Les sous-races de Tacomnal
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Re: Les sous-races de Tacomnal
J'étais encore abruti par ma chute et ma rencontre. Je pue tout juste entendre ...
- Encore un gros chat !
C'était vexant... je vis ensuite la gamine échanger deux ou trois mots avec Chaya, mots que je n'écoutais pas car je cherchais un moyen de m'en tiré en vie. Les Tacomniens allaient enfoncer la porte, et si je mettais un couteau sous la gorge de la gamine? Ou alors je fais croire que je suis la gamine? Ou euh... Rah je sais pas! Cette bande de pechnos des villes devraient bien être en état de se faire rouler dans la farine mais comment?
- Nimar, nous partir, toi pas avoir peur me dit Chaya en me remettant dans la réalité.
Pas avoir peur, pas avoir peur, elle est drôle elle... mais bon la dernière fois qu'elle m'as dis ça... euh... c'était le soir ou un Xexerre nous a attaquer je crois.
- Passez par derrière, comme je t'ai montré. Je viens avec vous, j'ai la clef de l'écurie, si vous voulez un cheval …. Mais il faut pas qu'on nous voit !
La gamine avait prononcé ces mots en tenant une clé, celle de l'écurie semble-t-il. Ils avaient donc des canassons? Parfait! Les citadins n'eurent sans doutes jamais monté un cheval de leur vie! Moi j'ai de l'expérience, j'ai monté quatre chevaux dans ma vie... j'ai fini le cul au sol à chaque fois. Entrés dans l'écurie, je remarquais immédiatement aux cris que les humains étaient parvenus à rentrer dans la maison. Certains parlaient de nous vendre et les autres de nous vendre, bref, que des idées plaisantes.
- Prenez-en un chacun et partez.
A ce moment, je remarquais que sortir discrètement par la grande porte sur le dos d'un canasson au triple galop sur le quel je peine déjà à rester en place alors qu'il est au trot semblait compliqué. Comment pourrons nous sortir?
- Nimar, aide moi. Demanda Chaya en libérant des chevaux.
L'idée était bonne, on libère tout les chevaux, on les excite et on ouvre la porte, le surnombre empêchera les citadins de nous atteindre. Il est autrement plus compliqué de tuer quelqu'un lorsqu'en parallèle on se fait piétiner par des chevaux. Je m'attelais donc à la tache, les chevaux étaient libres.
- Mais … Vous prenez tout les chevaux ?
-Mhhh... perspicace...
- Nous sortir, avec le cheval. Avec tout les chevals* .
Une fois prêts à galoper la gamine ouvrit la porte principal. Je ne regardais pas Chaya et je m'en moquais pour l'instant: je devais être totalement concentré pour tenir. Une fois notre accès à la liberté ouverte, je poussai un rugissement déstiné à effrayer les chevaux, ceux ci en réponse se précipitairent à la sortie, dans la course éffrainé des quadrupèdes, je fut projeté de quelques décimètre en arrière par la vitesse, afin de ne pas tomber, je sorti les griffes et m'accrochai à ma monture en lui faisant perdre quelques gouttes de sang et en la forçant à hurler de douleur. A moitié debout sur le cheval, j'étais derrière même la selle en m'accrochant de toutes mes forces pour tenir. Dans la plus subtile des discrétion je hurlais et de panique et de douleur car mes bijoux de famille eurent la malvaine de percuter violament le dos du canasson. Malgré tout cela nous partions à l'est, toujours dans la bonne direction et avec des provision pour le lendemain au moins.
Il est tout de même cocasse de rappeller que je ne m'en sortait pas si mal sur le cheval, j'étais juste a mi-debout en hurlante de douleur pour mes pauvres bourses, le tout en saignant légèrement mon cheval de mes griffes...
- Encore un gros chat !
C'était vexant... je vis ensuite la gamine échanger deux ou trois mots avec Chaya, mots que je n'écoutais pas car je cherchais un moyen de m'en tiré en vie. Les Tacomniens allaient enfoncer la porte, et si je mettais un couteau sous la gorge de la gamine? Ou alors je fais croire que je suis la gamine? Ou euh... Rah je sais pas! Cette bande de pechnos des villes devraient bien être en état de se faire rouler dans la farine mais comment?
- Nimar, nous partir, toi pas avoir peur me dit Chaya en me remettant dans la réalité.
Pas avoir peur, pas avoir peur, elle est drôle elle... mais bon la dernière fois qu'elle m'as dis ça... euh... c'était le soir ou un Xexerre nous a attaquer je crois.
- Passez par derrière, comme je t'ai montré. Je viens avec vous, j'ai la clef de l'écurie, si vous voulez un cheval …. Mais il faut pas qu'on nous voit !
La gamine avait prononcé ces mots en tenant une clé, celle de l'écurie semble-t-il. Ils avaient donc des canassons? Parfait! Les citadins n'eurent sans doutes jamais monté un cheval de leur vie! Moi j'ai de l'expérience, j'ai monté quatre chevaux dans ma vie... j'ai fini le cul au sol à chaque fois. Entrés dans l'écurie, je remarquais immédiatement aux cris que les humains étaient parvenus à rentrer dans la maison. Certains parlaient de nous vendre et les autres de nous vendre, bref, que des idées plaisantes.
- Prenez-en un chacun et partez.
A ce moment, je remarquais que sortir discrètement par la grande porte sur le dos d'un canasson au triple galop sur le quel je peine déjà à rester en place alors qu'il est au trot semblait compliqué. Comment pourrons nous sortir?
- Nimar, aide moi. Demanda Chaya en libérant des chevaux.
L'idée était bonne, on libère tout les chevaux, on les excite et on ouvre la porte, le surnombre empêchera les citadins de nous atteindre. Il est autrement plus compliqué de tuer quelqu'un lorsqu'en parallèle on se fait piétiner par des chevaux. Je m'attelais donc à la tache, les chevaux étaient libres.
- Mais … Vous prenez tout les chevaux ?
-Mhhh... perspicace...
- Nous sortir, avec le cheval. Avec tout les chevals* .
Une fois prêts à galoper la gamine ouvrit la porte principal. Je ne regardais pas Chaya et je m'en moquais pour l'instant: je devais être totalement concentré pour tenir. Une fois notre accès à la liberté ouverte, je poussai un rugissement déstiné à effrayer les chevaux, ceux ci en réponse se précipitairent à la sortie, dans la course éffrainé des quadrupèdes, je fut projeté de quelques décimètre en arrière par la vitesse, afin de ne pas tomber, je sorti les griffes et m'accrochai à ma monture en lui faisant perdre quelques gouttes de sang et en la forçant à hurler de douleur. A moitié debout sur le cheval, j'étais derrière même la selle en m'accrochant de toutes mes forces pour tenir. Dans la plus subtile des discrétion je hurlais et de panique et de douleur car mes bijoux de famille eurent la malvaine de percuter violament le dos du canasson. Malgré tout cela nous partions à l'est, toujours dans la bonne direction et avec des provision pour le lendemain au moins.
Il est tout de même cocasse de rappeller que je ne m'en sortait pas si mal sur le cheval, j'étais juste a mi-debout en hurlante de douleur pour mes pauvres bourses, le tout en saignant légèrement mon cheval de mes griffes...
Nimar Ombrien- Expert
Re: Les sous-races de Tacomnal
Les oreilles de Chaya étaient dressées sur sa tête, tout comme celles de tout ces chevaux, prêt à sortir dans un tourbillon de poussière. Alicia ouvrit les portes, Nimar se mit à hurler. La première bête se mit à hennir, début d'un spectacle majestueux et la joyeuse compagnie s'avança à grands galops sous les bruits sourds des sabots contre la terre sèche.
Chaya avait sauté sur une monture isabelle, forçant sur ses jambes et se cramponnant au cou de l'animal afin de rester en place contre la vitesse et les turbulences. Lançant un dernier regard derrière elle et parmi toute la poussière du sol qui avait été remuée suite à la sortie des chevaux, la tigraine put apercevoir l'enfant qui leur faisait un signe d'au revoir.
Les humains avait été obligés de s'écarter pour ne pas être piétinés. L'un d'entre eux avait tenté de la déstabiliser mais avec l'élan robuste de la cavale et un coup de pied violent de Chaya, il tomba sur les fesses violemment.
Nimar était vers l'avant, il se cramponnait comme il pouvait. Elle n'avait jamais monté de sa vie, et pourtant, elle aimait les sensations que cela procurait. Elle se sentit invincible, libre. Ils galopèrent durant de longues heures, les chevaux s'étaient séparés, allant refaire leur vie loin de ses humains bourreaux.
Chaya tenta de calmer sa monture à l'aide de bruits de bouche et en tirant sur sa crinière.
A l'horizon, une gigantesque ville pointait le bout de son nez, une grosse tâche noire d'où la fumée des nombreuses cheminées s'échappaient. Elle l'ignorait, mais ils étaient non loin de Tacomnal, ils avaient dû parcourir quatre vingt kilomètres à dos de cheval, vers l'ouest se trouvait aussi un petit bourg, peut être aussi grand que celui qu'ils venaient de quitter. En face d'eux, quelques arbres derrière un cour d'eau.
Chaya avait mal au fesses, aux jambes, partout à vrai dire. La nuit tomberait bien assez vite et ils leur fallait du repos et … Profiter de leur retrouvailles. D'un geste bref de la tête, la tigraine désigna le bosquet devant eux à Nimar :
- Nous devoir nous cacher. Trop de humains par ici. Déclara t-elle .
Puis elle donna deux coups de talons strictes contre le flanc de son cheval qui trotta par devant, elle sourit à Nimar et le provoqua :
- Toi me rattraper ? Ou … Pas ?
Elle fit un claquement de langue et partit au galop.
Chaya avait sauté sur une monture isabelle, forçant sur ses jambes et se cramponnant au cou de l'animal afin de rester en place contre la vitesse et les turbulences. Lançant un dernier regard derrière elle et parmi toute la poussière du sol qui avait été remuée suite à la sortie des chevaux, la tigraine put apercevoir l'enfant qui leur faisait un signe d'au revoir.
Les humains avait été obligés de s'écarter pour ne pas être piétinés. L'un d'entre eux avait tenté de la déstabiliser mais avec l'élan robuste de la cavale et un coup de pied violent de Chaya, il tomba sur les fesses violemment.
Nimar était vers l'avant, il se cramponnait comme il pouvait. Elle n'avait jamais monté de sa vie, et pourtant, elle aimait les sensations que cela procurait. Elle se sentit invincible, libre. Ils galopèrent durant de longues heures, les chevaux s'étaient séparés, allant refaire leur vie loin de ses humains bourreaux.
Chaya tenta de calmer sa monture à l'aide de bruits de bouche et en tirant sur sa crinière.
A l'horizon, une gigantesque ville pointait le bout de son nez, une grosse tâche noire d'où la fumée des nombreuses cheminées s'échappaient. Elle l'ignorait, mais ils étaient non loin de Tacomnal, ils avaient dû parcourir quatre vingt kilomètres à dos de cheval, vers l'ouest se trouvait aussi un petit bourg, peut être aussi grand que celui qu'ils venaient de quitter. En face d'eux, quelques arbres derrière un cour d'eau.
Chaya avait mal au fesses, aux jambes, partout à vrai dire. La nuit tomberait bien assez vite et ils leur fallait du repos et … Profiter de leur retrouvailles. D'un geste bref de la tête, la tigraine désigna le bosquet devant eux à Nimar :
- Nous devoir nous cacher. Trop de humains par ici. Déclara t-elle .
Puis elle donna deux coups de talons strictes contre le flanc de son cheval qui trotta par devant, elle sourit à Nimar et le provoqua :
- Toi me rattraper ? Ou … Pas ?
Elle fit un claquement de langue et partit au galop.
Chaya- Bon
Re: Les sous-races de Tacomnal
Après être parvenu à me replacer... hum... correctement? Je pue profiter de la course un peu ralentit de ma brave monture dont je parvint à retirer mes griffes. Nous sortîmes de la ville, c'était une si bonne nouvelle que j'en oubliais la direction a prendre. Je me contentais avec Chaya de suivre l'instinct des canassons. Instnict tout de foutre si je peux me permettre... Ces sales bêtes nous ont mené vers l'ouest, chose que j'appris en voyant bien plus tard de la fumée jaillir de... d'une ville? Mais il n'y a pas de ville aussi près vers... Rah foutus canassons! Le vent se rafraîchissant, je pensais qu'il nous faudrait un lieu où nous reposer, nous et les chevaux qui semblaient éssouflés.
- Nous devoir nous cacher. Trop de humains par ici.
Se cacher en ville pour une nuit seulement n'est pas compliqué, mais les chevaux risqueraient en effet de nous gêner. Qui plus est, on a fait des vagues dans la ville voisine nous les "monstres voleurs de chevaux et mangeur d'enfant"... j'espère juste que les abrutis de Gravoin ne nous feront pas connaître. J'avais également faim, nous allions devoir taper dans les provisions que j'ai réunis à la ville. En fait nous devrions même les finir, je découvrais avec aigreur que j'en avais perdu sur la route. Alors que mon ventre grognais, je m'apprêtait à prévenir Chaya, mais je n'en eu pas le temps...
- Toi me rattraper ? Ou … Pas ?
Tiens donc, elle sait sourir? Et elle a même de l'humour la petite, une course, alors qu'on doit être discrèts? Quel idée... ça me plaît! Alors que Chaya est partit en avance sans prévenir, je me préparais immédiatement à en faire de même, le poil brin de ma bête était face à l'horizon. D'un coup de pied... patte... ça dépend des points de vu. Je fit accélérer mon cheval rapidement, au galop je parvint à rattraper Chaya mais la dépasser était une autre paire de manche, de toutes façon je ne forçais pas trop sur le mien: après le parcours qu'ils avaient enduré aujourd'hui, ils allaient tomber si on les fait trop forcer. Voilà qui apprendras à Chaya bien des choses sur les canassons. J'eu tout de même le l'occasion de demander.
-où est ce qu'on est censé se cacher?
- Nous devoir nous cacher. Trop de humains par ici.
Se cacher en ville pour une nuit seulement n'est pas compliqué, mais les chevaux risqueraient en effet de nous gêner. Qui plus est, on a fait des vagues dans la ville voisine nous les "monstres voleurs de chevaux et mangeur d'enfant"... j'espère juste que les abrutis de Gravoin ne nous feront pas connaître. J'avais également faim, nous allions devoir taper dans les provisions que j'ai réunis à la ville. En fait nous devrions même les finir, je découvrais avec aigreur que j'en avais perdu sur la route. Alors que mon ventre grognais, je m'apprêtait à prévenir Chaya, mais je n'en eu pas le temps...
- Toi me rattraper ? Ou … Pas ?
Tiens donc, elle sait sourir? Et elle a même de l'humour la petite, une course, alors qu'on doit être discrèts? Quel idée... ça me plaît! Alors que Chaya est partit en avance sans prévenir, je me préparais immédiatement à en faire de même, le poil brin de ma bête était face à l'horizon. D'un coup de pied... patte... ça dépend des points de vu. Je fit accélérer mon cheval rapidement, au galop je parvint à rattraper Chaya mais la dépasser était une autre paire de manche, de toutes façon je ne forçais pas trop sur le mien: après le parcours qu'ils avaient enduré aujourd'hui, ils allaient tomber si on les fait trop forcer. Voilà qui apprendras à Chaya bien des choses sur les canassons. J'eu tout de même le l'occasion de demander.
-où est ce qu'on est censé se cacher?
Nimar Ombrien- Expert
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
Chaya posa les pieds à terre. Au bord de la rivière Tijaronhe, de l'autre côté se trouvait une petite forêt verdoyante et accueillante. Elle laissa sa monture paître un peu plus loin et attendit que Nimar la rejoigne pour lui répondre :
- Nous se cacher vers les arbres. Forêt est toujours meilleure alliée.
Certes, il valait mieux se cacher à l'aide des arbres et de leur ombres que de rester à découvert à travers une plaine. De plus, ils pouvaient faire un feu et dormir sans trop se faire du soucis.
Chaya s'approcha de l'eau pour y plonger sa tête. Le froid s'accrocha dans son cou, sur ses joues alors qu'elle sortait la tête de l'eau, planquant sa longue chevelure brune contre son dos. Elle soupira puis se releva et envoya un sourire malicieux à Nimar :
- Et puis. Tu as perdu.
Oui, la course. Il avait perdu. La tigraine passa rapidement à autre chose. Il fallait préparer le bivouac et déguster ce qu'elle avait emporté dans son sac à dos. Alors qu'elle s’attelait à ramasser assez de bois pour le repas et la nuit, elle accorda quelques paroles timides à son ami, oui, elle n'avait pas l'habitude de prendre soin d'une autre personne qu'elle même :
- Ta santé être bien ?
S'était plutôt maladroit certes, elle voulait seulement savoir s'il allait bien depuis ce temps et surtout, ce qu'il avait bien pu faire :
- Où tu étais ? Rajouta t-elle, tentant d'allumer le feu.
Ce qu'elle ne disait pas, c'est que pour la première fois depuis longtemps, elle n'avait pas aimé être seule. Elle regrettait même de l'avoir quitté ce matin là prés du feu :
- Toi me pardonner ? Sortit-elle d'un coup, franche.
- Nous se cacher vers les arbres. Forêt est toujours meilleure alliée.
Certes, il valait mieux se cacher à l'aide des arbres et de leur ombres que de rester à découvert à travers une plaine. De plus, ils pouvaient faire un feu et dormir sans trop se faire du soucis.
Chaya s'approcha de l'eau pour y plonger sa tête. Le froid s'accrocha dans son cou, sur ses joues alors qu'elle sortait la tête de l'eau, planquant sa longue chevelure brune contre son dos. Elle soupira puis se releva et envoya un sourire malicieux à Nimar :
- Et puis. Tu as perdu.
Oui, la course. Il avait perdu. La tigraine passa rapidement à autre chose. Il fallait préparer le bivouac et déguster ce qu'elle avait emporté dans son sac à dos. Alors qu'elle s’attelait à ramasser assez de bois pour le repas et la nuit, elle accorda quelques paroles timides à son ami, oui, elle n'avait pas l'habitude de prendre soin d'une autre personne qu'elle même :
- Ta santé être bien ?
S'était plutôt maladroit certes, elle voulait seulement savoir s'il allait bien depuis ce temps et surtout, ce qu'il avait bien pu faire :
- Où tu étais ? Rajouta t-elle, tentant d'allumer le feu.
Ce qu'elle ne disait pas, c'est que pour la première fois depuis longtemps, elle n'avait pas aimé être seule. Elle regrettait même de l'avoir quitté ce matin là prés du feu :
- Toi me pardonner ? Sortit-elle d'un coup, franche.
Chaya- Bon
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
Je suis arrivé une bonne vingtaine de secondes après Chaya, avant de descendre de ma monture, la laissant avec celle de Chaya je scrutai l'horizon. Je crue voir une silhouette au loin, mais après m'être frotter les yeux, plus rien. Sans doutes était-ce la fatigue due à ces longues heures de marche.
- Nous se cacher vers les arbres. Forêt est toujours meilleure alliée.Me déclara Chaya dès mon arrivé.
Il est vrai que les arbres sont de bons abris. Mais la forêt peut également receler bien des dangers. Franchement je rêvais du jour où je retrouverais une belle petite ville de Telbara. Seul endroit où je me sent totallement en sécurité, endroit où je peux survivre à mon aise. Chaya plongea sa tête dans l'eau pendant que je cherchais des branchages capables de soutenir mon poids pour la nuit à quelques mètres. En ressortant sa tête elle me dit avec un sourire grand comme le monde...
- Et puis. Tu as perdu.Me dit elle alors.
Sans doutes parlait elle de la course, c'était bien amusant mais bien faux.
-Hum... c'est pas moi qui ai perdu c'est mon cheval.
Répondais-je d'un air rilleur. Elle avait l'esprit de compétition et meilleur forme que quand je l'ai quitté... enfin que quand elle m'as quitté. Je me mit alors à faire le compte des provisions et pièces d'or; vieille habitude, tandis que mon compagnon s'attelai à la récolte de bois. Après quelques courts instants de silence elle demanda un peu hésitante...
- Ta santé être bien ?
C'était une question étonnante venant d'elle; elle ne se préoccupait que rarement de ma santé. Mais bon, cela changeait des quelques dernières paroles que nous nous étions échangés telles que "toi pas avoir dit a moi pour dagues". Je n'allais donc pas me plaindre de l'amélioration de l'ambiance.
-Je vais toujours bien. Merci de t'en inquiéter.
J'aurais pue retourner, la question mais très Mannifestement, elle était en bonne santé. Meilleurs même que le matin ou elle a disparu.
- Où tu étais ?
-Vaste question Chaya... le matin ou tu as disparu j'ai décidé d'aller au camp de bandits voir si tu étais pas retourner aller chercher ton arc... que tu étais finalement aller chercher. Ensuite j'ai fui le camp parce que tout flambait et...
