Rencontre entre le poignard sanglant et la flûte d'os
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Rencontre entre le poignard sanglant et la flûte d'os
La surface des eaux se réchauffait, je pouvais le sentir. L’hiver s’en alla donc, laissant la place à son frère le printemps. Cela voulait dire que la nature finissait de dormir et pouvait donc déjà commencer à se réveiller pour une nouvelle année. Pendant près de trois mois, j’étais resté de repos. De repos pour une dryade ? Non, je devrais dire d’inactivité. J’étais resté au fond de l’océan pendant des semaines sans être retourné voir la surface, à part deux ou trois fois peut-être. J’étais tenté de m’aventurer de nouveau dans l’autre monde, et père n’avait encore besoin de moi. Je pouvais donc aller revoir le reste du monde. Des fonds marins, je nageais entre les récifs, les ruines et des carcasses de navires oubliées. Je revoyais encore ces coraux, ces algues et cette faune que j’avais vue nombre de fois, mais qui était plaisant à regarder. Je croisais aussi plusieurs de mes sœurs et frères dryades qui s’amusaient en attendant la fin de l’hiver aussi. Mon voyage dura un petit moment, car je voulais me rapprochait de plus possible des terres. Je fus escorté un moment par des sirènes qui voulaient s’amuser elles aussi avec moi, mais j’ai dû décliner, promettant de chanter avec elles plus tard. Père m’avait dit que c’était grâce à elles que je vins au monde, sans donner plus de détail. J’arrivais là ou le fond marin remontait rapidement, formant un relief plus étroit qui menait de l’eau à l’océan. Un fleuve. Ce serait plus facile de passer par un fleuve, ils mènent à l’intérieur des terres directement dans des paysages somptueux. Mieux que les cotes où il fallait faire plus de chemin pour voyager et donc beaucoup plus de temps. Je remontais donc ce fleuve pendant une petite heure avant de me décider de faire surface.
Mes petits, eux aussi, ils avaient envis de revoir le monde de la surface. Ils voulaient jouer à l’air libre pour changer et se défouler un peu, tout comme moi d’ailleurs. L’air frais vint me caresser la surface de ma peau. L’eau était plus chaude, mais je m’habituai rapidement à la température extérieure. L’hiver n’était pas encore tout à fait partie. En tout cas, la surface n’était plus gelée. L’eau était au niveau de mes épaules quand je regardais le monde au tour de moi. Il y avait du brouillard. Le nuage n’était pas très épais, on pouvait voir des arbres à travers cette brume au bord de l’eau et un peu plus loin. J’étais dans une forêt. Un silence de mort y régnait à l’exception d’un crapaud qui chantait tout prés. Je mis un certain temps à reconnaitre cet endroit : la forêt humide. Voilà bien longtemps que je n’étais pas revenu ici. Un endroit qui combinait bien avec le marais le monde terrestre et aquatique. J’aimerais tant y revenir plus souvent.
Mes trésors me montrèrent un coin précis du fleuve. Il s’agissait un petit rocher au bord de l’eau, à moitié submergé. Je les caressai pour les récompenser de leur trouvaille. Plus je m’avançais vers cette grosse pierre grise, plus je me laisser émerger de l’eau jusqu’à ce qu’elle arrivât à la taille. Mon examination de la roche montrait qu’elle serait bien pratique pour m‘y installer. Ainsi, je me posai dessus, avec mes huit longues jambes tentaculaires qui s’enroulaient tout au tour du rocher. J’y étais bien dessus. Le cadre offrait une scène parfaite. Je pris donc ma flûte et pris une petite inspiration avant de jouer. Je voulais fêter la fin de l’hiver et donc, de la libération des eaux de la glace. Pour cela, j’avais opté pour une musique envoutante et douce qui symboliserait la renaissance de la nature en globalité. Mes notes s’échappaient de mon instrument fait dans un os bien particulier, allant flotter dans les airs pour charmer es oreilles de toutes les créatures de la nature. Je ne m’attendais à aucun visiteur. Je pensais être en paix dans cette partie isolée du continent. A part la faune locale, je ne pensais pas voir la moindre créature humanoïde, si l’on excepte des dryades, ce qui ne me dérangerait pas. Ainsi, je jouais, les yeux fermés, bercé moi-même par ma musique, plongé dans la rêverie. J’imaginais un monde merveilleux composé de forêt, d’océan et de montagnes qui naissait d’un œuf en feu et dont tout une faune imaginaire sortaient des arbres, de la terre et de l’eau pour peupler ce nouveau monde. Cela dans mon esprit signifiait que ma musique représentant parfaitement l’arrivée du printemps. Même mes petits se balançaient lentement en suivant le son de ma flûte, bercer par ma mélodie.
