Míriel (Demi-Drow / Rodeur)
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Athyl
Míriel
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Orcande - forum de RP médiéval-fantastique :: Règlement, contexte, présentations et questions :: Fiches de personnages
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Míriel (Demi-Drow / Rodeur)
Nom de votre personnage : Míriel
Age de votre personnage : 20 ans
Race : Demi-Drow
Classe : Rodeur
Arme : Arc long et dague
Armure : Botte, gant et plastron en cuir
Animal de compagnie : Chien d'ours de la famille des Spitz
Capacité spéciale : Résistance psychologique
Compétence raciale : Combat à main nue
Avantage raciale : Vue, ouïe, odorat et goût légèrement supérieurs à ceux d'un Humain. Grande agilité, bonne discrétion et assez bonne résistance aux maladies.
Sorts ou compétences de votre personnage :
- Maniement de l'arc
- Maniement de la dague
- Précision
- Pistage
- Furtivité
Compétences secondaires de votre personnage :
- Lecture et écriture
- Connaissance géographique
- Orientation naturelle
- Connaissance de la faune
Histoire de votre personnage :
Age de votre personnage : 20 ans
Race : Demi-Drow
Classe : Rodeur
Arme : Arc long et dague
Armure : Botte, gant et plastron en cuir
Animal de compagnie : Chien d'ours de la famille des Spitz
Capacité spéciale : Résistance psychologique
Compétence raciale : Combat à main nue
Avantage raciale : Vue, ouïe, odorat et goût légèrement supérieurs à ceux d'un Humain. Grande agilité, bonne discrétion et assez bonne résistance aux maladies.
Sorts ou compétences de votre personnage :
- Maniement de l'arc
- Maniement de la dague
- Précision
- Pistage
- Furtivité
Compétences secondaires de votre personnage :
- Lecture et écriture
- Connaissance géographique
- Orientation naturelle
- Connaissance de la faune
Histoire de votre personnage :
Parfois il m’arrive de me demander quel genre de personne je serais devenue si le destin n’avait pas décidé de chambouler ma vie il y de cela plusieurs années. Cela peut paraître étrange à dire, mais je suis plutôt certaine que je ne me serais pas entendue avec moi-même. Je veux dire par là que la personne que je suis n’aurait surement pas fait bon mélange avec celle que j’étais supposé devenir. Voyez-vous, je suis née à Estrande d’une mère esclave. Les choses auraient pu très mal tournés dès ma naissance, mais heureusement la famille à qui appartenait ma mère était des gens biens. Aussi bien qu’il est possible d’être tout en possédant des esclaves. Il fut décidé que je deviendrais la servante personnelle de la fille de notre maître qui avait dans le même âge que le mien. Je suivies une éducation intellectuelle et sociale dans le but de répondre à ses besoins. On m’apprit tout ce que devait savoir une bonne servante en plus des rudiments de la lecture, de l’écriture et du calcul. Les journées étaient longues et exigeantes, mais l’on était bien traité et avions accès à un minimum de confort. Le mieux était de pouvoir passer du temps avec ma mère et d'avoir accès à la bibliothèque dans les temps libres. Cela ne dura pas très longtemps, mais je me dis que je dois à ce temps le fait de ne pas être devenue un rustre.
C’est à l’âge de neuf ans que cela prit fin. Un soir, un groupe de non-humains révoltés pénétraient dans la propriété pour y mettre le feu et tuer les maîtres de la demeure. Peut-être la famille à qui j’appartenais avait offensé les mauvaises personnes ou bien était les victimes malchanceuses d’une rage aveugle. Je ne le serai jamais, mais peu importe la raison ceux-ci n’avaient aucun droit de commettre de tels actes. Les maîtres ne nous avaient jamais maltraité, en fait je plus que certaine que je n’aurais pas pu tomber sur de meilleurs maîtres alors je trouve injuste qu’ils est payés de façon aussi atroce. Leur de leur massacre ils ne firent point attention à leur victime tuant plusieurs esclaves en même temps rajoutant à la dérision de leur acte. Ma mère fit partie des victimes, tant qu’à moi j’avais réussi à fuir, prenant mes jambes à mon coup dans les rues de la ville pour fuir les meurtriers. J’ai erré sans but en pleurnichant comme la gamine que j’étais un bon moment. C’est quand la faim devient trop grande pour être ignoré que je repris mes esprits et me décidai à faire quelque chose pour ma condition.