Je marquais une pose dans mes paroles. Chaya semblait... Perdu dans ses pensées. Ses yeux rivés je ne sais où elle semblait n'oser dire une chose avant de demander avec une honnêteté sans pareil...
- Toi me pardonner ?
C'était... déprimant. Chaya semblait pour la première fois depuis que je la connaissais inquiété par mon ressentit sur ses actes, par mon regard sur elle. Je marquais une pause l'espace d'un instant. Je ne savais trop que répondre, je ne lui en voulait pas bien entendu. Mais comment rassurer une gamine effrayé; la plus grande peur d'un enfant est d'être abandonné. Un simple "non je t'en veux pas" serait un terrible manque de compassion de ma part. Alors comment réagir? Eh bien je prendrais simplement l'un des vieux proverbes du vieux Moires, le conteur qui a fait une parti de mon éducation, il disait souvent à la fin de quelques fables comme morale "le seul moyen de soigner la maladie qu'est la peine, est l'honnêteté" chose ridiculement stupide mais bon...
-Chaya... sois pas bête enfin! Tu n'as rien à te faire pardonner. Si tu crois que j'ai jamais fait de bêtise Moi. Le pardon étant donné, libre à moi même e remettre la discussion sur un chemin moins dramatique. Et toi tu étais ou? Et c'était qui du coup la gamine? Et ma dague? T'as toujours la dague?
Tandis que j'écoutais le sourir aux lèvres sa réponse, j'entendis au loin des aboiements. Pas des loups, mais des chiens. Des chiens sauvages peut être? Ils étaient trop loin pour que je les estime être des dangers mais ils purent tout de même attirer mon attention lors du repas. La nuit, j'ai préféré veillé une heure de plus afin de ne pas les voir se rapprocher...
- Nous se cacher vers les arbres. Forêt est toujours meilleure alliée.Me déclara Chaya dès mon arrivé.
Il est vrai que les arbres sont de bons abris. Mais la forêt peut également receler bien des dangers. Franchement je rêvais du jour où je retrouverais une belle petite ville de Telbara. Seul endroit où je me sent totallement en sécurité, endroit où je peux survivre à mon aise. Chaya plongea sa tête dans l'eau pendant que je cherchais des branchages capables de soutenir mon poids pour la nuit à quelques mètres. En ressortant sa tête elle me dit avec un sourire grand comme le monde...
- Et puis. Tu as perdu.Me dit elle alors.
Sans doutes parlait elle de la course, c'était bien amusant mais bien faux.
-Hum... c'est pas moi qui ai perdu c'est mon cheval.
Répondais-je d'un air rilleur. Elle avait l'esprit de compétition et meilleur forme que quand je l'ai quitté... enfin que quand elle m'as quitté. Je me mit alors à faire le compte des provisions et pièces d'or; vieille habitude, tandis que mon compagnon s'attelai à la récolte de bois. Après quelques courts instants de silence elle demanda un peu hésitante...
- Ta santé être bien ?
C'était une question étonnante venant d'elle; elle ne se préoccupait que rarement de ma santé. Mais bon, cela changeait des quelques dernières paroles que nous nous étions échangés telles que "toi pas avoir dit a moi pour dagues". Je n'allais donc pas me plaindre de l'amélioration de l'ambiance.
-Je vais toujours bien. Merci de t'en inquiéter.
J'aurais pue retourner, la question mais très Mannifestement, elle était en bonne santé. Meilleurs même que le matin ou elle a disparu.
- Où tu étais ?
-Vaste question Chaya... le matin ou tu as disparu j'ai décidé d'aller au camp de bandits voir si tu étais pas retourner aller chercher ton arc... que tu étais finalement aller chercher. Ensuite j'ai fui le camp parce que tout flambait et...
Je marquais une pose dans mes paroles. Chaya semblait... Perdu dans ses pensées. Ses yeux rivés je ne sais où elle semblait n'oser dire une chose avant de demander avec une honnêteté sans pareil...
- Toi me pardonner ?
C'était... déprimant. Chaya semblait pour la première fois depuis que je la connaissais inquiété par mon ressentit sur ses actes, par mon regard sur elle. Je marquais une pause l'espace d'un instant. Je ne savais trop que répondre, je ne lui en voulait pas bien entendu. Mais comment rassurer une gamine effrayé; la plus grande peur d'un enfant est d'être abandonné. Un simple "non je t'en veux pas" serait un terrible manque de compassion de ma part. Alors comment réagir? Eh bien je prendrais simplement l'un des vieux proverbes du vieux Moires, le conteur qui a fait une parti de mon éducation, il disait souvent à la fin de quelques fables comme morale "le seul moyen de soigner la maladie qu'est la peine, est l'honnêteté" chose ridiculement stupide mais bon...
-Chaya... sois pas bête enfin! Tu n'as rien à te faire pardonner. Si tu crois que j'ai jamais fait de bêtise Moi. Le pardon étant donné, libre à moi même e remettre la discussion sur un chemin moins dramatique. Et toi tu étais ou? Et c'était qui du coup la gamine? Et ma dague? T'as toujours la dague?
Tandis que j'écoutais le sourir aux lèvres sa réponse, j'entendis au loin des aboiements. Pas des loups, mais des chiens. Des chiens sauvages peut être? Ils étaient trop loin pour que je les estime être des dangers mais ils purent tout de même attirer mon attention lors du repas. La nuit, j'ai préféré veillé une heure de plus afin de ne pas les voir se rapprocher...
Nimar Ombrien- Expert
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
La chaleur d'un feu et le crépitement de ses flammes, la compagnie de son nouvel ami, le petit cour d'eau qui faisait ses clapotis, Chaya appréciait se moment de paix. Elle observait les chevaux qui ne les avaient pas quittés jusqu'ici, assise en tailleur écoutant les mots rassurants de Nimar :
-Vaste question Chaya... le matin ou tu as disparu j'ai décidé d'aller au camp de bandits voir si tu étais pas retourner aller chercher ton arc... que tu étais finalement aller chercher. Ensuite j'ai fui le camp parce que tout flambait et...
Il avait donc été à sa recherche ? Il n'était donc pas si lâche qu'elle le pensait. Les yeux de la tigraine s'illuminaient, surtout quand il accepta son pardon :
-Chaya... sois pas bête enfin! Tu n'as rien à te faire pardonner. Si tu crois que j'ai jamais fait de bêtise Moi. . Et toi tu étais ou? Et c'était qui du coup la gamine? Et ma dague? T'as toujours la dague?
Elle ne comprenait pas tout, mais il suffisait de lire dans son cœur pour se rendre compte qu'il disait vrai et surtout qu'il acceptait son pardon. La jeune femelle ne savait pas où commencer pour lui raconter son périple et surtout, comment s'y prendre ? Elle lança une brindille dans le feu :
- Moi avoir jeter le feu sur camp des humains pour partir. Après, moi courir loin pour te trouver.
Elle soupira, ses yeux émeraudes reflétaient les flammes :
- Moi ne pas trouver toi, et enfant humain aider moi. Expliqua t-elle en cherchant ses mots.
Concernant la dague de Nimar … Chaya évita son regard et se gratta la tête, confuse :
- Pas de dague de Nimar…
Puis elle se souvint d'un coup de la carte d'Orcande obtenue par la petite Alicia. Elle se leva rapidement pour chercher le sac en daim et comme pour se faire pardonner, elle lui tendit le parchemin :
- Moi avoir carte.
Elle ignorait si ça serait suffisant, se mordant la lèvre par honte elle rajouta :
- Moi trouver dague pour toi Nimar.
Les larmes lui montaient aux yeux mais elle les retint de toutes ses forces pour diverses raisons, la première étant qu'il ne devait pas le voir, la seconde étant qu'elle culpabilisait énormément de lui attirer tant d'ennuis et d'avoir perdu son arme alors que lui avait tout mis en œuvre afin de retrouver son arc. Chaya était égoïste et inexpérimentée dans les relations avec d'autres individus, elle en avait mal au cœur et elle détestait cette sensation qu'elle ne savait pas comment apprivoiser.
Elle retourna donc la conversation à son avantage, sortant de la nourriture du bagage : Du pain, deux lambeaux de viandes sèches qui devaient appartenir à un cochon autre fois. Elle déposa tout le maigre buffet entre eux et eu un léger sourire désolé :
- Nimar avoir faim ?
-Vaste question Chaya... le matin ou tu as disparu j'ai décidé d'aller au camp de bandits voir si tu étais pas retourner aller chercher ton arc... que tu étais finalement aller chercher. Ensuite j'ai fui le camp parce que tout flambait et...
Il avait donc été à sa recherche ? Il n'était donc pas si lâche qu'elle le pensait. Les yeux de la tigraine s'illuminaient, surtout quand il accepta son pardon :
-Chaya... sois pas bête enfin! Tu n'as rien à te faire pardonner. Si tu crois que j'ai jamais fait de bêtise Moi. . Et toi tu étais ou? Et c'était qui du coup la gamine? Et ma dague? T'as toujours la dague?
Elle ne comprenait pas tout, mais il suffisait de lire dans son cœur pour se rendre compte qu'il disait vrai et surtout qu'il acceptait son pardon. La jeune femelle ne savait pas où commencer pour lui raconter son périple et surtout, comment s'y prendre ? Elle lança une brindille dans le feu :
- Moi avoir jeter le feu sur camp des humains pour partir. Après, moi courir loin pour te trouver.
Elle soupira, ses yeux émeraudes reflétaient les flammes :
- Moi ne pas trouver toi, et enfant humain aider moi. Expliqua t-elle en cherchant ses mots.
Concernant la dague de Nimar … Chaya évita son regard et se gratta la tête, confuse :
- Pas de dague de Nimar…
Puis elle se souvint d'un coup de la carte d'Orcande obtenue par la petite Alicia. Elle se leva rapidement pour chercher le sac en daim et comme pour se faire pardonner, elle lui tendit le parchemin :
- Moi avoir carte.
Elle ignorait si ça serait suffisant, se mordant la lèvre par honte elle rajouta :
- Moi trouver dague pour toi Nimar.
Les larmes lui montaient aux yeux mais elle les retint de toutes ses forces pour diverses raisons, la première étant qu'il ne devait pas le voir, la seconde étant qu'elle culpabilisait énormément de lui attirer tant d'ennuis et d'avoir perdu son arme alors que lui avait tout mis en œuvre afin de retrouver son arc. Chaya était égoïste et inexpérimentée dans les relations avec d'autres individus, elle en avait mal au cœur et elle détestait cette sensation qu'elle ne savait pas comment apprivoiser.
Elle retourna donc la conversation à son avantage, sortant de la nourriture du bagage : Du pain, deux lambeaux de viandes sèches qui devaient appartenir à un cochon autre fois. Elle déposa tout le maigre buffet entre eux et eu un léger sourire désolé :
- Nimar avoir faim ?
Chaya- Bon
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
J'espérais que ma dernière phrase remonterait la pente de la joie de notre discussion, je n'avais pas envie de me prendre la tête à engueuler une petite qui s'en voulait pour un rien. Ceci dit j'espérais vraiment récupérer ma dague. Tout en maintenant le feu, Chaya commençait donc à me raconter son histoire.
- Moi avoir jeter le feu sur camp des humains pour partir. Après, moi courir loin pour te trouver.
Mhhh c'est donc elle qui a foutu le feu au camp? Je vois, il faudrait que je lui apprenne que je ne suis pas insensible aux flammes...
- Moi ne pas trouver toi, et enfant humain aider moi. Poursuivit elle difficilement.
Suite à cela, elle dévia son regard en grattant sa tête. On aurait dit qu'elle hésitait à me dire quelque chose.
- Pas de dague de Nimar…
Je ne saurait dire pourquoi, mais je ne suis pas surpris... je préférais donc me taire car c'était pas de la petite manufacture ma dague! quoi que...
- Moi avoir carte. Enchaîna-t-elle comme pour rattraper son erreur.
Il est vrai que sa carte me serait d'une grande aide car la mienne ne regroupait que les patelin de Tacomnal et n'était pas très fiable car vendu par un homme à moitié bourré.
- Moi trouver dague pour toi Nimar.
-C'est ça! tu m'en achèteras une nouvelle. Ajoutais-Je en pensant aux pièces d'or économisés.
Malgré mes dernières paroles peu colériques, je pue percevoir un léger éfforcement dans me visage de Chaya. Soit elle se forçait afin de ne pas se morfondre de honte... soit elle avait une forte envie de partir uriner. Pour ma part ma dague pourait attendre, au pire j'en volerais une nouvelle. Ce n'était de toutes façon pas la plus grande infortune que j'ai affronté. Pendant que, par habitude, je pesais ma bourse, Chaya sortait ce qui semblerait être notre repas du soir.
- Nimar avoir faim ?
-Bien entendu!
Je pris bien vite la part que j'engloutis en quelques minutes à peine en me brûlant au passage. Je ne sais pourquoi mais mon estomac était vide comme la tête d'un bourgeois... peut être parce que je n'ai rien mangé de consistant hier soir? Demain nous devrions reprendre la route et il nous faudra des forces. Heureusement, Chaya pourra m'aider à trouver le sud du nord au milieu des arbres. Après un repas bien consistant, je décidais avant de me percher à un arbre de lancer une dernière discussion dans la soiré.
-Dis moi, que comptes tu faire une fois à Telbara?
- Moi avoir jeter le feu sur camp des humains pour partir. Après, moi courir loin pour te trouver.
Mhhh c'est donc elle qui a foutu le feu au camp? Je vois, il faudrait que je lui apprenne que je ne suis pas insensible aux flammes...
- Moi ne pas trouver toi, et enfant humain aider moi. Poursuivit elle difficilement.
Suite à cela, elle dévia son regard en grattant sa tête. On aurait dit qu'elle hésitait à me dire quelque chose.
- Pas de dague de Nimar…
Je ne saurait dire pourquoi, mais je ne suis pas surpris... je préférais donc me taire car c'était pas de la petite manufacture ma dague! quoi que...
- Moi avoir carte. Enchaîna-t-elle comme pour rattraper son erreur.
Il est vrai que sa carte me serait d'une grande aide car la mienne ne regroupait que les patelin de Tacomnal et n'était pas très fiable car vendu par un homme à moitié bourré.
- Moi trouver dague pour toi Nimar.
-C'est ça! tu m'en achèteras une nouvelle. Ajoutais-Je en pensant aux pièces d'or économisés.
Malgré mes dernières paroles peu colériques, je pue percevoir un léger éfforcement dans me visage de Chaya. Soit elle se forçait afin de ne pas se morfondre de honte... soit elle avait une forte envie de partir uriner. Pour ma part ma dague pourait attendre, au pire j'en volerais une nouvelle. Ce n'était de toutes façon pas la plus grande infortune que j'ai affronté. Pendant que, par habitude, je pesais ma bourse, Chaya sortait ce qui semblerait être notre repas du soir.
- Nimar avoir faim ?
-Bien entendu!
Je pris bien vite la part que j'engloutis en quelques minutes à peine en me brûlant au passage. Je ne sais pourquoi mais mon estomac était vide comme la tête d'un bourgeois... peut être parce que je n'ai rien mangé de consistant hier soir? Demain nous devrions reprendre la route et il nous faudra des forces. Heureusement, Chaya pourra m'aider à trouver le sud du nord au milieu des arbres. Après un repas bien consistant, je décidais avant de me percher à un arbre de lancer une dernière discussion dans la soiré.
-Dis moi, que comptes tu faire une fois à Telbara?
Nimar Ombrien- Expert
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
Le médiocre souper était engagé. Chaya appréciait le pain, elle en avait peu manger dans sa vie, pour une fois que les humains faisaient de bonnes choses ! En silence, elle observait Nimar du coin de l’œil, la façon dont il mangeait, ses gestes maladroits lorsqu’il grimpa à l'arbre. Elle repensa à sa réponse au sujet de sa dague :
-C'est ça! tu m'en achèteras une nouvelle.
Était-ce ironique ? Chaya ne savait pas « acheter » quelque chose, elle n'avait même pas acquis la notion d'argent seulement… Le tigraine culpabilisa sur l'instant, mais elle ne lui répondit pas, ne comprenant pas le terme qu'il venait d'employer, elle savait juste qu'il fallait qu'elle se rattrape.
Avant de s'endormir, Nimar lui posa une question tout à fait pertinente :
-Dis moi, que comptes tu faire une fois à Telbara?
Chaya grimpa sur le même arbre que lui, elle s'installa sur une large branche un peu plus basse que la sienne, la queue dans le vide, il faisait bon ce soir là, elle soupira et s'étendit de tout son être :
- Pour trouver paix.
C'est tout ce qu'elle avait sous le bras pour lui expliquer les raisons de son voyage. Onyx, son frère lui avait tant parlé de Telbara, où toutes les races se mélangeaient dans la paix, où les humains acceptaient les créatures, où la violence n'existait pas. S'était peut être une utopie, seulement Chaya y croyait fermement depuis son enfance.
L'autre raison étant qu'elle voulait fuir son lieu de vie où tout ses malheureux souvenirs étaient accrochés, elle ajouta :
- Onyx, parler moi de Telbara beaucoup.
Puis elle ferma les yeux et laissa ses rêves l'englober de son manteau chaleureux. Cette nuit là fut turbulente pour la jeune tigraine, elle subit plusieurs cauchemars, dont l'apparition de son frère jumeaux qui tentait de la prévenir d'un danger, plusieurs fois, elle le revit mourir sous ses yeux.
Alors que le matin s'annonçait dans la nature environnante, pacifique. Le cri de Chaya qui se réveilla en sursaut fit s'envoler un petit groupe d'oiseaux nichés dans leur arbre .
-C'est ça! tu m'en achèteras une nouvelle.
Était-ce ironique ? Chaya ne savait pas « acheter » quelque chose, elle n'avait même pas acquis la notion d'argent seulement… Le tigraine culpabilisa sur l'instant, mais elle ne lui répondit pas, ne comprenant pas le terme qu'il venait d'employer, elle savait juste qu'il fallait qu'elle se rattrape.
Avant de s'endormir, Nimar lui posa une question tout à fait pertinente :
-Dis moi, que comptes tu faire une fois à Telbara?
Chaya grimpa sur le même arbre que lui, elle s'installa sur une large branche un peu plus basse que la sienne, la queue dans le vide, il faisait bon ce soir là, elle soupira et s'étendit de tout son être :
- Pour trouver paix.
C'est tout ce qu'elle avait sous le bras pour lui expliquer les raisons de son voyage. Onyx, son frère lui avait tant parlé de Telbara, où toutes les races se mélangeaient dans la paix, où les humains acceptaient les créatures, où la violence n'existait pas. S'était peut être une utopie, seulement Chaya y croyait fermement depuis son enfance.
L'autre raison étant qu'elle voulait fuir son lieu de vie où tout ses malheureux souvenirs étaient accrochés, elle ajouta :
- Onyx, parler moi de Telbara beaucoup.
Puis elle ferma les yeux et laissa ses rêves l'englober de son manteau chaleureux. Cette nuit là fut turbulente pour la jeune tigraine, elle subit plusieurs cauchemars, dont l'apparition de son frère jumeaux qui tentait de la prévenir d'un danger, plusieurs fois, elle le revit mourir sous ses yeux.
Alors que le matin s'annonçait dans la nature environnante, pacifique. Le cri de Chaya qui se réveilla en sursaut fit s'envoler un petit groupe d'oiseaux nichés dans leur arbre .
Chaya- Bon
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
-Pour trouver paix. Répondit Chaya.
S'était sa réponse. Je trouvais cela un peu naïf mais tellement logique: elle n'avait connu que l'Homme et la civilisation que comme étant hostiles et dangereux. Trouver la paix dans ce monde est selon moi proche de l'impossible mais probablement le seul but qu'elle avait intérêt à poursuivre. Je ne savait donc pas comment répondre, lui dire que s'était impossible? L'encourager?
-Tu sais, même à Telbara la vie n'est pas toujours simple... mais si tu cherches la paix ce sera plus facile la bas... vraiment. Tâche juste d'affronter les mésaventures avec le sourir.
L'encouragement était la seul issue que je voyais. Peut être suis-je aveugle pour persévérer de la sorte dans la naïveté? Ce ne serait que peu étonnant.
- Onyx, parler moi de Telbara beaucoup.
Son frère... Onyx... il était intriguant. D'ou venait-il? Comment avait-il entendu parler du royaume voisin? Comment etait-il mort? Tant de questions que je souhaitais poser à Chaya mais sans oser le faire: je n'ai jamais eu recours à un deuil. Les gens morts j'en parle comme je l'entends et ne me vexe pas pour ça. L'expérience m'as tout de même appris que parler des proches morts de son interlocuteur n'était que peu... festif.
Le lendemain je me réveillai peu avant l'aube. Préparant notre départ matinal pour l'est, je cherchais un quelconque moyen d'arriver plus vite à notre destination... pas trop vite, les assassins de Telbara me cherchent peut être encore. Soudain, je fut surpris par un cri, celui de Chaya. M'inquiétant, je me précipitaI vers le lieu où elle sommeillait, elle ne se faisait Mannifestement pas agresser... c'était sans doutes juste un mauvais rêve mais par un réflexe de citadin je demandais...
