Le Deal du moment : -50%
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
Voir le deal
69.99 €

Avez-vous besoin d'aide ?

2 participants

Aller en bas

Avez-vous besoin d'aide ? Empty Avez-vous besoin d'aide ?

Message  Léana Jeu 5 Déc 2019 - 10:02

Le ciel est bien bleu en cette matinée d'hiver. Il doit être près de midi, après tout... Il est donc normal de voir le Soleil, même en plein hiver. Mais bon, je dois avouer que son absence ne m'affecterait pas plus que ça. En cas de météo trop peu favorable, il me suffirait de plonger dans les bras liquides et rassurants de mes parents. J'ai toujours tellement aimé tenter le diable, en été, laissant le Soleil me brûler la peau jusqu'à ne plus le supporter, dans le seul but de me réfugier dans la fraîcheur rassurante de mon monde liquide. C'est comme ça, je n'aime ni l'été ni le Soleil, mais j'adore jouer avec eux. Une gamine, même après tant d'années, ou de siècles, je ne sais pas ? Oui, complètement, et j'assume !

Cependant, aujourd'hui, il n'est pas question de jouer. En effet, je veux aller me promener, mais pas comme d'habitude, sans beaucoup m'éloigner de ma cascade. Aujourd'hui, j'ai décidé de devenir une adulte, de partir découvrir le monde. Il paraît qu'il existe d'autres cascades, d'autres lacs, et même des étendues d'eau bien plus grandes. J'aimerais bien voir la mer, découvrir la sensation de nager dans de l'eau salée... Est-ce que cela sera agréable ? Dérangeant ? Douloureux ? Le sel est-il vraiment aussi piquant sur la peau qu'on le dit ? Je veux découvrir tout cela. Et je le découvrirai. C'est désormais le but de ma vie.

Mais avant d'entreprendre un voyage, il faut s'équiper. Je fais donc bien attention à ne pas oublier ma dague. Je ne sais pas me battre, il est donc indispensable pour moi de porter une arme dont je sais me servir, juste au cas où. Bien sûr, face à un combattant expérimenté, je sais bien que je n'aurai aucune chance, mais il me faut pouvoir au moins faire semblant de me détendre. De plus... J'aime soigner. Je me suis souvent entraînée au soin avec les petits animaux de la prairie proche de mon lac. La plupart avaient échappé de peu à des chasseurs ou des prédateurs... D'ailleurs, si j'en croise un, de chasseur... Je ne sais pas ce que je ferai, mais je ne le laisserai pas continuer à tuer impunément, ça, c'est sûr !
Pour finir, ma dague peut me permettre de m'aider à soigner : en effet, j'ai quelquefois eu à utiliser ma lame pou dégager un caillou bloqué dans la patte d'un animal... Et certaines plantes ne peuvent pas être utilisées entières, il faut donc bien pouvoir les découper...

Ainsi rassurée quand au fait de porter sur moi un objet aussi utile, et surtout, pas nécessairement létal, je m'arrange pour que l'arme touche ma peau, afin de le froid du métal me rassure. Mais je veille aussi à la rendre invisible pour un œil extérieur : en cas d'attaque, je ne pourrai compter que sur l'effet de surprise pour pouvoir m'échapper, peut-être au prix d'une blessure infligée à l'attaquant. Cela peut être nécessaire, malheureusement, même si je préfère largement refermer les blessures que les ouvrir.

Tout en pensant, je me suis éloignée sur ce sol spongieux que j'ai fini par apprendre à aimer. Ce qui amène une nouvelle question : serai-je encore capable de marcher sur un sol plus stable ? Car il est évident que, une fois sortie de la prairie, le sol n'aura pas cette consistance d'éponge...

Enfin ! Il sera toujours temps de s'inquiéter de ça plus tard. Pour l'instant, j'ai une préoccupation plus immédiate : une silhouette se découpe un peu plus loin. C'est étrange : d'habitude, on ne croise ici que de petits animaux... Il y a bien parfois quelques humanoïdes, mais ils sont à chaque fois perdus et ne tardent donc jamais à repartir. Je crois d'ailleurs qu'ils n'aiment pas trop ce sol...

