Tacowaka, le cavalier de la vengeance [Centaure / Guerrier-Mage]
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Tacowaka, le cavalier de la vengeance [Centaure / Guerrier-Mage]
Nom de votre personnage : Tecowaka
Age de votre personnage : 37 ans
Race : Centaure
Classe : Guerrier-mage
Arme : Une faucielle de guerre et des lances
Armure : Plastron en cuir, brassard de même matière, petite cape verte.
Capacité spéciale : //
Compétence raciale : Précision
Sorts ou compétences de votre personnage :
- Maniement de la faucille
- Maniement de la lance
- Magie de la foudre :
- Armement du tonnere : Capacité de projeter des boules électriques avec son arme en main.
- Magie du feu :
- Lame infernal : Du feu enveloppe l'arme en main et cause des brûlure à la cible lors du contact.
Compétences secondaires de votre personnage :
- Connaissance de la flore
- Orientation naturelle
Physique :
Cheveux noirs qui descendent jusqu'en bas des omoplates, barbes noir, peau maté, robe noire avec des taches blanches sur les genoux. Une queue noire également. Son visage à des traits plus proche de l'humain que de l’équin.
Psychologie :
Tacowaka est quelqu’un d’assez froid et direct. Il parle peu et à chaque fois sur un ton presque provoquant, ou accusateur. Il garde en réalité énormément de colère en lui. Cela est dû à la vie qu’il eut sur les terres Estanol et de l’injustice qu’il fut victime lors d’une bataille. Depuis, il voue une haine envers les humains et les esclavagistes. Il ne pense qu’à sa vengeance et à rependre sa justice. Cela le mène donc à charger devant lui pour y arriver, souvent aux dépens de ceux qui l’entoure. Il n’est pas pourtant dépourvu de sensibilité et de détachement. Même si ses manières sont considérées comme brutale, manquant de tact, il a peur du mal qui peut arriver à ceux qu’il choisit comme ami. Il peut tellement avoir peur que quelqu’un ou quelque chose ne vienne leur faire du mal, qu’il cherchera à les mettre à l’écart. Pire, il a même peur de leur faire du mal et donc, pensant que ce serait le mieux pour eux, il mettra de la distance entre eux et lui.
Histoire de votre personnage :
« Rends-nous fière. Fais-le pour ta race, bats-toi pour son honneur et sa liberté ».
Voici les mots les plus vieux qui me revenaient quand j’étais encore enfant. Je n’ai que très peu de souvenirs de cette période de ma vie. Les moments de joie, de bonheur entre amis et avec la famille ont… Disparue. Seuls ces mots restèrent. Ils sont forgés le reste de ma vie, les graines de la destruction et du malheur. Vous trouvez que j’exagère ? Que j’emploie les mauvais mots ? Si seulement, c’était vrai. Attendez donc de connaître la suite et vous verrez bien. Oh oui, je sais, beaucoup d’autres connurent une vie bien atroce, ce qui me révolte tout autant. Un centaure, ce n’est pas qu’un être vivant dans la nature et y trouvant son bonheur, c’est avant tout un esprit qui souffre dans un monde déchiré. Enfin, écouter et vous comprendrez.
Je suis originaire de la forêt de la Vanille dans le territoire d’Estanol. Déjà on pouvait imaginer la situation. Comme pour beaucoup de mes frères et sœurs, je fus enrôlé dans l’armée. Petit, je fus emmenée par mes parents à Fort Hybride. Eux aussi, ils voulurent rejoindre les forces armées et en entrant dans ce fort, ils me dirent ces mots. Je ne me souviens plus très bien à quoi ressemblait ce fort, à l’exception des murs fortifié impressionnant. Mais je m’entraînais dès mon plus jeune âge à manier différentes armes. L’endroit fut contrôlé par des humains, c’était eux qui nous commander et nous apprirent à manier les armes. Et nous, nous suivions. Pourquoi ? Je ne serais trop vous le dire, ils nous promirent mille merveilles. La liberté, la paix, nous rendre plus puissants, des terres… Il y avait tant de choses, à vous de choisir. Pour ma part… Je le faisais, car mes parents voulurent que je devienne une fierté pour mes semblables. Alors je m’entraînais sans arrêt, maniant les lames et la lance. Pendant des années, je m’acharnais à me perfectionner pour devenir le meilleur. Je détruisais des mannequins en bois et en pailles, je combattais à la lutte d’autres jeunes centaures, je faisais tomber les cibles quand je projetais mes lances et je participais à de nombreuses courses. Alors que je n’avais que douze ans, j’appris par un survivant d’un raid que mes parents furent tués. Ils étaient tombés sous les coups de l’ennemi. J’étais en rage. Je vouais une immense haine à l’encontre des Tacomans pour ce meurtre, ce qui renforça mon allégeance envers Estandre. Voilà mes seuls souvenirs de ma jeunesse.
