on pourrait dire... Mais ne craignez rien, comme je vous l'ai dit, je ne vous ferez aucun mal ! "
Lorsque je dit que j'étais devenu un Assassin par héritage je baissa la tête, ma voix trembler légèrement. Mais je releva rapidement la tête pour garder Poledra en vue.
Je n'étais absolument pas à l'aise face à cette femme, car après tout mise à part Sölena et Rayos, je n'avais jamais étais face à une personne " humanoïde " comme moi...
J'entendis une voix rauque venir de ma droite.
Poledra : "Ne craignez rien ! Je suis une Guerrière, membre de la Guilde de Telbara ! Vous n'avez rien à craindre de moi !"
Je cabra mon cheval, et me tourna dans la direction d'où provenait cette voix. Il s'agissait d'une jeune femme qui avançait sur son cheval dans ma direction. Elle mit ses mains face à moi et inclina la tête pour m'affirmer qu'elle ne me voulait aucun mal. Quelque chose attira mon attention sur son front... une sorte de couronne ! S'agirait il d'une princesse ou quelque chose du genre ?!... Non, ce n'étais pas une couronne, mais un diadème ; si je me souviens bien, il devrait s'agir du signe distinctif des Guerriers dont mes parents m'avaient déjà parlé. Cela prouvait bien qu'elle ne me mentais pas.
Poledra : "Mon nom est Poledra, et je me rends actuellement à Telbara après avoir achevé une mission au nom de la Guilde. Et vous ? Quel est votre nom, voyageur ? Et... Avez-vous une quelconque intention hostile ?"
Je fus surpris de voir qu'il s'agissait d'une humaine ! Ceci dit, mon père étant Humain, je ne fus pas si " surpris " que ça.
Elle venait de finir une mission et se rendait au même endroit que moi... Telbara ! J'observa attentivement Poledra voir si je voyais un signe quelconque pouvant attirer mon attention, mais rien ne m'interpela.
" Pardonnez moi mademoiselle, je ne voulais pas vous effrayer. C'est juste que depuis que je suis né je n'ai rencontré que deux personnes, vous êtes la troisième que je rencontre, c'est pour cela que j'étais très méfiant et que je pouvais paraître hostile ; mais Je ne vous ferez aucun mal si vous même ne désirez pas m'en faire. Vous pouvez baisser vos mains et relever la tête. Vous m'avez donné votre nom alors il est normal que je vous donne le miens, je m'appel Ïlvaar et... "
Je réfléchis à ce que j'allais bien pouvoir lui dire... après tout elle semblait avoir était honnête avec moi, alors bon... je repris
" je suis un Assassin, par héritage on pourrait dire... Mais ne craignez rien, comme je vous l'ai dit, je ne vous ferez aucun mal ! "
Lorsque je dit que j'étais devenu un Assassin par héritage je baissa la tête, ma voix trembler légèrement. Mais je releva rapidement la tête pour garder Poledra en vue.
Je n'étais absolument pas à l'aise face à cette femme, car après tout mise à part Sölena et Rayos, je n'avais jamais étais face à une personne " humanoïde " comme moi...
Ïlvaar- Novice
- Race : Demi-sang
Re: Le voyage pour la capitale !
La "jeune" femme jaugea son interlocuteur. Il semblait constamment sur le qui-vive, ce qui pouvait être étonnant... Mais pas tant que cela : on ne savait ce qui pouvait rôder dans la Forêt du Calme, après tout... Le jeune homme s'excusa, et expliqua surtout que Poledra était la troisième personne qu'il rencontrait depuis sa naissance ! Voilà qui avait de quoi surprendre, puisqu'il ne ressemblait pas tant que cela à un enfant sauvage... Quelles qu'aient été les personnes qui l'avaient éduqué, ils avaient prit le temps de lui apprendre à parler convenablement. Elle se redressa, tandis qu'il se présentait à son tour : Ïlvaar. La consonance était inconnue à la Guerrière, quoi qu'elle ait entendu parler de peuplades humaines sauvages vivant dans les Montagnes et commerçant avec les Nains, qui se faisaient appeler "Barbares". Le nom de son interlocuteur sonnait vaguement dans ce style, et elle se demanda s'il faisait partie de cette peuplade... A mieux y regarder, sa peau sombre ressemblait à celle des Drows. Ce qui était autrement plus inquiétant, étant donné que les seules connaissances qu'elle avait de ce peuple n'étaient guère positives... Elle se mit carrément sur ses gardes quand il avoua être un assassin ! Elle plissa les yeux. Il s'agissait d'un Assassin, par héritage, peut-être, mais cela ne signifiait pas qu'il ne fallait pas s'en méfier. Ou alors le jeune homme était totalement inconscient...
Elle fit tourner bride à sa monture, en direction de la capitale.
"Je ne sais pas où tu te rends, mais personnellement je me rends à Telbara. Si tu souhaites faire route avec moi..."
Intérieurement, elle souhaitait qu'Ïlvar accepte sa proposition. En effet, la "jeune" femme souhaitait garder un œil sur lui et surtout s'assurer qu'il ne fasse pas de vague. Elle prit note, par ailleurs, qu'elle devrait donner son signalement dès que possible à la garde de la ville et à d'autres membres de la Guilde des Guerriers, pour que le Drow soit placé sous surveillance pratiquement constante. Mieux valait prendre toutes les précautions, avec un Assassin en liberté revendiquant son titre avec ce genre d'aisance.
Elle fit tourner bride à sa monture, en direction de la capitale.
"Je ne sais pas où tu te rends, mais personnellement je me rends à Telbara. Si tu souhaites faire route avec moi..."
Intérieurement, elle souhaitait qu'Ïlvar accepte sa proposition. En effet, la "jeune" femme souhaitait garder un œil sur lui et surtout s'assurer qu'il ne fasse pas de vague. Elle prit note, par ailleurs, qu'elle devrait donner son signalement dès que possible à la garde de la ville et à d'autres membres de la Guilde des Guerriers, pour que le Drow soit placé sous surveillance pratiquement constante. Mieux valait prendre toutes les précautions, avec un Assassin en liberté revendiquant son titre avec ce genre d'aisance.
Poledra- Elite
- Race : Argilite
Re: Le voyage pour la capitale !
Les rayons du soleil perçait les arbres nous entourant, donnant ainsi une pluie de lumière qui s'abattait autour de nous mais aussi sur nous même ainsi que sur nos chevaux.
Poledra semblait très étonnée de savoir que je n'avais pratiquement jamais rencontré de personnes depuis ma venu au monde, mais dans un sens je la comprend, il est vrai que des personnes comme " moi " ça ne doit pas courir les rues... Peut-être que si elle s'avait ce que j'ai vécu elle changerait de regard. J''étais quelque peut dérangé par la manière dont elle me regardait, je ne suis pas une bête de foire, on pourrait presque croire que c'est elle qui n'a jamais croisé d'autre être humanoïde.
Alors qu'elle m'observait, un rayon du soleil frappa ma gorge, laissant clairement paraître ma peau sombre de Drow, à cette vue, Poledra semblait changer de regard... toujours pas de regard bienveillant en revanche... elle semblait sur ses gardes, inquiète ; je ne savais vraiment pas pourquoi, puis je finis par me rappeler une histoire de ma mère sur les Drows, c'est alors que je compris que la jeune femme qui se tenait devant moi avait déjà eu à faire avec eux, et vue comment elle me regardait, ça avait du mal se terminer...
Lorsque je lui dit être un Assassin, alors là, elle changea totalement de posture, prête à se défendre si jamais JE lui sautais dessus avec l'intention de la tuer.
Elle fit tourner son cheval puis me dit :
Poledra : "Je ne sais pas où tu te rends, mais personnellement je me rends à Telbara. Si tu souhaites faire route avec moi..."
Une fois sa demande faite, je la regarda un peut l'aire désolé et lui dit :
" Sérieusement Poledra ? Vous pensez sincèrement que je m'en prendrais à vous ? Je ne sais pas quel est votre relation avec d'autres Assassins, mais sachez que en ce qui me concerne, je poursuis un but bien précis... je ne compte pas faire couler le sang de personne innocente sous prétexte qu'elles auraient volé leur voisins, je ne cours pas après l'argent ! De plus, si vous n'avez toujours pas confiance en moi, dites vous que j'ai sentis votre présence, et pourtant je ne me suis pas dissimulé pour vous tuer, je suis resté sur mon cheval en vous demandant de vous montrer... "
Je dit cela de la manière la plus honnête possible. D'autant que ce que je lui avais dit n'étais que la stricte vérité après tout... je n'ai pas étais former à tuer des innocents, or les personnes que je traque ne sont pas innocents !
Je repris :
" Mais pour répondre à votre question je me dirige également vers Telbara. En revanche, en ce qui me concerne je compte longer ce fleuve jusqu'à l'océan, puis de là je longerais la côte jusqu'à arriver en vue de la capitale. Alors, à vous de voir... Mais si vous décidez partir de votre côté, j'aimerais que vous me donniez l'emplacement de la Guilde des Guerriers de Telbara s'il vous plait ; j'ai... quelques questions à leurs poser. "
Je commençais à ne pas être à l'aise... je semblais l'être dans ma voix, mais psychologiquement... c'étais une autre histoire. Etant donné la manière dont Poledra me regardait dès l'instant ou elle a vue que j'étais un Demi-Drow et que je lui ais dit être un Assassin, je me demandais ce qu'elle avait derrière la tête... La vigilance risque d'être de mise durant ce voyage...
Poledra semblait très étonnée de savoir que je n'avais pratiquement jamais rencontré de personnes depuis ma venu au monde, mais dans un sens je la comprend, il est vrai que des personnes comme " moi " ça ne doit pas courir les rues... Peut-être que si elle s'avait ce que j'ai vécu elle changerait de regard. J''étais quelque peut dérangé par la manière dont elle me regardait, je ne suis pas une bête de foire, on pourrait presque croire que c'est elle qui n'a jamais croisé d'autre être humanoïde.
Alors qu'elle m'observait, un rayon du soleil frappa ma gorge, laissant clairement paraître ma peau sombre de Drow, à cette vue, Poledra semblait changer de regard... toujours pas de regard bienveillant en revanche... elle semblait sur ses gardes, inquiète ; je ne savais vraiment pas pourquoi, puis je finis par me rappeler une histoire de ma mère sur les Drows, c'est alors que je compris que la jeune femme qui se tenait devant moi avait déjà eu à faire avec eux, et vue comment elle me regardait, ça avait du mal se terminer...
Lorsque je lui dit être un Assassin, alors là, elle changea totalement de posture, prête à se défendre si jamais JE lui sautais dessus avec l'intention de la tuer.
Elle fit tourner son cheval puis me dit :
Poledra : "Je ne sais pas où tu te rends, mais personnellement je me rends à Telbara. Si tu souhaites faire route avec moi..."
Une fois sa demande faite, je la regarda un peut l'aire désolé et lui dit :
" Sérieusement Poledra ? Vous pensez sincèrement que je m'en prendrais à vous ? Je ne sais pas quel est votre relation avec d'autres Assassins, mais sachez que en ce qui me concerne, je poursuis un but bien précis... je ne compte pas faire couler le sang de personne innocente sous prétexte qu'elles auraient volé leur voisins, je ne cours pas après l'argent ! De plus, si vous n'avez toujours pas confiance en moi, dites vous que j'ai sentis votre présence, et pourtant je ne me suis pas dissimulé pour vous tuer, je suis resté sur mon cheval en vous demandant de vous montrer... "
Je dit cela de la manière la plus honnête possible. D'autant que ce que je lui avais dit n'étais que la stricte vérité après tout... je n'ai pas étais former à tuer des innocents, or les personnes que je traque ne sont pas innocents !
Je repris :
" Mais pour répondre à votre question je me dirige également vers Telbara. En revanche, en ce qui me concerne je compte longer ce fleuve jusqu'à l'océan, puis de là je longerais la côte jusqu'à arriver en vue de la capitale. Alors, à vous de voir... Mais si vous décidez partir de votre côté, j'aimerais que vous me donniez l'emplacement de la Guilde des Guerriers de Telbara s'il vous plait ; j'ai... quelques questions à leurs poser. "
Je commençais à ne pas être à l'aise... je semblais l'être dans ma voix, mais psychologiquement... c'étais une autre histoire. Etant donné la manière dont Poledra me regardait dès l'instant ou elle a vue que j'étais un Demi-Drow et que je lui ais dit être un Assassin, je me demandais ce qu'elle avait derrière la tête... La vigilance risque d'être de mise durant ce voyage...
Ïlvaar- Novice
- Race : Demi-sang
Re: Le voyage pour la capitale !