Peut-être que celui-là est comme les autres ? S'il est perdu, je peux peut-être l'aider, même si mes connaissances géographiques se limitent exclusivement aux environs. Afin de ne pas le surprendre, je lève la main en un salut, même si nous ne sommes pas à portée de voix l'un de l'autre. Mais au moins, chacun de nous sait que l'autre l'a vu.

Après quelques pas de plus, j'estime qu'il pourra m'entendre si j'élève la voix, ce que je fais, même si je suis encore trop loin de lui pour bien le voir. Je devine simplement une silhouette féline.

    - Bonjour ! Je peux vous aider ?
Léana
Léana
Novice
Novice

Race : Dryade de l'Eau

Revenir en haut Aller en bas

Avez-vous besoin d'aide ? Empty Re: Avez-vous besoin d'aide ?

Message  Nimar Ombrien Mar 10 Déc 2019 - 23:11

Il est de notoriété publique qu'un bandit vit, si longtemps qu'il ne devient pas célèbre. Cette règle s'applique à tous ceux qui, comme Nimar, vivent sur le fil rouge de la légalité au travers de chaque royaume, et surtout à ceux qui ont décidé de dépasser le dit fil. Mais hélas, si cette loi est connue, on n'apprend que bien trop tard combien il est complexe de contrôler les rumeurs et les bruits. C'est pour cette raison que le chat galeux est partit de la capitale. Il n'est pas ici de fuir des représailles, mais de faire son activité lucrative favorite: la chasse à la tête primée. Quelle autre raison peut pousser un voleur à fuir la capitale des laxistes? Tout débuta à Telbara, ville de toutes les races et toutes les classes. Un matin que sa récolte de bourses se faisait bonne, maître félin se décida à sortir trouver une taverne plus originale que ses taudis habituels. Là, il trouva sur la place publique un sympathique troubadour venant de loin, du nord, là où les forêts sont sauvages et la loi et le droit sont tribaux... Ce sont ses mots. Dans le langage intellectuel, on dit "la forêt de Lagisse". Nom que ce maudit chanteur de nouvelles a finit par lâcher après deux minutes d'assourdissantes mélodies qui plaisaient à l'oreille du fin alcoolo. Esteban le sanguinaire, ce bandit connu pour avoir déjà échappé aux puissants mercenaires de la guilde des guerriers, aurait fait des siennes... Cet honneur fait à ladite guilde arracha même un léger rire condescendant au félidé. Toujours est-il que ce fameux homme était maintenant connu. Il se serait installé au sud de Lagisse, un peu au nord de Phuolocht. Il n'était donc plus sous l'autorité légale de Telbara... Mais avait-il gagné aux changes? Selon la mémoire d'Ombrien, les forces de l'ordre locales ne voulaient pas sa tête pour plus de cinq pièces d'or. Or, il semblerait qu'il ait si bien porté préjudice à un bourg voisin, que le criminel aurait gagné face aux voisins une prime dépassant la vingtaine de pièces d'or. Une véritable fortune pour laquelle les chasseurs de prime eurent pu se bousculer: à n'en pas douter, la cible sera toujours vivante après le voyage du félidé, et le déclin de ce brave parasite lui apparaîtra face à la pleine lune sous le nom de Nimar Ombrien.

Il fallut à l'abrutis trois semaines et demi pour atteindre le bourg où aurait sévi ce fameux Esteban. Un lieu assez immense disposant de milliers d'âmes, d'une garnison de soldats, et surtout d'un conséquent écart entre les basses rues et le centre ville: preuve de civilisation ! Ainsi réconforté de se sentir comme chez-soi, le félidé passa sa journée puis le lendemain, et le surlendemain à draguer, boire, insulter, taper sur plus bourré que lui... Bref, une récolte d'information en bon et due forme. Finalement il parvint à obtenir les mots d'un caporal ayant eu l'honneur de faire face au bandit. Des conseils précieux lui parviendront sans doutes ainsi...