Ce qui suivit fut le moment le plus noir de ma vie, mais le début d’un renouveau. Je n’avais pas loin la trentaine et déjà plusieurs batailles derrière moi. Combien ? Je ne sais plus, mais à cette époque, je voyais plus le nombre de Tacoman et de leurs alliés tuer. C’était tout ce qui comptait. Alors, quand on m’appela pour rejoindre un bataillon contre des forces Tacoman, je n’ai émis aucune résistance, de joie, j’avais bondi pour rejoindre les troupes. Si j’avais sus plutôt… Nous étions dans la plaine du roi, tout près des Gruppelles. Tacomnal y avait installé un camp. La mission était claire, le détruire. Nous suivions la même stratégie que d’habitude, les centaures furent envoyés en premier, nous foncions droit sur le camp ennemi. D’après notre commandant humain, c’était parce que nous étions forts et rapides, utiles pour percer les défenses adversaires. Ainsi, nous combattions en premier les guerriers Tacoman et tous ceux qu’ils avaient pour se défendre. Mais cette fois-ci, cela ne se passait pas comme d’habitude. Là, l’ennemi fut bien plus nombreux que d’habitude, une armée qui s’étendait devant nous à perte de vue. Avant, je combattais des armées bien plus petites et à chaque fois, je m’en sortais de justesse. Mais peu importe, je frappais tout adversaire à ma porter, tête et bras coupés, soldat empaler, guerrier piétiner… Le sang et les membres tranchés qui volaient pour se rependre au sol. Un vrai massacre, j’y trouvais une satisfaction. Alors que je faisais tomber nombre d’ennemis sous mes lames, je ne vis la flèche me transpercer l’épaule. Je fus surpris en la voyant après, et je fus choqué en voyant trois autres projectiles me transpercer. Je sentais mes forces me quitter rapidement, je lâchais mes armes, affaiblis par ces coups et le sang que je perdais. Et si cela ne suffisait pas, des ennemis en profitèrent pour m’assainir de coup d’épée. Je tombai à terre, subissant leurs coups ravageurs m’ouvrant le corps de toute part. La mort approchait rapidement de moi, mon âme rejoindra la nature.
J’aurais pu être mort à ce moment-là, mais si tel était le cas, comment pourrais-je vous raconter mon histoire. Malgré les coups mortels reçus, je revins à moi. Il faisait noir, nous étions en pleine nuit, les corps en morceaux au tour de moi témoignaient de la violence ces combats et l’odeur de la mort planait dans l’air. Je ne pouvais bouger, ni même parler. Le moindre effort me faisait atrocement souffrir. J’allais donc agoniser éveiller, dans les douleurs les plus atroces. J’ai eu un espoir quand des soldats Estanol me trouvèrent « Il est encore en vie ! », un autre répondit « Mes-le avec les autres ! Pour les soins ! » J’étais sauvé. Ils durent se mettre à plusieurs pour me porter et me mirent dans une grande charrette avec d’autres centaures entassés, la plupart déjà morts, le reste étaient comme moi. Nous menaient-ils voir des prêtres ? Nous partîmes donc. J’appris que nous avions remporté la bataille, mais pour des raisons inconnues, nous devions nous replier.