Le jeune homme prit un air désolé, voire contrit, avant d'expliquer qu'en tant qu'assassin, il poursuivait un but précis. Etrangement, ce n'était pas le remplissage de son porte-monnaie, ce qui avait de quoi surprendre. Il expliqua de plus qu'il avait "ressenti" Poledra bien avant qu'elle ne se montre et que lui-même ne s'était pas caché. Ce qui ne changeait pas grand-chose à l'affaire : pour se revendiquer ouvertement être un Assassin, ou bien l'on était un naïf, ou bien fort confiant en ses propres compétences pour réduire au silence les imprudents. Il ajouta qu'il se rendait effectivement à Telbara, mais songeait s'y rendre en suivant le fleuve jusqu'à l'océan. Voilà la preuve, s'il en fallait, que le jeune Drow appartenait à la catégorie des "naïfs"... Il lui demanda même si elle pouvait le guider jusqu'à la Guilde des Guerriers de Telbara !
La "jeune" femme soupira. Pour être aussi candide, le Drow devait être bien jeune... Poledra, malgré son apparence de "jeunette", devait avoir en réalité l'âge de sa mère, sinon de sa grand-mère, c'était dire !
"Très bien, je vais te guider jusqu'à la Guilde. Toutefois, je me dois de t'avertir de quelque-chose : ne claironne pas à tout vent que tu es un Assassin. D'autres Guerriers que moi t'auraient d'ors et déjà cloué à un arbre d'un trait d'arbalète, alors ne parlons pas des soldats telbarans. Et ce, quelles que soient tes motivations, l'or, le sang ou la vengeance. Aller, suis-moi."
Elle donna un léger coup de talon à son cheval, avant de sortir une petite boussole de sa tunique. Elle s'assura que son cheval allait dans la bonne direction, avant de ranger l'instrument. Elle comptait se rendre dans une petite auberge de route, parmi celles qui se trouvaient dans et hors de la forêt, afin d'y passer la nuit. Mais le chemin risquait d'être fort long, avant le coucher du soleil... Elle soupira à voix basse, avant d'engager la conversation avec son compagnon de route :
"Et donc, il s'agit de la première fois que tu te rends à Telbara ?"
La "jeune" femme soupira. Pour être aussi candide, le Drow devait être bien jeune... Poledra, malgré son apparence de "jeunette", devait avoir en réalité l'âge de sa mère, sinon de sa grand-mère, c'était dire !
"Très bien, je vais te guider jusqu'à la Guilde. Toutefois, je me dois de t'avertir de quelque-chose : ne claironne pas à tout vent que tu es un Assassin. D'autres Guerriers que moi t'auraient d'ors et déjà cloué à un arbre d'un trait d'arbalète, alors ne parlons pas des soldats telbarans. Et ce, quelles que soient tes motivations, l'or, le sang ou la vengeance. Aller, suis-moi."
Elle donna un léger coup de talon à son cheval, avant de sortir une petite boussole de sa tunique. Elle s'assura que son cheval allait dans la bonne direction, avant de ranger l'instrument. Elle comptait se rendre dans une petite auberge de route, parmi celles qui se trouvaient dans et hors de la forêt, afin d'y passer la nuit. Mais le chemin risquait d'être fort long, avant le coucher du soleil... Elle soupira à voix basse, avant d'engager la conversation avec son compagnon de route :
"Et donc, il s'agit de la première fois que tu te rends à Telbara ?"
Poledra- Elite
- Race : Argilite
Re: Le voyage pour la capitale !
Quand je dis à Poledra que je ne courais pas après l'argent, elle semblait très étonnée, cela dit étant donné qu'elle vient juste de me rencontrer, ça peut se comprendre... de plus mes parents m'ont déjà dit que les Assassins étaient plutôt avare.
Elle continuait à me juger de son regard inquisiteur !
Quand elle apprit ma destination ainsi que le chemin que j'empruntais, elle ferma les yeux et soupiras légèrement... mais son soupire ressemblait plus à celui d'une personne en présence d'un " boulé " que de soulagement... Elle ferait bien de ne pas me sous-estimer !
Poledra : "Très bien, je vais te guider jusqu'à la Guilde. Toutefois, je me dois de t'avertir de quelque-chose : ne claironne pas à tout vent que tu es un Assassin. D'autres Guerriers que moi t'auraient d'ors et déjà cloué à un arbre d'un trait d'arbalète, alors ne parlons pas des soldats telbarans. Et ce, quelles que soient tes motivations, l'or, le sang ou la vengeance. Aller, suis-moi."
Je souris du coin de la bouche et regarda la jeune femme d'un regard perçant. Je me retenais d'exploser de rire...
" Vous me dites de ne pas claironner que je suis un Assassin ? mais jusqu'à maintenant vous êtes la seul ici à le savoir, je ne suis pas naïf, si je m'étais réellement sentis en danger, j'aurais agi différemment ! Je sais très bien que les Assassins sont plutôt mal vue, je ne vais pas le crier en ville, ni même à la Guilde des Guerriers... En ce qui concerne les autres Guerriers qui m'aurait " cloué à un arbre avec un trait d'arbalète ", sachez mademoiselle, que je connais les environs comme ma poche ! Donc soit j'aurais échapper aux Guerriers, soit je me serais camouflé et je les auraient tué un par un sans problème... mais comme je vous l'ai dit, je ne compte pas faire couler le sang d'innocent. Et puis vous me semblez plutôt amicale. "
Je regarda Poledra sortir un petit objet rond, une boussole surement... Elle tourna son cheval dans la direction que j'empruntais.
Poledra : "Et donc, il s'agit de la première fois que tu te rends à Telbara ?"
Alors que j'allais lui répondre, je baissa la tête et une larme coula sur ma joue... Je la sécha le plus rapidement possible, car je ne voulais pas qu'elle le remarque...
" Eh bien... oui c'est la première fois que je me rend là-bas... j'ai vécu avec mes parents ici même, jusqu'à mes 17 ans.... Et depuis 5 ans, deux amis s'occupent de moi.... désolé je ne devrais pas vous parler de ma vie privé comme ça... après tout " je claironne " que je suis un Assassin. "
Je marqua un temps de pose, soupira et regarda mes armes, ainsi que mon équipement. Puis je redressa la tête pour demander à Poledra :
" Mais et vous, êtes vous déjà allé à Telbara ? "
Elle continuait à me juger de son regard inquisiteur !
Quand elle apprit ma destination ainsi que le chemin que j'empruntais, elle ferma les yeux et soupiras légèrement... mais son soupire ressemblait plus à celui d'une personne en présence d'un " boulé " que de soulagement... Elle ferait bien de ne pas me sous-estimer !
Poledra : "Très bien, je vais te guider jusqu'à la Guilde. Toutefois, je me dois de t'avertir de quelque-chose : ne claironne pas à tout vent que tu es un Assassin. D'autres Guerriers que moi t'auraient d'ors et déjà cloué à un arbre d'un trait d'arbalète, alors ne parlons pas des soldats telbarans. Et ce, quelles que soient tes motivations, l'or, le sang ou la vengeance. Aller, suis-moi."
Je souris du coin de la bouche et regarda la jeune femme d'un regard perçant. Je me retenais d'exploser de rire...
" Vous me dites de ne pas claironner que je suis un Assassin ? mais jusqu'à maintenant vous êtes la seul ici à le savoir, je ne suis pas naïf, si je m'étais réellement sentis en danger, j'aurais agi différemment ! Je sais très bien que les Assassins sont plutôt mal vue, je ne vais pas le crier en ville, ni même à la Guilde des Guerriers... En ce qui concerne les autres Guerriers qui m'aurait " cloué à un arbre avec un trait d'arbalète ", sachez mademoiselle, que je connais les environs comme ma poche ! Donc soit j'aurais échapper aux Guerriers, soit je me serais camouflé et je les auraient tué un par un sans problème... mais comme je vous l'ai dit, je ne compte pas faire couler le sang d'innocent. Et puis vous me semblez plutôt amicale. "
Je regarda Poledra sortir un petit objet rond, une boussole surement... Elle tourna son cheval dans la direction que j'empruntais.
Poledra : "Et donc, il s'agit de la première fois que tu te rends à Telbara ?"
Alors que j'allais lui répondre, je baissa la tête et une larme coula sur ma joue... Je la sécha le plus rapidement possible, car je ne voulais pas qu'elle le remarque...
" Eh bien... oui c'est la première fois que je me rend là-bas... j'ai vécu avec mes parents ici même, jusqu'à mes 17 ans.... Et depuis 5 ans, deux amis s'occupent de moi.... désolé je ne devrais pas vous parler de ma vie privé comme ça... après tout " je claironne " que je suis un Assassin. "
Je marqua un temps de pose, soupira et regarda mes armes, ainsi que mon équipement. Puis je redressa la tête pour demander à Poledra :
" Mais et vous, êtes vous déjà allé à Telbara ? "
Ïlvaar- Novice
- Race : Demi-sang
Re: Le voyage pour la capitale !
Le jeune homme déclara qu'il savait que les Assassins étaient mal vus, et qu'il n'allait pas le claironner sur tous les toits, encore moins devant des Guerriers... Et si l'un des Guerriers avait cherché à l'abattre, lui-même aurait pu se défendre ou se cacher sans guère de problèmes. Intérieurement, la "jeune" femme sourit : il était naïf, en effet. D'une part, il ne reconnaissait pas le symbole de la Guilde, alors que Poledra le portait pratiquement littéralement sur son front, et il ignorait qu'il existait des races capables de le repérer malgré cela. Les Nagas, entre autre. En un rien de temps, il se serait retrouvé enserré dans les anneaux de l'un d'entre eux. De plus, ce n'était pas parce qu'il n'était entraîné à tuer des innocents qu'il en était incapable... Enfin, il déclara que son interlocutrice lui était amicale, c'était toujours cela.
Tandis qu'ils chevauchaient de concert, il lui avoua qu'il s'agissait de la première fois qu'il quittait la Forêt en près de 22 années d'existence. Pour un ermite, c'en était un ! Il se nommait, par ailleurs, Ïlvaar et demanda à sa compagne de route si elle s'était déjà rendue à Telbara.
"En effet, et j'y vis en ce moment-même. J'étais allée rendre visite à des parents, de l'autre côté de la forêt. Tu verras, Telbara est une assez grande cité en elle-même. Nous devrions y parvenir demain... Si nous ne faisons pas de mauvaises rencontres, s'entend. Espérons au moins que nous pourrons nous reposer dans une auberge de voyage ce soir : le sol est peut-être confortable, mais tant qu'à faire, je préférerais dormir sur un lit sans qu'une racine ne se mettent insidieusement dans mon dos..."
Ce qui était fort incommode, occasionnant bien des courbatures. Ce qui était d'autant plus gênant quand on chevauchait toute la journée, en fin de compte. Le temps passa lentement et Poledra était sur le point de croire qu'ils ne sortiraient jamais de la forêt quand ils en franchirent la lisière. Le temps de rejoindre une des principales routes du Royaume, le soleil se couchait à l'ouest. La "jeune" femme soupira : ils étaient bien trop loin d'une auberge de voyage, et il leur faudrait donc camper pour la nuit, ce qu'elle expliqua à Ïlvaar.
Tandis qu'ils chevauchaient de concert, il lui avoua qu'il s'agissait de la première fois qu'il quittait la Forêt en près de 22 années d'existence. Pour un ermite, c'en était un ! Il se nommait, par ailleurs, Ïlvaar et demanda à sa compagne de route si elle s'était déjà rendue à Telbara.
"En effet, et j'y vis en ce moment-même. J'étais allée rendre visite à des parents, de l'autre côté de la forêt. Tu verras, Telbara est une assez grande cité en elle-même. Nous devrions y parvenir demain... Si nous ne faisons pas de mauvaises rencontres, s'entend. Espérons au moins que nous pourrons nous reposer dans une auberge de voyage ce soir : le sol est peut-être confortable, mais tant qu'à faire, je préférerais dormir sur un lit sans qu'une racine ne se mettent insidieusement dans mon dos..."
Ce qui était fort incommode, occasionnant bien des courbatures. Ce qui était d'autant plus gênant quand on chevauchait toute la journée, en fin de compte. Le temps passa lentement et Poledra était sur le point de croire qu'ils ne sortiraient jamais de la forêt quand ils en franchirent la lisière. Le temps de rejoindre une des principales routes du Royaume, le soleil se couchait à l'ouest. La "jeune" femme soupira : ils étaient bien trop loin d'une auberge de voyage, et il leur faudrait donc camper pour la nuit, ce qu'elle expliqua à Ïlvaar.