-Initialement, il oppérait au sein des basses rues de notre commune. Ce salopard a réussi à corrompre nos fils et à les retourner contre nous. Il a fait tourné le marché noir si bien qu'il a pu se payer une cotte de maille et armer presque une trentaine de chiens galeux ! Dès qu'on a pu le localiser, on les a pris en tenaille avec cinq escouades armées. Mais évidemment, une armure ça fait le boulot: il a réussi à passer une ligne de front pour désorienter les soldats et sa trentaine de chacals ont chargé. On a perdu la moitié des effectifs d'attaque, et lui aussi. Ils se sont tous échappés vers la forêt où ils auraient monté un camp, mais nous on a été arrêté par des Ganves effrayés par le son de nos armures... Impossible de s'y aventurer avec un groupe de soldats sans voir une demi douzaine de ces saloperies nous tomber dessus. On en a énormément dans le coin...

La situation était claire: il fallait de la subtilité, des dagues, du poison, de la lâcheté et des solutions de femmes ! Nimar était aux anges, tout ce qu'il s'avait faire était requis ! Et pour couronner le tout, une demi douzaine de mercenaires arrivèrent le même matin pour lui servir d'avant garde. Ainsi, au crépuscule, alors que ces concurrents décidèrent de partir pour traquer leur proie, le tigrain les suivait dans l'obscurité et les broussailles sans un bruit. Un groupe d'épéistes équipés aussi de boucliers ronds bien mobiles dont tout guerrier apte au corps à corps rêve. Ils firent moins d'une lieu avant que dans l'obscurité, une suite de bruits légers comme des pas de gazelle ne se fasse entendre. Apparût alors au clair de lune la lame d'une hallebarde, levée à presque trois mètres de haut par un être assez déstabilisant: un Ganve. Les quatre pattes de la monstruosité étaient si efficacement placées au sol qu'on eut pu les croire plantées. Une queue de scorpions s'agitait à l'arrière de la chose alors que son abdomen et son torse humanoïdes laissaient ressortir le regard froid de sa tête insectoïde. Plus imposante que la plupart de ses semblables, cette femelle abattit un coup si violent sur le bouclier de sa cible que celui-ci se décalla et blessa le pauvre homme. Les cinq mercenaires se ruèrent alors sur la chose qui se défendit avec hargne. La hallebarde boisée de l'être sauvage s'agitait dans tous les sens alors que les lames des patauds en faisaient de même. Sous l'avantage du nombre, la bête n'avait aucune chance. C'est alors qu'une flèche sortit de l'obscurité pour se planter dans le dos d'un des épéistes. Le Ganve en profita et frappa de taille ce dernier, vers les poumons. Un ennemi de moins. Les quatre survivants se mirent dos à dos, cherchant à survivre à la créature prenant l'avantage et à localiser l'origine de l'attaque surprise. Une seconde flèche vint se planter dans la jambe du manifeste chef de compagnie, qui tomba à genoux devant l'hallebardier. Une frappe de taille trancha alors la question... Un des survivants s'enfuit en courant, l'autre bondit sur la créature, et survit une quinzaine de secondes, et le dernier courut sur l'origine de la flèche, trouvant ce que Nimar avait déjà repéré: un tireur camouflé dans les fourrées.

Inutile de dire que de ces trois hommes, seul le fuyard survit... Mais Ombrien, lui, restait et guettait. Le tireur ne l'avait pas remarqué, et le Ganve repartit à ses occupations. Ainsi, l'archer masqué s'en alla tranquillement, suivant un chemin tortueux jusqu'à, deux lieux plus loin, un camp. Bingo... La cible était maintenant à portée de main. Une dizaine d'hommes semblaient habiter ce camp. D'un pas vif mais silencieux, ne faisant pas même bouger les feuillages, le corps du félidé s'approcha. D'abord, les voix se mirent à porter à lui. Des rires forts et gras envahirent l'air ambiant... Un bougre s'éloigna pour pissoter, d'un pas vif, riant vaguement aux remarques de ses compagnons. Il apperçut du coin de l'oeil le reflet d'une lame et sans qu'il n'eut le temps de se retourner, son souffle se coupa sous l'effet d'une plaie ouverte dans la jugulaire. Il recula et s'écroula... Un de moins. Le félidé, enroulé dans une cape sombre cachant toute parcelle de sa peau excepté le bas de son visage dépassant de sa capuche, entra dans le camp, et passa dans une tente, entrant au travers de la toile comme si la matière n'était que de l'air. Deux dormeurs moururent alors. Et tandis que l'archer riant s'approchait du feu de camp, sortit de la tente une silhouette sombre qui d'un coup vif dans la nuque mit fin à la conscience du monsieur. Tous se levèrent alors, surpris de la vision de cet assassin... La réaction fut vive: les lames hurlèrent avec leurs fourreaux leur soif de sang et les salopards coururent vers le guépard qui les avoinait un a un.

