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Garmr [Tigrain / Assassin]

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Garmr [Tigrain / Assassin] Empty Garmr [Tigrain / Assassin]

Message  Athyl Mer 21 Fév 2018 - 10:12

Nom du personnage : Garmr

- Mon dieu regarde celui là.

Dans les bras de Fen'rir, un petit puma se débattait, griffant toutes les surfaces qui s'approchait de lui.

- Qu'il est comique, s'écria Ota'Sha. Comme allons nous le nommer ?

Dans des bras protecteur, celui qui allait devenir un puma plein d'ambition ne ressemblait alors qu'à un petit diable poussant des feulements indistinct.

- Graaaaa, gram garm.

Celui qui était mon père sourit alors, révélant une rangé de dent aiguisée.
- Il s'appellera Garmr.


Age de Garmr : 30 ans

Toutes les personnes qui passait autour de lui était d'abord effrayés. Non pas qu'il était particulièrement imposant. Mais malgré les avantages que lui conférait sa race, les stigmates de l'âge avait laissé sur lui des marques bien plus douloureuse que des cicatrices de guerre. Le claquement du fouet. sur son bras, la touffe de pelage qui poussa sur le bas de l'épaule ne cachait rien de l'horreur qu'il portait. Un mélange d'encre et de peaux en lambeaux, une manoeuvre vouée à l'échec de faire disparaître un tatouage. Non il n'était pas effrayant, il n'était pas spécialement fort non plus, mais toute les horreurs du monde semblait peser de tout leurs poids sur ce félin.

Race : Tigrain typé puma

- Pousse toi de là le chat.
- Ouai, y'as personne qui veut jouer avec toi.
- Retourne te lécher les parties !
L'assemblée des enfants qui faisait face à Garmr éclata d'un rire sinistre.
-Fais nous plaisir, dégage de notre vue, cria le plus grand des gamins présent, les voleurs dans tout genre, ça devrait être aux travaux forcé et pas en liberté.

Ma vue se brouilla et je courut jusqu'à chez moi, au bord des larmes. c'est ma mère qui m'acceuillit sur la pierre anthracite qui nous servait de perron.

- Chuuut Garmr. Ce n'est pas ta faute. Tu n'y est pour rien tu m'entend ? Evite les et méprise les en silence. C'est dans notre nature, nous devons courber l'échine.


Classe : Assassin

"Chéri tes aptitudes, elles seules te sauveront. Tu apprendras, mon fils, que tu deviendras bien plus remarquables en disparaissant qu'en pérrorant."
Fen'rir, père de Garmr.


Arme : Aucune (griffes et croc)

- Silence dans les rangs ! OK mes poulets. Vous voici sur le front. La nation compte sur vous pour défendre ses couleurs alors ne la décevait pas. Toi l'ovipare las bas. Si un ennemi menace un membre humain de notre troupe tu fais quoi?
- Je me jette dans la mélée et protège du mieux que je peux mes compatriotes, tel est l'honneur d'un soldat de Tacomnale.
- Très bien. et toi le centaure, si tu rencontre un membre de ta race sur le champs de bataille, que fais tu?
- Je me bat contre lui jusqu'à la mort car je ne vis que pour la gloire de Tacomnale.
- Parfait. Et toi le tigrain, si tu te retrouve encerclé sans moyens d'échappatoire, que fais tu ?
En entendant le sergent s'addresser à moi je bomba légèrement le torse et m'écria:
- Je sors les griffes et rugit de tous mon souffle. Aucun ennemi ne peut prétendre à la victoire contre Tacomnale !
-Parfait les enfants alors EN AVANT, POUR TACOMNALE !!!


Armure : Armure légère en cuir couvrant une partie de mon torse

La guerre. Tant de soldat mourrant pour une cause dont ils ignorent tout. Malheureusement, dans cette contrée, les espèces comme nous ne sont bonne qu'à se battre. Du moins c'est ce que croivent les humains. Mais quand on est happé par les conflits, toutes les opinions politique sont inutiles, seul la survie importe. J'ai vu ici et là, des humains sauvant la vie de centaure, minotaures ou Tigrains. Des colonel chargé en première ligne portant le drapeau de leurs nation contre leurs coeur. La guerre est peut être la seule chose qui peut unir un peuple.