Poledra- Elite
- Race : Argilite
Re: Le voyage pour la capitale !
Poledra et moi chevauchions le long du fleuve, le temps était vraiment magnifique aujourd'hui, mais le soleil commençait à décliner... Nous n'atteindrons probablement pas Telbara avant la nuit.
De temps à autre je regardais en direction du fleuve voir si je voyais Sölena ou Rayos... je savais que, passer du temps loin d'eux serait très dur pour moi, mais je n'avais pas le choix... je dois venger mes parents !
Je semblais être ailleurs, je chevauchais toujours mais j'avais le regard vide d'émotion, perdu dans mes pensées. Je repris "conscience" lorsque Poledra me répondit :
Poledra : "En effet, et j'y vis en ce moment-même. J'étais allée rendre visite à des parents, de l'autre côté de la forêt. Tu verras, Telbara est une assez grande cité en elle-même. Nous devrions y parvenir demain... Si nous ne faisons pas de mauvaises rencontres, s'entend. Espérons au moins que nous pourrons nous reposer dans une auberge de voyage ce soir : le sol est peut-être confortable, mais tant qu'à faire, je préférerais dormir sur un lit sans qu'une racine ne se mettent insidieusement dans mon dos..."
Elle rendais donc visite à des parents de l'autre côté de la forêt.
On arriverait seulement demain à Telbara... je ne pensais pas que la route serait aussi longue mais bon. Comme Poledra l'avait dit, il nous faudrait trouver un endroit où dormir, seulement, il nous fallait trouver une auberge... mais en ce qui me concerne je préfèrerais autant dormir en extérieur, dans un arbres, plutôt que de devoir côtoyer des inconnus. Mais puisque à Telbara j'en côtoierais beaucoup, ça sera un entrainement ; et puis... Poledra ne me fait pas confiance, je le vois à son regard, elle ne me laissera certainement pas sans surveillance... Et voilà on veux être honnête avec les gens et ils se méfient de vous... je m'en souviendrais cela dit !
Je me mis à chuchoter sans faire attention :
" Je vois... j'espère pour vous qu'ils ne leur veulent pas de mal... "
Je repris aussitôt comme si je n'avais rien dit... je ne savais même pas si Poledra avait entendu ou pas.
" Des parents ? Vous êtes originaire de Telbara ? En ce qui concerne la ville j'ai entendu certaines choses dessus en effet, il s'agit de la ville la plus libre, ethniquement parlant, si je ne m'abuse. Nous arriverons demain die-vous ? Eh bien ainsi soit il, nous devrons trouver un endroit pour dormir, les bois sont plutôt dangereux la nuit : entre l'obscurité de la nuit et les bêtes hostiles... "
De temps à autre je regardais en direction du fleuve voir si je voyais Sölena ou Rayos... je savais que, passer du temps loin d'eux serait très dur pour moi, mais je n'avais pas le choix... je dois venger mes parents !
Je semblais être ailleurs, je chevauchais toujours mais j'avais le regard vide d'émotion, perdu dans mes pensées. Je repris "conscience" lorsque Poledra me répondit :
Poledra : "En effet, et j'y vis en ce moment-même. J'étais allée rendre visite à des parents, de l'autre côté de la forêt. Tu verras, Telbara est une assez grande cité en elle-même. Nous devrions y parvenir demain... Si nous ne faisons pas de mauvaises rencontres, s'entend. Espérons au moins que nous pourrons nous reposer dans une auberge de voyage ce soir : le sol est peut-être confortable, mais tant qu'à faire, je préférerais dormir sur un lit sans qu'une racine ne se mettent insidieusement dans mon dos..."
Elle rendais donc visite à des parents de l'autre côté de la forêt.
On arriverait seulement demain à Telbara... je ne pensais pas que la route serait aussi longue mais bon. Comme Poledra l'avait dit, il nous faudrait trouver un endroit où dormir, seulement, il nous fallait trouver une auberge... mais en ce qui me concerne je préfèrerais autant dormir en extérieur, dans un arbres, plutôt que de devoir côtoyer des inconnus. Mais puisque à Telbara j'en côtoierais beaucoup, ça sera un entrainement ; et puis... Poledra ne me fait pas confiance, je le vois à son regard, elle ne me laissera certainement pas sans surveillance... Et voilà on veux être honnête avec les gens et ils se méfient de vous... je m'en souviendrais cela dit !
Je me mis à chuchoter sans faire attention :
" Je vois... j'espère pour vous qu'ils ne leur veulent pas de mal... "
Je repris aussitôt comme si je n'avais rien dit... je ne savais même pas si Poledra avait entendu ou pas.
" Des parents ? Vous êtes originaire de Telbara ? En ce qui concerne la ville j'ai entendu certaines choses dessus en effet, il s'agit de la ville la plus libre, ethniquement parlant, si je ne m'abuse. Nous arriverons demain die-vous ? Eh bien ainsi soit il, nous devrons trouver un endroit pour dormir, les bois sont plutôt dangereux la nuit : entre l'obscurité de la nuit et les bêtes hostiles... "
Ïlvaar- Novice
- Race : Demi-sang
Re: Le voyage pour la capitale !
Ïlvaar demanda à la "jeune" femme si elle était originaire de Telbara, avant d'enchaîner sur ses connaissances concernant la Cité. Même s'il avait confondu le Royaume et la Cité, puisque la liberté ethnique, comme il le disait, s'étendait dans tout le Royaume à plus ou moins haut degré. Enfin, il acquiesça à la proposition de Poledra, en ajoutant qu'il était préférable de se trouver un abri boisé pour se reposer, afin d'éviter l'hostilité durant la nuit. La Guerrière jeta un coup d'oeil alentour. Les seuls terrains boisés s'offrant à sa vue se trouvaient derrière eux : la Forêt du Calme, qui était à plus d'une heure de cheval à présent. Inutile de tourner bride dans ces conditions, ce qu'elle expliqua à son compagnon de route, avant de lui expliquer la démarche qu'ils allaient suivre :
"Nous allons avancer encore un peu, avant de quitter la route sur une centaine de mètres. Là, nous établirons un campement rudimentaire, certes, mais qui sera suffisant pour la nuit. Demain matin, nous reprendrons la route."
Poledra le guida jusqu'à une petite butte, avant de choisir le versant le plus abrité du vent. Là, elle réunit assez de combustibles pour faire un petit foyer un minimum décent, avant de l'embraser à l'aide de ses dons en matière de magie, les faisant passer aux yeux de son compagnon de route pour le résultat du briquet qu'elle battait inutilement jusque là. Elle sortit ensuite de quoi se restaurer de sa besace, avant de mâchonner. Puis, elle répondit aux questions qu'il lui avait posé un peu avant :
"Je ne suis pas d'origine telbarane. Mon accent est celui d'Estandre, mais j'ai quitté ma terre natale à cause d'une peine de cœur, pour rejoindre mon oncle, qui vit non-loin de la frontière entre Estandre et Telbara, du côté de Telbara, s'entend. Depuis, j'ai déménagé à la capitale. Je travaille comme Archiviste à la Guilde des Guerriers pour gagner ma vie."
Pieux mensonges s'il en était. Les Archives de la Guilde n'avaient guère besoin d'elle, mais elle passait le plus clair de son temps libre dans ces lieux, afin de travailler sur les études laissées à la disposition des Guerriers. Sa soif de connaissance, héritée de sa mère et de ses "oncles" et "tantes", ne s'étanchait pas aisément, loin de là. Quant à la peine de coeur, elle comptait bien y remédier au plus vite, et ce dès son retour entre les murs de la Guilde.
La "jeune" femme avala son quignon de pain, avant de s'allonger sur le dos, pour contempler la voûte céleste malgré les quelques nuages qui parsemaient le ciel.
"Nous allons avancer encore un peu, avant de quitter la route sur une centaine de mètres. Là, nous établirons un campement rudimentaire, certes, mais qui sera suffisant pour la nuit. Demain matin, nous reprendrons la route."
Poledra le guida jusqu'à une petite butte, avant de choisir le versant le plus abrité du vent. Là, elle réunit assez de combustibles pour faire un petit foyer un minimum décent, avant de l'embraser à l'aide de ses dons en matière de magie, les faisant passer aux yeux de son compagnon de route pour le résultat du briquet qu'elle battait inutilement jusque là. Elle sortit ensuite de quoi se restaurer de sa besace, avant de mâchonner. Puis, elle répondit aux questions qu'il lui avait posé un peu avant :
"Je ne suis pas d'origine telbarane. Mon accent est celui d'Estandre, mais j'ai quitté ma terre natale à cause d'une peine de cœur, pour rejoindre mon oncle, qui vit non-loin de la frontière entre Estandre et Telbara, du côté de Telbara, s'entend. Depuis, j'ai déménagé à la capitale. Je travaille comme Archiviste à la Guilde des Guerriers pour gagner ma vie."
Pieux mensonges s'il en était. Les Archives de la Guilde n'avaient guère besoin d'elle, mais elle passait le plus clair de son temps libre dans ces lieux, afin de travailler sur les études laissées à la disposition des Guerriers. Sa soif de connaissance, héritée de sa mère et de ses "oncles" et "tantes", ne s'étanchait pas aisément, loin de là. Quant à la peine de coeur, elle comptait bien y remédier au plus vite, et ce dès son retour entre les murs de la Guilde.
La "jeune" femme avala son quignon de pain, avant de s'allonger sur le dos, pour contempler la voûte céleste malgré les quelques nuages qui parsemaient le ciel.
Poledra- Elite
- Race : Argilite
Re: Le voyage pour la capitale !
La luminosité du soleil faiblissait de minutes en minutes... Et étant donné l'endroit ou Poledra et moi nous trouvions, on devrait dormir dehors. Nous serions exposé au danger... Elle m'expliqua qu'il était inutile de retourner dans la Forêt du Calme, car le temps que l'on s'y rende, la nuit serait tombé depuis un moment. En regardant en direction de la Forêt, je sentis un pincement au cœur en pensant que je venais de quitter ma maison, ainsi que Sölena et Rayos. Je me retourna quand Poledra me dit :
Poledra : "Nous allons avancer encore un peu, avant de quitter la route sur une centaine de mètres. Là, nous établirons un campement rudimentaire, certes, mais qui sera suffisant pour la nuit. Demain matin, nous reprendrons la route."
J'acquiesça d'un mouvement de tête. De toute façons, nous n'avons pas vraiment le choix... soit on campait pour la nuit, soit on continuait d'avancer. Poledra nous guida en direction d'une petite bute à l'écart de la route. Alors que la nuit enveloppait le monde nous entourant de son manteau noir, je vis une lueur rougeâtre qui me sortit de mes pensées... c'était Poledra qui venait de faire un feu de camp. Elle et moi nous installions autour du feu pour manger. En ce qui me concerne, j'avais sortis un petit sandwich que j'avais préparé le matin même... Je me mis à réfléchir comment je ferais pour manger une fois à Telbara ?! Je ne disposais pas d'une très grande fortune après tout, bien que je ne sache pas réellement la valeur de l'argent je sais faire la différence entre être riche et pauvre... je ne disposais que d'une bourse comptant 2 pièces d'argent et 100 pièces de bronze... Alors que que nous mangions chaqu'un notre "repas", Poledra répondit à mes questions :
Poledra : "Je ne suis pas d'origine telbarane. Mon accent est celui d'Estandre, mais j'ai quitté ma terre natale à cause d'une peine de cœur, pour rejoindre mon oncle, qui vit non-loin de la frontière entre Estandre et Telbara, du côté de Telbara, s'entend. Depuis, j'ai déménagé à la capitale. Je travaille comme Archiviste à la Guilde des Guerriers pour gagner ma vie."
Elle travaillait comme Archiviste à la Guilde ?! Etrange, je pensais que les Archivistes ne partaient pas sur le terrain, mais bon... après tout je n'étais pas très bien placé pour faire part de ma remarque... Je ne faisais comme si de rien étais.
" Vous êtes originaire d'Estandre ? Alors Telbara doit vous changer. Je comprend pourquoi vous êtes partit de votre terre natale si vous avez eu une peine de cœur... j'espère pour vous que les choses finiront pas s'arranger. Eh oui, comme tout le monde il faut gagner sa vie, et si on travail de bon cœur c'est encore mieux."