J’avais alors décidé d’aborder des gardes pour leur demander de l’aide mais ils avaient dû me prendre pour une orpheline de la rue, ceux-ci prolifèrent dans les rues de la cité, car ils m’avaient ignoré. Ou bien ils ne se souciaient guère du sort d’une métisse. Après ça j’ai essayé de demander de l’aide, mais personne ne voulut bien me l’accorder. On me lançait des regards de travers ou des cris comme si on s’entendait à ce que je leur vole leur bien ou leur transmette je ne sais quelle maladie. Je finis par devenir ce que tout le monde croyait que j’étais, une gamine de la rue
Les quelques semaines qui suivirent furent les plus atroces de ma vie, heureusement alors que le destin m’avait fait défaut il finit par me sourire à nouveau. J’étais en train de fouiller les ordures d’une boulangerie pour y récupérer les pièces encore mangeable, quand quelque chose était venue se frotter à mes jambes. Je me souviens que mon cœur avait failli sortir de ma poitrine avant que je me rende compte que le coupable était un beau chien au pelage noir et blanc d’une affectuosité particulière. Je m’étais mise à caresser le canin quand une voix tonitruante d’homme raisonna dans la ruelle.
« Sale gamine, dégage de ma propriété où je t’expédie à grand coup de pied dans le derrière! »
Je ne me l’étais pas fait dire deux fois, j’étais partis à courir avant même que l’homme est fini de proférer ses menaces pour finalement m’emmêler dans mes propres jambes. Aujourd’hui, je remercie cette maladresse qui m’avait alors habité. Je tombai figure première sur le pavé, le contenue de mon sac se répandant sur le sol. J’étais en train de me relever quand quelqu’un m’avait empoigné par-derrière pour me relever. C’était un homme dans la mie-trentaine, des cheveux, une barbe brune et des yeux ambre.
« Voyons mon bon monsieur, s'était-il adressé au boulanger, si on ne peut même plus laisser nos déchets à des gens dans le besoin nous valons moins que des animaux. »
Le chien s’était rangé à côté de celui-ci qui se trouvait être son propriétaire. L’homme se pencha pour ramasser mes maigres propriétés avant de me lancer un sourire narquois.
« Un livre? Qu’est-ce qu’une gamine comme toi peut bien faire avec un livre? Si tu comptais le revendre après l’avoir volé tu aurais dû mieux le préserver. »
Je m’étais alors empourpré. On me traitait encore une fois de voleuse, accusation maintenant véridique, et d’idiote de surcroit. L’idée que je puisse savoir lire ne lui avait-il pas traversé l’esprit.
« Il est à moi et il n’est pas à vendre! Au cas où vous ne le saviez pas un livre est fait pour être lue.»
Tout en lui répondant j’essayais de lui reprendre des mains, c’était la seule qui me rappelait ma vie avant cet enfer. Les moments passés avec des gens qui ne me méprisaient pas. Mieux valait être simplement utilisé qu’être rejeté et plus que tout cela me rappelait les moments avec la mère. Après avoir attendu ma réponse l’homme était alors devenu sérieux avant de se pencher vers moi.
« Tu sais lire gamine? »
J’avais acquissé de la tête avant de lui répondre avec fierté que je savais écrire et compter aussi. Je n’avais pas eu le temps de parfaire mon éducation mais je savais me débrouiller.
« Ah! Voyez-vous ça une gamine intelligente. »
Il s’était alors tu, puis après m’avoir scruté quelques instants avait repris.
