Nimar Ombrien [Tigrain / Combattant]
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Nimar Ombrien [Tigrain / Combattant]
Nom : Nimar Ombrien (oui simple d'esprit c'est plus un surnom)
Age : 19 ans (mais il ne compte pas son propre age car "ne sert a rien" et il se rajeunit toujours un peu ou se vieillis pour les demoiselles)
Race : Tigrain typé guépard
Classe : Combattant
Arme : trois dagues, deux planquées dans sa cape et une à la cuisse, elles sont assez discrète et d'une couleur identique à l'endroit où elles sont placés.
Armure : il ne s'encombre pas d'armure, et puis il a pas de quoi s'en payer une, en revanche une cape l'englobe afin de masquer ce manque de protection, il possède ceci dit à chaque bras quelques brassards légers de cuir afin de pas voir ses bras partir au moindre imprévue... c'est pratique un bras
Capacité spéciale : Passe-muraille
Compétence raciale : combat à main nue
compétences :
- Larcin
- Furtivité
- Ambidextrie
- Maniement de la dague
- Grande agilité
- Grande agilité ×2
- Grande agilité x3
- Grande vitesse
Compétences secondaires :
- Lecture / écriture
- Danse (seulement quand bien bourré)
- Musique : percutions improvisées (il vous fait un rythme ma foi bien plaisant avec une pauvre caisse et un ivrogne assomé...)
Objets magiques :
- Anneau Anaura : Une très belle pièce de joaillerie taillée dans trois essences de bois différentes et gravée de runes complexes. Cet anneau magique possède le pouvoir de cacher qu'il est magique.
Histoire de votre personnage :
Nimar Ombrien était un enfant le jour où ses parents ont divorcés, enfin... divorcés... il faut le dire vite, un coup de colère et son père s'en alla, son père avait passé autant d'années dans la nature que dans les terres civilisés, ses instincts sauvages prirent le dessus sur son apprentissage civilisé laissant sa femme seul jonglant avec l'éducation de son fils et un commerce qui ne marchait que peu, sa mère ne tirait ses faibles revenus que de ventes de babioles qui se faisait dans la rue, il faut dire que les habitants du petit village aux alentours de Telbara n'avaient que faire de babioles, à telle point qu'elle due se lancer dans un commerce plus... mature? Et peut être aussi à t-elle commis des actes moins honnêtes? Nimar n'en prit jamais connaissance, peut être cela valait-il mieux: quand l'enfant estime que son père est "un chien galeux tout juste bon à enfanter une femme pour quelques années plus tard la laisser agonisante dans sa pauvreté", une figure maternelle honnête est plutôt... réconfortant.
C'est à 8 ans que Nimar décida d'aider sa mère, travailler si jeune est un peu triste mais sa mère n'a jamais été capable de ramener de quoi réellement combler la faim des deux tigrains vivants dans une maison en ruine sans propriétaires et de toutes façon invendable. Il réussit à trouver quelques emploies rapides, des petites taches aussi noble que garçon de course, il lui arrivait aussi de participer à des courses au milieu de parieurs ainsi que du vol à l'étalage, parfois il devait fuir, parfois son agilité lui épargnait cette peine. Il n'aimais pas spécialement avoir à se salir les mains, surtout pour des actes moyennement légaux. Mais Nimar se félicitait en voyant que ses efforts étaient payants, pendant un temps son travail permit à lui et sa mère de sortir de la pauvreté, se sentant presque riche, ceci n'était qu'illusoire, ils entraient tout juste dans la norme mais aux yeux du jeune tigrain le simple fait de pouvoir manger autre choses que des laitues sales et mal conservés. Aussi avant de rentrer, chaque soir il rendait visite à un conteur âgé et sympathique, il écoutait aux côtés d'autres enfants de son âge le vieil homme raconter fables et contes en demandant entre deux l'aumône. Nimar ne pouvait que rarement lui donner plus qu'une miche de pain, mais c'était mieux que rien. Le conteur était un humain, il ne semblait pas vivre mal si on oublie le fait que se soit à même le sol qu'il dormais. Il possèdait deux besaces, une ou il mettait les dons reçu lors de la journée et l'autre ou il gardait trois livres dont il feuilletait quelques pages chaque soir. Probablement des recueils de fables. Nimar se dit qu'il pourait tirer plus de revenues si il contait des histoires en faisant l'aumône. Du haut de ses huit années en pensant à l'amélioration de ses rendements il resta tard le soir et se décida d'aller à la rencontre du vieil homme qui fut surpris de sa venue
-hein?! Oh... tu m'as fais peur gamin... tu viens souvent. C'est pour un don j'espère? Je n'ai pas de temps à perdre. Je tiens à mes quelques heures de sommeil...
Le tigrain s'en voulait presque de ne pas avoir de quoi répondre à ses attentes, mais il était venu avec une idée en tête, ses yeux marrons fixants le vieillard il répondit par une question.
-je suis désolé, je n'ai pas plus à vous apporter que les jours précédents... je viens pour v...
-me retirer mes quatres misérables heures de sommeil? Je vais devoir me lever avant l'aube demain. si je pouvais donc fermer les yeux tout de suite j'en serais comblé, allez. Bonne nuité gamin.
C'était une réaction violente mais remarquablement prévisible, le conteur, Moire de son nom, dormait quatre heures par nuit à même le sol, l'approche de Nimar n'était pas assez directe et le Moire eu le temps de sortir un classique "pas le temps". Ceci dit Nimar décidé finit par obtenir une heure par jour de la part de ce vieillard, en cinq ans il n'avait pas tout assimilé mais avait les bases nécessaires pour prétendre savoir écrire et lire. Ce de manière bien entendu non gratuite. Il aurait voulu perfectionner ses talents de lecture car il peinait à comprendre les phrases complexes mais lors de sa treizième année, il due arrêter brusquement son apprentissage.
À treize ans, Nimar n'eut plus de quoi payer son apprentissage, pourquoi un tel changement me diriez vous? En quelques mots... deux bouches à nourrir, un travailleur, une malade. En effet sa mère, seul famille lui restante, tomba gravement malade, il n'avait pas de quoi payer un médecin, tout juste de quoi nourrir correctement sa mère en se privant lui même. Il devait passer à la vitesse supérieur dans ses "affaires", il vola donc une dague à un voyageur et s'introduit dans plusieurs bâtisses à l'aide de son étrange capacité hérité à la naissance lui permettant de braver les murs comme de l'air.
Mais une nuit, tout bascula. L'état de sa mère s'aggravant, il décida de payer un médecin au plus vite, il lui manquait encore un ou deux jours de vol, alors il décida de cesser le pillage de basses classes sociales. C'était une maison bourgeoise qu'il attaqua cette nuit la, il entra par un mur sans un bruit et en quelques minutes trouva bijoux et or. Il laissa s'échapper un sourir éclatant et saisis plus qu'assez pour payer un soigneur. Perdu dans ses pensés il n'entendit qu'au dernier moment à un peu moins de deux mètres de lui, dans son dos le plancher grincer, il se retourna dégainant sa dague et reculant de quelques pas vivement, cete action ne le sauva qu'a moitié du lourd coup de tabouret qui toucheras sa main qui dans un son de craquement se mit à faire souffrir horriblement Nimar, il peinait maintenant à mouvoir sa main gauche et sa dague lui laissait une moins grande porté que son adversaire, adversaire qui s'avèrait n'être qu'un domestique non entraîné au combat et se défendant avec un vulgaire meuble, il était aussi manifestement paniqué... paniqué mais dangereux. Pourquoi dangereux?
-GARDES! GARDES! UN VOLEUR! IL EST ARMÉ! À MOI!
Voilà pourquoi... il avait de la voix le sous fifre, Nimar ne tardait pas à entendre des bruits de pas lourds se rapprocher, il avait moins d'une minute. paniqué il cherchait un échappatoire mais fut vite tiré de ses pensés par un second coup de tabouret qui lui frolla le front avant de finir sa course contre le mur. le tabouret vola en éclat, chose qui surpris le domestique, profitant de la confusion Nimar bondit à sa gorge, planta ses griffes dans les yeux de l'adversaire'et planta sa dague au hasard dans le corps de l'ennemi, ne cherchant qu'a le blesser, il est compliqué d'imaginer la grandeur de sa stupeur quand il vit l'instant d'après tomber en éclaboussant le mur de sang le domestique agonisant, pas blessé, pas souffrant... mais bien aux portes de la mort.
Nimar ne comprit pas ce qu'il venait de se passer, ou plutôt refusait-il de le croire. Il venait... de tuer de sang froid un homme? Homme qui ne faisait rien de plus que son travail qui plus est. La flaque de sang qui se dessinait le fit presque répendre son maigre repas au sol. C'était la première fois qu'il voyait un mort, pire, la première fois qu'il voyait un mourant, et la froide main qui faucha l'âme de cet innocent... c'était lui, pour de l'or. Il fut interrompue par un crie...
-De la lumière! Dégainez!
La garde arrivait, il prit donc la fuite et par chance ne se fit pas voir. Chassant toutes idées morbides de son esprit et tentant de se convaincre que ce n'était qu'un accident, le tigrain, larmes de panique encore à l'oeuil alla quérir un soigneur proche Lisant les pancartes aussi vite que possible, et au bout de dix minutes de course éffrainé eu la chance d'enfin en trouver un, le guérisseur pensa que le tigrain cherchait des soins pour sa main gauche et son entaille au front, Nimar parvint donc entre deux sanglots à dissiper le malentendu et à ramener le guérisseur jusqu'au chevet de sa mère le tout sans évoquer la provenance de son or et de ses blessures.
Malheureusement il s'agissait d'un guérisseur... et les guérisseurs ne ramènent pas les morts. Car à leur arrivé, Nimar découvre avec horreur que cette nuit, il auras gagné non pas la vue d'un cadavre, mais de deux. Sa mère ne respirait plus, son coeur ne battait plus, la maladie l'avait emporté... seul et désemparé, l'adolescent oublia même l'existence du guérisseur qui tentait de le consoler de cette expérience. Se posant une seul question: pourquoi?! Il n'avait jamais crue en aucun dieu, jamais adressé une prière et avait aujourd'hui même fait couler le sang. Existent-ils?! Est ce cela le sort qu'ils réservent à ceux qui ne les vénèrent pas? Est ce cela le prix à payer pour le meurtre qu'il avait commis?
Nimar peina à mettre de côté les souvenir de cette douloureuse nuit. Mais le temps passe et la peine s'estompe toujours pour ceux qui ont les épaules assez solides pour rester en ce monde. Il était seul, ne croyait en aucun dieu, et avait du sang sur les mains, en clair, aucune croyance, aucun espoir, et même l'inverse. Les années suivantes furent particulièrement... tristes, la solitude le rongeait le rendant un peu (et je dis bien un peu, n'allez pas voir un grand taré) dérangé. Sa mère était morte peu fier de sa vie, et seul. Un jour ce sera le tour de Nimar, tout le monde trépasse. Mais lui ne voulait pas de cette fin, cette pensé le terrifiant, il se jura qu'il ne mourreras pas seul! Chose qui donneras naissance à une éternel recherche de compagnie malgré le tempérament peu sociable de certains de ses congénères. Nimar grandira ainsi dans ce vaste monde cruel.
État actuel
Nimar est assez simple à décrire , il possède des yeux marrons et une entaille sur l'oreille droite. Le coup de tabouret de sa première victime laissa une petite cicatrice sur son front mais celle ci recouverte par ses poils il ne s'en souvient lui même plus. Il digère mal la solitude et se montre souvent assez simple d'esprit en compagnie de...n'importe qui, ami, ennemi. Il passera toujours pour le couillon de service, chose qu'il n'est pas... pas complètement, il peut en effet faire preuve d'ingéniosité que se soit en combat, en frappant dans le dos un adversaire qui était face à lui l'instant d'avant, ou même en société, il peut convaincre les foules en réfléchissant bien. On en oublierais presque le fait qu'il s'estime presque parfait (ce qui est faux). Qu'il n'est pas sortable en présence de femmes et qu'il a quelques problèmes de boisson. Il a la fâcheuse habitude à coller des étiquettes sur les gens, ou plutôt sur les races qu'il généralise. Nimar compte quelques qualités et beaucoup de défauts qui ne sont pas cités mais... vous les découvrirez bien assez tôt.
Age : 19 ans (mais il ne compte pas son propre age car "ne sert a rien" et il se rajeunit toujours un peu ou se vieillis pour les demoiselles)
Race : Tigrain typé guépard
Classe : Combattant
Arme : trois dagues, deux planquées dans sa cape et une à la cuisse, elles sont assez discrète et d'une couleur identique à l'endroit où elles sont placés.
Armure : il ne s'encombre pas d'armure, et puis il a pas de quoi s'en payer une, en revanche une cape l'englobe afin de masquer ce manque de protection, il possède ceci dit à chaque bras quelques brassards légers de cuir afin de pas voir ses bras partir au moindre imprévue... c'est pratique un bras
Capacité spéciale : Passe-muraille
Compétence raciale : combat à main nue
compétences :
- Larcin
- Furtivité
- Ambidextrie
- Maniement de la dague
- Grande agilité
- Grande agilité ×2
- Grande agilité x3
- Grande vitesse
Compétences secondaires :
- Lecture / écriture
- Danse (seulement quand bien bourré)
- Musique : percutions improvisées (il vous fait un rythme ma foi bien plaisant avec une pauvre caisse et un ivrogne assomé...)
Objets magiques :
- Anneau Anaura : Une très belle pièce de joaillerie taillée dans trois essences de bois différentes et gravée de runes complexes. Cet anneau magique possède le pouvoir de cacher qu'il est magique.
Histoire de votre personnage :
Nimar Ombrien était un enfant le jour où ses parents ont divorcés, enfin... divorcés... il faut le dire vite, un coup de colère et son père s'en alla, son père avait passé autant d'années dans la nature que dans les terres civilisés, ses instincts sauvages prirent le dessus sur son apprentissage civilisé laissant sa femme seul jonglant avec l'éducation de son fils et un commerce qui ne marchait que peu, sa mère ne tirait ses faibles revenus que de ventes de babioles qui se faisait dans la rue, il faut dire que les habitants du petit village aux alentours de Telbara n'avaient que faire de babioles, à telle point qu'elle due se lancer dans un commerce plus... mature? Et peut être aussi à t-elle commis des actes moins honnêtes? Nimar n'en prit jamais connaissance, peut être cela valait-il mieux: quand l'enfant estime que son père est "un chien galeux tout juste bon à enfanter une femme pour quelques années plus tard la laisser agonisante dans sa pauvreté", une figure maternelle honnête est plutôt... réconfortant.
C'est à 8 ans que Nimar décida d'aider sa mère, travailler si jeune est un peu triste mais sa mère n'a jamais été capable de ramener de quoi réellement combler la faim des deux tigrains vivants dans une maison en ruine sans propriétaires et de toutes façon invendable. Il réussit à trouver quelques emploies rapides, des petites taches aussi noble que garçon de course, il lui arrivait aussi de participer à des courses au milieu de parieurs ainsi que du vol à l'étalage, parfois il devait fuir, parfois son agilité lui épargnait cette peine. Il n'aimais pas spécialement avoir à se salir les mains, surtout pour des actes moyennement légaux. Mais Nimar se félicitait en voyant que ses efforts étaient payants, pendant un temps son travail permit à lui et sa mère de sortir de la pauvreté, se sentant presque riche, ceci n'était qu'illusoire, ils entraient tout juste dans la norme mais aux yeux du jeune tigrain le simple fait de pouvoir manger autre choses que des laitues sales et mal conservés. Aussi avant de rentrer, chaque soir il rendait visite à un conteur âgé et sympathique, il écoutait aux côtés d'autres enfants de son âge le vieil homme raconter fables et contes en demandant entre deux l'aumône. Nimar ne pouvait que rarement lui donner plus qu'une miche de pain, mais c'était mieux que rien. Le conteur était un humain, il ne semblait pas vivre mal si on oublie le fait que se soit à même le sol qu'il dormais. Il possèdait deux besaces, une ou il mettait les dons reçu lors de la journée et l'autre ou il gardait trois livres dont il feuilletait quelques pages chaque soir. Probablement des recueils de fables. Nimar se dit qu'il pourait tirer plus de revenues si il contait des histoires en faisant l'aumône. Du haut de ses huit années en pensant à l'amélioration de ses rendements il resta tard le soir et se décida d'aller à la rencontre du vieil homme qui fut surpris de sa venue
-hein?! Oh... tu m'as fais peur gamin... tu viens souvent. C'est pour un don j'espère? Je n'ai pas de temps à perdre. Je tiens à mes quelques heures de sommeil...
Le tigrain s'en voulait presque de ne pas avoir de quoi répondre à ses attentes, mais il était venu avec une idée en tête, ses yeux marrons fixants le vieillard il répondit par une question.
-je suis désolé, je n'ai pas plus à vous apporter que les jours précédents... je viens pour v...
-me retirer mes quatres misérables heures de sommeil? Je vais devoir me lever avant l'aube demain. si je pouvais donc fermer les yeux tout de suite j'en serais comblé, allez. Bonne nuité gamin.
C'était une réaction violente mais remarquablement prévisible, le conteur, Moire de son nom, dormait quatre heures par nuit à même le sol, l'approche de Nimar n'était pas assez directe et le Moire eu le temps de sortir un classique "pas le temps". Ceci dit Nimar décidé finit par obtenir une heure par jour de la part de ce vieillard, en cinq ans il n'avait pas tout assimilé mais avait les bases nécessaires pour prétendre savoir écrire et lire. Ce de manière bien entendu non gratuite. Il aurait voulu perfectionner ses talents de lecture car il peinait à comprendre les phrases complexes mais lors de sa treizième année, il due arrêter brusquement son apprentissage.
À treize ans, Nimar n'eut plus de quoi payer son apprentissage, pourquoi un tel changement me diriez vous? En quelques mots... deux bouches à nourrir, un travailleur, une malade. En effet sa mère, seul famille lui restante, tomba gravement malade, il n'avait pas de quoi payer un médecin, tout juste de quoi nourrir correctement sa mère en se privant lui même. Il devait passer à la vitesse supérieur dans ses "affaires", il vola donc une dague à un voyageur et s'introduit dans plusieurs bâtisses à l'aide de son étrange capacité hérité à la naissance lui permettant de braver les murs comme de l'air.
Mais une nuit, tout bascula. L'état de sa mère s'aggravant, il décida de payer un médecin au plus vite, il lui manquait encore un ou deux jours de vol, alors il décida de cesser le pillage de basses classes sociales. C'était une maison bourgeoise qu'il attaqua cette nuit la, il entra par un mur sans un bruit et en quelques minutes trouva bijoux et or. Il laissa s'échapper un sourir éclatant et saisis plus qu'assez pour payer un soigneur. Perdu dans ses pensés il n'entendit qu'au dernier moment à un peu moins de deux mètres de lui, dans son dos le plancher grincer, il se retourna dégainant sa dague et reculant de quelques pas vivement, cete action ne le sauva qu'a moitié du lourd coup de tabouret qui toucheras sa main qui dans un son de craquement se mit à faire souffrir horriblement Nimar, il peinait maintenant à mouvoir sa main gauche et sa dague lui laissait une moins grande porté que son adversaire, adversaire qui s'avèrait n'être qu'un domestique non entraîné au combat et se défendant avec un vulgaire meuble, il était aussi manifestement paniqué... paniqué mais dangereux. Pourquoi dangereux?
-GARDES! GARDES! UN VOLEUR! IL EST ARMÉ! À MOI!
Voilà pourquoi... il avait de la voix le sous fifre, Nimar ne tardait pas à entendre des bruits de pas lourds se rapprocher, il avait moins d'une minute. paniqué il cherchait un échappatoire mais fut vite tiré de ses pensés par un second coup de tabouret qui lui frolla le front avant de finir sa course contre le mur. le tabouret vola en éclat, chose qui surpris le domestique, profitant de la confusion Nimar bondit à sa gorge, planta ses griffes dans les yeux de l'adversaire'et planta sa dague au hasard dans le corps de l'ennemi, ne cherchant qu'a le blesser, il est compliqué d'imaginer la grandeur de sa stupeur quand il vit l'instant d'après tomber en éclaboussant le mur de sang le domestique agonisant, pas blessé, pas souffrant... mais bien aux portes de la mort.
Nimar ne comprit pas ce qu'il venait de se passer, ou plutôt refusait-il de le croire. Il venait... de tuer de sang froid un homme? Homme qui ne faisait rien de plus que son travail qui plus est. La flaque de sang qui se dessinait le fit presque répendre son maigre repas au sol. C'était la première fois qu'il voyait un mort, pire, la première fois qu'il voyait un mourant, et la froide main qui faucha l'âme de cet innocent... c'était lui, pour de l'or. Il fut interrompue par un crie...
-De la lumière! Dégainez!
La garde arrivait, il prit donc la fuite et par chance ne se fit pas voir. Chassant toutes idées morbides de son esprit et tentant de se convaincre que ce n'était qu'un accident, le tigrain, larmes de panique encore à l'oeuil alla quérir un soigneur proche Lisant les pancartes aussi vite que possible, et au bout de dix minutes de course éffrainé eu la chance d'enfin en trouver un, le guérisseur pensa que le tigrain cherchait des soins pour sa main gauche et son entaille au front, Nimar parvint donc entre deux sanglots à dissiper le malentendu et à ramener le guérisseur jusqu'au chevet de sa mère le tout sans évoquer la provenance de son or et de ses blessures.
Malheureusement il s'agissait d'un guérisseur... et les guérisseurs ne ramènent pas les morts. Car à leur arrivé, Nimar découvre avec horreur que cette nuit, il auras gagné non pas la vue d'un cadavre, mais de deux. Sa mère ne respirait plus, son coeur ne battait plus, la maladie l'avait emporté... seul et désemparé, l'adolescent oublia même l'existence du guérisseur qui tentait de le consoler de cette expérience. Se posant une seul question: pourquoi?! Il n'avait jamais crue en aucun dieu, jamais adressé une prière et avait aujourd'hui même fait couler le sang. Existent-ils?! Est ce cela le sort qu'ils réservent à ceux qui ne les vénèrent pas? Est ce cela le prix à payer pour le meurtre qu'il avait commis?
Nimar peina à mettre de côté les souvenir de cette douloureuse nuit. Mais le temps passe et la peine s'estompe toujours pour ceux qui ont les épaules assez solides pour rester en ce monde. Il était seul, ne croyait en aucun dieu, et avait du sang sur les mains, en clair, aucune croyance, aucun espoir, et même l'inverse. Les années suivantes furent particulièrement... tristes, la solitude le rongeait le rendant un peu (et je dis bien un peu, n'allez pas voir un grand taré) dérangé. Sa mère était morte peu fier de sa vie, et seul. Un jour ce sera le tour de Nimar, tout le monde trépasse. Mais lui ne voulait pas de cette fin, cette pensé le terrifiant, il se jura qu'il ne mourreras pas seul! Chose qui donneras naissance à une éternel recherche de compagnie malgré le tempérament peu sociable de certains de ses congénères. Nimar grandira ainsi dans ce vaste monde cruel.
État actuel
Nimar est assez simple à décrire , il possède des yeux marrons et une entaille sur l'oreille droite. Le coup de tabouret de sa première victime laissa une petite cicatrice sur son front mais celle ci recouverte par ses poils il ne s'en souvient lui même plus. Il digère mal la solitude et se montre souvent assez simple d'esprit en compagnie de...n'importe qui, ami, ennemi. Il passera toujours pour le couillon de service, chose qu'il n'est pas... pas complètement, il peut en effet faire preuve d'ingéniosité que se soit en combat, en frappant dans le dos un adversaire qui était face à lui l'instant d'avant, ou même en société, il peut convaincre les foules en réfléchissant bien. On en oublierais presque le fait qu'il s'estime presque parfait (ce qui est faux). Qu'il n'est pas sortable en présence de femmes et qu'il a quelques problèmes de boisson. Il a la fâcheuse habitude à coller des étiquettes sur les gens, ou plutôt sur les races qu'il généralise. Nimar compte quelques qualités et beaucoup de défauts qui ne sont pas cités mais... vous les découvrirez bien assez tôt.
Athyl- Membre du staff
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