Mon interlocutrice s'allongea, elle avait raison après tout, nous avons chevauché une bonne partit de la journée, il fallait que l'on se repose après tout. Contrairement à elle, je me leva et lui dit que j'allais faire un tour, car j'avais besoins de "prendre l'aire" ; de toute façon, je vois presque aussi bien de nuit que de jours. J'avais besoins de réfléchir à ce que j'allais faire exactement une fois arrivé à Telbara. Au bout de ce qu'y me sembla une bonne heure, je revins à notre campement, je regarda discrètement si Poledra dormait, mais je ne parvins pas clairement à lesavoir. Je m'assis sur la petite bute et me mis à fredonner une chansonnette que Sölena m'a enseigné...
[langage des Sirènes] : Ne pleurs plus jeune Guerrier. La vie est trop courte pour pleurer. La vie est un labyrinthe : une multitude de chemins, mais un seul qui mène à la fin...
Je m'arrêta et me mis à sangloter, je repensais à ce jours ou ma vie bascula... Au bout de quelques minutes, je fini par me calmer, je m'allongea et me mis à observer le ciel étoilé ; j'inspira profondément l'aire frais hivernal, j'essuya mes larmes, et m'endormis.
Poledra : "Nous allons avancer encore un peu, avant de quitter la route sur une centaine de mètres. Là, nous établirons un campement rudimentaire, certes, mais qui sera suffisant pour la nuit. Demain matin, nous reprendrons la route."
J'acquiesça d'un mouvement de tête. De toute façons, nous n'avons pas vraiment le choix... soit on campait pour la nuit, soit on continuait d'avancer. Poledra nous guida en direction d'une petite bute à l'écart de la route. Alors que la nuit enveloppait le monde nous entourant de son manteau noir, je vis une lueur rougeâtre qui me sortit de mes pensées... c'était Poledra qui venait de faire un feu de camp. Elle et moi nous installions autour du feu pour manger. En ce qui me concerne, j'avais sortis un petit sandwich que j'avais préparé le matin même... Je me mis à réfléchir comment je ferais pour manger une fois à Telbara ?! Je ne disposais pas d'une très grande fortune après tout, bien que je ne sache pas réellement la valeur de l'argent je sais faire la différence entre être riche et pauvre... je ne disposais que d'une bourse comptant 2 pièces d'argent et 100 pièces de bronze... Alors que que nous mangions chaqu'un notre "repas", Poledra répondit à mes questions :
Poledra : "Je ne suis pas d'origine telbarane. Mon accent est celui d'Estandre, mais j'ai quitté ma terre natale à cause d'une peine de cœur, pour rejoindre mon oncle, qui vit non-loin de la frontière entre Estandre et Telbara, du côté de Telbara, s'entend. Depuis, j'ai déménagé à la capitale. Je travaille comme Archiviste à la Guilde des Guerriers pour gagner ma vie."
Elle travaillait comme Archiviste à la Guilde ?! Etrange, je pensais que les Archivistes ne partaient pas sur le terrain, mais bon... après tout je n'étais pas très bien placé pour faire part de ma remarque... Je ne faisais comme si de rien étais.
" Vous êtes originaire d'Estandre ? Alors Telbara doit vous changer. Je comprend pourquoi vous êtes partit de votre terre natale si vous avez eu une peine de cœur... j'espère pour vous que les choses finiront pas s'arranger. Eh oui, comme tout le monde il faut gagner sa vie, et si on travail de bon cœur c'est encore mieux."
Mon interlocutrice s'allongea, elle avait raison après tout, nous avons chevauché une bonne partit de la journée, il fallait que l'on se repose après tout. Contrairement à elle, je me leva et lui dit que j'allais faire un tour, car j'avais besoins de "prendre l'aire" ; de toute façon, je vois presque aussi bien de nuit que de jours. J'avais besoins de réfléchir à ce que j'allais faire exactement une fois arrivé à Telbara. Au bout de ce qu'y me sembla une bonne heure, je revins à notre campement, je regarda discrètement si Poledra dormait, mais je ne parvins pas clairement à lesavoir. Je m'assis sur la petite bute et me mis à fredonner une chansonnette que Sölena m'a enseigné...
[langage des Sirènes] : Ne pleurs plus jeune Guerrier. La vie est trop courte pour pleurer. La vie est un labyrinthe : une multitude de chemins, mais un seul qui mène à la fin...
Je m'arrêta et me mis à sangloter, je repensais à ce jours ou ma vie bascula... Au bout de quelques minutes, je fini par me calmer, je m'allongea et me mis à observer le ciel étoilé ; j'inspira profondément l'aire frais hivernal, j'essuya mes larmes, et m'endormis.
Ïlvaar- Novice
- Race : Demi-sang
Re: Le voyage pour la capitale !
Elle continuait de regarder le ciel quand elle s'aperçu qu'Ïlvaar s'était éloigné discrètement. Etant donné que ses effets, ainsi que les chevaux étaient encore présents, il était probable qu'il se soit éloigné afin de se balader. La "jeune" femme attisa rapidement le brasier, afin d'avoir autant de lumière et de chaleur possible. Puis, elle se rallongea, se plongeant de nouveau dans ses pensées. Elle espérait que son... "Différent" avec Lectone se dissiperait rapidement. Mais elle se devait d'en convenir : ce qu'il s'était passé, lors de l'examen d'Astorok, était difficile à expliquer à un Humain non-initié aux arts des arcanes... Et de bien d'autres choses. Elle entendit le jeune Drow revenir, avant de chantonner une bluette dans une langue inconnue de la jeune femme, avant de... De sangloter ? Etrange... Il ne semblait guère attristé pourtant, durant leur voyage... A moins que ce ne soit dû à la tristesse de quitter sa forêt natale, sans doute pour toujours, qui sait ? Il finit par se calmer et s'endormit. Poledra fit de même.
Elle s'éveilla et se leva tandis que le ciel était dans cet instant figé entre les ténèbres de la nuit et la clarté de l'aube. La Guerrière fit quelques étirements et exercices d'échauffement, avant de prendre une pomme pour rompre le jeûne de la nuit. Elle passa ses doigts dans ses cheveux argentés, tentant de jauger s'il était nécessaire de les faire couper, une fois de retour à la Guilde. Son examen achevé, elle se tourna vers Ïlvaar :
"Si nous chevauchons dans moins d'une heure, nous devrions parvenir à Telbara en fin d'après-midi. Qu'en penses-tu ?"
Elle s'éveilla et se leva tandis que le ciel était dans cet instant figé entre les ténèbres de la nuit et la clarté de l'aube. La Guerrière fit quelques étirements et exercices d'échauffement, avant de prendre une pomme pour rompre le jeûne de la nuit. Elle passa ses doigts dans ses cheveux argentés, tentant de jauger s'il était nécessaire de les faire couper, une fois de retour à la Guilde. Son examen achevé, elle se tourna vers Ïlvaar :
"Si nous chevauchons dans moins d'une heure, nous devrions parvenir à Telbara en fin d'après-midi. Qu'en penses-tu ?"
Poledra- Elite
- Race : Argilite
Re: Le voyage pour la capitale !
Je fus réveillé par les premier rayons du soleil. Je me leva en m'étirant et lorsque je me retourna je remarqua que Poledra était entrain de faire des exercices, surement pour rester en forme. Je l'observa attentivement, étant à la fois intrigué et fasciné, en sachant que je n'ais pas l'habitude d'être en présence "d'inconnu". Après un petit moment à l'observer, je finis par faire de même, pour éviter de me ramollir... je sortis mon épée et fis quelques exercices avec, quelques mouvements que Rayos m'avait enseigné : des mouvements relativement fluide (aussi bien le maniement de l'épée que le jeu de jambes), tout en étant efficace. Je regarda mon épée, le seul défaut que je pourrais lui trouver est qu'elle ne possédait pas de garde, ce qui pourrait être dangereux, mais étant donné que j'ai bien étais formé au maniement de cette arme, le risque était moindre. Je me demanda si je devais m'entrainer avec mes griffes, mais pour bien faire j'avais besoin d'un arbre, or la forêt étant à plus d'une heure de notre campement, je me résigna pour le moment.
Une fois son échauffement terminé, Poledra se mis à manger quelque chose... je repensa au fait que je n'avais que peut de vivre et je ne connaissais pas les prix de la capital, je m'abstins donc de manger ce matin. Mais je savais que une fois arrivé à Telbara, je devrais manger quelque chose.
Poledra : "Si nous chevauchons dans moins d'une heure, nous devrions parvenir à Telbara en fin d'après-midi. Qu'en penses-tu ?"
Je regarda autour de nous, il ne semblait pas y avoir beaucoup de trafic pour le moment ici, je me retourna donc vers mon interlocutrice.
" Très bien. Vous connaissez mieux la régions que moi, donc lorsque vous serez prêtes à partir, je le serais également. "
Une fois son échauffement terminé, Poledra se mis à manger quelque chose... je repensa au fait que je n'avais que peut de vivre et je ne connaissais pas les prix de la capital, je m'abstins donc de manger ce matin. Mais je savais que une fois arrivé à Telbara, je devrais manger quelque chose.
Poledra : "Si nous chevauchons dans moins d'une heure, nous devrions parvenir à Telbara en fin d'après-midi. Qu'en penses-tu ?"
Je regarda autour de nous, il ne semblait pas y avoir beaucoup de trafic pour le moment ici, je me retourna donc vers mon interlocutrice.
" Très bien. Vous connaissez mieux la régions que moi, donc lorsque vous serez prêtes à partir, je le serais également. "
Ïlvaar- Novice
- Race : Demi-sang
Re: Le voyage pour la capitale !
Ilväar rétorqua qu’il était prêt à partir à tout instant, ce que Poledra prit comme le signal du départ. Elle acheva de ranger son paquetage et se mit en selle, avant de reprendre la route. Le duo avançait doucement, le temps que les montures reprennent un rythme normal. Le vent était des plus calmes, et le paysage, quelque peu monotone, endormit la vigilance de la "jeune" femme. En milieu de matinée, ils croisèrent d'autres voyageurs. L'un d'entre eux était un homme des plus excentrique, vêtu de couleurs voyantes, et qui portait une rangée de coutelas de lancer ciselés en bandoulière. Il était accompagné de trois autres personnes, un Tigrain typé chat et deux Humains. L'hybride d'homme et de félin avait un luth en travers de ses genoux, mais ne semblait absolument pas armé. Les deux autres Humains avaient des têtes de soudards échappés de prison et étaient bien armés. Poledra sursauta, en entendant l'excentrique l'interpeller :
"Halte, vous, là ! Arrêtez-vous !"
"Mmmh ? Qu'y a-t-il ? Que nous voulez-vous ?"
"Ceci est une attaque ! Vos bourses, ou vos vies !"
Elle s'étira et fit jouer ses articulations. L'imbécile qui lui faisait face n'avait manifestement pas vu qu'il s'adressait à un membre de la Guilde des Guerriers ! Autant pour Ïlvaar, c'était concevable, mais cela faisait déjà le second en deux jours qui ne comprenait pas la signification du symbole gravé sur le bandeau ceint sur son front. Elle fit avancer sa monture jusqu'à n'être qu'à deux mètres de son interlocuteur.
"Et... A qui devons-nous le déplaisir de cette rencontre ?"
"Quoi ? Vous ne savez pas qui je suis ? Je suis Ignace de Silve, malandrin, maraudeur et ravageur de ces dames !"
L'Humain prit une pose qu'il supposait être fière et conquérante sur son cheval, tandis que le Tigrain, derrière-lui, jouait un accord rapide sur son luth. La femme aux cheveux d'argent se tourna vers le Drow, une expression d'incompréhension sur le visage. Puis, elle se retourna vers Ignace et fit avancer son cheval jusqu'à arriver à sa hauteur. Elle lui donna un coup de poing dans le visage, le faisant tomber au sol.
"Inconnu au bataillon. Toi et tes soudards feriez mieux de vous rendre aux hommes du bailli, avant que le ridicule ne vous étouffe. On continue, Ïlvaar."
Elle dépassa les bandits qui oscillaient entre l'incrédulité et l'envie de lui sauter dessus afin de lui faire payer son acte de bravoure.
Alors qu'elle allait piquer des deux, une douleur aigüe lui traversa l'épaule gauche, et elle laissa échapper un cri de douleur. L'excentrique bandit lui avait lancé un de ses couteau de jet, qui avait atteint son but.
"Cela t'apprendra, espèce de garce ! Crois-moi, quand on en aura fini avec toi, tu ne regretteras qu'une chose, c'est d'être née femelle et- "
Sa tirade fut interrompue par un globe d'eau compact qu'il reçut en plein visage, le faisant retomber au sol. Poledra avait mit pied à terre et retiré le couteau de son épaule. Son visage indiquait clairement qu'elle n'allait pas se retenir. Un des soudards s'approcha d'elle, tenant une masse d'arme. Elle attendit le dernier moment et lui envoya un coup de pied en plein visage, lui éclatant le nez. Des flammes jaillirent de la plante de ses pieds et de la paume de ses mains.