Mais bien que émotionnellement nous ressentons les mêmes chose, nous ne somme pas les mêmes. J'ai décider que je survivrais, alors je survivrais à cet enfer rien que pour cracher à la gueule de ces misérable personnes sacrifiant des vies comme s'il jetait leurs ordures.


Capacité spéciale : Intuition (pressentiment du danger)

Je le savais pourtant. Je l'avait senti. Mais je ne pouvait pas mouvoir mon corps. Impossible. Les cavaliers arrivèrent un peu plus tard et m'aperçurent. Des cavalier Estanol. Il s'arretèrent près de moi et l'un des soldats, -qui devait être un officier- me fit un sourire carnassier avant de s'adresser à ces hommes.

- J'en ai encore un à envoyé aux mines. Un magnifique Tigrain

Je ne sentie même pas les soldats me soulever mais je ressentit parfaitement bien les fers que l'on me mettait, enscerant mes poignes et mon cou comme des mâchoires.


Compétence raciale : Combat à mains nues

Les cris fusait de toute part, si bien qu'on n'entendait même plus les cris des gardiens qui tentait d'imposer le calme.

- Cogne le ! Cogne le ! Cogne le !

Je répondit aux demandes avec un entousiasme malsain. Je frappa trois fois son visage les griffes rentrées et lui laboura le visage de deux cicatrice sur la pommette. Je me retira lentement en regardant mon adversaire s'effondrer sur le sol. Mais mon plaisir fut de courte durée et quelques secondes plus tard, les coups de bâton pleuvait déjà sur moi. Puis deux gardiens me trainèrent sur le sol inégal pour me jeter dans une petite pièce insalubre. Ils me lachèrent quelques menace et s'éloignière de la cellule. Je me redressa et palpa les bosses qui parsemait mon crâne. Je glissa finalement les clès que j'avait volées dans ma main et sourit de satisfaction. Bénissant Aaron, mon compagnon de travail qui s'était laissé rossé pour me permettre de mettre à bien mon plan, je me leva lentement en m'appuyant sur les murs et inséra la clé dans la serrure. J'allais enfin être libre.


Sorts ou compétences de votre personnage :

- Furtivité
- Bonne ouïe
- Bon odorat
- Crochetage
- Pose et désamorcage de pièges

Compétences secondaires de votre personnage :

- Maitrise de l'équitation

"Père disait, fais croire aux humains que tu es une bête, c'est toi qui pourra les dompter. J'ai toujours appliqué ses conseils à la lettre et les ais même poussés plus loin. Pourquoi seulement les humains quand d'autre race sont plus forte, endurante et intelligente ? Si j'en décide ainsi, bientôt je volerais au rythme des plaines sur un cheval."
Garmr, journal d'un félin de gouttière.

Je tenais à peine sur mon cheval et le monde semblait tournait. Cette course-poursuite aurait été un jeu d'enfant si ça n'avait pas été aussi difficile de sortir de la mine. Je toucha une fois de plus l'orbite qui se trouvait désormais à la place de mon oeil tout en maudissant Estandre. J'étais pour la première fois réellement libre et jamais je n'aurais pensé qu'elle me coûterait autant. Je stoppa mon cheval et mit pied à terre. J'étais un vieux félin maintenant. Je ne savais ou me diriger et risquai de me perdre. Le salut vint au bout de quelques jours. Un groupe de marchand menait une caravane jusqu'en Telbara. C'était apparemment un endroit de rêve ou toutes les races cohabitait en harmonie. Je proposa donc au marchand mes services sous réserve qu'il me mène à bon port.
L'espoir était encore permis.
J'allais enfin  vivre.
Mais un jour, je retournerais las bas et ferait payer aux hommes leurs arrogance.



Description physique :

"Il était tellement effrayant, son pelage brun semblait se mouvoir de façon à faciliter ces gestes, des cicatrices barrait son torse, ses côtes et son visage. Et son regard, jaune et transperçant. Je me rappelle par contre qu'il était borgne. Que les dieux m'entendent et me punissent si cette chose n'était pas un démon."
Témoin anonyme de l'affaire Drige.