« Cela te dirait de ne plus avoir à vivre dans la rue? Mon petit groupe et moi-même aurions bien besoin de quelqu’un avec tes capacités. Voici mon marché petit, tu viens avec moi et tu nous aides dans les tâches ménagères tout en nous permettant de tiré profit de tes connaissances et en contrepartie nous t’offrirons un endroit où dormir et manger. »
J’étais trop abasourdi pour répondre alors je m’étais une nouvelle fois contenté de hocher de la tête. Cette rencontrer fortuite avait alors changé le parcours de ma vie pour me guider vers celle que je suis maintenant.
L’homme qui m’a pris sous son aile s’appelle Léo, il fait partie d’une bande de chasseurs composé d’une dizaine de gaillards. Ce ne sont pas des chasseurs ordinaires, quelques fois ils traquent des animaux sauvages tels des loups ou des ours, mais ils leurs arrivent aussi de faire dans la traque aux monstres. Au début, j’ai servi de femme à tout faire, le lavage, la cuisine, la couture, rien de nouveau pour moi. Je m’occupais de faire de petite annonce pour eux et de lire celles affichées qui pourrait leur finir des contrats. Tranquillement je suis devenue un membre du groupe et après une année ils commencèrent à m’entrainer pour m’intégrer à leur mission à ma demande. J’étais une gamine plutôt frêle, en fait je suis encore menue pour mon âge, alors ils redoutaient de m’apprendre à me battre en première ligne. Ils m’apprirent donc le maniement de l’arc et le pistage. Je pourrais alors servir d’éclaireur et aider en combat tout en restant à distance sécuritaire. À l’âge de quatorze ans après quelques années d’entrainement, auquel le combat à mains nues et le maniement de la dague firent partie, on m’autorisa à faire partie d’une mission. Depuis lors ma participation devient de plus en plus régulière jusqu’à ce que je fasse partie intégrante du groupe de frappe. Notre centre d’activités principales se trouve dans les alentours d’Estrande bien qu’il nous arrivât parfois de s’éloigner. Lors de ces quelques années j’ai adopté un magnifique chien de la même race que Leo. Un chien d’ours de la famille des Spitz, une vingtaine de kilo de fourrure noire et blanche que j’ai nommé Chaol. Un compagnon robuste dressé pour venir en aide lors de la chasse aux gros gibiers. Celui-ci me suis presque comme mon ombre, mais il n’est pas fait pour les combats contre les monstres alors en de tels occasions je me dois de le laisser en retrait.
Un jour, alors que nous avions comme mission de traquer une Arachnée qui avait décidé de faire d’un petit village son garde-manger personnel les choses se sont plutôt mal passés pour moi. Je me suis retrouvé prisonnière de cette monstruosité et la journée que j’ai passée prise au piège dans sa toile sans défense et blessée à me demander quand j’allais finir en quart d’heure rivalisa presque d’horreur avec la journée où j’ai perdu ma famille. Heureusement, la compagnie retrouva la tanière de la créature et parvint à la pourfende pour ensuite me libérer. Je n’ai jamais aimé les araignées et depuis ce jour la simple vue d’une de ces sales bestioles suffit à faire parcourir un frisson le long de mon échine.
C’est donc ainsi que me vie se déroula, la vie au sein de la compagnie n’était pas toujours facile et pour une fille être élevée par un groupe d’hommes peut se révéler parfois hasardeux, mais ce fut de belles années. J’avais ma part de bien que je pouvais dépenser à ma guise. Si eux préféraient dépenser leur revenue dans les tavernes et maison de plaisance pour ma part je courais les librairies et bibliothèque. J’ai toujours adoré lire et l’histoire me passionne particulièrement. Aujourd’hui je m’apprête à ouvrir un nouveau chapitre de ma vie. Je compte partir en voyage. J’ai envie de partir faire ma propre aventure, de voler de mes propres ailes. Je me languis d’une indépendance que je n’ai encore jamais connue. La compagnie pris bien la nouvelle de mon départ, je leur promis que ce n’était pas un adieu et que je reviendrais les voir pour leur compter le récit de mes voyages.