Un premier envoya un coup d'estoc de son épée vers le félidé. Sa dague gauche dévia légèrement la lame tandis qu'un pas vif sur le flanc droit approcha les deux corps. La main droite de Nimar s'abattit alors avec une lame dans le torse du bougre, avant de l'éjecter sur le côté. Un second envoya une frappe de taille horizontale vers le visage du fou qui se baissa et, d'une balayette retournée, envoya valser l'ennemi. C'est alors qu'apparut la cible, fièrement placée dans une côte de maille, une masse à ailettes dans une main, un pavois dans l'autre. Nimar possède deux ennemis: les armures et les boucliers. Ce salopard est les deux. Une frappe de taille verticale de la masse vint d'abord rater de peu le crâne du tigrain qui s'écarta pour envoyer vers le visage ennemi une frappe bloquée par le pavois. L'ennemi répondit immédiatement par un revers de la masse qui fut aussi bien esquivé, et puis un coup de bouclier qui fit reculer Ombrien. Un autre coup de masse vint alors frôler les moustaches au félidé qui en profita pour user sa vitesse et accourir sur le flan gauche et protégé du massier, avant de se placer d'un second mouvement dans son dos. L'ennemi eut le réflexe immédiat de se retourner du côté armé pour envoyer une frappe en premier, et encore une fois, le tigrain se baissa et profita du mouvement ennemi pour lui planter une dague dans la cheville, entraînant la chute de l'adversaire. La lame gauche frappa soudainement l’œil du même côté de la cible qui s'écroula en arrière, se relevant péniblement. Au moment d'achever le chien, le pauvre félidé vit se planter dans son bras gauche une flèche. Un cri de douleur retentit et sans regarder le coupable, le chasseur prit la poudre d'escampette. Jusque là rien de compliqué: c'est un typé guépard...

Le pauvre accourut dans les bois, sans vraiment savoir où aller. L'adrénaline réfléchissait à sa place et après avoir chu deux ou trois fois, le blessé s'adossa à un arbre pour se calmer... Il échoua donc à se calmer, et dans un mouvement sot de panique, il arracha la flèche. Très maladroit... Il se tourna alors et vit au loin une silhouette le saluer de la main. Le chaton sauvage se tenait le bras blessé, appuyant fort sur sa blessure pour bloquer l’hémorragie. Son triste état était masqué par sa longue cape, bien qu'une tâche cramoisie était apparue vers l'épaule droite. La silhouette s'approcha, l'air de rien, et parla bien vite.

- Bonjour ! Je peux vous aider ?

Une voix féminine, presque rassurante, et surtout proposant ses services... La bête était un peu apaisée, mais pas totalement rassurée. Habitué à ne jamais se montrer en situation de faiblesse devant un inconnu, la bestiole décida de continuer de cacher sa blessure tant bien que mal. Tenant sous sa cape, son bras, il s'avança d'un pas vif et maladroit jusqu'à la... la nymphe? Un être atypique aux propriétés étranges avec des palmes au bout des doigts... Le tigrain était maintenant persuadé de perdre plus de sang que prévu. Sa voix grognante et un peu stressée répondit alors...

-Je... J'ai besoin de trouver le bourg voisin. Vous ne viendriez pas de là ? C'est urgent...