Histoire de votre personnage :

Prologue : Un félin parmi les hommes

- Lâche tout de suite cette poule !

Une voix grave que je connaissais trop bien s'éleva au dessus du bosquet qui jouxtait la rivière. Mon père se dirigeait désormais vers moi, son pas souple ratissant les hautes herbes et ces yeux me transperçant. Il m'attrapa par la peau du coup et me traîna en direction de la maison.

- Si la famille d'Emberlain te surprend encore à chassé sur leurs domaines, tu es bon pour le billot, ou pire, l'esclavage. Je ne me suis pas saigné aux quatre veines pour nous faire accepter ici pour que tu ruine tous mes efforts ainsi.

Le félin qui me portait me fit passer la porte et c'est ma mère qui entreprit alors de me disputer.

- Encore occupé à battre la campagne. Prend exemple sur tes frère et cesse de te comporter comme un sauvage. Nous t'avons éduquer pour faire de toi un Tacoman respectable.

Elle me glissa une cuillère dans les mains et me servit une bollée de ragoût de pomme de terre. Les autres Tigrains assis à cette table -Mes frères- était déjà en train de s'empiffrer.

- Que tu le veuille ou non, tu seras fermier. Déclara mon père. Et maintenant essai de te comporter comme un homme et mange ta soupe.

Des morceaux de pomme de terre flottait tristement à la surface du breuvage. Je tourna la tête en direction de la fenêtre ouverte. Un oiseaux s'envola au delà des vignes pour décrire quelques cercles autour de la demeure d'Emberlain avant de s'éloigner tristement vers l'horizon. Quand il ne fut plus qu'un point noir dans le ciel, je m'appliqua à finir mon ragoût, des idées pleins mon crâne.

Situation initiale :

- Tu es un vieux chats Garmr, il serait temps de songer à rentrer les griffes maintenant...

Je lâcha une feulement discret en guise de menace tout en resserrant ma prise sur la choppe.

- Garde ta langue empoisonnée dans ta bouche et apporte moi un autre verre, déclarais-je d'une voix rauque.

Le vieux tavernier soupira tout en sortant une nouvelle bouteille du comptoir. Il entreprit de la déboucher tandis que je l'observais de mon oeil valide. Le pire dans tout ça, c'est que ce vieux débris avait probablement raison. Emmitouflé sous une couche de tissus et de cuir bon marché, les lambaux de mon corps n'était qu'une relique de ce que j'avait été... C'était déjà difficile de vivre dans cette ville de malheur mais la régression de mes capacités sensorielles rendait la chose encore plus insupportable. Je fit danser mon verre entre mes pattes, réfléchissant à mon triste sort de vieux matou. Le liquide pale que l'aubergiste venait de me servir me renvoya un triste reflet: une orbite vide coupée de marques ayant strié mon pelage a jamais, une dentition usée qui avait autrefois été une fierté, des taches de crasse pendant de mon pelage brun... Juste une énième bête que la civilisation avait brisé.

Je vida mon verre et pris congé. La bruine épaisse qui venait de tomber sur la ville s'infiltra sous mes vêtements et carressa mon pelage, chatouillant les morceaux de peau à vif de mon corps que mon pelage n'avait pas réussi à masquer. Le carillon d'un temple tout proche sonna le glas d'un énième enterrement tandis que des personnes s'agglutinait à l'entrée des tavernes on en ressortait ivre mort. Je remonta ma capuche et évita tant bien que de mal les hommes qui chancelait vers moi.

- Heh, le chat, ça te couterait rien de te pousser! On es en ville ici, yas pas de place pour les bêtes.

J'ignora sa remarque et me contenta d'avancer, fondant la foule de plus en plus opaque qui me faisait face. Sur ma droite une bagarre éclata entre un barde et une sorte de brute. de tous côtés des hommes à l'allure sinistre interpellait les passant dans l'espoir de leurs proposer divers offres de débauche ayant pour la plupart le but de les soulager de leurs bourses. Je réussi finalement à m'engouffrer dans une ruelle sombre pour reprendre mon souffle. J'étais arrivé en ville il y a de cela 3 semaines et je n'étais pas encore habitué aux gens.

- Elle est belle leurs civilisation, dis-je entre deux souffles.