C’est à l’âge de neuf ans que cela prit fin. Un soir, un groupe de non-humains révoltés pénétraient dans la propriété pour y mettre le feu et tuer les maîtres de la demeure. Peut-être la famille à qui j’appartenais avait offensé les mauvaises personnes ou bien était les victimes malchanceuses d’une rage aveugle. Je ne le serai jamais, mais peu importe la raison ceux-ci n’avaient aucun droit de commettre de tels actes. Les maîtres ne nous avaient jamais maltraité, en fait je plus que certaine que je n’aurais pas pu tomber sur de meilleurs maîtres alors je trouve injuste qu’ils est payés de façon aussi atroce. Leur de leur massacre ils ne firent point attention à leur victime tuant plusieurs esclaves en même temps rajoutant à la dérision de leur acte. Ma mère fit partie des victimes, tant qu’à moi j’avais réussi à fuir, prenant mes jambes à mon coup dans les rues de la ville pour fuir les meurtriers. J’ai erré sans but en pleurnichant comme la gamine que j’étais un bon moment. C’est quand la faim devient trop grande pour être ignoré que je repris mes esprits et me décidai à faire quelque chose pour ma condition.
J’avais alors décidé d’aborder des gardes pour leur demander de l’aide mais ils avaient dû me prendre pour une orpheline de la rue, ceux-ci prolifèrent dans les rues de la cité, car ils m’avaient ignoré. Ou bien ils ne se souciaient guère du sort d’une métisse. Après ça j’ai essayé de demander de l’aide, mais personne ne voulut bien me l’accorder. On me lançait des regards de travers ou des cris comme si on s’entendait à ce que je leur vole leur bien ou leur transmette je ne sais quelle maladie. Je finis par devenir ce que tout le monde croyait que j’étais, une gamine de la rue
Les quelques semaines qui suivirent furent les plus atroces de ma vie, heureusement alors que le destin m’avait fait défaut il finit par me sourire à nouveau. J’étais en train de fouiller les ordures d’une boulangerie pour y récupérer les pièces encore mangeable, quand quelque chose était venue se frotter à mes jambes. Je me souviens que mon cœur avait failli sortir de ma poitrine avant que je me rende compte que le coupable était un beau chien au pelage noir et blanc d’une affectuosité particulière. Je m’étais mise à caresser le canin quand une voix tonitruante d’homme raisonna dans la ruelle.
« Sale gamine, dégage de ma propriété où je t’expédie à grand coup de pied dans le derrière! »
Je ne me l’étais pas fait dire deux fois, j’étais partis à courir avant même que l’homme est fini de proférer ses menaces pour finalement m’emmêler dans mes propres jambes. Aujourd’hui, je remercie cette maladresse qui m’avait alors habité. Je tombai figure première sur le pavé, le contenue de mon sac se répandant sur le sol. J’étais en train de me relever quand quelqu’un m’avait empoigné par-derrière pour me relever. C’était un homme dans la mie-trentaine, des cheveux, une barbe brune et des yeux ambre.
« Voyons mon bon monsieur, s'était-il adressé au boulanger, si on ne peut même plus laisser nos déchets à des gens dans le besoin nous valons moins que des animaux. »
Le chien s’était rangé à côté de celui-ci qui se trouvait être son propriétaire. L’homme se pencha pour ramasser mes maigres propriétés avant de me lancer un sourire narquois.
« Un livre? Qu’est-ce qu’une gamine comme toi peut bien faire avec un livre? Si tu comptais le revendre après l’avoir volé tu aurais dû mieux le préserver. »
Je m’étais alors empourpré. On me traitait encore une fois de voleuse, accusation maintenant véridique, et d’idiote de surcroit. L’idée que je puisse savoir lire ne lui avait-il pas traversé l’esprit.
« Il est à moi et il n’est pas à vendre! Au cas où vous ne le saviez pas un livre est fait pour être lue.»
Tout en lui répondant j’essayais de lui reprendre des mains, c’était la seule qui me rappelait ma vie avant cet enfer. Les moments passés avec des gens qui ne me méprisaient pas. Mieux valait être simplement utilisé qu’être rejeté et plus que tout cela me rappelait les moments avec la mère. Après avoir attendu ma réponse l’homme était alors devenu sérieux avant de se pencher vers moi.