Le voyage durait des jours. Les râlements d’agonie de mes frères se turent un part un. Certains qui pouvaient encore bouger, rien qu’un peu, cessaient tout mouvement. Nous crevions à petit feu, et nous n’avions vu aucune ville ou fort depuis le début du voyage. J’aurais voulu être mort que d’endurer encore tout cela. Alors que je pensais justement y rester aussi durant le voyage, la charrette s’arrêta après avoir tourné. Étions-nous enfin arrivés ? Étions-nous arrivés à Estandre ou fort Hybride ? Du tout, je ne voyais pas grand-chose, car j’étais affaibli par mes blessures et le voyage, déshydrater et affamé. À nouveau, je fus porté. M’attendant à être déposé sur un quelque chose de confortable, je fus surpris en sentant que je tombais et que je heurtais qu’elle que chose de dure avant de nager à l’intérieur. Mon entrée était celle de quelque chose de lourd entrant dans l’eau. Ils m’avaient jeté à l’eau. Le froid me revigora et me fit sortir de mon état. Ouvrant bien grand les yeux, je vis que je coulais au fond des eaux. Je me débattais pour remonter à la surface, mais c’était sans espoir. Maudit soit les humains ! Tous des traitres ! Quelles que soient leurs origines, ils ne sont que des monstres ! Je me mis à prier, à qui ? À tout le monde, à la Nature, au panthéon orcandien, aux autres divinités que j’avais déjà entendu parler, et même aux inconnus. Je suppliais que l’un d’entre eux me vienne en aide. Les eaux devinrent de plus en plus sombres, l’air me manquait, j’étais perdu. Perdu ? Pas encore, car quand je fus plongée dans la pénombre, entrant dans les bras de la mort, une douce voix se fit entendre. Elle était belle et douce. Je l’entendais comme si j’étais à la surface. Ce chant transperça mon âme et je me sentis… Bien, apaiser. Ce fut comme si j’étais dans un rêve, le visage d’une très belle femme bleue apparue dans une lumière, me souriant. Je ne faisais rien, je ne bougeais plus. Elle chantait une mélopée envoutante. Avec ses mains, elle laissa quelque chose entrer en moi et ses jambes, des tentacules bien gracieux, me prirent dans leurs étreintes et me soulevèrent.
Quand je reviens à moi, j’étais allongé sur du sable. Il faisait jour, le soleil me réchauffer. Je me mis à cracher du sable et des vagues vinrent me frapper. J’étais sur une plage, là où les soldats estanols m’avaient jeté, j’avais dérivé jusqu’ici. J’allais donc mourir sur cette plage, laissant mon corps en nourriture aux animaux. Mais, je n’avais plus mal, mes membres répondirent à mes ordres. M’examinant, je constatai que je n’avais plus aucune blessure. Mes plaies avaient toutes disparues, un miracle. La vision que j’avais eue était donc vraie. Je me relevai donc et partis dans les terres. J’explorais les forêts et récupéré aussi des armes. J’avais droit à une seconde chance, je comptais en profiter. J’étais comme un nouveau centaure, qui venait de renaitre du sang et des eaux. De cette nouvelle vie, je voulais y mener une vie consacrée à la vengeance et à combattre l’esclavagisme sous toutes ses formes. Pour cela, j’avais besoin de plus de puissance. J’allais pour cela à la rencontre de druide et de sorcier pour m’enseigner des sorts de combat, ce que j’ai eu. Mais pendant mon apprentissage, j’appris l’existence de guerrier usant d’une grande puissance, celle sur Styx. Je voulais l’apprendre pour pourvoir écraser mes ennemis, mais mon maître dut m’expliquer plus d’un fois que si j’usais d’une telle magie, je transmettrais un mauvais message pour ma mission. J’ai dû finalement me contenter de ce que je savais déjà, partant dans ma croisade.
Age de votre personnage : 37 ans
Race : Centaure
Classe : Guerrier-mage
Arme : Une faucielle de guerre et des lances
Armure : Plastron en cuir, brassard de même matière, petite cape verte.
Capacité spéciale : //
Compétence raciale : Précision
Sorts ou compétences de votre personnage :
- Maniement de la faucille
- Maniement de la lance
- Magie de la foudre :
- Armement du tonnere : Capacité de projeter des boules électriques avec son arme en main.