-Ça va aller?
Sans oser plus parler je fini les préparatifs et nous repartîmes. Nous décidâmes de faire une pause dans une petite clairière. L'air était un peu frais mais nul besoin de se couvrir. Je profitais de l'eau obtenu récemment en m'en abreuvant avant de laisser la gourde à porter de Chaya comme pour l'inviter à ne pas se déshydrater. Nous ne faisions pas souvent de pause aussi tôt dans la mâtiné mais le coin était connu pour habriter quelques fruits comestibles. Si nous pouvions cueillir le repas du soir ou même tuer une bête lors de son repas je n'allais pas m'en plaindre. En commençant à étudier les alentours, je brisai le silence...
-Je suppose que, vue que Telbara est ton objectif, tu vas tenter de te faire à la vie en communauté? Je marquais une légère pause en prenant quelques baies qui ne semblaient pas toxiques... en sachant que je ne m'y connais pas en toxicité des baies. Si c'est le cas, faut que je te prévienne qu'en terre dit "civilisé" on a des habitudes bizarres; si t'as des questions hésite pas.
Avec quelques fruits à la main, je poussais un soupir en regardant l'horizon plein de couleurs possiblement toxiques. Après tout les rumeurs entendus à Gravoin sur les fruits du coin pouvaient être fausses. Si ça se trouve tout ici est assimiler à un dangereux venin.
-Chaya... tu t'y connais toi en plantes?
S'était sa réponse. Je trouvais cela un peu naïf mais tellement logique: elle n'avait connu que l'Homme et la civilisation que comme étant hostiles et dangereux. Trouver la paix dans ce monde est selon moi proche de l'impossible mais probablement le seul but qu'elle avait intérêt à poursuivre. Je ne savait donc pas comment répondre, lui dire que s'était impossible? L'encourager?
-Tu sais, même à Telbara la vie n'est pas toujours simple... mais si tu cherches la paix ce sera plus facile la bas... vraiment. Tâche juste d'affronter les mésaventures avec le sourir.
L'encouragement était la seul issue que je voyais. Peut être suis-je aveugle pour persévérer de la sorte dans la naïveté? Ce ne serait que peu étonnant.
- Onyx, parler moi de Telbara beaucoup.
Son frère... Onyx... il était intriguant. D'ou venait-il? Comment avait-il entendu parler du royaume voisin? Comment etait-il mort? Tant de questions que je souhaitais poser à Chaya mais sans oser le faire: je n'ai jamais eu recours à un deuil. Les gens morts j'en parle comme je l'entends et ne me vexe pas pour ça. L'expérience m'as tout de même appris que parler des proches morts de son interlocuteur n'était que peu... festif.
Le lendemain je me réveillai peu avant l'aube. Préparant notre départ matinal pour l'est, je cherchais un quelconque moyen d'arriver plus vite à notre destination... pas trop vite, les assassins de Telbara me cherchent peut être encore. Soudain, je fut surpris par un cri, celui de Chaya. M'inquiétant, je me précipitaI vers le lieu où elle sommeillait, elle ne se faisait Mannifestement pas agresser... c'était sans doutes juste un mauvais rêve mais par un réflexe de citadin je demandais...
-Ça va aller?
Sans oser plus parler je fini les préparatifs et nous repartîmes. Nous décidâmes de faire une pause dans une petite clairière. L'air était un peu frais mais nul besoin de se couvrir. Je profitais de l'eau obtenu récemment en m'en abreuvant avant de laisser la gourde à porter de Chaya comme pour l'inviter à ne pas se déshydrater. Nous ne faisions pas souvent de pause aussi tôt dans la mâtiné mais le coin était connu pour habriter quelques fruits comestibles. Si nous pouvions cueillir le repas du soir ou même tuer une bête lors de son repas je n'allais pas m'en plaindre. En commençant à étudier les alentours, je brisai le silence...
-Je suppose que, vue que Telbara est ton objectif, tu vas tenter de te faire à la vie en communauté? Je marquais une légère pause en prenant quelques baies qui ne semblaient pas toxiques... en sachant que je ne m'y connais pas en toxicité des baies. Si c'est le cas, faut que je te prévienne qu'en terre dit "civilisé" on a des habitudes bizarres; si t'as des questions hésite pas.
Avec quelques fruits à la main, je poussais un soupir en regardant l'horizon plein de couleurs possiblement toxiques. Après tout les rumeurs entendus à Gravoin sur les fruits du coin pouvaient être fausses. Si ça se trouve tout ici est assimiler à un dangereux venin.
-Chaya... tu t'y connais toi en plantes?
Nimar Ombrien- Expert
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
-Ça va aller?
Déboussolée, Chaya lui répondit par un hochement de tête et le rejoignit sur la terre ferme, muette, dubitative.
La jeune tigraine ne maîtrisait pas encore ces cauchemars, ni ses rêves. La plus part du temps, ils lui indiquaient un événement qui se produirait dans le futur. Seulement, ce n'était pas simple à traduire. Dans ce cas précis, il s'agissait de son frère, qui appartenait déjà au passé et qui la prévenait d'un danger. Mais de quel danger exactement ?
Elle garda ses pensées pour elle, fit le compte de ses flèches et s'assura que les montures étaient en pleine forme. Tout ça, dans un silence pesant, encore préoccupée par sa nuit chargée en émotions.
Ils reprirent donc leur folle aventure. Chaya n'était pas d'humeur à parler ce matin là, elle préférait observer tout ce qui l'entourait, les bois de cette partie d'Orcande paraissaient plus secs mais ils s'illuminaient de plusieurs teintes dues aux fleurs sauvages. Elle se souvenait de sa forêt sombre, humide et peu accueillante.
C'est Nimar qui brisa sa tranquillité. Alors qu'ils s'engageaient dans une jolie clairière, celui ci sembla lui poser une question qu'elle ne comprit pas du tout :
-Je suppose que, vue que Telbara est ton objectif, tu vas tenter de te faire à la vie en communauté? Si c'est le cas, faut que je te prévienne qu'en terre dit "civilisé" on a des habitudes bizarres; si t'as des questions hésite pas.
Elle toisa quelques secondes son ami gourmand des petites douceurs que lui offraient la nature et répéta après lui, d'un ton interrogé et mal prononcé :
- Vie commounoté ?* Civilisé ?
Chaya détourna les yeux et câlina sa monture, embarrassée par son manque de vocabulaire. Tout ce qu'elle venait de piger, c'est qu'il parlait de Telbara. Elle grommela dans un sifflement discret, irritée de ne pas pouvoir avoir un dialogue convenable avec son compagnon de voyage. Et puis, elle ne s'était pas levée du bon pied à vrai dire.
Elle huma l'air ambiant. Quelques chose ne tournait pas rond … Elle sentait une présence indescriptible qui les suivaient… Alors que ses yeux suspicieux vagabondaient aux alentours, Nimar voulut savoir :
-Chaya... tu t'y connais toi en plantes?
Chaya tourna la tête vers lui, sourcils froncés, haussant les épaules. Depuis qu'elle était enfant, elle avait apprit à ce soigner à l'aide des plantes, elle savait ce qui était bon, ce qui était mauvais. Ce qui pouvait nourrir, ce qui pouvait tuer, mais dans ce nouvel environnement, elle n'avait pas encore les connaissances de toute la flore, parfois, elle croisait des plantes qu'elle n'avait encore jamais vues de sa vie :
- Toi mourir aujourd'hui. Ou pas. Balança t-elle sur ton sarcastique.
Déboussolée, Chaya lui répondit par un hochement de tête et le rejoignit sur la terre ferme, muette, dubitative.
La jeune tigraine ne maîtrisait pas encore ces cauchemars, ni ses rêves. La plus part du temps, ils lui indiquaient un événement qui se produirait dans le futur. Seulement, ce n'était pas simple à traduire. Dans ce cas précis, il s'agissait de son frère, qui appartenait déjà au passé et qui la prévenait d'un danger. Mais de quel danger exactement ?
Elle garda ses pensées pour elle, fit le compte de ses flèches et s'assura que les montures étaient en pleine forme. Tout ça, dans un silence pesant, encore préoccupée par sa nuit chargée en émotions.
Ils reprirent donc leur folle aventure. Chaya n'était pas d'humeur à parler ce matin là, elle préférait observer tout ce qui l'entourait, les bois de cette partie d'Orcande paraissaient plus secs mais ils s'illuminaient de plusieurs teintes dues aux fleurs sauvages. Elle se souvenait de sa forêt sombre, humide et peu accueillante.
C'est Nimar qui brisa sa tranquillité. Alors qu'ils s'engageaient dans une jolie clairière, celui ci sembla lui poser une question qu'elle ne comprit pas du tout :
-Je suppose que, vue que Telbara est ton objectif, tu vas tenter de te faire à la vie en communauté? Si c'est le cas, faut que je te prévienne qu'en terre dit "civilisé" on a des habitudes bizarres; si t'as des questions hésite pas.
Elle toisa quelques secondes son ami gourmand des petites douceurs que lui offraient la nature et répéta après lui, d'un ton interrogé et mal prononcé :
- Vie commounoté ?* Civilisé ?
Chaya détourna les yeux et câlina sa monture, embarrassée par son manque de vocabulaire. Tout ce qu'elle venait de piger, c'est qu'il parlait de Telbara. Elle grommela dans un sifflement discret, irritée de ne pas pouvoir avoir un dialogue convenable avec son compagnon de voyage. Et puis, elle ne s'était pas levée du bon pied à vrai dire.
Elle huma l'air ambiant. Quelques chose ne tournait pas rond … Elle sentait une présence indescriptible qui les suivaient… Alors que ses yeux suspicieux vagabondaient aux alentours, Nimar voulut savoir :
-Chaya... tu t'y connais toi en plantes?
Chaya tourna la tête vers lui, sourcils froncés, haussant les épaules. Depuis qu'elle était enfant, elle avait apprit à ce soigner à l'aide des plantes, elle savait ce qui était bon, ce qui était mauvais. Ce qui pouvait nourrir, ce qui pouvait tuer, mais dans ce nouvel environnement, elle n'avait pas encore les connaissances de toute la flore, parfois, elle croisait des plantes qu'elle n'avait encore jamais vues de sa vie :
- Toi mourir aujourd'hui. Ou pas. Balança t-elle sur ton sarcastique.
Chaya- Bon
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
À la suite de ma première question, Chaya demanda...
- Vie commounoté ?* Civilisé ?
C'était un peu dommage qu'elle ne comprenne pas ces deux mots car il s'agissait des deux seuls à comprendre absolument pour ne pas être pommé dans phrase... je ne répondit pas de suite car occupé à cueillir le repas du soir, j'entendais tout de même les grognements énervés de Chaya. Décidément elle était un peu colérique. A ma deuxième question, elle répondit...
- Toi mourir aujourd'hui. Ou pas.
Eh bien, ah moins sa réponse apportait la preuve qu'elle avait de la répartit. Je remarquai cependant qu'avant de l'interrompre pour la bouffe, elle semblait... comme méfiante, elle vérifiait les alentours qui n'étaient pourtant pas particulièrement inconnus. D'un regard vagabond elle passait d'un buisson à l'autre. Pour ma part ma garde était baissé, je voyais bien peu de créatures mortelles pour nous qui boufferraient quelques baies pour le repas...
-Il y a un problème?
Demandais-Je alors inquiété par la suspicion de mon compagnon. Je regardais moi même les alentours sans rien voir de bien dangereux. Sqns rien voir je ne fit finalement que peu attention a cette faune étouffante, prepérant même insouciamment le départ.
- Vie commounoté ?* Civilisé ?
C'était un peu dommage qu'elle ne comprenne pas ces deux mots car il s'agissait des deux seuls à comprendre absolument pour ne pas être pommé dans phrase... je ne répondit pas de suite car occupé à cueillir le repas du soir, j'entendais tout de même les grognements énervés de Chaya. Décidément elle était un peu colérique. A ma deuxième question, elle répondit...
- Toi mourir aujourd'hui. Ou pas.
Eh bien, ah moins sa réponse apportait la preuve qu'elle avait de la répartit. Je remarquai cependant qu'avant de l'interrompre pour la bouffe, elle semblait... comme méfiante, elle vérifiait les alentours qui n'étaient pourtant pas particulièrement inconnus. D'un regard vagabond elle passait d'un buisson à l'autre. Pour ma part ma garde était baissé, je voyais bien peu de créatures mortelles pour nous qui boufferraient quelques baies pour le repas...
-Il y a un problème?
Demandais-Je alors inquiété par la suspicion de mon compagnon. Je regardais moi même les alentours sans rien voir de bien dangereux. Sqns rien voir je ne fit finalement que peu attention a cette faune étouffante, prepérant même insouciamment le départ.
Nimar Ombrien- Expert
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
-Il y a un problème?
Chaya ne répondit pas sur le champ. Elle sauta de sa monture, porta sa main en visière afin de scruter l'horizon. Pas de danger et pourtant, elle présentait quelque chose d'inconnu, d'invisible et cela l'irritait. Elle posa enfin ses yeux sur Nimar :
- Non… Lui répondit-elle enfin, pas très sûre d'elle.
Les chevaux ne semblaient pas paniquer non plus à l'approche d'une menace. Chaya grimpa donc sur sa jument et déclara posément :
- Nous pas rester ici.
La jeune tigraine relança donc leur marche, prête à partir au galop au moindre signe de danger. Plus tard dans la journée, ils durent traverser la rivière Tijaronhe. Ils en profitèrent pour faire une petite pause, laissant les montures reprendre des forces, se nourrir, tout comme eux d'ailleurs. Chaya s'était assise au bord de l'eau, pensant qu'il y avait bien longtemps qu'elle n'avait pas fait sa toilette. Elle trouverait un moment le soir pour prendre soin d'elle :
- Nous dormir dans forêt ce soir ? Demanda t-elle à Nimar ensuite.
Elle espérait qu'il réponde d'une façon positive, les arbres leur procureraient assez de sécurité car elle n'était pas sereine. Quelque chose semblait les suivre, seulement, elle n'en était pas certaine. De plus, il fallait qu'elle se prépare des flèches, bientôt, son carquois allait être vide. Du simple bois pouvait suffire, même si de la pierre aurait été formidable pour infliger plus de dégâts. La jeune tigraine marcha donc le long du cour d'eau afin d'en récupérer quelques unes, les plus pointues possible, c'est alors qu'une voix familière résonna dans son esprit : « Chaya... » . Brusquement, elle se redressa, oreilles pointées vers le ciel encore bleu. Elle fit le tour d'elle même jusqu'à Nimar, sans remarquer la moindre présence inconnue : « Chaya, je suis là... » . Nul doute, il s'agissait bien de la voix de son frère et ce n'était pas normal puisqu'elle avait bien vu sa tête roulée sur le sol lorsqu’il avait été tué :
- Onyx … Murmura t-elle en se précipitant vers son arc.
La voix de son frère était grave, pesante et elle ne cessait de répéter son nom. Elle finit par tomber à genoux, mains sur les oreilles :
- Arrête ! Stop ! Supplia t-elle, les larmes aux yeux.
Affolée, perturbée par ce qui se passait, elle en avait complètement oublié la présence de Nimar. Elle ne comprenait pas ce qu'elle endurait, elle ignorait que les morts pouvaient parler et d'ailleurs son ami lui, ne semblait pas du tout entendre Onyx . Les voix disparurent soudainement de sa tête. Chaya retira lentement ses mains, encore sous le choc et leva la tête sur Nimar, les yeux embués de larmes et hallucinés. La voix de son frère réapparut encore, cette fois moins agressive, presque lointaine : « Chaya, enfuit toi... » .
Il ne fallait pas lui dire deux fois, elle rangea vite ses affaires, comme ci quelque chose allait leur tomber dessus :
- On part. Vite ! Lança t-elle à Nimar sans même lui prêter attention.
Chaya ne répondit pas sur le champ. Elle sauta de sa monture, porta sa main en visière afin de scruter l'horizon. Pas de danger et pourtant, elle présentait quelque chose d'inconnu, d'invisible et cela l'irritait. Elle posa enfin ses yeux sur Nimar :
- Non… Lui répondit-elle enfin, pas très sûre d'elle.
Les chevaux ne semblaient pas paniquer non plus à l'approche d'une menace. Chaya grimpa donc sur sa jument et déclara posément :
- Nous pas rester ici.
La jeune tigraine relança donc leur marche, prête à partir au galop au moindre signe de danger. Plus tard dans la journée, ils durent traverser la rivière Tijaronhe. Ils en profitèrent pour faire une petite pause, laissant les montures reprendre des forces, se nourrir, tout comme eux d'ailleurs. Chaya s'était assise au bord de l'eau, pensant qu'il y avait bien longtemps qu'elle n'avait pas fait sa toilette. Elle trouverait un moment le soir pour prendre soin d'elle :
- Nous dormir dans forêt ce soir ? Demanda t-elle à Nimar ensuite.
Elle espérait qu'il réponde d'une façon positive, les arbres leur procureraient assez de sécurité car elle n'était pas sereine. Quelque chose semblait les suivre, seulement, elle n'en était pas certaine. De plus, il fallait qu'elle se prépare des flèches, bientôt, son carquois allait être vide. Du simple bois pouvait suffire, même si de la pierre aurait été formidable pour infliger plus de dégâts. La jeune tigraine marcha donc le long du cour d'eau afin d'en récupérer quelques unes, les plus pointues possible, c'est alors qu'une voix familière résonna dans son esprit : « Chaya... » . Brusquement, elle se redressa, oreilles pointées vers le ciel encore bleu. Elle fit le tour d'elle même jusqu'à Nimar, sans remarquer la moindre présence inconnue : « Chaya, je suis là... » . Nul doute, il s'agissait bien de la voix de son frère et ce n'était pas normal puisqu'elle avait bien vu sa tête roulée sur le sol lorsqu’il avait été tué :
- Onyx … Murmura t-elle en se précipitant vers son arc.
La voix de son frère était grave, pesante et elle ne cessait de répéter son nom. Elle finit par tomber à genoux, mains sur les oreilles :
- Arrête ! Stop ! Supplia t-elle, les larmes aux yeux.
Affolée, perturbée par ce qui se passait, elle en avait complètement oublié la présence de Nimar. Elle ne comprenait pas ce qu'elle endurait, elle ignorait que les morts pouvaient parler et d'ailleurs son ami lui, ne semblait pas du tout entendre Onyx . Les voix disparurent soudainement de sa tête. Chaya retira lentement ses mains, encore sous le choc et leva la tête sur Nimar, les yeux embués de larmes et hallucinés. La voix de son frère réapparut encore, cette fois moins agressive, presque lointaine : « Chaya, enfuit toi... » .
Il ne fallait pas lui dire deux fois, elle rangea vite ses affaires, comme ci quelque chose allait leur tomber dessus :
- On part. Vite ! Lança t-elle à Nimar sans même lui prêter attention.
Chaya- Bon
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
-Non... Fut la réponse lente et, au timbre de la voix, peu honnête de Chaya.
Je la savais préoccupé par quelque chose mais je ne pouvais définir ce dont il s'agissait. Elle finit cependant sans plus attendre mais sans paraître paniqué...
- Nous pas rester ici.
Sans vraiment oser la contre dire je montaI bien vite ma monture et suivit l'horizon aux côtés de ma camarade. Nous nous arrêtâmes plus tard aux abords de Tijaronhe, laissant ainsi les chevaux et nous même faire une pause. Nous avions faim et soif, nous puions comme des rats crevés et en plus j'avais un peu froid... Chaya, prévoyante demanda presque instinctivement...
- Nous dormir dans forêt ce soir ?
Nous étions juste au bord d'une rivière, par conséquent nous avions de l'eau et de la faune pour nous protéger. En oubliant donc le fait que l'eau se jetant de part et d'autre de la rive rafraîchissant et humidifiait l'air environnent je répondit...
-Bien sûr, j'ai même déjà trouvé l'arbre ou je sommeillerais.
Alors que Chaya faisait le tour de la rivière à la recherche de cailloux pour ses flèches, je veillait sur le feu qui me réchaufferait au moins jusqu'a ce que je grimpe à l'arbre. Dans mes yeux sombres se reflètaient là seul source de lumière autre Le soleil un peu présent qui allait bientôt laisser place lui et son ciel bleu, au crépuscule puis à la lune qui illuminerait de sa sombre lumière la région. Un peu las de patienter, je me mit à grignoter deux pu trois baies connunes qui me semblaient donc peu enclines à m'empoisonner. Chaya arrivait finalement au petit campement après sa cueillette aux pierres. Le calme règnait et rien ne se profilait à l'horizon, j'imaginait difficilement la tranquillité exemplaire du lieu se briser. Soudain... bien evidemment la tranquillité exemplaire du lieu se brisa. J'entendis derrière moi un une agitation inattendu. Me retournant, je vis Chaya levé saisir son arc en chuchotant je ne sais quoi.