« Tu sais lire gamine? »
J’avais acquissé de la tête avant de lui répondre avec fierté que je savais écrire et compter aussi. Je n’avais pas eu le temps de parfaire mon éducation mais je savais me débrouiller.
« Ah! Voyez-vous ça une gamine intelligente. »
Il s’était alors tu, puis après m’avoir scruté quelques instants avait repris.
« Cela te dirait de ne plus avoir à vivre dans la rue? Mon petit groupe et moi-même aurions bien besoin de quelqu’un avec tes capacités. Voici mon marché petit, tu viens avec moi et tu nous aides dans les tâches ménagères tout en nous permettant de tiré profit de tes connaissances et en contrepartie nous t’offrirons un endroit où dormir et manger. »
J’étais trop abasourdi pour répondre alors je m’étais une nouvelle fois contenté de hocher de la tête. Cette rencontrer fortuite avait alors changé le parcours de ma vie pour me guider vers celle que je suis maintenant.
L’homme qui m’a pris sous son aile s’appelle Léo, il fait partie d’une bande de chasseurs composé d’une dizaine de gaillards. Ce ne sont pas des chasseurs ordinaires, quelques fois ils traquent des animaux sauvages tels des loups ou des ours, mais ils leurs arrivent aussi de faire dans la traque aux monstres. Au début, j’ai servi de femme à tout faire, le lavage, la cuisine, la couture, rien de nouveau pour moi. Je m’occupais de faire de petite annonce pour eux et de lire celles affichées qui pourrait leur finir des contrats. Tranquillement je suis devenue un membre du groupe et après une année ils commencèrent à m’entrainer pour m’intégrer à leur mission à ma demande. J’étais une gamine plutôt frêle, en fait je suis encore menue pour mon âge, alors ils redoutaient de m’apprendre à me battre en première ligne. Ils m’apprirent donc le maniement de l’arc et le pistage. Je pourrais alors servir d’éclaireur et aider en combat tout en restant à distance sécuritaire. À l’âge de quatorze ans après quelques années d’entrainement, auquel le combat à mains nues et le maniement de la dague firent partie, on m’autorisa à faire partie d’une mission. Depuis lors ma participation devient de plus en plus régulière jusqu’à ce que je fasse partie intégrante du groupe de frappe. Notre centre d’activités principales se trouve dans les alentours d’Estrande bien qu’il nous arrivât parfois de s’éloigner. Lors de ces quelques années j’ai adopté un magnifique chien de la même race que Leo. Un chien d’ours de la famille des Spitz, une vingtaine de kilo de fourrure noire et blanche que j’ai nommé Chaol. Un compagnon robuste dressé pour venir en aide lors de la chasse aux gros gibiers. Celui-ci me suis presque comme mon ombre, mais il n’est pas fait pour les combats contre les monstres alors en de tels occasions je me dois de le laisser en retrait.
Un jour, alors que nous avions comme mission de traquer une Arachnée qui avait décidé de faire d’un petit village son garde-manger personnel les choses se sont plutôt mal passés pour moi. Je me suis retrouvé prisonnière de cette monstruosité et la journée que j’ai passée prise au piège dans sa toile sans défense et blessée à me demander quand j’allais finir en quart d’heure rivalisa presque d’horreur avec la journée où j’ai perdu ma famille. Heureusement, la compagnie retrouva la tanière de la créature et parvint à la pourfende pour ensuite me libérer. Je n’ai jamais aimé les araignées et depuis ce jour la simple vue d’une de ces sales bestioles suffit à faire parcourir un frisson le long de mon échine.
C’est donc ainsi que me vie se déroula, la vie au sein de la compagnie n’était pas toujours facile et pour une fille être élevée par un groupe d’hommes peut se révéler parfois hasardeux, mais ce fut de belles années. J’avais ma part de bien que je pouvais dépenser à ma guise. Si eux préféraient dépenser leur revenue dans les tavernes et maison de plaisance pour ma part je courais les librairies et bibliothèque. J’ai toujours adoré lire et l’histoire me passionne particulièrement. Aujourd’hui je m’apprête à ouvrir un nouveau chapitre de ma vie. Je compte partir en voyage. J’ai envie de partir faire ma propre aventure, de voler de mes propres ailes. Je me languis d’une indépendance que je n’ai encore jamais connue. La compagnie pris bien la nouvelle de mon départ, je leur promis que ce n’était pas un adieu et que je reviendrais les voir pour leur compter le récit de mes voyages.