"Vous allez regretter vos propos, vous pouvez me croire..."
"Halte, vous, là ! Arrêtez-vous !"
"Mmmh ? Qu'y a-t-il ? Que nous voulez-vous ?"
"Ceci est une attaque ! Vos bourses, ou vos vies !"
Elle s'étira et fit jouer ses articulations. L'imbécile qui lui faisait face n'avait manifestement pas vu qu'il s'adressait à un membre de la Guilde des Guerriers ! Autant pour Ïlvaar, c'était concevable, mais cela faisait déjà le second en deux jours qui ne comprenait pas la signification du symbole gravé sur le bandeau ceint sur son front. Elle fit avancer sa monture jusqu'à n'être qu'à deux mètres de son interlocuteur.
"Et... A qui devons-nous le déplaisir de cette rencontre ?"
"Quoi ? Vous ne savez pas qui je suis ? Je suis Ignace de Silve, malandrin, maraudeur et ravageur de ces dames !"
L'Humain prit une pose qu'il supposait être fière et conquérante sur son cheval, tandis que le Tigrain, derrière-lui, jouait un accord rapide sur son luth. La femme aux cheveux d'argent se tourna vers le Drow, une expression d'incompréhension sur le visage. Puis, elle se retourna vers Ignace et fit avancer son cheval jusqu'à arriver à sa hauteur. Elle lui donna un coup de poing dans le visage, le faisant tomber au sol.
"Inconnu au bataillon. Toi et tes soudards feriez mieux de vous rendre aux hommes du bailli, avant que le ridicule ne vous étouffe. On continue, Ïlvaar."
Elle dépassa les bandits qui oscillaient entre l'incrédulité et l'envie de lui sauter dessus afin de lui faire payer son acte de bravoure.
Alors qu'elle allait piquer des deux, une douleur aigüe lui traversa l'épaule gauche, et elle laissa échapper un cri de douleur. L'excentrique bandit lui avait lancé un de ses couteau de jet, qui avait atteint son but.
"Cela t'apprendra, espèce de garce ! Crois-moi, quand on en aura fini avec toi, tu ne regretteras qu'une chose, c'est d'être née femelle et- "
Sa tirade fut interrompue par un globe d'eau compact qu'il reçut en plein visage, le faisant retomber au sol. Poledra avait mit pied à terre et retiré le couteau de son épaule. Son visage indiquait clairement qu'elle n'allait pas se retenir. Un des soudards s'approcha d'elle, tenant une masse d'arme. Elle attendit le dernier moment et lui envoya un coup de pied en plein visage, lui éclatant le nez. Des flammes jaillirent de la plante de ses pieds et de la paume de ses mains.
"Vous allez regretter vos propos, vous pouvez me croire..."
Poledra- Elite
- Race : Argilite
Re: Le voyage pour la capitale !
Alors que Poledra et moi étions sur la route de Telbara, un groupe de quatre voyageur se dirigea vers notre direction. Quelque chose me semblais étrange... je ne saurais comment expliquer, mais un sentiment de danger... Peut-être que c'était accentué de pars le fait que deux de ces voyageurs paraissait plutôt bien armé. Poledra ne dis rien, par conséquent nous ne faisions que les ignorer en passant à leur niveau. Celui qui semblait être le meneur de ce groupes nous interpela :
"Halte, vous, là ! Arrêtez-vous !"
A ces mots et avec cette intonation de voix, je me demandais déjà si nous devrions en arriver aux armes... j'inspirais profondément et expirais de manière à me vider les poumons, cette situation ne me mettait pas très à l'aise, mais si nous devions en venir aux armes, je pourrais vraiment voir si je peux venger la mort de mes parents, ou si il est encore trop tôt. Poledra répondit après un léger sursaut.
Poledra : "Mmmh ? Qu'y a-t-il ? Que nous voulez-vous ?"
"Ceci est une attaque ! Vos bourses, ou vos vies !"
Eh bah voilà ! Cette fois j'en ai la certitude... on va devoirs en venir aux armes. Mon premier combat en situation réel. Mais une chose capta mon attention, ces crapules ne semblaient pas reconnaître le symbole de la Guilde des Guerriers, hors de par leur apparence on pourrait dire qu'il s'agit de citadins... Etrange.
Poledra avança jusqu'à arriver au niveau du meneur.
Poledra : "Et... A qui devons-nous le déplaisir de cette rencontre ?"
Ignace : "Quoi ? Vous ne savez pas qui je suis ? Je suis Ignace de Silve, malandrin, maraudeur et ravageur de ces dames !"
Je baissa la tête et me retins de rire, mais j'avais le sourire aux lèvres, car en plus de dire des choses absolument ridicule, sa pose n'aidait pas à le prendre au sérieux. Avec un... Ti... Tigrain je crois si je me souviens bien, qui était en train de jouer du Luth frénétiquement. Je me ressaisis car après tout l'heure n'était pas à la rigolade, nous étions en train de nous faire attaquer. Poledra me regarda, je lui fit remarquer que je ne comprenais pas vraiment ce qu'il cherchait à faire. Je fus d'autant plus, impressionné lorsque je vis Poledra s'approcher de lui et le faire tomber de son cheval d'un coup de poing !
Poledra : "Inconnu au bataillon. Toi et tes soudards feriez mieux de vous rendre aux hommes du bailli, avant que le ridicule ne vous étouffe. On continue, Ïlvaar."
Après avoir vu la manière dont elle venait de faire basculé ce Ignace, de son cheval... je n'avais aucune envie de lui tenir tête. Seulement alors que nous leur tournions le dos, j'entendis Poledra pousser un cris de douleur, lorsque je me tourna vers elle, je vis un couteaux planté dans son épaule gauche. A la vue de cette scène, j'eu une sorte de flashback... je vis mes parents, mort, baignant dans leur propre sang.
Un sentiment de rage s'empara de moi !
Ignace : "Cela t'apprendra, espèce de garce ! Crois-moi, quand on en aura fini avec toi, tu ne regretteras qu'une chose, c'est d'être née femelle et- "
Il n'eu pas le temps de finir sa phrase, il reçut une sphère d'eau en plein visage... elle provenait de Poledra ?! Cette jeune femme est vraiment très spéciale ; et à la vu de son visage, je savais qu'elle voulais en découdre avec eux ! Très bien, ça ne faisais que me donner encore plus envie de me ruer sur eux !
Elle réussit à mettre à terre un des humains, avec un coup bien placé dans le nez. Il en restait deux, et ils étaient pour moi !
Poledra : "Vous allez regretter vos propos, vous pouvez me croire..."
Alors que Poledra dit cela, je passa à côté d'elle à toute allure sur mon cheval, galopant en direction des deux "maraudeurs" restant. Une fois arrivé à leur niveau, je sauta de mon cheval sur eux, les attrapa à la gorge et les plaqua au sol. Alors que les deux était sous le choc du coup, je pointa mes deux griffes sur leur gorge. Puis je dit suffisamment pour que toutes les personnes présente ici, consciente ou non m'entende.
"Je suis resté simple spectateur jusqu'à maintenant, je ne disais rien. Mais s'en prendre à une jeune femme, de la sorte, je ne le tolère pas ! Même si elle fait partit de la Guilde des Guerriers, et que donc elle est beaucoup plus résistante qu'il n'y parait ; vous n'auriez jamais dût vous en pr..."
Alors que je disais ça, le "soudards" comme l'avait appelé Poledra plutôt, se mit à ricaner.
"Jeune imbécile, il ne faut jamais sous estimer ses adversaires."
Alors qu'il venais de finir sa phrase, je planta mes griffes dans la main tenant son épée, avant qu'il ne puisse faire quoi que ce soit. Et repris ma phrase alors qu'il était en train d'agoniser.
"Comme je le disais, vous n'auriez jamais dût vous en prendre à nous ! Et comme tu l'a si bien souligné, il ne faut jamais sous éstimer ses adversaires, aussi bien par rapport à leur capacité que par leur nombres."
Je regarda autour de moi rapidement, voir si je pouvais trouver un signe quelconque qui pourrait attirer mon attention... seulement étant un simple regard rapide, je n'aperçu pas grand chose...
"Vous savez, j'ai reçu une éducation m'interdisant de m'en prendre aux innocents, or... vous n'avez pas de chance, car en ce qui vous concernes vous n'en n'êtes pas, donc si ça ne tenais qu'à moi, vous auriez déjà rejoins les Dieux et qui sait... les victimes que vous avez probablement déjà tué ! Mais étant donné que c'est ma partenaire qui a fait les frais de notre rencontre en premier, je lui laisse le choix de ce qui va vous arrivez."
Alors que je disais cela, je me dit que à ce stade il n'y avait que deux options pour eux : soit elle voudrait les tuer, soit qu'on les emmènes à la Guilde des Guerriers.
Je me rappela d'un coup que j'avais pris de la corde dans mon sac au cas ou.... mon sac qui était sur mon cheval et qui avait continué sa course... salle journée ! Cela dit, heureusement pour moi, il était très bien élevé, je siffla et il chevaucha dans ma direction. Je sortit donc un bout de ma corde pour attacher mes adversaires, puis lança l'autre bout à Poledra.
"Alors ? Que souhaitez vous que nous fassions d'eux Poledra ?"
"Halte, vous, là ! Arrêtez-vous !"
A ces mots et avec cette intonation de voix, je me demandais déjà si nous devrions en arriver aux armes... j'inspirais profondément et expirais de manière à me vider les poumons, cette situation ne me mettait pas très à l'aise, mais si nous devions en venir aux armes, je pourrais vraiment voir si je peux venger la mort de mes parents, ou si il est encore trop tôt. Poledra répondit après un léger sursaut.
Poledra : "Mmmh ? Qu'y a-t-il ? Que nous voulez-vous ?"
"Ceci est une attaque ! Vos bourses, ou vos vies !"
Eh bah voilà ! Cette fois j'en ai la certitude... on va devoirs en venir aux armes. Mon premier combat en situation réel. Mais une chose capta mon attention, ces crapules ne semblaient pas reconnaître le symbole de la Guilde des Guerriers, hors de par leur apparence on pourrait dire qu'il s'agit de citadins... Etrange.
Poledra avança jusqu'à arriver au niveau du meneur.
Poledra : "Et... A qui devons-nous le déplaisir de cette rencontre ?"
Ignace : "Quoi ? Vous ne savez pas qui je suis ? Je suis Ignace de Silve, malandrin, maraudeur et ravageur de ces dames !"
Je baissa la tête et me retins de rire, mais j'avais le sourire aux lèvres, car en plus de dire des choses absolument ridicule, sa pose n'aidait pas à le prendre au sérieux. Avec un... Ti... Tigrain je crois si je me souviens bien, qui était en train de jouer du Luth frénétiquement. Je me ressaisis car après tout l'heure n'était pas à la rigolade, nous étions en train de nous faire attaquer. Poledra me regarda, je lui fit remarquer que je ne comprenais pas vraiment ce qu'il cherchait à faire. Je fus d'autant plus, impressionné lorsque je vis Poledra s'approcher de lui et le faire tomber de son cheval d'un coup de poing !
Poledra : "Inconnu au bataillon. Toi et tes soudards feriez mieux de vous rendre aux hommes du bailli, avant que le ridicule ne vous étouffe. On continue, Ïlvaar."
Après avoir vu la manière dont elle venait de faire basculé ce Ignace, de son cheval... je n'avais aucune envie de lui tenir tête. Seulement alors que nous leur tournions le dos, j'entendis Poledra pousser un cris de douleur, lorsque je me tourna vers elle, je vis un couteaux planté dans son épaule gauche. A la vue de cette scène, j'eu une sorte de flashback... je vis mes parents, mort, baignant dans leur propre sang.
Un sentiment de rage s'empara de moi !
Ignace : "Cela t'apprendra, espèce de garce ! Crois-moi, quand on en aura fini avec toi, tu ne regretteras qu'une chose, c'est d'être née femelle et- "
Il n'eu pas le temps de finir sa phrase, il reçut une sphère d'eau en plein visage... elle provenait de Poledra ?! Cette jeune femme est vraiment très spéciale ; et à la vu de son visage, je savais qu'elle voulais en découdre avec eux ! Très bien, ça ne faisais que me donner encore plus envie de me ruer sur eux !
Elle réussit à mettre à terre un des humains, avec un coup bien placé dans le nez. Il en restait deux, et ils étaient pour moi !
Poledra : "Vous allez regretter vos propos, vous pouvez me croire..."