-Que? Quoi? Il y a qui? Encore un Xexerre? Des kobolds? Un dragon? Deux? Les bandits? Pourquoi t'as dégainé? Demandais-Je alors paniqué en dégainant ma lame la moins bien caché.
Chaya fit alors une chose qui aurait brisé l'image de l'être saine d'esprit que je me faisait d'elle si je n'était pas aussi occupé à me faire peur. Les mains sur les oreilles et les genoux à terre, elle cria...
- Arrête ! Stop !
Dans mon immense sagesse et tout le calme dont je disposais, je fit une action bien plus logique que de raisonner mon amie...
-Mais quoi? Arrêter de stopper qui? Demandais-je sans vraiment réfléchir. Je cherchais plus à comprendre qu'a calmer la panique général qui s'était emparé des deux compagnons que nous étions.
Je commençais alors à douter de la justification à la panique de Chaya. Reprenant mon souffle et scrutant les alentours, je me rendit compte bien vite qu'aucune présence autre que la nôtre n'était à signaler. Chaya se décidait de son côté enfin à éloigner ses mains de ses oreilles et à lever ses yeux larmoyants sur moi, avant que je puisse lui demander quoi que ce soit, elle se précipita vers ses affaires qu'elle rangea en quelques battements de cil, puis elle déclara en prenant sa monture...
- On part. Vite !
Sans me lancer un regard, elle partit au grand galop. J'embarquais donc sur ma monture et tentais de suivre mon compagnon, mes récentes montés me permirent de ne pas chavirer en arrière à l'accélération même si je n'eut pas le réflexe d'attacher ma cape de sorte à ce qu'elle ne me ralentisse pas, à telle point que je suivais Chaya à bien vingt mètres de distance. Je ne comprenais pas ce que nous fuyons ni pourquoi. Chaya semblait pourtant, bien que paniqué, à nouveau apte à la discussion et la tête sur les épaules me poussant à poser une nouvelle question.
-Dis, as tu l'intention de me dire ce qu'il se passe?
Je la savais préoccupé par quelque chose mais je ne pouvais définir ce dont il s'agissait. Elle finit cependant sans plus attendre mais sans paraître paniqué...
- Nous pas rester ici.
Sans vraiment oser la contre dire je montaI bien vite ma monture et suivit l'horizon aux côtés de ma camarade. Nous nous arrêtâmes plus tard aux abords de Tijaronhe, laissant ainsi les chevaux et nous même faire une pause. Nous avions faim et soif, nous puions comme des rats crevés et en plus j'avais un peu froid... Chaya, prévoyante demanda presque instinctivement...
- Nous dormir dans forêt ce soir ?
Nous étions juste au bord d'une rivière, par conséquent nous avions de l'eau et de la faune pour nous protéger. En oubliant donc le fait que l'eau se jetant de part et d'autre de la rive rafraîchissant et humidifiait l'air environnent je répondit...
-Bien sûr, j'ai même déjà trouvé l'arbre ou je sommeillerais.
Alors que Chaya faisait le tour de la rivière à la recherche de cailloux pour ses flèches, je veillait sur le feu qui me réchaufferait au moins jusqu'a ce que je grimpe à l'arbre. Dans mes yeux sombres se reflètaient là seul source de lumière autre Le soleil un peu présent qui allait bientôt laisser place lui et son ciel bleu, au crépuscule puis à la lune qui illuminerait de sa sombre lumière la région. Un peu las de patienter, je me mit à grignoter deux pu trois baies connunes qui me semblaient donc peu enclines à m'empoisonner. Chaya arrivait finalement au petit campement après sa cueillette aux pierres. Le calme règnait et rien ne se profilait à l'horizon, j'imaginait difficilement la tranquillité exemplaire du lieu se briser. Soudain... bien evidemment la tranquillité exemplaire du lieu se brisa. J'entendis derrière moi un une agitation inattendu. Me retournant, je vis Chaya levé saisir son arc en chuchotant je ne sais quoi.
-Que? Quoi? Il y a qui? Encore un Xexerre? Des kobolds? Un dragon? Deux? Les bandits? Pourquoi t'as dégainé? Demandais-Je alors paniqué en dégainant ma lame la moins bien caché.
Chaya fit alors une chose qui aurait brisé l'image de l'être saine d'esprit que je me faisait d'elle si je n'était pas aussi occupé à me faire peur. Les mains sur les oreilles et les genoux à terre, elle cria...
- Arrête ! Stop !
Dans mon immense sagesse et tout le calme dont je disposais, je fit une action bien plus logique que de raisonner mon amie...
-Mais quoi? Arrêter de stopper qui? Demandais-je sans vraiment réfléchir. Je cherchais plus à comprendre qu'a calmer la panique général qui s'était emparé des deux compagnons que nous étions.
Je commençais alors à douter de la justification à la panique de Chaya. Reprenant mon souffle et scrutant les alentours, je me rendit compte bien vite qu'aucune présence autre que la nôtre n'était à signaler. Chaya se décidait de son côté enfin à éloigner ses mains de ses oreilles et à lever ses yeux larmoyants sur moi, avant que je puisse lui demander quoi que ce soit, elle se précipita vers ses affaires qu'elle rangea en quelques battements de cil, puis elle déclara en prenant sa monture...
- On part. Vite !
Sans me lancer un regard, elle partit au grand galop. J'embarquais donc sur ma monture et tentais de suivre mon compagnon, mes récentes montés me permirent de ne pas chavirer en arrière à l'accélération même si je n'eut pas le réflexe d'attacher ma cape de sorte à ce qu'elle ne me ralentisse pas, à telle point que je suivais Chaya à bien vingt mètres de distance. Je ne comprenais pas ce que nous fuyons ni pourquoi. Chaya semblait pourtant, bien que paniqué, à nouveau apte à la discussion et la tête sur les épaules me poussant à poser une nouvelle question.
-Dis, as tu l'intention de me dire ce qu'il se passe?
Nimar Ombrien- Expert
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
Chaya avait galopé jusqu'au beau milieu de cette forêt luxuriante de la langue du Diable en pleine nuit. Elle diminua son allure jusqu'à ce que Nimar puisse la rejoindre. Elle le sentait, cet environnement rassemblait des milliers d 'énergies négatives et positives et pourtant, tout était si calme… Arrivé à sa hauteur, le jeune trigrain lui réclama des explications sur ce qui s'était passé quelques heures plutôt :
-Dis, as tu l'intention de me dire ce qu'il se passe?
Chaya sauta de sa monture et s'activa rapidement pour faire un feu : En général, le feu éloignait les créatures, en même temps, elle répondit à son ami le plus clairement qu'elle pouvait :
- Nuit avant, moi faire rêve de Onyx. Onyx dit à moi un danger suivre nous.
Sentant qu'il ne comprendrait pas, elle ajouta tout en soufflant sur les brindilles qui commençaient à fumer :
- Nimar, moi faire rêves qui me dit* ce que ce passe demain* .
Elle leva les yeux au ciel, énervée de ne pas pouvoir lui exposer son don comme il le faudrait et admit :
- Moi sentir quelque chose Nimar mais moi ne pas voir.
La jeune tigraine s'installa ensuite prés du feu qui crépitait, arc prés d'elle :
- Toi dormir et moi non ce soir. Annonça t-elle dans le sens où elle voulait monter la garde.
Jetant ces yeux vers un arbre pour le signifier d'aller se reposer, Chaya lui avoua ensuite, gorge serrée :
- Moi entendre Onyx prés de rivière.
Et elle se garda de dire qu'elle présentait déjà une énergie oppressante et mystérieuse qui les enveloppaient…
* « Moi faire rêves qui me dit ce que ce passe demain » En plus d'une grosse faute de conjugaison, Chaya à souhaiter lui dire : « Je fais des rêves prémonitoires » .
-Dis, as tu l'intention de me dire ce qu'il se passe?
Chaya sauta de sa monture et s'activa rapidement pour faire un feu : En général, le feu éloignait les créatures, en même temps, elle répondit à son ami le plus clairement qu'elle pouvait :
- Nuit avant, moi faire rêve de Onyx. Onyx dit à moi un danger suivre nous.
Sentant qu'il ne comprendrait pas, elle ajouta tout en soufflant sur les brindilles qui commençaient à fumer :
- Nimar, moi faire rêves qui me dit* ce que ce passe demain* .
Elle leva les yeux au ciel, énervée de ne pas pouvoir lui exposer son don comme il le faudrait et admit :
- Moi sentir quelque chose Nimar mais moi ne pas voir.
La jeune tigraine s'installa ensuite prés du feu qui crépitait, arc prés d'elle :
- Toi dormir et moi non ce soir. Annonça t-elle dans le sens où elle voulait monter la garde.
Jetant ces yeux vers un arbre pour le signifier d'aller se reposer, Chaya lui avoua ensuite, gorge serrée :
- Moi entendre Onyx prés de rivière.
Et elle se garda de dire qu'elle présentait déjà une énergie oppressante et mystérieuse qui les enveloppaient…
* « Moi faire rêves qui me dit ce que ce passe demain » En plus d'une grosse faute de conjugaison, Chaya à souhaiter lui dire : « Je fais des rêves prémonitoires » .
Chaya- Bon
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
Comme réponse à ma question, Chaya descendit de sa monture et s'attela bien vite à allumer un feu, je la suivait de suffisamment près pour entendre sa réponse hâtive...
- Nuit avant, moi faire rêve de Onyx. Onyx dit à moi un danger suivre nous. Me révéla-t-elle.
C'était loin d'être suffisant coMme explication. La nuit tombait et j'étais un peu fâché d'avoir parcouru à cheval des lieux pour un rêve...
- Nimar, moi faire rêves qui me dit* ce que ce passe demain* . Poursuivit elle.
Des rêves prémonitoires? Nous voilà bien avancés, je n'y ai jamais vraiment cru bien que j ai toujours eu fort respect pour ceux qui réussissaient à vendre leurs rêves aux stupides nobles. Sa phrase n'était par ailleurs pas vraiment apte à m'éclairer: elle prétend qu'il lui arrive souvent de faire des rêves prémonitoires? Ou bien elle a fait un rêve et est persuadé que s'en est un alors qu'elle n'à jamais prédit que le prévisible?
- Moi sentir quelque chose Nimar mais moi ne pas voir.
J'ai déjà toujours plus cru en l'odorat que la prémonition, mais je ne saisissait définitivement pas tout. Me rendant compte de mon ignorance j'en devenait légèrement irrité.
- Toi dormir et moi non ce soir.
Dormir? Avec tout ce qu'elle m'as mit en tête? Mais elle a de l'humour dites donc! J'allais lui poser encore quelques question mais elle m'avoua avec un air un peu... gêner? La chose suivante...
- Moi entendre Onyx prés de rivière.
Je me tut, ne sachant trop quoi répondre. Un spectre? Un nécromancien agirait sur le lieu? Ça expliquerait des choses mais je connaissais bien peu de légendes à propos de mages noir dans des jolies petites forêts colorés. J'hésitais à me tourner vers l'arbre que Chaya m'avait indiqué quelques instants auparavant, puis, non pas par compation mais par instinct de survie, me suis décidé à questionner mon amie sur les apparitions qu'elle a affronté récemment. J'avais la gorge sèche, je pris donc deux trois baies juteuses que j'engloutis d'une traite. Cela devait faire six ou sept baies mangés cette soiré mais rien qu'avec cela m'a vision devint flou avant l'interrogatoire. Un bourdonnement constant se fit entendre dans mon oreille et ma tête commençait à tourner. Je ne ressentait en moi aucun affaiblissement, aucune perte d'équilibre mais mon ouïe et ma vue semblaient délirer jusqu'a me faire perdre l'équilibre. Sqns pour autant tomber cul au sol ces hallucinations eurent failli me pousser à dégueuler au sol mon maigre repas. J'aurais juré avoir cracher du sang en toussant et pourtant en un clignement d'oeuil toute trace sanguine disparaissait de mon regard. Était-ce les baies? Avais-je mangé une baie hallucinogène? Ou pire...
-Chaya... t'es sûre et certaine que... qu'on a pris que des baies non véné...
Je ne fini pas ma phrase que les défaillances de mes sens me dirent chuter au sol. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait je subissait tout ce qui était signe d'empoisonnement mais ne sentait aucun affaiblissement en moi, la région n'était poutant pas connue pour la dangerosité de la flore. Était-ce seulement possible que le poison de baies agisse aussi rapidement? J'allais bien vite le savoir...
- Nuit avant, moi faire rêve de Onyx. Onyx dit à moi un danger suivre nous. Me révéla-t-elle.
C'était loin d'être suffisant coMme explication. La nuit tombait et j'étais un peu fâché d'avoir parcouru à cheval des lieux pour un rêve...
- Nimar, moi faire rêves qui me dit* ce que ce passe demain* . Poursuivit elle.
Des rêves prémonitoires? Nous voilà bien avancés, je n'y ai jamais vraiment cru bien que j ai toujours eu fort respect pour ceux qui réussissaient à vendre leurs rêves aux stupides nobles. Sa phrase n'était par ailleurs pas vraiment apte à m'éclairer: elle prétend qu'il lui arrive souvent de faire des rêves prémonitoires? Ou bien elle a fait un rêve et est persuadé que s'en est un alors qu'elle n'à jamais prédit que le prévisible?
- Moi sentir quelque chose Nimar mais moi ne pas voir.
J'ai déjà toujours plus cru en l'odorat que la prémonition, mais je ne saisissait définitivement pas tout. Me rendant compte de mon ignorance j'en devenait légèrement irrité.
- Toi dormir et moi non ce soir.
Dormir? Avec tout ce qu'elle m'as mit en tête? Mais elle a de l'humour dites donc! J'allais lui poser encore quelques question mais elle m'avoua avec un air un peu... gêner? La chose suivante...
- Moi entendre Onyx prés de rivière.
Je me tut, ne sachant trop quoi répondre. Un spectre? Un nécromancien agirait sur le lieu? Ça expliquerait des choses mais je connaissais bien peu de légendes à propos de mages noir dans des jolies petites forêts colorés. J'hésitais à me tourner vers l'arbre que Chaya m'avait indiqué quelques instants auparavant, puis, non pas par compation mais par instinct de survie, me suis décidé à questionner mon amie sur les apparitions qu'elle a affronté récemment. J'avais la gorge sèche, je pris donc deux trois baies juteuses que j'engloutis d'une traite. Cela devait faire six ou sept baies mangés cette soiré mais rien qu'avec cela m'a vision devint flou avant l'interrogatoire. Un bourdonnement constant se fit entendre dans mon oreille et ma tête commençait à tourner. Je ne ressentait en moi aucun affaiblissement, aucune perte d'équilibre mais mon ouïe et ma vue semblaient délirer jusqu'a me faire perdre l'équilibre. Sqns pour autant tomber cul au sol ces hallucinations eurent failli me pousser à dégueuler au sol mon maigre repas. J'aurais juré avoir cracher du sang en toussant et pourtant en un clignement d'oeuil toute trace sanguine disparaissait de mon regard. Était-ce les baies? Avais-je mangé une baie hallucinogène? Ou pire...
-Chaya... t'es sûre et certaine que... qu'on a pris que des baies non véné...
Je ne fini pas ma phrase que les défaillances de mes sens me dirent chuter au sol. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait je subissait tout ce qui était signe d'empoisonnement mais ne sentait aucun affaiblissement en moi, la région n'était poutant pas connue pour la dangerosité de la flore. Était-ce seulement possible que le poison de baies agisse aussi rapidement? J'allais bien vite le savoir...
Nimar Ombrien- Expert
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
Chaya se fabriquait quelques flèches et Nimar avait préféré rester en sa compagnie. Alors qu'il avait écouté patiemment tout ses aveux, elle l'avait sentit fébrile. Pleine de bonnes intentions, elle insista pour qu'il prenne une ou deux heures de repos au moins :
- Nimar, toi pas avoir peur, moi ouvrir l’œil. Toi dormir un peu, moi sentir mal en toi…
Elle ne put en dire d'avantage, son ami était en train de vomir ses tripes à quelques centimètres. La trigraine leva un sourcil d'étonnement alors qu'il se redressait faiblement :
-Chaya... t'es sûre et certaine que... qu'on a pris que des baies non véné...
Ses mots s’envolèrent et il s'étala dans l'herbe douce, les yeux exorbités. La peur et le rythme effréné du cœur de Nimar parvinrent directement aux sens de Chaya qui se déplaça tout de suite à ses côtés, elle le renifla, prit sa main et agita la sienne devant ses yeux, désorienté, celui ci tenta de se relever et de la frapper en plein visage, elle l'évita en retenant son bras :
- Nimar, c'est Chaya ! L'avertit-elle.
Il semblait ne plus voir, ou du moins, pas correctement. Chaya tourna la tête vers les baies qu'il tenait encore, elle n'avait jamais eu à faire à ce genre de fruit mais elle comprit bien vite qu'elles n'étaient pas comestible, elle les jeta très loin d'eux, courut prendre la gourde, se rinça les mains et revint vers lui pour lui nettoyer les siennes ainsi que sa bouche. La tigraine avait déjà vu un cas similaire d’empoisonnement, la première chose à faire étant d'éloigner la cause du malheur, en effacer les traces même sur les vêtements… Chaya souffla d' effort pour le tourner et lui retirer sa cape :
- Pardon Nimar…
Elle se promit de lui laver et de lui rendre plus tard, l'important et l'urgence même de cet instant était de ralentir l'intoxication et prier pour qu'elle ne le tue pas. Chaya posa ses yeux sur la forêt, elle connaissait les vertus d'une plante pouvant calmer ce genre de maux : Le gingembre. Lentement, elle déposa le corps de son ami sous une couverture et lui chuchota :
- Nimar, bouge pas. Moi revenir.
Elle emporta son arc et se glissa à travers les fougères, le laissant seul, agonisant. Chaya avait connaissance de cette plante car elle l'avait beaucoup utilisée à l'époque où elle vivait dans sa forêt humide. Aujourd'hui, son environnement était bien plus différent et elle n'était même pas certaine d'en trouver. Elle avançait avec précaution et ne s'éloigna pas trop du camp au cas où les choses tourneraient mal. Une énergie soudaine et étrange enveloppa les lieux, une énergie que la tigraine ne put reconnaître, une énergie magique. Elle entendit leur chevaux hennir. Elle allait rebrousser chemin lorsque la voix d'Onyx se présenta derrière son dos :
- Chaya, laisse moi t'aider.
Chaya se tourna doucement et découvrit son frère en face d'elle. Elle le cibla directement, empoignant fermement son arc, tremblante. En vérité, elle désirait plus que tout lui sauter dans les bras, seulement… Il était mort non ? :
- Tu as gardé mon arc. Lui sourit-il.
Des larmes glissaient le long des joues de Chaya :
- Toi être mort Onyx. Lui lança t-elle.
Son frère, toujours aussi grand, aussi fort, montra ses paumes et ricana :
- Je vois aussi que tu t'es améliorée en langue.
La tigraine ne sentait pas son odeur, ni ses émotions. Parce qu'il était mort ? Elle fronça les sourcils et tira une flèche devant ses pieds :
- Toi pas être Onyx, moi te tuer. Sanglotait-elle, tentant de prendre un ton hostile.
Après avoir baissé les yeux sur l'objet qu'elle venait de lancer, l'apparition releva sa tête vers elle et approcha, l'air grave :
- Tu dois m'écouter Chaya. Je suis ici pour t'aider. Je suis bien Onyx, je reviens des morts pour te sauver. Crois moi ou alors…
Et il pointa son doigt en direction de leur camp :
- ...Ou alors ton ami Nimar va mourir.
Elle le fixa quelques secondes, méfiante. Les morts pouvaient effectivement revenir dans le monde des vivants, seulement pourquoi serait-il réapparut maintenant ? Pourquoi pas avant, quand elle avait eu si besoin de lui ? :
- Moi attendre toi, longtemps. Lui reprocha t-elle.
Onyx avança et l'obligea à baisser son arme d'un geste mesuré, puis il la serra contre elle. Chaya n'en revenait pas. Elle en perdit ses mots. Elle reconnut son poil, sa corpulence mais aucune odeur ni chaleur. Elle fondit en larme :
- Je suis Onyx. Assura t-il avant de l'éloigner de lui. Je sais que tu as beaucoup de chose à me dire, mais tu dois d'abord sauver Nimar. Il est en train de mourir…
- Pas savoir comment… Paniquait Chaya, essuyant ses larmes et reprenant ses esprits.
Il posa sa main sur son épaule et la regarda droit dans les yeux, hypnotisant :
- Nous devons emmener Nimar à une source de la forêt, elle est magique et pourra le guérir. Je sais où elle se trouve.
Chaya retourna donc vers le camp en compagnie de son frère et elle comprit que l'énergie ressentit depuis le début, provenait certainement de lui. Même si la situation était grave, elle était heureuse de le retrouver, même pour un bref instant.