Dernière édition par Míriel le Mar 13 Sep 2016 - 2:29, édité 1 fois
Míriel- Novice
- Race : Demi-Drow
Re: Míriel (Demi-Drow / Rodeur)
Bonjour et bienvenue !
Il n'y a qu'une seule chose à modifier sur ta fiche : comme cela est précisé dans le topic sur les compétences secondaires, les Demi-sangs n'ont pas d'office la maîtrise de la langue de leur race d'origine. Un Demi-Drow n'a donc pas d'office “Maîtrise de la langue des Drows”. Si tu veux cette compétence secondaire, alors il va te falloir remplacer l'une des quatre que tu as déjà prises.
J'aurais une question : par quel moyen as-tu trouvé le forum ? Une recherche Google (si oui, qu'as-tu tapé) ? Un top-site (si oui, lequel) ? Un partenariat ? Une publicité sur un forum ? Autre... ?
Il n'y a qu'une seule chose à modifier sur ta fiche : comme cela est précisé dans le topic sur les compétences secondaires, les Demi-sangs n'ont pas d'office la maîtrise de la langue de leur race d'origine. Un Demi-Drow n'a donc pas d'office “Maîtrise de la langue des Drows”. Si tu veux cette compétence secondaire, alors il va te falloir remplacer l'une des quatre que tu as déjà prises.
J'aurais une question : par quel moyen as-tu trouvé le forum ? Une recherche Google (si oui, qu'as-tu tapé) ? Un top-site (si oui, lequel) ? Un partenariat ? Une publicité sur un forum ? Autre... ?
Athyl- Membre du staff
Re: Míriel (Demi-Drow / Rodeur)
Merci pour l'accueil : )
J'ai choisi de supprimer la connaissance de la langue des Drows pour garder les autres capacités secondaires.
Pour répondre à ta question, j'ai découvert le forum à la suite d'une recherche Google pour trouver un forum de RP à thème fantastique.
J'ai choisi de supprimer la connaissance de la langue des Drows pour garder les autres capacités secondaires.
Pour répondre à ta question, j'ai découvert le forum à la suite d'une recherche Google pour trouver un forum de RP à thème fantastique.
Míriel- Novice
- Race : Demi-Drow
Re: Míriel (Demi-Drow / Rodeur)
Sois la bienvenu parmi nous^^
Astorok Cornes de Fer- Champion
- Race : Minotaure
Re: Míriel (Demi-Drow / Rodeur)
D'accord. Ta fiche est donc maintenant validée, tu peux commencer le RP.
N'oublie pas de te créer une signature avec un lien vers ta fiche, à afficher à chaque RP :
Pense aussi à recenser ton chien en cliquant ici.
N'oublie pas de te créer une signature avec un lien vers ta fiche, à afficher à chaque RP :
- Code:
[url=http://orcande.1fr1.net/t502-miriel-demi-drow-rodeuse#5134]Fiche de personnage[/url]
Pense aussi à recenser ton chien en cliquant ici.
Athyl- Membre du staff
Re: Míriel (Demi-Drow / Rodeur)
Étrange, j'ai déjà vu ta tête quelque part...
Quoi qu'il en soit bienvenue!( même si j'ai le même niveau d'ancienneté ici que Billy, beau bébé bien dodu propriétaire de deux parents très fiers )
Quoi qu'il en soit bienvenue!
Esthéol- Bon
- Race : Humain
Re: Míriel (Demi-Drow / Rodeur)
Tout d'abord,
Bienvenu par minou !!!
Ensuite, j'aime ton histoire qui est vraiment cool ! Yes !
Bienvenu par minou !!!
Ensuite, j'aime ton histoire qui est vraiment cool ! Yes !
Garràn- Expert
- Race : Dryade de feu
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