- Magie du feu :
- Lame infernal : Du feu enveloppe l'arme en main et cause des brûlure à la cible lors du contact.
Compétences secondaires de votre personnage :
- Connaissance de la flore
- Orientation naturelle
Physique :
Cheveux noirs qui descendent jusqu'en bas des omoplates, barbes noir, peau maté, robe noire avec des taches blanches sur les genoux. Une queue noire également. Son visage à des traits plus proche de l'humain que de l’équin.
Psychologie :
Tacowaka est quelqu’un d’assez froid et direct. Il parle peu et à chaque fois sur un ton presque provoquant, ou accusateur. Il garde en réalité énormément de colère en lui. Cela est dû à la vie qu’il eut sur les terres Estanol et de l’injustice qu’il fut victime lors d’une bataille. Depuis, il voue une haine envers les humains et les esclavagistes. Il ne pense qu’à sa vengeance et à rependre sa justice. Cela le mène donc à charger devant lui pour y arriver, souvent aux dépens de ceux qui l’entoure. Il n’est pas pourtant dépourvu de sensibilité et de détachement. Même si ses manières sont considérées comme brutale, manquant de tact, il a peur du mal qui peut arriver à ceux qu’il choisit comme ami. Il peut tellement avoir peur que quelqu’un ou quelque chose ne vienne leur faire du mal, qu’il cherchera à les mettre à l’écart. Pire, il a même peur de leur faire du mal et donc, pensant que ce serait le mieux pour eux, il mettra de la distance entre eux et lui.
Histoire de votre personnage :
« Rends-nous fière. Fais-le pour ta race, bats-toi pour son honneur et sa liberté ».
Voici les mots les plus vieux qui me revenaient quand j’étais encore enfant. Je n’ai que très peu de souvenirs de cette période de ma vie. Les moments de joie, de bonheur entre amis et avec la famille ont… Disparue. Seuls ces mots restèrent. Ils sont forgés le reste de ma vie, les graines de la destruction et du malheur. Vous trouvez que j’exagère ? Que j’emploie les mauvais mots ? Si seulement, c’était vrai. Attendez donc de connaître la suite et vous verrez bien. Oh oui, je sais, beaucoup d’autres connurent une vie bien atroce, ce qui me révolte tout autant. Un centaure, ce n’est pas qu’un être vivant dans la nature et y trouvant son bonheur, c’est avant tout un esprit qui souffre dans un monde déchiré. Enfin, écouter et vous comprendrez.
Je suis originaire de la forêt de la Vanille dans le territoire d’Estanol. Déjà on pouvait imaginer la situation. Comme pour beaucoup de mes frères et sœurs, je fus enrôlé dans l’armée. Petit, je fus emmenée par mes parents à Fort Hybride. Eux aussi, ils voulurent rejoindre les forces armées et en entrant dans ce fort, ils me dirent ces mots. Je ne me souviens plus très bien à quoi ressemblait ce fort, à l’exception des murs fortifié impressionnant. Mais je m’entraînais dès mon plus jeune âge à manier différentes armes. L’endroit fut contrôlé par des humains, c’était eux qui nous commander et nous apprirent à manier les armes. Et nous, nous suivions. Pourquoi ? Je ne serais trop vous le dire, ils nous promirent mille merveilles. La liberté, la paix, nous rendre plus puissants, des terres… Il y avait tant de choses, à vous de choisir. Pour ma part… Je le faisais, car mes parents voulurent que je devienne une fierté pour mes semblables. Alors je m’entraînais sans arrêt, maniant les lames et la lance. Pendant des années, je m’acharnais à me perfectionner pour devenir le meilleur. Je détruisais des mannequins en bois et en pailles, je combattais à la lutte d’autres jeunes centaures, je faisais tomber les cibles quand je projetais mes lances et je participais à de nombreuses courses. Alors que je n’avais que douze ans, j’appris par un survivant d’un raid que mes parents furent tués. Ils étaient tombés sous les coups de l’ennemi. J’étais en rage. Je vouais une immense haine à l’encontre des Tacomans pour ce meurtre, ce qui renforça mon allégeance envers Estandre. Voilà mes seuls souvenirs de ma jeunesse.
Ce qui suivit fut le moment le plus noir de ma vie, mais le début d’un renouveau. Je n’avais pas loin la trentaine et déjà plusieurs batailles derrière moi. Combien ? Je ne sais plus, mais à cette époque, je voyais plus le nombre de Tacoman et de leurs alliés tuer. C’était tout ce qui comptait. Alors, quand on m’appela pour rejoindre un bataillon contre des forces Tacoman, je n’ai émis aucune résistance, de joie, j’avais bondi pour rejoindre les troupes. Si j’avais sus plutôt… Nous étions dans la plaine du roi, tout près des Gruppelles. Tacomnal y avait installé un camp. La mission était claire, le détruire. Nous suivions la même stratégie que d’habitude, les centaures furent envoyés en premier, nous foncions droit sur le camp ennemi. D’après notre commandant humain, c’était parce que nous étions forts et rapides, utiles pour percer les défenses adversaires. Ainsi, nous combattions en premier les guerriers Tacoman et tous ceux qu’ils avaient pour se défendre. Mais cette fois-ci, cela ne se passait pas comme d’habitude. Là, l’ennemi fut bien plus nombreux que d’habitude, une armée qui s’étendait devant nous à perte de vue. Avant, je combattais des armées bien plus petites et à chaque fois, je m’en sortais de justesse. Mais peu importe, je frappais tout adversaire à ma porter, tête et bras coupés, soldat empaler, guerrier piétiner… Le sang et les membres tranchés qui volaient pour se rependre au sol. Un vrai massacre, j’y trouvais une satisfaction. Alors que je faisais tomber nombre d’ennemis sous mes lames, je ne vis la flèche me transpercer l’épaule. Je fus surpris en la voyant après, et je fus choqué en voyant trois autres projectiles me transpercer. Je sentais mes forces me quitter rapidement, je lâchais mes armes, affaiblis par ces coups et le sang que je perdais. Et si cela ne suffisait pas, des ennemis en profitèrent pour m’assainir de coup d’épée. Je tombai à terre, subissant leurs coups ravageurs m’ouvrant le corps de toute part. La mort approchait rapidement de moi, mon âme rejoindra la nature.
J’aurais pu être mort à ce moment-là, mais si tel était le cas, comment pourrais-je vous raconter mon histoire. Malgré les coups mortels reçus, je revins à moi. Il faisait noir, nous étions en pleine nuit, les corps en morceaux au tour de moi témoignaient de la violence ces combats et l’odeur de la mort planait dans l’air. Je ne pouvais bouger, ni même parler. Le moindre effort me faisait atrocement souffrir. J’allais donc agoniser éveiller, dans les douleurs les plus atroces. J’ai eu un espoir quand des soldats Estanol me trouvèrent « Il est encore en vie ! », un autre répondit « Mes-le avec les autres ! Pour les soins ! » J’étais sauvé. Ils durent se mettre à plusieurs pour me porter et me mirent dans une grande charrette avec d’autres centaures entassés, la plupart déjà morts, le reste étaient comme moi. Nous menaient-ils voir des prêtres ? Nous partîmes donc. J’appris que nous avions remporté la bataille, mais pour des raisons inconnues, nous devions nous replier.
Le voyage durait des jours. Les râlements d’agonie de mes frères se turent un part un. Certains qui pouvaient encore bouger, rien qu’un peu, cessaient tout mouvement. Nous crevions à petit feu, et nous n’avions vu aucune ville ou fort depuis le début du voyage. J’aurais voulu être mort que d’endurer encore tout cela. Alors que je pensais justement y rester aussi durant le voyage, la charrette s’arrêta après avoir tourné. Étions-nous enfin arrivés ? Étions-nous arrivés à Estandre ou fort Hybride ? Du tout, je ne voyais pas grand-chose, car j’étais affaibli par mes blessures et le voyage, déshydrater et affamé. À nouveau, je fus porté. M’attendant à être déposé sur un quelque chose de confortable, je fus surpris en sentant que je tombais et que je heurtais qu’elle que chose de dure avant de nager à l’intérieur. Mon entrée était celle de quelque chose de lourd entrant dans l’eau. Ils m’avaient jeté à l’eau. Le froid me revigora et me fit sortir de mon état. Ouvrant bien grand les yeux, je vis que je coulais au fond des eaux. Je me débattais pour remonter à la surface, mais c’était sans espoir. Maudit soit les humains ! Tous des traitres ! Quelles que soient leurs origines, ils ne sont que des monstres ! Je me mis à prier, à qui ? À tout le monde, à la Nature, au panthéon orcandien, aux autres divinités que j’avais déjà entendu parler, et même aux inconnus. Je suppliais que l’un d’entre eux me vienne en aide. Les eaux devinrent de plus en plus sombres, l’air me manquait, j’étais perdu. Perdu ? Pas encore, car quand je fus plongée dans la pénombre, entrant dans les bras de la mort, une douce voix se fit entendre. Elle était belle et douce. Je l’entendais comme si j’étais à la surface. Ce chant transperça mon âme et je me sentis… Bien, apaiser. Ce fut comme si j’étais dans un rêve, le visage d’une très belle femme bleue apparue dans une lumière, me souriant. Je ne faisais rien, je ne bougeais plus. Elle chantait une mélopée envoutante. Avec ses mains, elle laissa quelque chose entrer en moi et ses jambes, des tentacules bien gracieux, me prirent dans leurs étreintes et me soulevèrent.
Quand je reviens à moi, j’étais allongé sur du sable. Il faisait jour, le soleil me réchauffer. Je me mis à cracher du sable et des vagues vinrent me frapper. J’étais sur une plage, là où les soldats estanols m’avaient jeté, j’avais dérivé jusqu’ici. J’allais donc mourir sur cette plage, laissant mon corps en nourriture aux animaux. Mais, je n’avais plus mal, mes membres répondirent à mes ordres. M’examinant, je constatai que je n’avais plus aucune blessure. Mes plaies avaient toutes disparues, un miracle. La vision que j’avais eue était donc vraie. Je me relevai donc et partis dans les terres. J’explorais les forêts et récupéré aussi des armes. J’avais droit à une seconde chance, je comptais en profiter. J’étais comme un nouveau centaure, qui venait de renaitre du sang et des eaux. De cette nouvelle vie, je voulais y mener une vie consacrée à la vengeance et à combattre l’esclavagisme sous toutes ses formes. Pour cela, j’avais besoin de plus de puissance. J’allais pour cela à la rencontre de druide et de sorcier pour m’enseigner des sorts de combat, ce que j’ai eu. Mais pendant mon apprentissage, j’appris l’existence de guerrier usant d’une grande puissance, celle sur Styx. Je voulais l’apprendre pour pourvoir écraser mes ennemis, mais mon maître dut m’expliquer plus d’un fois que si j’usais d’une telle magie, je transmettrais un mauvais message pour ma mission. J’ai dû finalement me contenter de ce que je savais déjà, partant dans ma croisade.
Tecowaka- (personnage abandonné)
- Race : Centaure
Re: Tacowaka, le cavalier de la vengeance [Centaure / Guerrier-Mage]
Bonjour et re-bienvenue sur le forum !
Rien à redire sur ta fiche, tu es validé et peux commencer le RP.
N'oublie pas de te créer une signature avec un lien vers ta fiche, à afficher à chaque RP.
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- Code:
[url=http://orcande.1fr1.net/t406-tacowaka-centaure-guerrier-mage#3882]Fiche de personnage[/url]
Athyl- Membre du staff
Tecowaka- (personnage abandonné)
- Race : Centaure
Re: Tacowaka, le cavalier de la vengeance [Centaure / Guerrier-Mage]
Félicitations, tu passes au grade Bon !
Je te laisse poster ici ton choix de nouvelle compétence.
Je te laisse poster ici ton choix de nouvelle compétence.
Athyl- Membre du staff
Re: Tacowaka, le cavalier de la vengeance [Centaure / Guerrier-Mage]
Je prendrais Grande agilité
Merci beaucoup
Merci beaucoup
Tecowaka- (personnage abandonné)
- Race : Centaure
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