Se plaçant face à la demoiselle, comme par réflexe d’éloquence, l'abrutis laissa dépasser l'espace d'une seconde sa tâche de sang. Il se recula alors, et tituba légèrement. Il ne savait pas combien de sang il avait perdu, ni à quel point il était proche de la mort. Il devait trouver un soigneur et il semblerait que son seul espoir se résume à une nymphe. Les pas maladroits de la bestiole ne lui donnaient fier allure. D'ailleurs, rien ne devait le rendre agréable visuellement à son interlocutrice: sa voix était presque menaçante et paniquée, son air et son regard était distant et semblables à ceux d'une bête blessée, sa posture semblait hostile car, quand il se tient le bras, on eut pu croire qu'il caresse sous sa cape une lame... Non, à n'en pas douter, la pauvre bougresse ne devait pas être rassurée, même si c'est encore à elle d'en décider. Toujours est-il que la tension de Nimar étant trop haute, et l'hésitation trop longue, sa voix se haussa un peu...

-Alors ?! Où est ton bourg ? Je... J'ai pas le temps d'attendre !
Nimar Ombrien
Nimar Ombrien
Expert
Expert

Race : Tigrain

Revenir en haut Aller en bas

Avez-vous besoin d'aide ? Empty Re: Avez-vous besoin d'aide ?

Message  Léana Ven 13 Déc 2019 - 10:22

Alors que la silhouette s'approche, je remarque qu'en effet, elle a beaucoup en commun avec un félin... Et je ne parle pas seulement de ses traits physiques... Son attitude aussi s'en rapproche. Cette attitude de méfiance presque hostile... Je ne serais pas étonnée de l'entendre grogner, à ce stade. Mais non, il se contente de me poser une question. Un lieu... Comme s'il était en état de voyager. En quelques secondes, je décide de ne pas lui répondre, même lorsqu'il commence à s'impatienter. De plus, je suis sûre que lui aussi sait qu'il ne pourra pas atteindre la ville la plus proche.

Toujours sans avoir dit un mot, je fouille un moment dans mes affaires de voyage, avant d'en sortir un petit récipient, pris en sachant qu'il est toujours utile d'avoir de quoi transporter ce qu'on trouve en chemin. Pour une guérisseuse comme moi, il peut s'agir de plantes ou, comme maintenant, simplement d'eau. M'éloignant de quelques pas, je vais remplir mon contenant à l'une des nombreuses flaques d'eau présentes ici, en choisissant la plus propre. Puis je reviens vers le lion blessé, et lui parle enfin, mais probablement pas pour lui dire ce à quoi il s'attendait :
    - Il est inutile de cacher votre bras. Je sais reconnaître l'attitude de quelqu'un de blessé, et, croyez-moi, vous remplissez tous mes critère.


Et, tendant mon récipient plein d'eau, je m'approche un peu plus, afin de pouvoir le toucher, sans faire mine de tendre le bras pour l'instant. J'ai besoin d'un accès total à la plaie pour pouvoir exercer mon art.
    - Vous m'avez vue remplir ceci d'eau. C'est pour désinfecter votre plaie, donc ayez l'amabilité de me la montrer.


Mon ton dément l'amabilité de mes paroles. J'ai l'intention de le forcer à me montrer sa blessure s'il ne le fait pas de lui-même, et j'espère avoir réussi à faire transparaître ceci dans la manière dont j'ai parlé. Et, afin de lui prouver qu'il peut me faire confiance, je lui lance ma Vague apaisante. Mais je ne sais pas à quel point ce sera efficace : je ne connais pas la gravité exacte de la blessure, je n'ai pas de contact physique, ce qui peut entraîner des pertes dans l'espace aérien entre nos deux organismes, et je me suis toujours entraînée sur des créatures au moins vingt fois plus petites que lui... Mais le but est simplement de gagner sa confiance. Je pense que je saurai très vite si cela a marché.
Léana
Léana
Novice
Novice

Race : Dryade de l'Eau

Revenir en haut Aller en bas

Avez-vous besoin d'aide ? Empty Re: Avez-vous besoin d'aide ?

Message  Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum