Acte I "A l'aube d'un voyage"

C' été le matin, le soleil venait à peine de dessiner les contours des montagnes, que je me baladais dans les rues de la capitale des nains, Sileth, les rues étroites et humides étaient pour le moment vide, mais dans quelques heures, les nains et autres races du magnifique monde de Orcande allaient parcourir les rues, à la recherche de forgeron prisés, de rencontre, d'achat intéressant au grand marcher, ou à la recherche de quêtes semer de pièges mais récompenser par des montagnes d'or.

Mon visage était celui d'un nain banale avec peu de sommeil, en effet je n'avais pas beaucoup dormis cette nuit, mes parents morts hantaient souvent mes pensées et mes rêves, je préférais donc resté éveillé au lieu de les voire, je portais seulement mes habits de citoyens banale.

Je marchais dans les rues sale et mal entretenues d'un aire décidé comme toujours, vers l'auberge du coin la plus connue, ou les quêtes s'affichent le matin et reparte le soir. Je ne cherchais pas de quêtes, non, je cherchais à afficher une annonce, une annonce de recrutement pour une longue marche. Une marche du sud au nord, de Sileth, à Estandre.

Arrivé à l'auberge, la patronne me salua, j'étais un de ces premiers clients matinale, il y avait un autre nain au bout de la pièce entrun de compter sa bourse tout en buvant une corne remplie de bière, une des meilleures que l'on puisse trouver dans tout Orcande, je m’assis au comptoirs brusquement sur un tabouret de bars en bois d'acajou.

"Bonjour patronne, une de vos meilleure bière s'il vous plait."
"Comme toujours Terin. Que me voulez vous aujourd'hui à part votre petite bière matinale? Je vous ai vue par la fenêtre vous aviez l'aire bien décidé, et Théno lui même sais que vous ne prenez jamais de quêtes.

Je prie ma bière tout en déposant les quelques pièces d'argents qu'il me restait, je prie une gorgée.

"J'aimerais déposé une annonce, pourriez vous me l'affiché à l'entrée de l'auberge s'il vous plait ?"
"Faites moi voir ça"

Je sortie l'affiche de ma sacoche et la posa sur le comptoirs sans l'abimer.


" Très bien je vais te l'afficher."

Je prie le temps de terminer ma bière, puis je prie mon mal en patiente attendant les premiers intérressés.