Mais comparer à la vie sauvage, la puanteur et le monde devenait presque supportable. Combien d'entre eux survivrait en restant un seul jour dans la nature ? Mais je me remis à marcher rapidement. Les états d'âmes sont faiblesse et la société semble s'appliquer au plus haut point à écraser les faibles.
J'arriva enfin au point de rendez-vous. Je balaya la place où je me trouvai du regard pour l'arrêter sur un homme sinistre qui se tenait entre deux coins de murs. Celui-ci était grand, fort mais souffrait visiblement d'un léger embonpoint. Il était protéger par une simple tunique en peau qui lui descendait jusqu'aux mollets et faisait glisser une pièce d'argent entre ces phalanges. Je m'attarda sur la lame coupée en forme de scie sur un tranchant qui pendait à son ceinturon. Il semblait fière et intouchable. L'examen de ma cible effectué, je pénétra dans une ruelle qui jouxtait la place. J'en ressortit quelques minutes plus tard et m'approcha de l'homme. Il me regarda venir sans faire un seul geste, parfait. Quand je fut à une distance de quatre mètres  environ, j'accéléra le pas jusqu'à courir. Il tenta de dégainer son arme mais il était trop tard, je m'enfuyait déjà avec sa bourse et la pièce qu'il avait une seconde auparavant sur le dos de sa main. Je me retourna et vis qu'il me suivait d'un pas étonnament souple pour son physique. Je m'engouffra dans la ruelle qui jouxtait la place et couru d'un pas souple. Mais les rues pavés de la ville savent être traitre et je me retrouva les quatre fers en l'air et m'étala sur la chaussée. L'homme dégaina son arme et tordit sa bouche en un sourire:

- Tu pensais me double comme ça l'hybride? Je vais te passer l'envie de voler les gens.

Dès qu'il eut prononcer ces paroles, des mâchoires d'acier se refermèrent sur sa jambe. Je soupira de soulagement en constatant qu'il était au moins aussi stupide qu'il en avait l'air. L'homme avait lâché son arme qui se trouvait désormais hors de portée de sa main. Je la dégagea du bout de la patte par sécurité et m'accroupit près de lui tout en palsamodiant quelques paroles:

- Sercanth, guide cet homme là ou il sera en paix.

Je retira ma patte et entreprit de glisser un tissu sur mes griffe barbouillés de sang. les cris de l'homme c'était transformé en gargouillement indistinct et finirent pas se taire totalement. Je pris sa main droite et coupa l'annuaire. Je m'éclipsa rapidement tandis que des fenêtres commencèrent à s'ouvrir, tenu par des hommes et femmes visiblement intrigués par les bruits. Je me retrouva quelques minutes plus tard devant une grande maison. Des éclats de rire et de musique me parvinrent aux oreilles tandis que des gardes à l'allure maussade gardait la porte. Je me faufila à un balcon situé un étage plus haut et crocheta la fenêtre. Je n'eut même pas à pénétrer dans la maison. Un homme gras portant une toge fit irruption dans la pièce  -qui était probablement sa chambre- avec deux filles accrochés à son bras. Il se figea on me voyant et fit sortir les filles d'un claquement de doigts. Je lui montra le doigt ensanglanté figé dans le creux de ma patte. Il fit une moue dégouté.

- Garde ton horreur, la prochaine fois que vous me faîtes une frayeur pareil, j'appelle mes gardes.

Il tira de sa poche deux pièce de cuivre et me fit signe de partir.

- On avait dit deux pièce d'or je crois, dis-je non sans montrer ma colère en voyant ces deux pauvre pièces qui se battait en duel dans ma patte.

- Et bien peut être que la prochaine fois ta apprendra à emprunter un chemin plus civilisé, dit-il avec une pointe de défi dans sa voix. Maintenant disparait, j'ai assez perdu de temps.

Quelques minutes plus tard, j'étais dans la rue, me débarrassant du sang qui mouchetait mon pelage, laissant derrière moi deux pièces d'agents trempées de sang devant un cadavre corpulent. J'étais peut être une bête sauvage, mais dans cette jungle qu'était la ville, j'étais parfaitement dans mon élément.
Athyl
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