Alors que Poledra dit cela, je passa à côté d'elle à toute allure sur mon cheval, galopant en direction des deux "maraudeurs" restant. Une fois arrivé à leur niveau, je sauta de mon cheval sur eux, les attrapa à la gorge et les plaqua au sol. Alors que les deux était sous le choc du coup, je pointa mes deux griffes sur leur gorge. Puis je dit suffisamment pour que toutes les personnes présente ici, consciente ou non m'entende.
"Je suis resté simple spectateur jusqu'à maintenant, je ne disais rien. Mais s'en prendre à une jeune femme, de la sorte, je ne le tolère pas ! Même si elle fait partit de la Guilde des Guerriers, et que donc elle est beaucoup plus résistante qu'il n'y parait ; vous n'auriez jamais dût vous en pr..."
Alors que je disais ça, le "soudards" comme l'avait appelé Poledra plutôt, se mit à ricaner.
"Jeune imbécile, il ne faut jamais sous estimer ses adversaires."
Alors qu'il venais de finir sa phrase, je planta mes griffes dans la main tenant son épée, avant qu'il ne puisse faire quoi que ce soit. Et repris ma phrase alors qu'il était en train d'agoniser.
"Comme je le disais, vous n'auriez jamais dût vous en prendre à nous ! Et comme tu l'a si bien souligné, il ne faut jamais sous éstimer ses adversaires, aussi bien par rapport à leur capacité que par leur nombres."
Je regarda autour de moi rapidement, voir si je pouvais trouver un signe quelconque qui pourrait attirer mon attention... seulement étant un simple regard rapide, je n'aperçu pas grand chose...
"Vous savez, j'ai reçu une éducation m'interdisant de m'en prendre aux innocents, or... vous n'avez pas de chance, car en ce qui vous concernes vous n'en n'êtes pas, donc si ça ne tenais qu'à moi, vous auriez déjà rejoins les Dieux et qui sait... les victimes que vous avez probablement déjà tué ! Mais étant donné que c'est ma partenaire qui a fait les frais de notre rencontre en premier, je lui laisse le choix de ce qui va vous arrivez."
Alors que je disais cela, je me dit que à ce stade il n'y avait que deux options pour eux : soit elle voudrait les tuer, soit qu'on les emmènes à la Guilde des Guerriers.
Je me rappela d'un coup que j'avais pris de la corde dans mon sac au cas ou.... mon sac qui était sur mon cheval et qui avait continué sa course... salle journée ! Cela dit, heureusement pour moi, il était très bien élevé, je siffla et il chevaucha dans ma direction. Je sortit donc un bout de ma corde pour attacher mes adversaires, puis lança l'autre bout à Poledra.
"Alors ? Que souhaitez vous que nous fassions d'eux Poledra ?"
Ïlvaar- Novice
- Race : Demi-sang
Re: Le voyage pour la capitale !
Poledra donna un second coup à l'homme auquel elle avait fracassé le nez, lui brisant la nuque sous la violence du choc. Les flammes qui se dégageaient de ses membres embrasèrent le corps de sa victime. Elle se releva et se dirigea vers De Sylve, afin de lui régler son compte. Ce dernier s'était relevé et avait dégainé deux de ses couteaux de lancer. Il en envoya un sur la femme aux cheveux argentés, qui sentit l'acier lui mordre le bras. Elle grogna, tandis que l'homme... Envoyait délibérément un coutelas au sol, à quelques pas devant elle ? Elle ne comprenait pas. Et pourtant... Il semblait l'attendre. La Guerrière serra les mâchoires et s'avança. Quand elle posa son pied à proximité du couteau planté dans le sol, Ignace claqua des doigts. Les gravures courant sur la lame de son arme s'illuminèrent d'un rouge flamboyant, et la lame se fragmenta, se désintégra, libérant une gerbe de flammes sur le sol. Poledra sentit le brasier naissant lui lécher les pieds, et elle poussa un cri de douleur, tout en se déportant vers le côté.
Sa cheville avait été touchée de plein fouet, et sa peau présentait les caractéristiques d'une brûlure au second degré. Serrant les mâchoires, elle fit apparaître un second globe d'eau, qu'elle appliqua sur sa cheville. La Guerrière ne put contenir un cri, tandis que des larmes de douleur perlaient à ses yeux. Elle recula en boîtant, avant de trébucher. Ignace, pratiquement hilare, prit deux couteaux et s'avança, tout en jonglant nonchalamment avec ses armes.
Prostrée au sol, Poledra reculait à quatre pattes. L'Humain allait arriver sur elle quand un son semblable à celui du roulement du tonnerre se fit entendre, et qu'une vive lumière jaillissait du sol. Parcouru de spasmes électriques, le bandit s'effondra au sol, agité de soubresauts. Le regard dur, la "jeune" femme se releva. Elle leva la main et un nouveau globe apparut dans sa main. Il s'agissait cette fois d'une sphère lumineuse, rougeoyante. De secondes en secondes, le globe grossissait et son éclat devenait de plus en plus intense, comme si la fureur qui couvait dans la Guerrière nourrissait ce globe incandescent.
"Tu vas le payer, crois-moi. Je ne fais pas seulement cela au nom de tes anciennes victimes. Mais parce que tu représentes exactement ce que j'exècre au plus haut point chez vous, les hommes. Crèves, sale fumier !"
Elle lâcha le globe sur l'homme. Au contact, il se brisa dans un son cristallin et libéra une gerbe de flamme liquide sur le corps du bandit, qui se consuma lentement et dans une extrême souffrance, sous le regard d'acier de Poledra. Elle regarda derrière elle et vit qu'Ïlvaar avait neutralisé les deux autres bandits, et attendait sa sentence. Sur l'instant, elle fut sur le point de proposer de les tuer tous deux, mais elle se ravisa.
"Il se trouve un petit village, à une dizaine de kilomètres d'ici. Nous les livrerons au bailli du village, puis nous continuerons notre route vers Telbara. En selle."
Sa cheville avait été touchée de plein fouet, et sa peau présentait les caractéristiques d'une brûlure au second degré. Serrant les mâchoires, elle fit apparaître un second globe d'eau, qu'elle appliqua sur sa cheville. La Guerrière ne put contenir un cri, tandis que des larmes de douleur perlaient à ses yeux. Elle recula en boîtant, avant de trébucher. Ignace, pratiquement hilare, prit deux couteaux et s'avança, tout en jonglant nonchalamment avec ses armes.
Prostrée au sol, Poledra reculait à quatre pattes. L'Humain allait arriver sur elle quand un son semblable à celui du roulement du tonnerre se fit entendre, et qu'une vive lumière jaillissait du sol. Parcouru de spasmes électriques, le bandit s'effondra au sol, agité de soubresauts. Le regard dur, la "jeune" femme se releva. Elle leva la main et un nouveau globe apparut dans sa main. Il s'agissait cette fois d'une sphère lumineuse, rougeoyante. De secondes en secondes, le globe grossissait et son éclat devenait de plus en plus intense, comme si la fureur qui couvait dans la Guerrière nourrissait ce globe incandescent.
"Tu vas le payer, crois-moi. Je ne fais pas seulement cela au nom de tes anciennes victimes. Mais parce que tu représentes exactement ce que j'exècre au plus haut point chez vous, les hommes. Crèves, sale fumier !"
Elle lâcha le globe sur l'homme. Au contact, il se brisa dans un son cristallin et libéra une gerbe de flamme liquide sur le corps du bandit, qui se consuma lentement et dans une extrême souffrance, sous le regard d'acier de Poledra. Elle regarda derrière elle et vit qu'Ïlvaar avait neutralisé les deux autres bandits, et attendait sa sentence. Sur l'instant, elle fut sur le point de proposer de les tuer tous deux, mais elle se ravisa.
"Il se trouve un petit village, à une dizaine de kilomètres d'ici. Nous les livrerons au bailli du village, puis nous continuerons notre route vers Telbara. En selle."
Poledra- Elite
- Race : Argilite
Re: Le voyage pour la capitale !
Alors que je me tournais vers Poledra, je remarqua que cette dernière était plutôt mal en point ! Il semblerait qu'elle ait rencontré quelques difficultés avec ce... Ignace. Elle saignait de l'épaule, du bras, de la cheville, et elle semblait même avoir ce qui s'apparentait à des brûlures !
Le sol autour de nous était couverts de sang, et de cendres... presque toutes l'herbes avait brûlé autour de Poledra et de Ignace notamment. La nature aurait fort probablement, beaucoup de mal à renaitre ici...
Je n'avais pas encore repris tout mes esprits, j'étais encore dans le feu de l'action. Mais lorsque je vis les corps gisant à terre... je me demandais réellement si les deux bandits que je venais de neutraliser avait une chance de survivre... Pour le coup Poledra n'avait plus rien de la jeune femme innocente que j'avais rencontré la veille, on aurait dit une tout autre personne, beaucoup plus hargneuse.
Alors que j'attendais sa réponse elle me dit :
Poledra : "Il se trouve un petit village, à une dizaine de kilomètres d'ici. Nous les livrerons au bailli du village, puis nous continuerons notre route vers Telbara. En selle."
"Hum... Vous vous sentez bien Poledra ? Peut-être faudrait-il que vous soigniez vos blessures au plus vites. Si ça vous arranges, je peut très bien m'occuper de ces deux là seul, indiquer moi seulement ou je doi les conduirs exactement. Et vous vous pouvez allé directement soigner ses blessures."
Je n'attendis pas sa réponse, je me tourna vers les deux raclures que j'avais mis à terre et leur dit de monter sur leur cheval. De toute façons, ils ne pourraient rien faire avec les poing lié, et puis, je prendrais les rênes de leur chevaux pour être certain qu'ils ne tentent pas de fuir.
Une fois que nous aurons livré ces bandits, il faudra que je demande certaines choses à Poledra... mais je préfère attendre, car vue l'état dans lequel elle se trouve, il ne vaut mieux pas l'ennuyer avec mes questions.
Le sol autour de nous était couverts de sang, et de cendres... presque toutes l'herbes avait brûlé autour de Poledra et de Ignace notamment. La nature aurait fort probablement, beaucoup de mal à renaitre ici...
Je n'avais pas encore repris tout mes esprits, j'étais encore dans le feu de l'action. Mais lorsque je vis les corps gisant à terre... je me demandais réellement si les deux bandits que je venais de neutraliser avait une chance de survivre... Pour le coup Poledra n'avait plus rien de la jeune femme innocente que j'avais rencontré la veille, on aurait dit une tout autre personne, beaucoup plus hargneuse.
Alors que j'attendais sa réponse elle me dit :
Poledra : "Il se trouve un petit village, à une dizaine de kilomètres d'ici. Nous les livrerons au bailli du village, puis nous continuerons notre route vers Telbara. En selle."
"Hum... Vous vous sentez bien Poledra ? Peut-être faudrait-il que vous soigniez vos blessures au plus vites. Si ça vous arranges, je peut très bien m'occuper de ces deux là seul, indiquer moi seulement ou je doi les conduirs exactement. Et vous vous pouvez allé directement soigner ses blessures."
Je n'attendis pas sa réponse, je me tourna vers les deux raclures que j'avais mis à terre et leur dit de monter sur leur cheval. De toute façons, ils ne pourraient rien faire avec les poing lié, et puis, je prendrais les rênes de leur chevaux pour être certain qu'ils ne tentent pas de fuir.
Une fois que nous aurons livré ces bandits, il faudra que je demande certaines choses à Poledra... mais je préfère attendre, car vue l'état dans lequel elle se trouve, il ne vaut mieux pas l'ennuyer avec mes questions.
Ïlvaar- Novice
- Race : Demi-sang
Re: Le voyage pour la capitale !
Le jeune Drow fit remarquer à Poledra qu'elle avait été blessée durant le combat, et qu'elle devrait sans doute songer à panser ses propres plaies, avant de faire quoi que ce soit d'autre. Elle baissa les yeux : sa cheville était encore enflée et cloquée. La "jeune" femme se dirigea vers son cheval et fouilla ses fontes, avant d'en sortir quelques bandages, qu'elle enserra autour de son pied blessé. Elle regarda ensuite les deux bandits. Une fois maitrisés, ils ne semblaient absolument pas dangereux, loin de là. Et il fallait l'avouer, le traitement que la Guerrière avait infligé à ses deux adversaires avait de quoi refroidir les ardeurs. La femme aux cheveux argentés remonta en selle, posant précautionneusement son pied blessé à l'étrier. Elle se tourna vers Ïlvaar :
"Remonte en selle, nous allons les livrer. Il est préférable que je sois en ta compagnie : tu ne connais guère nos us."
Poledra inspira profondément, se calmant petit à petit, tandis que sa monture avançait à un rythme tranquille sur la route. La jeune femme prit le lourd chapelet qui pendait à sa ceinture et commença à l'égrener en récitant mentalement une série de prière adressées à Théno. Enfin, au terme d'une bonne heure de trajet, ils parvinrent à un petit village qui s'était vraisemblablement construit autour d'une auberge et d'une forge. Au "centre" de la localité était installée une cage suspendue. Un garde, dont l'équipement fiable quoique de bon marché désignait comme étant un officier, s'approcha :
"Ma dame... Ah... Une Guerrière. Je suis le Caporal Sani. Que puis-je pour vous ?"
"Vous avez deux clients pour votre cage, à moins que vous ne décidiez de les pendre haut et court rapidement... Ils faisaient partie d'un quatuor de minables se désignant comme des "bandits" - et le mépris s'entendait dans sa voix - dirigés par un certain De Sylve. Celui-ci et l'autre membre de la bande ne nuiront plus à qui que ce soit. Je m'en suis chargé... Personnellement."
"De Sylve ? Cela me réjouit de l'apprendre. A vrai dire, la plupart du temps cette ordure volait l'honneur de ses victimes. Ravi d'apprendre qu'il en sera dorénavant incapable et..."
"... Et il est inutile de le chercher, je préfère laisser ses restes aux bêtes sauvages."
"Je... Bien. Nous transmettrons la prime sur sa tête à vos supérieurs."
La "jeune" femme hocha la tête pour indiquer son accord et fit signe au Drow de la suivre. A présent que cet... "Episode" était achevé, elle s'était calmée. Elle fit couler un peu d'eau de sa gourde sur ses brûlures, afin de moins ressentir la douleur.
"Remonte en selle, nous allons les livrer. Il est préférable que je sois en ta compagnie : tu ne connais guère nos us."
Poledra inspira profondément, se calmant petit à petit, tandis que sa monture avançait à un rythme tranquille sur la route. La jeune femme prit le lourd chapelet qui pendait à sa ceinture et commença à l'égrener en récitant mentalement une série de prière adressées à Théno. Enfin, au terme d'une bonne heure de trajet, ils parvinrent à un petit village qui s'était vraisemblablement construit autour d'une auberge et d'une forge. Au "centre" de la localité était installée une cage suspendue. Un garde, dont l'équipement fiable quoique de bon marché désignait comme étant un officier, s'approcha :
"Ma dame... Ah... Une Guerrière. Je suis le Caporal Sani. Que puis-je pour vous ?"
"Vous avez deux clients pour votre cage, à moins que vous ne décidiez de les pendre haut et court rapidement... Ils faisaient partie d'un quatuor de minables se désignant comme des "bandits" - et le mépris s'entendait dans sa voix - dirigés par un certain De Sylve. Celui-ci et l'autre membre de la bande ne nuiront plus à qui que ce soit. Je m'en suis chargé... Personnellement."
"De Sylve ? Cela me réjouit de l'apprendre. A vrai dire, la plupart du temps cette ordure volait l'honneur de ses victimes. Ravi d'apprendre qu'il en sera dorénavant incapable et..."
"... Et il est inutile de le chercher, je préfère laisser ses restes aux bêtes sauvages."
"Je... Bien. Nous transmettrons la prime sur sa tête à vos supérieurs."
La "jeune" femme hocha la tête pour indiquer son accord et fit signe au Drow de la suivre. A présent que cet... "Episode" était achevé, elle s'était calmée. Elle fit couler un peu d'eau de sa gourde sur ses brûlures, afin de moins ressentir la douleur.
Poledra- Elite
- Race : Argilite
Re: Le voyage pour la capitale !
Je me sens... Eh bien, en vérité, je ne sais pas vraiment comment je me sens ; je suis partagé entre plusieurs émotions : la colère, la culpabilité, la pitié... Remarque, si Poledra était dans cet état, c'était clairement de ma faute, même indirectement ! Si nos chemins ne s'étaient pas croisés dans la Forêt du Calme, elle aurait très certainement emprunté une autre route et ne serait pas aussi mal en point.
J'aidais le deuxième bandit à monter sur son cheval, avec une main transpercé ça ne doit pas être très simple, quand j'entendis Poledra me parler :
Poledra : "Remonte en selle, nous allons les livrer. Il est préférable que je sois en ta compagnie : tu ne connais guère nos us."
Je ne dis rien... je me contenta simplement de fermer les yeux et d'acquiescer de la tête, tout en expirant... c'est bien une tête de mule ! Bon, cela dit, étant donnée qu'elle fait partit de la Guilde des Guerriers, elle a très certainement dût en voir d'autre m'enfin bon. Je vais la surveiller de près pour éviter qu'elle ne s'évanouisse ou je ne sais quoi.
Au bout de ce qui me sembla une heure, le village ou Poledra voulait qu'on livre les deux crapules encore en vie était en vu. Il n'y avait rien à signaler de vraiment "alarmant" pour ce qui est de son état, excepté quelques grognement dût à la douleur...
Alors que nous étions entrain de trotter en direction du centre ou de la place principale, je me rendis compte que pour la première fois de ma vie j'étais dans un milieu civilisé, la sensation était étrange, mais pas plus dérangeante que ça. Après quelques minutes, une personne nous interpela :
Sani : "Ma dame... Ah... Une Guerrière. Je suis le Caporal Sani. Que puis-je pour vous ?"
Ah ! Il s'agit surement de la personne à qui nous allons remettre les deux rescapés, je vais enfin pouvoir me débarrasser d'eux ! Mais bon... ce Caporal ne m'ayant pas parlé directement je laisse la parole à Poledra :
Poledra : "Vous avez deux clients pour votre cage, à moins que vous ne décidiez de les pendre haut et court rapidement... Ils faisaient partie d'un quatuor de minables se désignant comme des "bandits". Dirigés par un certain De Sylve. Celui-ci et l'autre membre de la bande ne nuiront plus à qui que ce soit. Je m'en suis chargé... Personnellement."
On entendait du mépris dans sa voix.
Alors qu'elle disait ça, un léger frisson me transperça. Avec ce que j'avais vu , je suis presque sur qu'elle n'est pas qu'une simple Archiviste, mais bon... étant presque inexpérimenté dans ce monde, je ne pouvais pas trop la ramener surtout sur ce sujet.
Je me tourna vers nos "prisonniers", aucun mots ne sortit de leur bouche, ils savaient très bien que si ils tentaient quoi que ce soit, ils risquaient de mourir très rapidement !
Sani : "De Sylve ? Cela me réjouit de l'apprendre. A vrai dire, la plupart du temps cette ordure volait l'honneur de ses victimes. Ravi d'apprendre qu'il en sera dorénavant incapable et..."
Poledra : "... Et il est inutile de le chercher, je préfère laisser ses restes aux bêtes sauvages."
Tiens ?! Ignace De Sylve semble être plutôt bien connu ici. Il devait être recherché, mais si c'est le cas, pourquoi avoir emprunté une route aussi à découvert ? Si il avait voyagé de nuit à la limite pourquoi pas, mais là... en pleine journée ? Quelques choses n'étais pas claire... A moins que, peut-être était-il complètement stupide.
Sani : "Je... Bien. Nous transmettrons la prime sur sa tête à vos supérieurs."
BINGO ! Il était bien recherché ! Donc...
"Hum... pardonnez moi Caporal, mais est-ce que De Sylve souffrait de problème psychologique ? S'agissait-il de quelqu'un de plutôt intelligeant ou de totalement stupide ?"
Le Caporal ainsi que Poledra me regardèrent intrigué.
Sani : "Eh bien, à ma connaissance il ne souffrait d'aucun problème. Si ce n'est celui de mener une vie de truand, et il était plutôt futé, enfin ça n'a plus d'importance maintenant. Mais pourquoi poser ce genre de question ?"
"Je vois.."
Je me pencha suffisamment vers eux pour pas que les deux autres ne m'entendent pas.
"De Sylve était recherché, or nous l'avons croisé dans une plaine en pleine journée. Personnellement, si j'étais recherché et en cavale, j'éviterais de traverser les endroits à découverts, SURTOUT de jours. Et si vous voulez mon avis, il y'a quelque chose qui cloche avec cette histoire."
Sani : "Oui maintenant que vous le dites, il est vrai que ce comportement est plus ou moins étrange."
"Je pense que nous étions ciblé Poledra, vous ou moi. Mais la question maintenant serai de savoir par qui ? Car je ne pense pas qu'il aurait prit autant de risque seulement pour nous voler. J'aurais bien posé la question à ces deux là, mais je ne pense pas qu'ils acceptent de coopérer. De plus nous devons nous occuper de vos blessures Poledra."
Le Colonel était très intrigué par ce que je venais de dire, il me regarda droit dans les yeux et me fit un signe de la tête... lui aussi trouvait ça étrange, mais en même temps, ce n'est pas vraiment ça qui manque dans la vie. Alors peut-être que je m'inquiète trop.
Je regardais nos prisonniers partir avec le Colonel Sani, et me mis à penser à ce que je venais de dire, à mon résonnement ; est-il possible que Ignace est été engagé par ceux qui ont tué mes parents ? Nan ça n'aurait pas de sens... il s'en serait pris directement à moi et non pas à Poledra. A moins que ! Aurait-il prit Poledra pour l'enfant se trouvant dans la Forêt il y'a 5 ans ?! Car si j'ai bien compris, de leur vivant mes parents n'étaient pas le genre de personne à se laisser faire, et donc quand Ignace a vu que Poledra semblait "hargneuse", il s'en est prit à elle ! Nan ça ne tiens pas debout... Je dois surement être fatigué. Mais, je parlerais de tout ça à Poledra en privé, plus tard, car la priorité est de la soigner.
J'aidais le deuxième bandit à monter sur son cheval, avec une main transpercé ça ne doit pas être très simple, quand j'entendis Poledra me parler :
Poledra : "Remonte en selle, nous allons les livrer. Il est préférable que je sois en ta compagnie : tu ne connais guère nos us."
Je ne dis rien... je me contenta simplement de fermer les yeux et d'acquiescer de la tête, tout en expirant... c'est bien une tête de mule ! Bon, cela dit, étant donnée qu'elle fait partit de la Guilde des Guerriers, elle a très certainement dût en voir d'autre m'enfin bon. Je vais la surveiller de près pour éviter qu'elle ne s'évanouisse ou je ne sais quoi.
Au bout de ce qui me sembla une heure, le village ou Poledra voulait qu'on livre les deux crapules encore en vie était en vu. Il n'y avait rien à signaler de vraiment "alarmant" pour ce qui est de son état, excepté quelques grognement dût à la douleur...
Alors que nous étions entrain de trotter en direction du centre ou de la place principale, je me rendis compte que pour la première fois de ma vie j'étais dans un milieu civilisé, la sensation était étrange, mais pas plus dérangeante que ça. Après quelques minutes, une personne nous interpela :
Sani : "Ma dame... Ah... Une Guerrière. Je suis le Caporal Sani. Que puis-je pour vous ?"
Ah ! Il s'agit surement de la personne à qui nous allons remettre les deux rescapés, je vais enfin pouvoir me débarrasser d'eux ! Mais bon... ce Caporal ne m'ayant pas parlé directement je laisse la parole à Poledra :
Poledra : "Vous avez deux clients pour votre cage, à moins que vous ne décidiez de les pendre haut et court rapidement... Ils faisaient partie d'un quatuor de minables se désignant comme des "bandits". Dirigés par un certain De Sylve. Celui-ci et l'autre membre de la bande ne nuiront plus à qui que ce soit. Je m'en suis chargé... Personnellement."
On entendait du mépris dans sa voix.
Alors qu'elle disait ça, un léger frisson me transperça. Avec ce que j'avais vu , je suis presque sur qu'elle n'est pas qu'une simple Archiviste, mais bon... étant presque inexpérimenté dans ce monde, je ne pouvais pas trop la ramener surtout sur ce sujet.
Je me tourna vers nos "prisonniers", aucun mots ne sortit de leur bouche, ils savaient très bien que si ils tentaient quoi que ce soit, ils risquaient de mourir très rapidement !
Sani : "De Sylve ? Cela me réjouit de l'apprendre. A vrai dire, la plupart du temps cette ordure volait l'honneur de ses victimes. Ravi d'apprendre qu'il en sera dorénavant incapable et..."
Poledra : "... Et il est inutile de le chercher, je préfère laisser ses restes aux bêtes sauvages."
Tiens ?! Ignace De Sylve semble être plutôt bien connu ici. Il devait être recherché, mais si c'est le cas, pourquoi avoir emprunté une route aussi à découvert ? Si il avait voyagé de nuit à la limite pourquoi pas, mais là... en pleine journée ? Quelques choses n'étais pas claire... A moins que, peut-être était-il complètement stupide.
Sani : "Je... Bien. Nous transmettrons la prime sur sa tête à vos supérieurs."
BINGO ! Il était bien recherché ! Donc...
"Hum... pardonnez moi Caporal, mais est-ce que De Sylve souffrait de problème psychologique ? S'agissait-il de quelqu'un de plutôt intelligeant ou de totalement stupide ?"
Le Caporal ainsi que Poledra me regardèrent intrigué.
Sani : "Eh bien, à ma connaissance il ne souffrait d'aucun problème. Si ce n'est celui de mener une vie de truand, et il était plutôt futé, enfin ça n'a plus d'importance maintenant. Mais pourquoi poser ce genre de question ?"
"Je vois.."
Je me pencha suffisamment vers eux pour pas que les deux autres ne m'entendent pas.
"De Sylve était recherché, or nous l'avons croisé dans une plaine en pleine journée. Personnellement, si j'étais recherché et en cavale, j'éviterais de traverser les endroits à découverts, SURTOUT de jours. Et si vous voulez mon avis, il y'a quelque chose qui cloche avec cette histoire."
Sani : "Oui maintenant que vous le dites, il est vrai que ce comportement est plus ou moins étrange."
"Je pense que nous étions ciblé Poledra, vous ou moi. Mais la question maintenant serai de savoir par qui ? Car je ne pense pas qu'il aurait prit autant de risque seulement pour nous voler. J'aurais bien posé la question à ces deux là, mais je ne pense pas qu'ils acceptent de coopérer. De plus nous devons nous occuper de vos blessures Poledra."
Le Colonel était très intrigué par ce que je venais de dire, il me regarda droit dans les yeux et me fit un signe de la tête... lui aussi trouvait ça étrange, mais en même temps, ce n'est pas vraiment ça qui manque dans la vie. Alors peut-être que je m'inquiète trop.
Je regardais nos prisonniers partir avec le Colonel Sani, et me mis à penser à ce que je venais de dire, à mon résonnement ; est-il possible que Ignace est été engagé par ceux qui ont tué mes parents ? Nan ça n'aurait pas de sens... il s'en serait pris directement à moi et non pas à Poledra. A moins que ! Aurait-il prit Poledra pour l'enfant se trouvant dans la Forêt il y'a 5 ans ?! Car si j'ai bien compris, de leur vivant mes parents n'étaient pas le genre de personne à se laisser faire, et donc quand Ignace a vu que Poledra semblait "hargneuse", il s'en est prit à elle ! Nan ça ne tiens pas debout... Je dois surement être fatigué. Mais, je parlerais de tout ça à Poledra en privé, plus tard, car la priorité est de la soigner.
Ïlvaar- Novice
- Race : Demi-sang
Re: Le voyage pour la capitale !
Le jeune Drow posa quelques questions à Sani, au sujet de De Sylve, pendant que Poledra tentait, tant bien que mal, de prendre soin de sa cheville blessée. Malheureusement, avec les moyens du bord, elle ne pouvait aller bien loin, métaphoriquement parlant, tandis qu'une fois au sein des murs de la Guilde, cela serait une toute autre affaire. La "jeune" femme ne pouvait que prendre son mal en patience, et envelopper son pied brûlé à l'aide de bandages humides. Une fois que le Drow acheva sa conversation avec l'officier et se tourna vers sa compagne afin de lui donner ses conclusions : selon lui, il était possible que l'embuscade ayant eu lieu plus tôt n'était pas anodine, et il était probable qu'ils soient ciblés spécifiquement. Mais par qui ?
"Je pense que j'étais visée, en tant que membre de la Guilde des Guerriers. Il arrive que nous soyons pris pour cible, en raison de notre rôle de sécurité, suppléant à celui des gardes du Royaume. Certains bandits et trafiquants n'apprécient pas ce... Mélange. Et au lieu de se frotter aux gardes du Royaume, ils s'en prennent à nous. Quant aux soins... Nous devrions aller au plus vite à la Guilde. Je trouverais de quoi me guérir là-bas."
Elle désigna son pied fraîchement bandé d'un tissu humide, qui reposait précautionneusement à l'étrier. Poledra se frotta les yeux et fit signe à Ïlvaar de la suivre, avant de reprendre le chemin menant à Telbara. Durant le trajet, elle expliqua à Ïlvaar quels étaient les us et coutume de Telbara les plus casuelles. Le soleil réchauffait doucement sa peau hâlée et jouait dans ses cheveux couleur de neige. Au bout de quelques heures supplémentaires, et après un arrêt afin de se restaurer, ils parvinrent à voir la ville de Telbara se découper dans le lointain.
"Enfin ! Nous allons y parvenir bientôt... Une heure avant la tombée de la nuit, je pense..."
"Je pense que j'étais visée, en tant que membre de la Guilde des Guerriers. Il arrive que nous soyons pris pour cible, en raison de notre rôle de sécurité, suppléant à celui des gardes du Royaume. Certains bandits et trafiquants n'apprécient pas ce... Mélange. Et au lieu de se frotter aux gardes du Royaume, ils s'en prennent à nous. Quant aux soins... Nous devrions aller au plus vite à la Guilde. Je trouverais de quoi me guérir là-bas."
Elle désigna son pied fraîchement bandé d'un tissu humide, qui reposait précautionneusement à l'étrier. Poledra se frotta les yeux et fit signe à Ïlvaar de la suivre, avant de reprendre le chemin menant à Telbara. Durant le trajet, elle expliqua à Ïlvaar quels étaient les us et coutume de Telbara les plus casuelles. Le soleil réchauffait doucement sa peau hâlée et jouait dans ses cheveux couleur de neige. Au bout de quelques heures supplémentaires, et après un arrêt afin de se restaurer, ils parvinrent à voir la ville de Telbara se découper dans le lointain.
"Enfin ! Nous allons y parvenir bientôt... Une heure avant la tombée de la nuit, je pense..."
Poledra- Elite
- Race : Argilite
Re: Le voyage pour la capitale !
Poledra : "Je pense que j'étais visée, en tant que membre de la Guilde des Guerriers. Il arrive que nous soyons pris pour cible, en raison de notre rôle de sécurité, suppléant à celui des gardes du Royaume. Certains bandits et trafiquants n'apprécient pas ce... Mélange. Et au lieu de se frotter aux gardes du Royaume, ils s'en prennent à nous. Quant aux soins... Nous devrions aller au plus vite à la Guilde. Je trouverais de quoi me guérir là-bas."
Eh bien... la vie à la Guilde des Guerriers n'est vraiment pas de tout repos à ce que je vois ! J'espère cependant qu'elle avait raison.
Tout en disant cela, Poledra montrait son pied blessé. Bien que je lui fasse plus ou moins confiance, je pense qu'il aurait fallu la soigner un minimum avant de reprendre la route... après tout, il faut éviter que la blessure s'aggrave durant le trajet jusqu'à Telbara. Je garderais un œil sur elle tout de même.
Durant notre trajet, elle m'enseigna les us et coutumes de Telbara, du moins dans leurs globalités. Heureusement pour moi, pour une bonne partie d'entre elles, l'apprentissage était rapide ! Entre ce que mes parents m'avaient enseigné et les "cours" de Sölena j'avais un bon pied à terre... Mes parents... Sölena... Ils me manquent. Pour cette dernière, j'espère qu'elle ne m'en veux pas trop...
Alors que j'étais une fois de plus perdu dans mes pensées, je ne prêtais plus attention au monde m'entourant, je ne faisais que suivre de manière hésitante Poledra ; manquant parfois de faire "tomber" mon cheval dans des trous et de changer quelques peut de directions. Au bout d'un moment, je distingua que le cheval de la jeune femme changea de direction. On allait faire une halte pour manger. Ayant toujours l'esprit ailleurs, je descendis de mon cheval maladroitement, comme si c'était la première fois que j'en descendais.
Durant cette petite halte, aucun mot ne sortit de ma bouche, pas plus que ma camarade.
Au bout d'une vingtaine de minutes, nous étions repartis en direction de Telbara et mon état n'allait pas en s'améliorant. En effet entre la tristesse que je ressentais plus la sensation d'angoisse qui montait en moi à mesure que nous nous rapprochions de la ville. Je savais que physiquement Poledra était plus mal en point que moi, mais... Non il n'y a pas de mais ! Entre elle et moi actuellement, la personne ayant le plus besoin d'aide c'est bien elle ! Je me ressaisis et me concentra sur la route.
Plus tard, une ville était en vue à l'horizon, c'est alors que Poledra rompu le silence.
Poledra : "Enfin ! Nous allons y parvenir bientôt... Une heure avant la tombée de la nuit, je pense..."
Je soupira de fatigue, puis interpela Poledra.
"Comment vous sentez-vous Poledra ? Vous tenez le coup ?"
Je commençais à m'inquiéter, avec toutes ses blessures elle devait être plutôt affaiblie, même pour un membre de la Guilde des Guerriers. Je me dis que j'aurais mieux fais d'écouter mon père lorsqu'il essayait de m'apprendre à soigner à l'aide de plante, plutôt que de m'amuser... Mais bon, comme le disaient mes parents : ce qui est passé, ne peut être changé... Etrange, je viens seulement de comprendre cette phrase, maintenant que je sais qu'ils ont tués de nombreuses personnes, elle fait sens...
Lorsque Poledra se tourna vers moi, je sentis dans son regard la douleur qu’elle éprouvait, même si son visage était moins expressif.
Eh bien... la vie à la Guilde des Guerriers n'est vraiment pas de tout repos à ce que je vois ! J'espère cependant qu'elle avait raison.
Tout en disant cela, Poledra montrait son pied blessé. Bien que je lui fasse plus ou moins confiance, je pense qu'il aurait fallu la soigner un minimum avant de reprendre la route... après tout, il faut éviter que la blessure s'aggrave durant le trajet jusqu'à Telbara. Je garderais un œil sur elle tout de même.
Durant notre trajet, elle m'enseigna les us et coutumes de Telbara, du moins dans leurs globalités. Heureusement pour moi, pour une bonne partie d'entre elles, l'apprentissage était rapide ! Entre ce que mes parents m'avaient enseigné et les "cours" de Sölena j'avais un bon pied à terre... Mes parents... Sölena... Ils me manquent. Pour cette dernière, j'espère qu'elle ne m'en veux pas trop...
Alors que j'étais une fois de plus perdu dans mes pensées, je ne prêtais plus attention au monde m'entourant, je ne faisais que suivre de manière hésitante Poledra ; manquant parfois de faire "tomber" mon cheval dans des trous et de changer quelques peut de directions. Au bout d'un moment, je distingua que le cheval de la jeune femme changea de direction. On allait faire une halte pour manger. Ayant toujours l'esprit ailleurs, je descendis de mon cheval maladroitement, comme si c'était la première fois que j'en descendais.
Durant cette petite halte, aucun mot ne sortit de ma bouche, pas plus que ma camarade.
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Au bout d'une vingtaine de minutes, nous étions repartis en direction de Telbara et mon état n'allait pas en s'améliorant. En effet entre la tristesse que je ressentais plus la sensation d'angoisse qui montait en moi à mesure que nous nous rapprochions de la ville. Je savais que physiquement Poledra était plus mal en point que moi, mais... Non il n'y a pas de mais ! Entre elle et moi actuellement, la personne ayant le plus besoin d'aide c'est bien elle ! Je me ressaisis et me concentra sur la route.
Plus tard, une ville était en vue à l'horizon, c'est alors que Poledra rompu le silence.
Poledra : "Enfin ! Nous allons y parvenir bientôt... Une heure avant la tombée de la nuit, je pense..."
Je soupira de fatigue, puis interpela Poledra.
"Comment vous sentez-vous Poledra ? Vous tenez le coup ?"
Je commençais à m'inquiéter, avec toutes ses blessures elle devait être plutôt affaiblie, même pour un membre de la Guilde des Guerriers. Je me dis que j'aurais mieux fais d'écouter mon père lorsqu'il essayait de m'apprendre à soigner à l'aide de plante, plutôt que de m'amuser... Mais bon, comme le disaient mes parents : ce qui est passé, ne peut être changé... Etrange, je viens seulement de comprendre cette phrase, maintenant que je sais qu'ils ont tués de nombreuses personnes, elle fait sens...
Lorsque Poledra se tourna vers moi, je sentis dans son regard la douleur qu’elle éprouvait, même si son visage était moins expressif.
Ïlvaar- Novice
- Race : Demi-sang
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