Leur venue sur le camp fit s'enfuir les montures certainement car elle était en présence d'un fantôme, Nimar était toujours là et elle s'agenouilla prés de lui, elle vit son sursaut de stupeur, il était réellement en mauvaise état physique, elle le ressentait :
- Nimar, c'est Chaya, toi pas avoir peur, moi te sauver.
Puis elle releva la tête vers son frère, intéressé par leur affaires, et les environs :
- Nimar peux pas marcher. L'informa t-elle.
Onyx, très lent et comme absorbé par quelque chose, se tourna vers elle et sourit :
- Ce n'est pas un problème…
Il tendit la main vers des buissons, les branches se brisèrent, les feuilles tombèrent et le reste prit peu à peu la forme d'un lit qu'ils pourraient porter. Chaya resta bouche bée alors que le fantôme déclarait :
- Oui, la mort donne certains avantages.
- Nimar, toi pas avoir peur, moi ouvrir l’œil. Toi dormir un peu, moi sentir mal en toi…
Elle ne put en dire d'avantage, son ami était en train de vomir ses tripes à quelques centimètres. La trigraine leva un sourcil d'étonnement alors qu'il se redressait faiblement :
-Chaya... t'es sûre et certaine que... qu'on a pris que des baies non véné...
Ses mots s’envolèrent et il s'étala dans l'herbe douce, les yeux exorbités. La peur et le rythme effréné du cœur de Nimar parvinrent directement aux sens de Chaya qui se déplaça tout de suite à ses côtés, elle le renifla, prit sa main et agita la sienne devant ses yeux, désorienté, celui ci tenta de se relever et de la frapper en plein visage, elle l'évita en retenant son bras :
- Nimar, c'est Chaya ! L'avertit-elle.
Il semblait ne plus voir, ou du moins, pas correctement. Chaya tourna la tête vers les baies qu'il tenait encore, elle n'avait jamais eu à faire à ce genre de fruit mais elle comprit bien vite qu'elles n'étaient pas comestible, elle les jeta très loin d'eux, courut prendre la gourde, se rinça les mains et revint vers lui pour lui nettoyer les siennes ainsi que sa bouche. La tigraine avait déjà vu un cas similaire d’empoisonnement, la première chose à faire étant d'éloigner la cause du malheur, en effacer les traces même sur les vêtements… Chaya souffla d' effort pour le tourner et lui retirer sa cape :
- Pardon Nimar…
Elle se promit de lui laver et de lui rendre plus tard, l'important et l'urgence même de cet instant était de ralentir l'intoxication et prier pour qu'elle ne le tue pas. Chaya posa ses yeux sur la forêt, elle connaissait les vertus d'une plante pouvant calmer ce genre de maux : Le gingembre. Lentement, elle déposa le corps de son ami sous une couverture et lui chuchota :
- Nimar, bouge pas. Moi revenir.
Elle emporta son arc et se glissa à travers les fougères, le laissant seul, agonisant. Chaya avait connaissance de cette plante car elle l'avait beaucoup utilisée à l'époque où elle vivait dans sa forêt humide. Aujourd'hui, son environnement était bien plus différent et elle n'était même pas certaine d'en trouver. Elle avançait avec précaution et ne s'éloigna pas trop du camp au cas où les choses tourneraient mal. Une énergie soudaine et étrange enveloppa les lieux, une énergie que la tigraine ne put reconnaître, une énergie magique. Elle entendit leur chevaux hennir. Elle allait rebrousser chemin lorsque la voix d'Onyx se présenta derrière son dos :
- Chaya, laisse moi t'aider.
Chaya se tourna doucement et découvrit son frère en face d'elle. Elle le cibla directement, empoignant fermement son arc, tremblante. En vérité, elle désirait plus que tout lui sauter dans les bras, seulement… Il était mort non ? :
- Tu as gardé mon arc. Lui sourit-il.
Des larmes glissaient le long des joues de Chaya :
- Toi être mort Onyx. Lui lança t-elle.
Son frère, toujours aussi grand, aussi fort, montra ses paumes et ricana :
- Je vois aussi que tu t'es améliorée en langue.
La tigraine ne sentait pas son odeur, ni ses émotions. Parce qu'il était mort ? Elle fronça les sourcils et tira une flèche devant ses pieds :
- Toi pas être Onyx, moi te tuer. Sanglotait-elle, tentant de prendre un ton hostile.
Après avoir baissé les yeux sur l'objet qu'elle venait de lancer, l'apparition releva sa tête vers elle et approcha, l'air grave :
- Tu dois m'écouter Chaya. Je suis ici pour t'aider. Je suis bien Onyx, je reviens des morts pour te sauver. Crois moi ou alors…
Et il pointa son doigt en direction de leur camp :
- ...Ou alors ton ami Nimar va mourir.
Elle le fixa quelques secondes, méfiante. Les morts pouvaient effectivement revenir dans le monde des vivants, seulement pourquoi serait-il réapparut maintenant ? Pourquoi pas avant, quand elle avait eu si besoin de lui ? :
- Moi attendre toi, longtemps. Lui reprocha t-elle.
Onyx avança et l'obligea à baisser son arme d'un geste mesuré, puis il la serra contre elle. Chaya n'en revenait pas. Elle en perdit ses mots. Elle reconnut son poil, sa corpulence mais aucune odeur ni chaleur. Elle fondit en larme :
- Je suis Onyx. Assura t-il avant de l'éloigner de lui. Je sais que tu as beaucoup de chose à me dire, mais tu dois d'abord sauver Nimar. Il est en train de mourir…
- Pas savoir comment… Paniquait Chaya, essuyant ses larmes et reprenant ses esprits.
Il posa sa main sur son épaule et la regarda droit dans les yeux, hypnotisant :
- Nous devons emmener Nimar à une source de la forêt, elle est magique et pourra le guérir. Je sais où elle se trouve.
Chaya retourna donc vers le camp en compagnie de son frère et elle comprit que l'énergie ressentit depuis le début, provenait certainement de lui. Même si la situation était grave, elle était heureuse de le retrouver, même pour un bref instant.
Leur venue sur le camp fit s'enfuir les montures certainement car elle était en présence d'un fantôme, Nimar était toujours là et elle s'agenouilla prés de lui, elle vit son sursaut de stupeur, il était réellement en mauvaise état physique, elle le ressentait :
- Nimar, c'est Chaya, toi pas avoir peur, moi te sauver.
Puis elle releva la tête vers son frère, intéressé par leur affaires, et les environs :
- Nimar peux pas marcher. L'informa t-elle.
Onyx, très lent et comme absorbé par quelque chose, se tourna vers elle et sourit :
- Ce n'est pas un problème…
Il tendit la main vers des buissons, les branches se brisèrent, les feuilles tombèrent et le reste prit peu à peu la forme d'un lit qu'ils pourraient porter. Chaya resta bouche bée alors que le fantôme déclarait :
- Oui, la mort donne certains avantages.
Chaya- Bon
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
Je ne voyais que de moins en moins et n'entendais pas mieux. Je crue à un moment entendre Chaya me parler mais il m'était impossible de comprendre le moindre mot, impossible de mesurer la moindre distance et impossible de certifier que la voix était bien celle de Chaya. Après un instant qui me semblait se calculer en heures, je sentit quelques choses me toucher et me retirer ma cape. M'agitant un peu toujours à l'aveugle, je finit par cesser lorsque la fatigue prit le dessus. Je restai donc immobile au sol en espérant à chaque minute retrouver mes esprits. Mes yeux marrons voyageaient d'une part et d'autre du camp. Du moins c'est ce que je supposais car ma vision emplis de cette brume de l'esprit qu'est là vision trouble ne faisait que s'ammenuir tandis que ce son aiguë semblable au poid d'un boulet rattacher à ce sens bien précieux qu'est l'ouïe s'amplifia. Soudain, sans raison aucune, ces phénomènes gagnèrent en légèreté me laissant entrevoir un court instant la réalité avant de me plonger a nouveau dans... la folie? La drogué? Le poison?.
Ce phénomène se reproduisait encore quelques fois avant de laisser place a un état stationnaire dans l'aveuglement et la sourdise. Dans ces cours laps de temps je pue voir Chaya seul dirigeant son arc face au vide et... je ne pus rien voir de plus. J'entendis ceci dit quelques mots...
- ...Ou alors ton ami Nimar va mourir.
C'était très étrange, je n'avais rien entendu avant, rien après mais ces paroles ont été parfaitement reçus. Comme filtrer par... euh... mes hallucinations? Quelques heur... instants plus tard, je sentit quelque chose carresser par, sans doutes quelques feuilles tombés et comme si j'etais déplacé, je sentit un air frais se faufiler entre mes poils.
Ce phénomène se reproduisait encore quelques fois avant de laisser place a un état stationnaire dans l'aveuglement et la sourdise. Dans ces cours laps de temps je pue voir Chaya seul dirigeant son arc face au vide et... je ne pus rien voir de plus. J'entendis ceci dit quelques mots...
- ...Ou alors ton ami Nimar va mourir.
C'était très étrange, je n'avais rien entendu avant, rien après mais ces paroles ont été parfaitement reçus. Comme filtrer par... euh... mes hallucinations? Quelques heur... instants plus tard, je sentit quelque chose carresser par, sans doutes quelques feuilles tombés et comme si j'etais déplacé, je sentit un air frais se faufiler entre mes poils.
Nimar Ombrien- Expert
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
Chaya tirait Nimar à l'aide de son frère Onyx. Elle avait eut l'impression de tourner en rond, alors que son ami devenait pâle… Son pouls indiquait qu'il était au bord de la mort, Onyx lui assurait que la source dont il parlait n'était pas si loin :
- Tu verra, tout ira mieux quand nous seront arrivés.
Entre temps, elle encourageait son compagnon avec des « Nimar pas avoir peur » qui ne servaient à rien puisque qu'elle ressentait parfaitement ce qu'il endurait. La tigraine gardait espoir et au bout d'une demie heure, qui parut être de longues heures d'ailleurs, son frère s'arrêta dans un endroit où un cercle sans arbres s'était formé. Des grosses pierres moussues jonchaient les lieux. Chaya leva la tête sur le ciel étoilé, les sons de la nature nocturne s'étaient éteints, un silence pesant animait cet endroit de la forêt.
Ils posèrent délicatement le corps de Nimar dans sa civière improvisée :
- Où être la source Onyx ? Implora Chaya.
Nimar avait les yeux clos, une respiration sifflante, elle sentit qu'il s'échappait peu à peu… et son frère qui s'éloignait de quelques mètres dans le cercle se grattant la tête :
- A vrai dire… Je ne pense pas que s'était ici … Avoua t-il.
Chaya prit le visage inerte de Nimar entre ses mains :
- Nimar. Reste ici !
Puis elle tourna la tête vers Onyx mais celui ci avait disparut… Une lumière éblouissante la fit baisser la tête, Nimar ouvrit les yeux…
- Tu verra, tout ira mieux quand nous seront arrivés.
Entre temps, elle encourageait son compagnon avec des « Nimar pas avoir peur » qui ne servaient à rien puisque qu'elle ressentait parfaitement ce qu'il endurait. La tigraine gardait espoir et au bout d'une demie heure, qui parut être de longues heures d'ailleurs, son frère s'arrêta dans un endroit où un cercle sans arbres s'était formé. Des grosses pierres moussues jonchaient les lieux. Chaya leva la tête sur le ciel étoilé, les sons de la nature nocturne s'étaient éteints, un silence pesant animait cet endroit de la forêt.
Ils posèrent délicatement le corps de Nimar dans sa civière improvisée :
- Où être la source Onyx ? Implora Chaya.
Nimar avait les yeux clos, une respiration sifflante, elle sentit qu'il s'échappait peu à peu… et son frère qui s'éloignait de quelques mètres dans le cercle se grattant la tête :
- A vrai dire… Je ne pense pas que s'était ici … Avoua t-il.
Chaya prit le visage inerte de Nimar entre ses mains :
- Nimar. Reste ici !
Puis elle tourna la tête vers Onyx mais celui ci avait disparut… Une lumière éblouissante la fit baisser la tête, Nimar ouvrit les yeux…
Chaya- Bon
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
- Nimar. Reste ici !
Ce fut les premiers mots que j'entendis depuis un long moment. Le son aiguë bien que toujours présent s'était assez atténué pour me laisser entendre ce qui m'entourait. Dans un élan d'enthousiasme, j'ouvrit les yeux et à ma grande surprise je ne vit pas en premier Chaya qui était pourtant à cinq mètres à tout casser mais une lumière vive que je peinais à affronter du regard. Ma vision bien que légèrement flouté, était utilisable. Ma tête ne tournant plus, je crue pouvoir enfin me relever mais aux premiers mouvements, mon état s'est à nouveau et violament dégradé. Je suis resté immobile quelques instants et vis soudainement des formes se dessiner dans la lumière, je crue de loin à des insectes, puis à des fées. Une voix se fit alors entendre de la plus proche "fée" de toutes qui ne me survolait que de quelques mètres
-Salutation tigrains... triste état que voilà...
Les yeux plongés dans la lumière, je ne distinguais que très peu ses formes, ce qui me poussa à poser une question bête.
-Vous êtes qui?!
-Nous? Mais enfin, nous sommes des fées voyons. Et nous pouvons t'aider jeune tigrain contre le mal qui te ronge. Mais en prix à ta guérison se devra d'être précieux.
-Vous vous foutez de ma gueule? Je fut obligé de marquer une pause due aux hallucinations qui revenaient. Après un soupir, je continuai... J'ai jamais entendu parler de fées qui demandaient à être rémunéré! Et pourtant j'en ai lue des histoires sur vous.
Ma remarque semblait avoir quelque peu agacé et amusé mon interlocutrice à la fois. Tandis qu'elle laissa s'échapper un rire que je ne savais nerveux ou joyeux, je scrutai les alentours, Chaya était la en bonne santé. Mes dialogues rapides avec ces fées qui demandent mon or ne lui avaient pas encore laissé le temps de leur parler...
-Ainsi donc tu a l'énergie de protester? Mais as-tu seulement le temps? Le poison que tu as ingéré ne te permet pas d'attendre. Paie sans ronchonner et tout ira bien. A la suite de ces mots, la fée se tourna vers Chaya... Chaya c'est cela? Tu a prononcé plusieurs fois ce nom... Onyx, quelqu'un d'un autre monde peut être? Mannifestement quelqu'un de confiance... Si il t'as mené jusqu'a nous cet Onyx... tu peux bien nous faire confiance aussi non? Nimar est en train de retrouver ses esprits... c'est signe que le poison est sur le point de finir le travail. Nous connaissons ce phénomène. Un objet précieux contre sa vie... au fond... ce n'est rien.
"Quelqu'un d'un autre monde sans doutes"... des mots si précis, elle le savait mort. Ces fées ne m'inspiraient en rien la confiance. Demande de rémunération, connaissance d'informations personnelles et "connaissance précise du mal qui me ronge". Elles étaient suspectes dès que j'y pensais. Alors que j'allais faire part de mes suspicions, les hallucinations se remirent à affluer. Jene voyais et n'entendait à nouveau plus rien, j'étais literallement coupé de la discussion. Je pue entendre quelques derniers mots...
-Il ne lui reste que peu de temps. Paie jeune fille.
Ce fut les premiers mots que j'entendis depuis un long moment. Le son aiguë bien que toujours présent s'était assez atténué pour me laisser entendre ce qui m'entourait. Dans un élan d'enthousiasme, j'ouvrit les yeux et à ma grande surprise je ne vit pas en premier Chaya qui était pourtant à cinq mètres à tout casser mais une lumière vive que je peinais à affronter du regard. Ma vision bien que légèrement flouté, était utilisable. Ma tête ne tournant plus, je crue pouvoir enfin me relever mais aux premiers mouvements, mon état s'est à nouveau et violament dégradé. Je suis resté immobile quelques instants et vis soudainement des formes se dessiner dans la lumière, je crue de loin à des insectes, puis à des fées. Une voix se fit alors entendre de la plus proche "fée" de toutes qui ne me survolait que de quelques mètres
-Salutation tigrains... triste état que voilà...
Les yeux plongés dans la lumière, je ne distinguais que très peu ses formes, ce qui me poussa à poser une question bête.
-Vous êtes qui?!
-Nous? Mais enfin, nous sommes des fées voyons. Et nous pouvons t'aider jeune tigrain contre le mal qui te ronge. Mais en prix à ta guérison se devra d'être précieux.
-Vous vous foutez de ma gueule? Je fut obligé de marquer une pause due aux hallucinations qui revenaient. Après un soupir, je continuai... J'ai jamais entendu parler de fées qui demandaient à être rémunéré! Et pourtant j'en ai lue des histoires sur vous.
Ma remarque semblait avoir quelque peu agacé et amusé mon interlocutrice à la fois. Tandis qu'elle laissa s'échapper un rire que je ne savais nerveux ou joyeux, je scrutai les alentours, Chaya était la en bonne santé. Mes dialogues rapides avec ces fées qui demandent mon or ne lui avaient pas encore laissé le temps de leur parler...
-Ainsi donc tu a l'énergie de protester? Mais as-tu seulement le temps? Le poison que tu as ingéré ne te permet pas d'attendre. Paie sans ronchonner et tout ira bien. A la suite de ces mots, la fée se tourna vers Chaya... Chaya c'est cela? Tu a prononcé plusieurs fois ce nom... Onyx, quelqu'un d'un autre monde peut être? Mannifestement quelqu'un de confiance... Si il t'as mené jusqu'a nous cet Onyx... tu peux bien nous faire confiance aussi non? Nimar est en train de retrouver ses esprits... c'est signe que le poison est sur le point de finir le travail. Nous connaissons ce phénomène. Un objet précieux contre sa vie... au fond... ce n'est rien.
"Quelqu'un d'un autre monde sans doutes"... des mots si précis, elle le savait mort. Ces fées ne m'inspiraient en rien la confiance. Demande de rémunération, connaissance d'informations personnelles et "connaissance précise du mal qui me ronge". Elles étaient suspectes dès que j'y pensais. Alors que j'allais faire part de mes suspicions, les hallucinations se remirent à affluer. Jene voyais et n'entendait à nouveau plus rien, j'étais literallement coupé de la discussion. Je pue entendre quelques derniers mots...
-Il ne lui reste que peu de temps. Paie jeune fille.
Nimar Ombrien- Expert
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
Chaya n'avait pas quitté son ami des yeux malgré cette lumière vive qui était apparue. Celui ci, bien que dans un état encore grave, semblait avoir retrouvé la vue.
Une dizaine de secondes s'écoulèrent avant qu'ils puissent apercevoir un groupe de fées minuscules qui les encerclaient. Des petites brunes aux yeux clairs, des petites blondes aux joues rosées, elle n'avaient rien d'agressif et commencèrent à discuter avec Nimar dans un dialogue qu'elle eut bien du mal à suivre, bougeant sa tête une fois entre lui, une fois entre elles déboussolée, jusqu'à ce que la plus grande des pixies ( environ 30 centimètres contre 15 pour les autres ) ne l'interroge :
-Il ne lui reste que peu de temps. Paie jeune fille.
Que voulait-elle vraiment ? Chaya ne comprenait pas du tout :
- Paie ? Répéta t-elle, sourcils froncés. Vous guérir Nimar.
Une onde de petits rires l'entoura alors, et leur chef croisa les bras :
- Une sauvage. Écoutez la, elle ne sait même pas parler. Alors qu'est-ce qu'elle pourrait bien nous donner ? Ricanait-elle envers toutes ses amies.
Vexée et en colère, Chaya se leva, le regard noir :
- Toi guérir Nimar, Onyx dire à moi. Ou moi, brûler toute la forêt. Menaça t-elle.
Au fond d'elle, Chaya savait bien qu'elle était incapable de faire une chose pareille, ce qui en revenait à tuer toutes les pauvres et innocentes bêtes de cet habitat. Cependant, la leadeuse du groupe avait réagit d'un geste de recule, puis elle avait éclaté de rire, augmentant ainsi l'indignation de la jeune tigraine :
- Onyx tu me dis ? Qu'est ce que tu peux être bête ! Regarde un peu …
L'énergie qu'elle avait ressentit depuis le début se manifesta une fois de plus, la pixie tendit les bras, engagea une injonction dans un langage inconnu aux oreilles de Chaya et Onyx apparut entre le groupe de fée, aussi vrai que nature :
- Oublie ton frère, il est mort ! On a juste voulut … S'amuser ? Rajouta la petite femme avec un large sourire.
Chaya ravala sa salive avec amertume, elle sera les poings, s'empara de son arc et tira directement une flèche dans le corps frêle et lumineux de la pixie. L'attaque n'eut pas grand effet, elle passa en travers, comme ci s'était un fantôme, une fois encore, une vague de rire autour d'eux :
- C'est dommage, je suis plus forte que toi…
Puis elle poursuivit sa phrase d'un ton plus grave, tendant sa main :
- Maintenant payes. Sinon je vous tues tout les deux. C'est le prix à payer pour être entrés dans notre territoire !
La tigraine lança des yeux tristes vers Nimar, elle ignorait ce qu'elle devait faire et il était en train de mourir … Elle aurait voulut toutes les tuer sur le champ, malheureusement, elle ignorait comment s'y prendre sans se battre face à une magie de ce genre. Elle soupira de dégoûts et s'approcha de la reine pour lui tendre son arc, espérant que celle ci sauverait Nimar en contre partie :
- Oh, que c'est mignon. Un arc. Et tu crois sérieusement qu'il me sera utile ? Ronchonna la fée en lui prenant tout de même l'arme.
Chaya ne savait pas quoi lui répondre, elle venait de perdre les restes de ses souvenirs de son frère défunt. D'ailleurs, l'illusion de celui ci, prit la parole :
- Indis, cet arc à une grande valeur sentimentale.
- Ce n'est pas suffisant, ils sont sur NOS terres, ils vont encore tout saccager ! Rétorqua la chef qui s'appelait apparemment Indis.
Le faux Onyx continua tout de même, un peu plus timide :
- Ils n'ont rien de plus de toute manière. Sans son arc, cette sauvage ne pourra plus se défendre, un jour ou l'autre, elle finira par mourir. Et je ressent la valeur de cet arc, son énergie est pure, puissante, ceci devrait te satisfaire.
Le mot qu'il venait d'employer « sauvage », ne fit qu'un tour dans la tête de Chaya, elle savait bien qu'il n'était pas réel, qu'il n'était pas lui, mais voir Onyx sortir cette expression de sa bouche lui enfonçait d'avantage le couteau dans le cœur. Rouge de colère, la pixie prit d'un coup une voix ferme de femme et cria, tendant le bras vers Onyx :
- Assez !
Celui ci disparut, Indis paraissait hésitante. La tigraine aurait voulut partir en courant, mais son ami, gisant là par terre , n'était pas dans un état propice pour un sprint. S'était trop tard, la tigraine ne sondait plus son énergie, elle s'était évanouie… Nimar était mort .
Chaya se tourna vers les pixies, le pouce tourné vers sa poitrine :
- Prendre moi, a la place de Nimar . Rageât-elle. Nimar suivre moi ici, être de ma faute.
- Ton arc et ta douleur me suffisent amplement jeune sauvage. Déclara Indis l'air grave.
Une à une, alors que la tigraine les suppliaient de rester pour sauver Nimar, elles disparurent. Un autre éclats lumineux lui imposa de fermer les yeux le temps de quelques secondes. Quand elle les rouvrit, l'environnement avait changé, ils étaient revenus à leur camp de nuit et Nimar était assis à côté d'elle, en pleine forme. La tigraine le fixa les yeux ronds, bouche bée et lui sauta soudainement au cou.
Une dizaine de secondes s'écoulèrent avant qu'ils puissent apercevoir un groupe de fées minuscules qui les encerclaient. Des petites brunes aux yeux clairs, des petites blondes aux joues rosées, elle n'avaient rien d'agressif et commencèrent à discuter avec Nimar dans un dialogue qu'elle eut bien du mal à suivre, bougeant sa tête une fois entre lui, une fois entre elles déboussolée, jusqu'à ce que la plus grande des pixies ( environ 30 centimètres contre 15 pour les autres ) ne l'interroge :
-Il ne lui reste que peu de temps. Paie jeune fille.
Que voulait-elle vraiment ? Chaya ne comprenait pas du tout :
- Paie ? Répéta t-elle, sourcils froncés. Vous guérir Nimar.
Une onde de petits rires l'entoura alors, et leur chef croisa les bras :
- Une sauvage. Écoutez la, elle ne sait même pas parler. Alors qu'est-ce qu'elle pourrait bien nous donner ? Ricanait-elle envers toutes ses amies.
Vexée et en colère, Chaya se leva, le regard noir :
- Toi guérir Nimar, Onyx dire à moi. Ou moi, brûler toute la forêt. Menaça t-elle.
Au fond d'elle, Chaya savait bien qu'elle était incapable de faire une chose pareille, ce qui en revenait à tuer toutes les pauvres et innocentes bêtes de cet habitat. Cependant, la leadeuse du groupe avait réagit d'un geste de recule, puis elle avait éclaté de rire, augmentant ainsi l'indignation de la jeune tigraine :
- Onyx tu me dis ? Qu'est ce que tu peux être bête ! Regarde un peu …
L'énergie qu'elle avait ressentit depuis le début se manifesta une fois de plus, la pixie tendit les bras, engagea une injonction dans un langage inconnu aux oreilles de Chaya et Onyx apparut entre le groupe de fée, aussi vrai que nature :
- Oublie ton frère, il est mort ! On a juste voulut … S'amuser ? Rajouta la petite femme avec un large sourire.
Chaya ravala sa salive avec amertume, elle sera les poings, s'empara de son arc et tira directement une flèche dans le corps frêle et lumineux de la pixie. L'attaque n'eut pas grand effet, elle passa en travers, comme ci s'était un fantôme, une fois encore, une vague de rire autour d'eux :
- C'est dommage, je suis plus forte que toi…
Puis elle poursuivit sa phrase d'un ton plus grave, tendant sa main :
- Maintenant payes. Sinon je vous tues tout les deux. C'est le prix à payer pour être entrés dans notre territoire !
La tigraine lança des yeux tristes vers Nimar, elle ignorait ce qu'elle devait faire et il était en train de mourir … Elle aurait voulut toutes les tuer sur le champ, malheureusement, elle ignorait comment s'y prendre sans se battre face à une magie de ce genre. Elle soupira de dégoûts et s'approcha de la reine pour lui tendre son arc, espérant que celle ci sauverait Nimar en contre partie :
- Oh, que c'est mignon. Un arc. Et tu crois sérieusement qu'il me sera utile ? Ronchonna la fée en lui prenant tout de même l'arme.
Chaya ne savait pas quoi lui répondre, elle venait de perdre les restes de ses souvenirs de son frère défunt. D'ailleurs, l'illusion de celui ci, prit la parole :
- Indis, cet arc à une grande valeur sentimentale.
- Ce n'est pas suffisant, ils sont sur NOS terres, ils vont encore tout saccager ! Rétorqua la chef qui s'appelait apparemment Indis.
Le faux Onyx continua tout de même, un peu plus timide :
- Ils n'ont rien de plus de toute manière. Sans son arc, cette sauvage ne pourra plus se défendre, un jour ou l'autre, elle finira par mourir. Et je ressent la valeur de cet arc, son énergie est pure, puissante, ceci devrait te satisfaire.
Le mot qu'il venait d'employer « sauvage », ne fit qu'un tour dans la tête de Chaya, elle savait bien qu'il n'était pas réel, qu'il n'était pas lui, mais voir Onyx sortir cette expression de sa bouche lui enfonçait d'avantage le couteau dans le cœur. Rouge de colère, la pixie prit d'un coup une voix ferme de femme et cria, tendant le bras vers Onyx :
- Assez !
Celui ci disparut, Indis paraissait hésitante. La tigraine aurait voulut partir en courant, mais son ami, gisant là par terre , n'était pas dans un état propice pour un sprint. S'était trop tard, la tigraine ne sondait plus son énergie, elle s'était évanouie… Nimar était mort .
Chaya se tourna vers les pixies, le pouce tourné vers sa poitrine :
- Prendre moi, a la place de Nimar . Rageât-elle. Nimar suivre moi ici, être de ma faute.
- Ton arc et ta douleur me suffisent amplement jeune sauvage. Déclara Indis l'air grave.
Une à une, alors que la tigraine les suppliaient de rester pour sauver Nimar, elles disparurent. Un autre éclats lumineux lui imposa de fermer les yeux le temps de quelques secondes. Quand elle les rouvrit, l'environnement avait changé, ils étaient revenus à leur camp de nuit et Nimar était assis à côté d'elle, en pleine forme. La tigraine le fixa les yeux ronds, bouche bée et lui sauta soudainement au cou.
Chaya- Bon
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
J'étais à nouveau dans mon état normal. Ouvrant les yeux, je vis le camp, nous étions de retour? Mais que diable s'était-il passé? Je ne sentait plus ni la sourdise, ni l'aveuglement que j'avais subit. Je pouvais à nouveau tenir en équilibre et étais, par ailleurs, assis bien droit. Comme si ce que nous avions vécu était faux. Mais c'était vrai, je le sais, je le sens. Tout était beaucoup trop... réel. Mes sensations, cette espèce de fée voleuse, je ne pouvais croire que tout ceci n'était que le fruit d'un rêve. Je regardais les alentours quand soudain j'aperçu Chaya, juste à côté de moi me fixant presque la larme à l'oeuil.
-Euh Chaya? Tu vas bie...
Sans me laisser finir ma phrase elle se jeta sur moi comme sur un tavernier qui offre une bonne bière gratuite. La jeune tigraine s'accrochait comme si elle voyait un fantôme qu'elle ne pouvait laisser passer de l'autre côté. Cette réaction fit en moi une certitude: ce n'était pas un simple rêve. Caressait la tête de mon amie au visage qui aurait été probablement larmoyant si j'avais eu l'occasion de le voir dans les yeux, je surveillais les alentours. Les chevaux n'étaient plus la, je ne voyais pas l'arc de Chaya et... j'aurais juré qu'on avais plus de provisions.
-Chaya, reprends toi. Je sais bien que je suis beau mais... on doit partir. Vite!
Nous partîmes donc à pieds en nous hâtant du mieux que nous le pouvions dans la somare forêt. Voyager de nuit est une connerie sans nom mais quelque choses clochait dans cette forêt. Des fées qui demandent rémunération? En plus vue l'état dans le quel était Chaya je me demande si elles ne lui ont pas dit quelques saloperies, leurs paroles puaient le mensonge. Je ne pouvais pas l'affirmer mais ça me faisait pensé à d'autres créatures dont le nom m'échappe que j'avais connu par des comptes de mon enfance. En plus depuis ce matin, Chaya et moi sommes comme... observés, suspicieux. Nous marchâmes donc dix minutes, puis vingt, presque une heure sans sortir de la forêt. Énervé, je grognais donc...
-Rah bordel elle a pas de fin cette forêt?
Soudain devant je vis une lumière, comme un feu de camp, d'autres vivaient ici? Je fit signe à Chaya de se baisser et de me suivre. Une fois suffisamment près du camp pour voir l'intérieur... je reconnu notre propre camp, chose qui semblait impossible. Chaque arbre était pareil, le feu était fait de la même manière, à l'exeptions que nous l'avions laisser éteint ce feu. Nous n'avions pourtant pas fait demi tour et à peine dévier de notre trajectoire initial, j'avais raison, c'est pas malin de voyager dans la nuit... mais passer la nuit dans cette forêt est totallement stupide...
-Euh Chaya? Tu vas bie...
Sans me laisser finir ma phrase elle se jeta sur moi comme sur un tavernier qui offre une bonne bière gratuite. La jeune tigraine s'accrochait comme si elle voyait un fantôme qu'elle ne pouvait laisser passer de l'autre côté. Cette réaction fit en moi une certitude: ce n'était pas un simple rêve. Caressait la tête de mon amie au visage qui aurait été probablement larmoyant si j'avais eu l'occasion de le voir dans les yeux, je surveillais les alentours. Les chevaux n'étaient plus la, je ne voyais pas l'arc de Chaya et... j'aurais juré qu'on avais plus de provisions.
-Chaya, reprends toi. Je sais bien que je suis beau mais... on doit partir. Vite!
Nous partîmes donc à pieds en nous hâtant du mieux que nous le pouvions dans la somare forêt. Voyager de nuit est une connerie sans nom mais quelque choses clochait dans cette forêt. Des fées qui demandent rémunération? En plus vue l'état dans le quel était Chaya je me demande si elles ne lui ont pas dit quelques saloperies, leurs paroles puaient le mensonge. Je ne pouvais pas l'affirmer mais ça me faisait pensé à d'autres créatures dont le nom m'échappe que j'avais connu par des comptes de mon enfance. En plus depuis ce matin, Chaya et moi sommes comme... observés, suspicieux. Nous marchâmes donc dix minutes, puis vingt, presque une heure sans sortir de la forêt. Énervé, je grognais donc...
-Rah bordel elle a pas de fin cette forêt?
Soudain devant je vis une lumière, comme un feu de camp, d'autres vivaient ici? Je fit signe à Chaya de se baisser et de me suivre. Une fois suffisamment près du camp pour voir l'intérieur... je reconnu notre propre camp, chose qui semblait impossible. Chaque arbre était pareil, le feu était fait de la même manière, à l'exeptions que nous l'avions laisser éteint ce feu. Nous n'avions pourtant pas fait demi tour et à peine dévier de notre trajectoire initial, j'avais raison, c'est pas malin de voyager dans la nuit... mais passer la nuit dans cette forêt est totallement stupide...
Nimar Ombrien- Expert
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
Était-ce un rêve depuis le début ? Nimar était en excellente santé mais ils n'avaient plus rien, ni même son arc et ça, s'était malheureusement la réalité. Chaya tenait encore son ami dans ses bras fins et vigoureux :
-Chaya, reprends toi. Je sais bien que je suis beau mais... on doit partir. Vite!
Beau ? Partir ? Vite ? Trop pressée par le temps, elle répondit innocemment :
- Oui, oui et … Oui !
A présent, tout ce qui avait de la valeur sur eux n'étaient plus que leurs habits, bien que Chaya en portait peu. Comment allaient-ils faire ? Se demandait-elle alors qu'ils parcouraient cette étrange forêt en pleine nuit pour en fin de compte se retrouver au même endroit : Leur camp. Nimar grognait et elle le tapa furtivement sur l'épaule :
- Toi pas savoir chemin en forêt. Toi suivre moi !
Ce n'était pas une déclaration mais plutôt un ordre. Chaya tourna les talons et leva la tête vers le ciel étoilé. Depuis son enfance, elle observait ce qui se tramait là haut chaque nuit avant de s'endormir. Un mystère que la tigraine aurait bien voulu toucher du bout des doigts. Elle se concentra afin de trouver ce qui se rapproche le plus de ce que nous appelons la Grande Ours afin de pouvoir retrouver l'étoile polaire qui les aideraient à trouver logiquement le Nord et sortir de cette forêt magique et suffocante. Elle finit par tirer le bras de Nimar :
- Là …
La tigraine accéléra son rythme de marche, il fallait en finir. Une longue heure s'écoula, leur camp était loin à présent. Il suffisait d'écouter Chaya et son sens de l'orientation. Le jour commençait à se lever, la chaleur des rayons du soleil se glissait timidement entre les feuillages pour venir réchauffer son poil. Elle finit par écarter de larges feuilles et la Plaine des Rois s'offrit à eux. Satisfaite, Chaya se tourna vers Nimar, mains sur les hanches :
- Moi toujours trouver chemin.
C'est alors qu'elle perdit son sourire. L'énergie puissante qu'elle avait ressentit à leur rencontre avec les pixies se manifesta une fois de plus ainsi que l'éblouissante lumière. Aveuglés, ils ne purent entendre qu'un ricanement tonique et aigu.
Lorsque Chaya retrouva la vue, c'est avec désespoir qu'elle constata qu'ils étaient revenus au camp, la nuit. Indis était présente, seule :
- Qu'est ce que je m'amuse avec vous !
-Chaya, reprends toi. Je sais bien que je suis beau mais... on doit partir. Vite!
Beau ? Partir ? Vite ? Trop pressée par le temps, elle répondit innocemment :
- Oui, oui et … Oui !
A présent, tout ce qui avait de la valeur sur eux n'étaient plus que leurs habits, bien que Chaya en portait peu. Comment allaient-ils faire ? Se demandait-elle alors qu'ils parcouraient cette étrange forêt en pleine nuit pour en fin de compte se retrouver au même endroit : Leur camp. Nimar grognait et elle le tapa furtivement sur l'épaule :
- Toi pas savoir chemin en forêt. Toi suivre moi !
Ce n'était pas une déclaration mais plutôt un ordre. Chaya tourna les talons et leva la tête vers le ciel étoilé. Depuis son enfance, elle observait ce qui se tramait là haut chaque nuit avant de s'endormir. Un mystère que la tigraine aurait bien voulu toucher du bout des doigts. Elle se concentra afin de trouver ce qui se rapproche le plus de ce que nous appelons la Grande Ours afin de pouvoir retrouver l'étoile polaire qui les aideraient à trouver logiquement le Nord et sortir de cette forêt magique et suffocante. Elle finit par tirer le bras de Nimar :
- Là …
La tigraine accéléra son rythme de marche, il fallait en finir. Une longue heure s'écoula, leur camp était loin à présent. Il suffisait d'écouter Chaya et son sens de l'orientation. Le jour commençait à se lever, la chaleur des rayons du soleil se glissait timidement entre les feuillages pour venir réchauffer son poil. Elle finit par écarter de larges feuilles et la Plaine des Rois s'offrit à eux. Satisfaite, Chaya se tourna vers Nimar, mains sur les hanches :
- Moi toujours trouver chemin.
C'est alors qu'elle perdit son sourire. L'énergie puissante qu'elle avait ressentit à leur rencontre avec les pixies se manifesta une fois de plus ainsi que l'éblouissante lumière. Aveuglés, ils ne purent entendre qu'un ricanement tonique et aigu.
Lorsque Chaya retrouva la vue, c'est avec désespoir qu'elle constata qu'ils étaient revenus au camp, la nuit. Indis était présente, seule :
- Qu'est ce que je m'amuse avec vous !
Chaya- Bon
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
- Toi pas savoir chemin en forêt. Toi suivre moi ! M'ordonna Chaya.
C'était un peu agaçant de me voir ainsi réduit à l'état de mouton ne pouvant que suivre le berger mais bon... elle n'avait probablement pas tort. Elle a toujours vécu en forêt, elle doit savoir s'y déplacer. Elle scrutai le ciel dégagé et après quelques instants, elle me saisit le bras pour déclarer...
- Là …
Chaya s'avança alors dans les fougères suivit par moi et ce une heure durant. Tout le long du chemin, je m'avançait d'un pas peu assuré car aveuglé oar la nuit. Je pris ceci dit un rythme de marche plus détendu à l'arrivé reflété sur les sombres arbres de rayons de lumière projetés par le soleil.
- Moi toujours trouver chemin. Déclara-t-elle modestement du haut de ses problèmes d'élocution.
La suivant de peu, je vis en face de nous une plaine, celle ci ne m'était pas inconnu, les yeux écarquillés, je scrutai la carte d'orcande. C'était la plaine des rois, nous allions enfin quiter le royaume de Tacomnal, bientôt je retrouverais Telbara, pensais-je. Me sortant de mes songes, une... une aura d'énergie, Effaça le sourire de Chaya et me poussa à poser ma main sur une dague. Je ne saurais dire d'où ou pourquoi... mais cette énergie m'étais familière.
- Qu'est ce que je m'amuse avec vous !
Voilà où j'avais vue cette énergie. Je sentis en moi un genre de monté d'adrénaline, comme si mon instinct m'hurlait que cette auto-proclamé fée qui nous demande des biens précieux pour sortir ses doigts d'un petit chemin qui ne sent pas la noisette était un danger et cette énergie aussi.
-Tu t'éclate avec nous? Et qu'est ce qui te plaît tant?
-Vous savez, c'est rare de tomber sur des gens comme vous. Des gens perdus, naïfs... quel dommage que vous soyez pauvres.
Qu'avait-elle à carrer de l'état de notre bourse? On l'avait déjà payé pour ses soins.
-Pauvres? Qu'est ce que tu en as a carrer de ça? On t'as déjà payer tes soins.
Elle fit un sourire d'une oreille à l'autre se retenant de rire pour déclarer...
-Mes soins? Vous parlez du poison? Mais c'était pas la peine de vous inquiéter, c'était juste pour se divertir ces quelques illusions.
Des illusions? Je me disais bien qu'il agissait étrangement ce poison mortel qui se contentait de me foutre la gerbe en m'aveuglant et m'assourdissant! Cette pourriture m'avait lancer une illusion pour me taxer? Sur tout les contes que j'à lu, aucun ne rapprochait fée et ce genre de fraudes...
-T'es pas une fée...
-En effet, mais vous ne m'auriez rien donné pour les soins si je vous avais dit que j'étais une pixie. Dit elle en riant comme un porc.
J'avais lu... un seul conte ou il était fait mention d'elles. Tout ce que je sais c'est qu'elles ont en effet la possibilité de créer des illusions et... Elles courent après tout ce qui a de la valeur.
-Aussi, j'ai bien peur que vous marchez depuis la nuit passé sur notre territoire. ça nous fait plaisir des visiteurs vous savez? On voudrait pas vous laisser partir.
Leur territoire? Voilà une chose que je n'avais pas prévu et qui contrarie nos plans de fuite. Que faire si la pixie ne veut pas nous lâcher? Cramer la forêt?
-Mais bien entendu, si vous cachez bien votre jeu, je vous informe qu'une petite compensation financière aiderait à combler les trous que vous laisserez dans nos coeurs.
Ses derniers mots laissèrent la pixie rire aux éclats en virevoltant de manière presque aléatoire autour de nous, je me sentais impuissant: J'aurais pue la tuer mais sa vitesse et sa petite taille ne me laisseraient aucune seconde chance. Qui plus est même si je n'en vois qu'une, rien ne garantit qu'une vrai embuscade ne se trame pas derrière les fougères. Mes yeux emplis de haine fixaient la pixie avant de se fermer, je pris une profonde respiration. Je devais garder le contrôle, ne pas céder à la panique ou la facilité, sans quoi nous ne pourrons sortir en sécurité... je décidai de faire quelque chose qu'un vieil avare m'à appris dans ma jeunesse: conter une histoire...
-Eh bien j'ai en effet une richesse pouvant vous intéresser.
-Vraiment? Demanda d'un air amusé la pixie.
-Oui vraiment, en vérité nous voyagions non pas pour fuir Tacomnal, pas seulement. Mais aussi dans l'espoir de trouver un trésor légendaire! Disais-Je en priant pour que l'adage "plus c'est gros, plus ça passe" soit vrai
-Un trésor légendaire? Rien que ça?
-Oui pourri... Madame, le légendaire trésor des pierres jumelles de l'archivage rachnark. L'un des premiers mages humain ayant frôlé cette terre! Celui là même qui a enfoui dans un temple à son auto-proclamé gloire pas moins de cinq artefacts magiques et cinquante kilos d'or pur! Plus pur que l'âme d'un templier ayant lui même l'âme plus pur que le métal du bouclier qui le protège! A deux kilomètres au nord de votre forêt, ce n'est pas une chimère! C'est la vérité vrai madame! Pas moins d'une vingtaine d'hommes ont été envoyés par'le souverain du royaume de Tacomnal! Oui vous avez bien entendu! Vingt hommes avec qui vous pourrez jouer à loisir, c'est pas mieux que nous deux? Vingt jouets même si vous trouvez pas le trésor! M'ecriais-Je emporté par mà propre imagination, avant de reprendre d'une voix plus douce. Mais entre nous, vous qui êtes si grandiose , vous le trouverez le trésor...
Sur ces derniers mots, j'adressais une prière envers dame chance pour la crédulité de mon interlocutrice.
C'était un peu agaçant de me voir ainsi réduit à l'état de mouton ne pouvant que suivre le berger mais bon... elle n'avait probablement pas tort. Elle a toujours vécu en forêt, elle doit savoir s'y déplacer. Elle scrutai le ciel dégagé et après quelques instants, elle me saisit le bras pour déclarer...
- Là …
Chaya s'avança alors dans les fougères suivit par moi et ce une heure durant. Tout le long du chemin, je m'avançait d'un pas peu assuré car aveuglé oar la nuit. Je pris ceci dit un rythme de marche plus détendu à l'arrivé reflété sur les sombres arbres de rayons de lumière projetés par le soleil.
- Moi toujours trouver chemin. Déclara-t-elle modestement du haut de ses problèmes d'élocution.
La suivant de peu, je vis en face de nous une plaine, celle ci ne m'était pas inconnu, les yeux écarquillés, je scrutai la carte d'orcande. C'était la plaine des rois, nous allions enfin quiter le royaume de Tacomnal, bientôt je retrouverais Telbara, pensais-je. Me sortant de mes songes, une... une aura d'énergie, Effaça le sourire de Chaya et me poussa à poser ma main sur une dague. Je ne saurais dire d'où ou pourquoi... mais cette énergie m'étais familière.
- Qu'est ce que je m'amuse avec vous !
Voilà où j'avais vue cette énergie. Je sentis en moi un genre de monté d'adrénaline, comme si mon instinct m'hurlait que cette auto-proclamé fée qui nous demande des biens précieux pour sortir ses doigts d'un petit chemin qui ne sent pas la noisette était un danger et cette énergie aussi.
-Tu t'éclate avec nous? Et qu'est ce qui te plaît tant?
-Vous savez, c'est rare de tomber sur des gens comme vous. Des gens perdus, naïfs... quel dommage que vous soyez pauvres.
Qu'avait-elle à carrer de l'état de notre bourse? On l'avait déjà payé pour ses soins.
-Pauvres? Qu'est ce que tu en as a carrer de ça? On t'as déjà payer tes soins.
Elle fit un sourire d'une oreille à l'autre se retenant de rire pour déclarer...
-Mes soins? Vous parlez du poison? Mais c'était pas la peine de vous inquiéter, c'était juste pour se divertir ces quelques illusions.
Des illusions? Je me disais bien qu'il agissait étrangement ce poison mortel qui se contentait de me foutre la gerbe en m'aveuglant et m'assourdissant! Cette pourriture m'avait lancer une illusion pour me taxer? Sur tout les contes que j'à lu, aucun ne rapprochait fée et ce genre de fraudes...
-T'es pas une fée...
-En effet, mais vous ne m'auriez rien donné pour les soins si je vous avais dit que j'étais une pixie. Dit elle en riant comme un porc.
J'avais lu... un seul conte ou il était fait mention d'elles. Tout ce que je sais c'est qu'elles ont en effet la possibilité de créer des illusions et... Elles courent après tout ce qui a de la valeur.
-Aussi, j'ai bien peur que vous marchez depuis la nuit passé sur notre territoire. ça nous fait plaisir des visiteurs vous savez? On voudrait pas vous laisser partir.
Leur territoire? Voilà une chose que je n'avais pas prévu et qui contrarie nos plans de fuite. Que faire si la pixie ne veut pas nous lâcher? Cramer la forêt?
-Mais bien entendu, si vous cachez bien votre jeu, je vous informe qu'une petite compensation financière aiderait à combler les trous que vous laisserez dans nos coeurs.
Ses derniers mots laissèrent la pixie rire aux éclats en virevoltant de manière presque aléatoire autour de nous, je me sentais impuissant: J'aurais pue la tuer mais sa vitesse et sa petite taille ne me laisseraient aucune seconde chance. Qui plus est même si je n'en vois qu'une, rien ne garantit qu'une vrai embuscade ne se trame pas derrière les fougères. Mes yeux emplis de haine fixaient la pixie avant de se fermer, je pris une profonde respiration. Je devais garder le contrôle, ne pas céder à la panique ou la facilité, sans quoi nous ne pourrons sortir en sécurité... je décidai de faire quelque chose qu'un vieil avare m'à appris dans ma jeunesse: conter une histoire...
-Eh bien j'ai en effet une richesse pouvant vous intéresser.
-Vraiment? Demanda d'un air amusé la pixie.
-Oui vraiment, en vérité nous voyagions non pas pour fuir Tacomnal, pas seulement. Mais aussi dans l'espoir de trouver un trésor légendaire! Disais-Je en priant pour que l'adage "plus c'est gros, plus ça passe" soit vrai
-Un trésor légendaire? Rien que ça?
-Oui pourri... Madame, le légendaire trésor des pierres jumelles de l'archivage rachnark. L'un des premiers mages humain ayant frôlé cette terre! Celui là même qui a enfoui dans un temple à son auto-proclamé gloire pas moins de cinq artefacts magiques et cinquante kilos d'or pur! Plus pur que l'âme d'un templier ayant lui même l'âme plus pur que le métal du bouclier qui le protège! A deux kilomètres au nord de votre forêt, ce n'est pas une chimère! C'est la vérité vrai madame! Pas moins d'une vingtaine d'hommes ont été envoyés par'le souverain du royaume de Tacomnal! Oui vous avez bien entendu! Vingt hommes avec qui vous pourrez jouer à loisir, c'est pas mieux que nous deux? Vingt jouets même si vous trouvez pas le trésor! M'ecriais-Je emporté par mà propre imagination, avant de reprendre d'une voix plus douce. Mais entre nous, vous qui êtes si grandiose , vous le trouverez le trésor...
Sur ces derniers mots, j'adressais une prière envers dame chance pour la crédulité de mon interlocutrice.
Nimar Ombrien- Expert
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
Chaya était restée silencieuse durant l'entretien entre la pixie et Nimar. De toute manière, elle ne comprenait rien. Elle ne savait même plus si la scène qui se déroulait sous ses yeux était réelle tant ces petites fées s'étaient joué d'eux.
Il était clair qu'ils ne pouvaient les tuer. La jeune tigraine laissa donc son ami de voyage sortir le plus gros mensonge de ce monde. Chaya sentait qu'il brodait et d'ailleurs, à la fin de son monologue, d'autres fée se mirent à apparaître en cercle autour d'eux, probablement attirées par l'annonce d'un fabuleux trésor dans le coin :
- Vous avez entendu les filles ? Demanda Indis envers ses amies scintillantes.
Le groupe piaillait et semblait tomber dans le panneau. Leur Chef demanda à Nimar de s'approcher d'un geste du doigt :
- Toi viens ici. Tu va venir avec moi, pour me montrer le chemin, mais la sauvage reste ici. Si tu me ment, mes amies la tueront.
Des regards complices s'échangèrent entre les deux tigrains. Chaya hocha doucement la tête et glissa une phrase pour Nimar, espérant qu'il comprendrait :
- Toi revenir vite Nimar. Sinon, moi suivre lumière dans ciel et partir à Telbara.
Tout en parlant de « Lumière dans le ciel » qui représentait l'étoile polaire pour elle, Chaya fit un geste bref de la tête en direction du Nord avec un clin d’œil. Pourvu qu'il suive la bonne direction s'ils venaient à être séparer, il fallait juste qu'il sache par où était le Nord et elle venait de lui indiquer. Indis se mit à grommeler :
- Bon, c'est bien joli ces adieux mais moi j'ai un trésor à trouver. Je te suit jeune tigrain, et n’essaie pas de te faire la mal, n'oublie pas que ta sauvage peut mourir à tout instant.
Sur ces paroles d'avertissement, la reine des pixies disparut dans la forêt avec la moitié de son groupe et Nimar. Chaya se retrouva donc avec deux autres fées, destinées à la surveiller. La tigraine soupira et s'assit sur le sol, jambes écartés, avant-bras sur les genoux, elle avait une petite fleur jaune entre les mains qu'elle fixait et faisait rouler entre ses doigts. Une fois encore, ils furent dans l'obligation de se séparer, pourquoi le destin les empêchaient de se rendre simplement à Telbara ? Et si cette fois, ils ne se retrouvaient pas ? Et si en fait, Indis décidait de les tuer tout les deux ? Chaya ne pouvait pas rester les bras croisés à attendre, il était question de sa vie et de celle de Nimar, ils n'avaient rien fait de mal, tout ce qui leur arrivait était injuste. L'une des gardiennes la tira de ses songes en tournoyant autour de son visage :
- Tu sais bien que ton ami ne reviendra ja-mais.
Elle éclatât de rire et Chaya souffla très fort sur elle pour l'éloigner, répliquant :
- Toi penser Indis te donner trésor. Indis prendre trésor pour ELLE, pas pour toi.
Et elle tourna la tête vers l’autre pixie en ajoutant :
- Ni toi.
A croire qu'elles se mirent à douter. Un silence de quelques minutes s'introduisit entre elles. Puis la première fronça les sourcils :
- Tu dis n'importe quoi ! Tu n'es qu'une bête qui ne comprends pas quand on parle ! Jamais Indis nous ferait une chose pareille.
Son amie semblait approuver. Quant à Chaya, elle comprit que le mensonge pouvait l'aider à s'enfuir, elle jeta sa petite fleur et se leva, cherchant ses mots pour qu'ils soient aussi convainquant que ceux de Nimar lorsqu’il mentait :
- Moi pas parler bien. Mais moi sentir le cœur des gens. Moi savoir Indis ne dire pas vrai.
Les deux petites fées s'envoyèrent des regards ébahis et Chaya discernait qu'elles n'étaient pas aussi puissantes que leur reine, à présent, elle avait moins peur :
- Elle dit peut être la vérité … Douta la seconde.
- Indis partir avec trésor, sans vous. Ajouta Chaya, les poings serrés. Indis pense vous être bête, comme moi.
Sur le coup, la tigraine était fière de son vocabulaire, elle avait progressé depuis sa rencontre avec Nimar. Enfin… Progresser était un grand mot, disons plutôt que s'était un bon début. Les deux fées s'éloignèrent pour se concerter alors que Chaya avait trouvé l'idée qui pourrait lui permettre de se sauver :
- Tu penses vraiment que cette sauvage dit la vérité ?
- Je penses surtout qu'elle essai de nous monter contre Indis.
- Oui mais… La reine ne nous a jamais donné de récompense pour nos efforts. Elle gardait toujours la plus grosse part pour elle…
- C'est notre reine ! C'est normal qu'elle se donne quelques privilèges.
- Indis nous promet de nous rendre plus puissantes, de partager son pouvoir avoir nous depuis des années. Pour le moment, elle ne fait que ce servir de nous pour obtenir ce qu'elle veux.
- Tu ne crois quand même pas en ce que cette sauvage nous dit !?
- Je remarque juste que nous pourrions partir de notre côté… Former un autre clan, grâce à ce trésor !
- Tu n'as pas tout à fait tort …
Au bout de quelques minutes de marmonnements, les deux fées s'approchèrent de Chaya qui attendait, dos contre un arbre :
- Tu ferais mieux de rester ici pendant qu'on retrouve ce trésor. De toute façon, nous saurons où tu te cache, on te retrouvera, et on te tuera.
Était-ce de vraies menaces ? La tigraine n'en était pas si sûre, seulement, elle avait réussit à se débarrasser d'elles. Les pixies partirent à leur tour en direction de leur chef, espérant arriver les premières sur les lieux du trésor.
Chaya attendit quelques secondes afin de ce garantir qu'il n'y avait plus personne dans les alentours. Ensuite, elle dû réunir assez de bois en vitesse pour faire un énorme feu, le but étant de créer le plus de fumée visible. Les pixies croiraient peut être en un incendie sur leur territoire, ce qui créerait une diversion parfaite. Suite à cela, elle lança un dernier regard vers là où ils étaient tous partit et murmura avant de déguerpir :
- A bientôt Nimar …
Il était clair qu'ils ne pouvaient les tuer. La jeune tigraine laissa donc son ami de voyage sortir le plus gros mensonge de ce monde. Chaya sentait qu'il brodait et d'ailleurs, à la fin de son monologue, d'autres fée se mirent à apparaître en cercle autour d'eux, probablement attirées par l'annonce d'un fabuleux trésor dans le coin :
- Vous avez entendu les filles ? Demanda Indis envers ses amies scintillantes.
Le groupe piaillait et semblait tomber dans le panneau. Leur Chef demanda à Nimar de s'approcher d'un geste du doigt :
- Toi viens ici. Tu va venir avec moi, pour me montrer le chemin, mais la sauvage reste ici. Si tu me ment, mes amies la tueront.
Des regards complices s'échangèrent entre les deux tigrains. Chaya hocha doucement la tête et glissa une phrase pour Nimar, espérant qu'il comprendrait :
- Toi revenir vite Nimar. Sinon, moi suivre lumière dans ciel et partir à Telbara.
Tout en parlant de « Lumière dans le ciel » qui représentait l'étoile polaire pour elle, Chaya fit un geste bref de la tête en direction du Nord avec un clin d’œil. Pourvu qu'il suive la bonne direction s'ils venaient à être séparer, il fallait juste qu'il sache par où était le Nord et elle venait de lui indiquer. Indis se mit à grommeler :
- Bon, c'est bien joli ces adieux mais moi j'ai un trésor à trouver. Je te suit jeune tigrain, et n’essaie pas de te faire la mal, n'oublie pas que ta sauvage peut mourir à tout instant.
Sur ces paroles d'avertissement, la reine des pixies disparut dans la forêt avec la moitié de son groupe et Nimar. Chaya se retrouva donc avec deux autres fées, destinées à la surveiller. La tigraine soupira et s'assit sur le sol, jambes écartés, avant-bras sur les genoux, elle avait une petite fleur jaune entre les mains qu'elle fixait et faisait rouler entre ses doigts. Une fois encore, ils furent dans l'obligation de se séparer, pourquoi le destin les empêchaient de se rendre simplement à Telbara ? Et si cette fois, ils ne se retrouvaient pas ? Et si en fait, Indis décidait de les tuer tout les deux ? Chaya ne pouvait pas rester les bras croisés à attendre, il était question de sa vie et de celle de Nimar, ils n'avaient rien fait de mal, tout ce qui leur arrivait était injuste. L'une des gardiennes la tira de ses songes en tournoyant autour de son visage :
- Tu sais bien que ton ami ne reviendra ja-mais.
Elle éclatât de rire et Chaya souffla très fort sur elle pour l'éloigner, répliquant :
- Toi penser Indis te donner trésor. Indis prendre trésor pour ELLE, pas pour toi.
Et elle tourna la tête vers l’autre pixie en ajoutant :
- Ni toi.
A croire qu'elles se mirent à douter. Un silence de quelques minutes s'introduisit entre elles. Puis la première fronça les sourcils :
- Tu dis n'importe quoi ! Tu n'es qu'une bête qui ne comprends pas quand on parle ! Jamais Indis nous ferait une chose pareille.
Son amie semblait approuver. Quant à Chaya, elle comprit que le mensonge pouvait l'aider à s'enfuir, elle jeta sa petite fleur et se leva, cherchant ses mots pour qu'ils soient aussi convainquant que ceux de Nimar lorsqu’il mentait :
- Moi pas parler bien. Mais moi sentir le cœur des gens. Moi savoir Indis ne dire pas vrai.
Les deux petites fées s'envoyèrent des regards ébahis et Chaya discernait qu'elles n'étaient pas aussi puissantes que leur reine, à présent, elle avait moins peur :
- Elle dit peut être la vérité … Douta la seconde.
- Indis partir avec trésor, sans vous. Ajouta Chaya, les poings serrés. Indis pense vous être bête, comme moi.
Sur le coup, la tigraine était fière de son vocabulaire, elle avait progressé depuis sa rencontre avec Nimar. Enfin… Progresser était un grand mot, disons plutôt que s'était un bon début. Les deux fées s'éloignèrent pour se concerter alors que Chaya avait trouvé l'idée qui pourrait lui permettre de se sauver :
- Tu penses vraiment que cette sauvage dit la vérité ?
- Je penses surtout qu'elle essai de nous monter contre Indis.
- Oui mais… La reine ne nous a jamais donné de récompense pour nos efforts. Elle gardait toujours la plus grosse part pour elle…
- C'est notre reine ! C'est normal qu'elle se donne quelques privilèges.
- Indis nous promet de nous rendre plus puissantes, de partager son pouvoir avoir nous depuis des années. Pour le moment, elle ne fait que ce servir de nous pour obtenir ce qu'elle veux.
- Tu ne crois quand même pas en ce que cette sauvage nous dit !?
- Je remarque juste que nous pourrions partir de notre côté… Former un autre clan, grâce à ce trésor !
- Tu n'as pas tout à fait tort …
Au bout de quelques minutes de marmonnements, les deux fées s'approchèrent de Chaya qui attendait, dos contre un arbre :
- Tu ferais mieux de rester ici pendant qu'on retrouve ce trésor. De toute façon, nous saurons où tu te cache, on te retrouvera, et on te tuera.
Était-ce de vraies menaces ? La tigraine n'en était pas si sûre, seulement, elle avait réussit à se débarrasser d'elles. Les pixies partirent à leur tour en direction de leur chef, espérant arriver les premières sur les lieux du trésor.
Chaya attendit quelques secondes afin de ce garantir qu'il n'y avait plus personne dans les alentours. Ensuite, elle dû réunir assez de bois en vitesse pour faire un énorme feu, le but étant de créer le plus de fumée visible. Les pixies croiraient peut être en un incendie sur leur territoire, ce qui créerait une diversion parfaite. Suite à cela, elle lança un dernier regard vers là où ils étaient tous partit et murmura avant de déguerpir :
- A bientôt Nimar …
Chaya- Bon
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
- Toi revenir vite Nimar. Sinon, moi suivre lumière dans ciel et partir à Telbara.
Lumière dans ciel? Elle parlait de quoi? Du soleil? Des étoiles? Chaya était bien plus intelligente que ses paroles sauvages le laissent entendre. La preuve en est que... ce que je pensais être un message codé est... très bien codé. Je me rappela soudain des étoiles qu'elle avait regarder cette nuit comme pour se situer, elle semblait avoir décider de la direction a prendre après avoir regardé un astre plus brillant que les autres... peut être veut elle que je suive cet astre une fois évadé car, bon dieux, bien évidemment que je m'échapperais! Je devrais donc user de la nuit pour retrouver Chaya, si bien entendu, j'ai compris son message et la encore à la seul condition qu'il s'agissait d'un message...
-Eh, tu vas arrêter de rêver?
-Quoi? Je pense bien à ce que je veux non? Qu'est ce que tu en as a carrer tant que je te mène au trésor?
-tu m'as dit que Le trésor était au nord.
-Et je maintien: le trésor est au nord.
-Alors m'explique tu pourquoi que dans "tes songes absolument pas gênants pour notre voyage" tu as dévié vers l'est?!
-Euh... le trésor est au nord-est.
Mes derniers mots n'eurent comme seul réponse des grognements de la part de la pixie. S'en suivit une bonne dizaine de minutes de marche vers... le nord-est peut être. Mes pas étaient un peu lents du à la nuit agité que nous passâmes. Ceci dit, sous la demande accablante de la pixie, je fus obligé de presser le pas. Tandis que le vent soufflait de plus en plus fort parmi les arbres, je fixais l'horizon, la libetrié qui me semblait si dur a atteindre...
-Plus vite!
-T'es gentil mais moi j'ai pas dormi de la nuit et je vole pas.
-Alors contente toi de courir!
Voilà une demande me mettant dans une mauvaise situation: Je devais retarder la découverte de l'inexistance du trésor au moins jusqu'jusqu'a ce que je puisse m'échapper ou l'éliminer.
-Hum, j'ai une malafrition aïgue de cuisse et une violatis pulmonaire, déjà que les Tigrains peuvent pas courir longtemps... j'ai une endurance vraiment mauvaise.
-Tu te moques de moi?!
-Moi? Non, jamais. Si, absolument. Je disais simplement que courir ne serait pas recommandable à cause de risques d'évanouissement, épuisement extrême, mort...
La pixie laissa s'échapper un grognement de rage en me fixant d'un air entre la méfiance et la colère. Elle n'avait qu'a moitié gobé mes maladies inventés. Peut être devrais-je simuler la mort? Elle s'approcherait et... Rah c'est beaucoup trop risqué. Il doit pourtant exister une solution. Levant les yeux vers le ciel parfaitement dégagé, je plongeai dans mes songes avant d'en être tiré par un détail plutôt intéressent...
-Hum... tu m'as encore lancer une illusion?
-Oui bien sûr, tu n'es pas foutu de garder le cap vers le nord alors pour arriver encore plus tard, je t'envoie des illusions à foison! Tu as d'autres questions stupides?
-Je suppose donc que la fumée la bas est donc bien... hum... un départ d'incendie?
Sa colère due à l'impatience s'évapora, Insis se retourna pour voir derrière nous, à plusieurs minutes de marche, de la fumée se lever entre les arbres. Nous arrêtâmes notre marche quelques instants. Tandis que j'admirais cette colonne noir s'élevant dans le ciel, la pixie, elle, regardais énervé son terrain en proie à un incendie.
-Mais c'est la ou est resté ton amie! Que foutent mes deux partisanes?
-Si tu veux mon amie Chaya les aura tué dès qu'elles ont tourner le dos. Tu devrais sauver ton territoire.
-Les autres s'en occuperont très bien! Je n'ai pas à y aller.
-Tu es sur? Non mais parce que le temps que les pixies arrivent le feu aura eu le temps de se propager avec le vent... en plus elles ont les pouvoirs ou la puissance pour gérer? Parce que à part si c'est des élémentaires d'eau elles auront besoin de quelau'un pour diriger les actions et...
-Ferme la!
Fixant la fumée, Insis voyait son visage tordu d'hésitation. Son désir de fortune ne faisait doute, mais elle ne pouvait se permettre de perdre ses terres et son peuple. D'un dernier grognement elle'me demanda...
-Qu'est ce qui me prouve que tu fuiras pas?
-T'as oublié? Malafrition de la cuisse, frisson aiguë pulmonaire, plein de trucs...
Sans même jeter un regard sur moi, elle s'envola vers l'incendie me laissant seul. Je n'en fit ni une, ni deux et couru Sans penser à ma "terrible malafrition de la cuisse" et jusqu'a en perdre haleine. Jamais encore je n'avais parcouru telle distance. Au bout de deux kilomètres environs, j'étais sorti de la forêt: j'avais atteint la plaine des rois. Éssouflé, je m'arrêtai pour marcher une centaine de mètres encore. D'ici, je décidai de finir ma nuit en plein jour. Une fois la vrai nuit tombé, je suivrais la "lumière dans ciel" de Chaya...
Lumière dans ciel? Elle parlait de quoi? Du soleil? Des étoiles? Chaya était bien plus intelligente que ses paroles sauvages le laissent entendre. La preuve en est que... ce que je pensais être un message codé est... très bien codé. Je me rappela soudain des étoiles qu'elle avait regarder cette nuit comme pour se situer, elle semblait avoir décider de la direction a prendre après avoir regardé un astre plus brillant que les autres... peut être veut elle que je suive cet astre une fois évadé car, bon dieux, bien évidemment que je m'échapperais! Je devrais donc user de la nuit pour retrouver Chaya, si bien entendu, j'ai compris son message et la encore à la seul condition qu'il s'agissait d'un message...
-Eh, tu vas arrêter de rêver?
-Quoi? Je pense bien à ce que je veux non? Qu'est ce que tu en as a carrer tant que je te mène au trésor?
-tu m'as dit que Le trésor était au nord.
-Et je maintien: le trésor est au nord.
-Alors m'explique tu pourquoi que dans "tes songes absolument pas gênants pour notre voyage" tu as dévié vers l'est?!
-Euh... le trésor est au nord-est.
Mes derniers mots n'eurent comme seul réponse des grognements de la part de la pixie. S'en suivit une bonne dizaine de minutes de marche vers... le nord-est peut être. Mes pas étaient un peu lents du à la nuit agité que nous passâmes. Ceci dit, sous la demande accablante de la pixie, je fus obligé de presser le pas. Tandis que le vent soufflait de plus en plus fort parmi les arbres, je fixais l'horizon, la libetrié qui me semblait si dur a atteindre...
-Plus vite!
-T'es gentil mais moi j'ai pas dormi de la nuit et je vole pas.
-Alors contente toi de courir!
Voilà une demande me mettant dans une mauvaise situation: Je devais retarder la découverte de l'inexistance du trésor au moins jusqu'jusqu'a ce que je puisse m'échapper ou l'éliminer.
-Hum, j'ai une malafrition aïgue de cuisse et une violatis pulmonaire, déjà que les Tigrains peuvent pas courir longtemps... j'ai une endurance vraiment mauvaise.
-Tu te moques de moi?!
-Moi? Non, jamais. Si, absolument. Je disais simplement que courir ne serait pas recommandable à cause de risques d'évanouissement, épuisement extrême, mort...
La pixie laissa s'échapper un grognement de rage en me fixant d'un air entre la méfiance et la colère. Elle n'avait qu'a moitié gobé mes maladies inventés. Peut être devrais-je simuler la mort? Elle s'approcherait et... Rah c'est beaucoup trop risqué. Il doit pourtant exister une solution. Levant les yeux vers le ciel parfaitement dégagé, je plongeai dans mes songes avant d'en être tiré par un détail plutôt intéressent...
-Hum... tu m'as encore lancer une illusion?
-Oui bien sûr, tu n'es pas foutu de garder le cap vers le nord alors pour arriver encore plus tard, je t'envoie des illusions à foison! Tu as d'autres questions stupides?
-Je suppose donc que la fumée la bas est donc bien... hum... un départ d'incendie?
Sa colère due à l'impatience s'évapora, Insis se retourna pour voir derrière nous, à plusieurs minutes de marche, de la fumée se lever entre les arbres. Nous arrêtâmes notre marche quelques instants. Tandis que j'admirais cette colonne noir s'élevant dans le ciel, la pixie, elle, regardais énervé son terrain en proie à un incendie.
-Mais c'est la ou est resté ton amie! Que foutent mes deux partisanes?
-Si tu veux mon amie Chaya les aura tué dès qu'elles ont tourner le dos. Tu devrais sauver ton territoire.
-Les autres s'en occuperont très bien! Je n'ai pas à y aller.
-Tu es sur? Non mais parce que le temps que les pixies arrivent le feu aura eu le temps de se propager avec le vent... en plus elles ont les pouvoirs ou la puissance pour gérer? Parce que à part si c'est des élémentaires d'eau elles auront besoin de quelau'un pour diriger les actions et...
-Ferme la!
Fixant la fumée, Insis voyait son visage tordu d'hésitation. Son désir de fortune ne faisait doute, mais elle ne pouvait se permettre de perdre ses terres et son peuple. D'un dernier grognement elle'me demanda...
-Qu'est ce qui me prouve que tu fuiras pas?
-T'as oublié? Malafrition de la cuisse, frisson aiguë pulmonaire, plein de trucs...
Sans même jeter un regard sur moi, elle s'envola vers l'incendie me laissant seul. Je n'en fit ni une, ni deux et couru Sans penser à ma "terrible malafrition de la cuisse" et jusqu'a en perdre haleine. Jamais encore je n'avais parcouru telle distance. Au bout de deux kilomètres environs, j'étais sorti de la forêt: j'avais atteint la plaine des rois. Éssouflé, je m'arrêtai pour marcher une centaine de mètres encore. D'ici, je décidai de finir ma nuit en plein jour. Une fois la vrai nuit tombé, je suivrais la "lumière dans ciel" de Chaya...
Nimar Ombrien- Expert
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
Chaya avait donc trotté vers le Nord. Sur son chemin, elle avait mangé quelques framboises, affamée. Elle en profita aussi pour récupérer quelques noisettes et quelques pommes sauvages qui serviraient de maigre dîner ainsi que du matériel pour se refaire un arc : Une longue tige de bois de chêne et la pierre la plus aiguisée qu'elle pu trouver.
Ce n'est qu'au petit matin que la tigraine sortit de la forêt pour se trouver face à la rivière Janesse, à environs dix kilomètres de la ville de Luvet. Épuisée de cette une nuit aventureuse, elle grignota et s'affala à même le sol entre quelques roseaux pour rattraper le sommeil manqué. Elle dormit jusqu'au milieu de l’après-midi, réveillée par un soleil de plomb. Durant de longues minutes, Chaya resta au bord de l'eau à écouter la paix de son environnement, loin de ses fées maléfiques qui avaient profité d'elle et Nimar. D'ailleurs, elle était toujours sur ces gardes, au cas où l'une d'entre elle déciderait de lui rendre visite par vengeance.
Mais de quoi auraient-elles besoin ? Elles avaient tout prit. Chaya n'avait plus de provision, plus d'eau et encore moins son arc si précieux à ses yeux. Elle lança à regard noir vers la forêt, regrettant de ne pas avoir vraiment propager l'incendie, pour les punir. Puis elle souffla et jeta un petit cailloux dans l'eau claire qui l'emporta de son courant. Depuis leur départ de la région Tacomnaise, Chaya n'avait rencontré que des problèmes, à croire que le destin ne voulait pas qu'elle se rende à Telbara. Avait-elle fait le bon choix ? Plusieurs fois et souvent à cause d'elle, ils auraient pu mourir. Elle ne trouvait plus les choses positives dans cette quête, or mis les faits qu'elle avait rencontré Nimar et amélioré son vocabulaire.
Chaya s'étira et s'attela avec amertume à la fabrication de son nouvel arc : Afin de rendre la longue tige qu'elle avait ramassée un peu plus flexible et courbée, il fallait la plonger dans l'eau puis la faire chauffer au feu. Ensuite, le façonner à l'aide de sa pierre pointue pour déterminer l'emplacement de la poignée et des extrémités, ainsi que pour l'affiner. Il fallait aussi le décorer de quelques plumes, qui serviraient plus tard pour ses flèches, si elle n'en trouvait pas d'autres.
La fabrication lui demanda bien le reste de l'après-midi. Après midi plutôt détendue, il n'y avait que les chants des oiseaux et les bruits de la rivière. Chaya repensa aussi à tout ce qu'elle venait de vivre jusqu'à aujourd'hui. Un voyage qu'elle n’oublierait probablement jamais et qu'elle ne referait sans doute jamais. Et Nimar … Ce bon vieux Nimar. Au début, elle le pensais si vulnérable et lâche. Finalement, ce tigrain lui rappelait parfois son frère. Et puis, il était plutôt mignon. Elle ne regrettait pas d'avoir partagé avec lui son lapin le premier jour. Mais s'il était mort ?
Chaya ne pouvait s'empêcher de jeter un œil vers la forêt, peut être qu'elle l'avait abandonné à une mort certaine… Elle secoua la tête afin d'éloigner ces pensées négatives. Nimar allait s'en sortir, il était plutôt malin et bon menteur.
La nuit allait doucement s'approprier le ciel bleu et la chaleur de cette journée. La tigraine s'abreuva d'un peu d'eau et s'allongea dans sa couche improvisée de roseaux pour admirer le ciel, mains derrière la tête. Elle cherchait encore l'étoile polaire, espérant que son ami ait comprit qu'il fallait se diriger vers le Nord. Malheureusement, si elle était restée toute une journée à l'orée de cette forêt, s'était dans l'espoir de l'en voir sortir vivant.
Qu'allait-elle faire le lendemain ? Où irait-elle ? La tigraine n'en savait rien, tout ce qu'elle retenait s'était que Telbara n'était plus très loin. Peut être qu'elle y retrouverait Nimar là bas ? Elle finit par s'endormir lourdement, reprenant des forces pour reprendre la route le lendemain.
Un ciel bien plus nuageux l’accueillit ce matin là. La pluie ne tarderait à pas à tomber dans la journée, ce qui aurait pour mérite de rafraîchir un peu les plantes sèches. Chaya se leva sans grande pression pour une fois. Elle avait tout le temps pour partir. Elle retira le simple habit qu'elle avait et plongea un pied dans la rivière. Un frisson électrique lui parcourut la colonne vertébrale. L'eau était glaciale mais elle n'avait pas prit de bon bain depuis des semaines. Elle entra d'un coup en faisant une grimace et se mouilla la tête. Il lui fallait une corde pour son futur arc et des réserves d'ici son arrivée à Telbara. La ville de Luvet devrait pouvoir lui apporter tout ce dont elle avait besoin. Chaya n'aimait pas cette idée, mais ceci devenait une obligation. Il lui fallait absolument de la corde, autrement, elle ne pourrait chasser, se nourrir, survivre tout simplement puisqu'elle ne savait pas comment se battre autrement.
Là était donc la route qui se dessinait alors qu'elle pataugeait dans l'eau : Se ravitailler à Luvet et poursuivre ensuite jusque Telbara.
Ce n'est qu'au petit matin que la tigraine sortit de la forêt pour se trouver face à la rivière Janesse, à environs dix kilomètres de la ville de Luvet. Épuisée de cette une nuit aventureuse, elle grignota et s'affala à même le sol entre quelques roseaux pour rattraper le sommeil manqué. Elle dormit jusqu'au milieu de l’après-midi, réveillée par un soleil de plomb. Durant de longues minutes, Chaya resta au bord de l'eau à écouter la paix de son environnement, loin de ses fées maléfiques qui avaient profité d'elle et Nimar. D'ailleurs, elle était toujours sur ces gardes, au cas où l'une d'entre elle déciderait de lui rendre visite par vengeance.
Mais de quoi auraient-elles besoin ? Elles avaient tout prit. Chaya n'avait plus de provision, plus d'eau et encore moins son arc si précieux à ses yeux. Elle lança à regard noir vers la forêt, regrettant de ne pas avoir vraiment propager l'incendie, pour les punir. Puis elle souffla et jeta un petit cailloux dans l'eau claire qui l'emporta de son courant. Depuis leur départ de la région Tacomnaise, Chaya n'avait rencontré que des problèmes, à croire que le destin ne voulait pas qu'elle se rende à Telbara. Avait-elle fait le bon choix ? Plusieurs fois et souvent à cause d'elle, ils auraient pu mourir. Elle ne trouvait plus les choses positives dans cette quête, or mis les faits qu'elle avait rencontré Nimar et amélioré son vocabulaire.
Chaya s'étira et s'attela avec amertume à la fabrication de son nouvel arc : Afin de rendre la longue tige qu'elle avait ramassée un peu plus flexible et courbée, il fallait la plonger dans l'eau puis la faire chauffer au feu. Ensuite, le façonner à l'aide de sa pierre pointue pour déterminer l'emplacement de la poignée et des extrémités, ainsi que pour l'affiner. Il fallait aussi le décorer de quelques plumes, qui serviraient plus tard pour ses flèches, si elle n'en trouvait pas d'autres.
La fabrication lui demanda bien le reste de l'après-midi. Après midi plutôt détendue, il n'y avait que les chants des oiseaux et les bruits de la rivière. Chaya repensa aussi à tout ce qu'elle venait de vivre jusqu'à aujourd'hui. Un voyage qu'elle n’oublierait probablement jamais et qu'elle ne referait sans doute jamais. Et Nimar … Ce bon vieux Nimar. Au début, elle le pensais si vulnérable et lâche. Finalement, ce tigrain lui rappelait parfois son frère. Et puis, il était plutôt mignon. Elle ne regrettait pas d'avoir partagé avec lui son lapin le premier jour. Mais s'il était mort ?
Chaya ne pouvait s'empêcher de jeter un œil vers la forêt, peut être qu'elle l'avait abandonné à une mort certaine… Elle secoua la tête afin d'éloigner ces pensées négatives. Nimar allait s'en sortir, il était plutôt malin et bon menteur.
La nuit allait doucement s'approprier le ciel bleu et la chaleur de cette journée. La tigraine s'abreuva d'un peu d'eau et s'allongea dans sa couche improvisée de roseaux pour admirer le ciel, mains derrière la tête. Elle cherchait encore l'étoile polaire, espérant que son ami ait comprit qu'il fallait se diriger vers le Nord. Malheureusement, si elle était restée toute une journée à l'orée de cette forêt, s'était dans l'espoir de l'en voir sortir vivant.
Qu'allait-elle faire le lendemain ? Où irait-elle ? La tigraine n'en savait rien, tout ce qu'elle retenait s'était que Telbara n'était plus très loin. Peut être qu'elle y retrouverait Nimar là bas ? Elle finit par s'endormir lourdement, reprenant des forces pour reprendre la route le lendemain.
Un ciel bien plus nuageux l’accueillit ce matin là. La pluie ne tarderait à pas à tomber dans la journée, ce qui aurait pour mérite de rafraîchir un peu les plantes sèches. Chaya se leva sans grande pression pour une fois. Elle avait tout le temps pour partir. Elle retira le simple habit qu'elle avait et plongea un pied dans la rivière. Un frisson électrique lui parcourut la colonne vertébrale. L'eau était glaciale mais elle n'avait pas prit de bon bain depuis des semaines. Elle entra d'un coup en faisant une grimace et se mouilla la tête. Il lui fallait une corde pour son futur arc et des réserves d'ici son arrivée à Telbara. La ville de Luvet devrait pouvoir lui apporter tout ce dont elle avait besoin. Chaya n'aimait pas cette idée, mais ceci devenait une obligation. Il lui fallait absolument de la corde, autrement, elle ne pourrait chasser, se nourrir, survivre tout simplement puisqu'elle ne savait pas comment se battre autrement.
Là était donc la route qui se dessinait alors qu'elle pataugeait dans l'eau : Se ravitailler à Luvet et poursuivre ensuite jusque Telbara.
Chaya- Bon
- Race : Tigrain
Re: Les sous-races de Tacomnal
Lorsque j'ouvrit enfin les yeux, la nuit était tombé et ce depuis belle lurette. Je repris alors lentement le contrôle mon corps pour me relever plus lentement encore. La lumière de la lune se reflétait dans mes yeux tandis que je cherchais cet astre qui brillait tant. Au bout de quelques minutes, j'aperçu enfin cette même étoile que Chaya à regardé la nuit dernière, je commençai donc a m'avancer dans cette obscurité qui, grâce à ma nyctalopie, n'était nullement oppressante. Suite à ma première heure de marche, je rencontrais la rivière Janesse. Sur celle-ci se reflétait la lune, claire et tout de lumière vêtue. Je continuais ma marche, contemplant ce spectacle devant le quel je passais généralement Sans prêter attention, après tout, ce n'était que de l'eau, j'en ai vu d'autres des écoulements d'eau. J'ai même déjà bu dedans, mais, c'était tout de même beau. Lors de ma deuxième heure de marche, j'ai laissé Janesse seule. Suivant encore ce même astre dont même le nom m'échappait, étendus vertes se dissinaient sous mes yeux me dépaysant: Telbara n'était pas parfaite, mais plus je songeais, plus je me disais qu'affronter les assassins envoyés à mes trousses n'aurait été pire que ce voyage, l'allé m'avait déjà mis le couteau sous la gorge, je n'étais peut être pas prêt à faire le retour. Ces pensées sombres me frappaient de leur présence pendant je ne sais combien de temps, au moins jusqu'a ce qu'un détail ne m'arrête. Devant moi, quelques colonnes de fumée se dressaient. Dans la nuit, des lumieres'faibles et lointaines rayonnaient. Je pris, comme par réflexe ma carte avant de, à nouveau, lever les yeux. Alors que le jour se levait, j'atteignait Luvet.
Nimar Ombrien- Expert
- Race : Tigrain
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