Mes petits, eux aussi, ils avaient envis de revoir le monde de la surface. Ils voulaient jouer à l’air libre pour changer et se défouler un peu, tout comme moi d’ailleurs. L’air frais vint me caresser la surface de ma peau. L’eau était plus chaude, mais je m’habituai rapidement à la température extérieure. L’hiver n’était pas encore tout à fait partie. En tout cas, la surface n’était plus gelée. L’eau était au niveau de mes épaules quand je regardais le monde au tour de moi. Il y avait du brouillard. Le nuage n’était pas très épais, on pouvait voir des arbres à travers cette brume au bord de l’eau et un peu plus loin. J’étais dans une forêt. Un silence de mort y régnait à l’exception d’un crapaud qui chantait tout prés. Je mis un certain temps à reconnaitre cet endroit : la forêt humide. Voilà bien longtemps que je n’étais pas revenu ici. Un endroit qui combinait bien avec le marais le monde terrestre et aquatique. J’aimerais tant y revenir plus souvent.
Mes trésors me montrèrent un coin précis du fleuve. Il s’agissait un petit rocher au bord de l’eau, à moitié submergé. Je les caressai pour les récompenser de leur trouvaille. Plus je m’avançais vers cette grosse pierre grise, plus je me laisser émerger de l’eau jusqu’à ce qu’elle arrivât à la taille. Mon examination de la roche montrait qu’elle serait bien pratique pour m‘y installer. Ainsi, je me posai dessus, avec mes huit longues jambes tentaculaires qui s’enroulaient tout au tour du rocher. J’y étais bien dessus. Le cadre offrait une scène parfaite. Je pris donc ma flûte et pris une petite inspiration avant de jouer. Je voulais fêter la fin de l’hiver et donc, de la libération des eaux de la glace. Pour cela, j’avais opté pour une musique envoutante et douce qui symboliserait la renaissance de la nature en globalité. Mes notes s’échappaient de mon instrument fait dans un os bien particulier, allant flotter dans les airs pour charmer es oreilles de toutes les créatures de la nature. Je ne m’attendais à aucun visiteur. Je pensais être en paix dans cette partie isolée du continent. A part la faune locale, je ne pensais pas voir la moindre créature humanoïde, si l’on excepte des dryades, ce qui ne me dérangerait pas. Ainsi, je jouais, les yeux fermés, bercé moi-même par ma musique, plongé dans la rêverie. J’imaginais un monde merveilleux composé de forêt, d’océan et de montagnes qui naissait d’un œuf en feu et dont tout une faune imaginaire sortaient des arbres, de la terre et de l’eau pour peupler ce nouveau monde. Cela dans mon esprit signifiait que ma musique représentant parfaitement l’arrivée du printemps. Même mes petits se balançaient lentement en suivant le son de ma flûte, bercer par ma mélodie.
Melusa- (personnage abandonné)
- Race : Dryade d'eau
Re: Rencontre entre le poignard sanglant et la flûte d'os
Cela faisait maintenant plusieurs mois que Namkelk arpentait la Forêt humide. Il n'avait rencontrer personne dans cette région du monde et il trouvait cela bien étrange. La dernière fois qu'il avait mis son long corps sur terre, il y avait beaucoup d'humain. Il ne comprenait pas. Les mois d'hiver furent dure pour Namkelk, qui n'était pas habitué à ce genre de climat. Il se réfugia dans les marais, plus humide et chaud. Lorsque les terres froides se réchauffèrent, Il essaya de repartir vers la côte pour aller dans une autre ville aquatique des Nagas. Seul problème, Namkelk ne connait pas assez la géographie de la terre pour se repérer. Il se perdit allègrement sans savoir où il allait, il tua quelques animaux pour se nourrir, il rencontra même un pauvre humain perdu dans ce triste paysage. Bien sûr, Namkelk le fit brûler vif puisque sa vie n'a aucune importance.
Un jour, il vit enfin un cours d'eau, un grand fleuve pur et fraîchement sorti de la saison froide. Il se risqua à entrer l'eau, mais il l'a trouvait trop froide pour lui. Il rampa alors près de la berge. Soudainement, il entendit un chant de flûte qui attira son attention. Il s'éloigna un peu de la berge, dans la forêt, pour pouvoir observer qui faisait cette magnifique musique. Sur un rocher, dans le fleuve, une créature semblable à une pieuvre jouait de la flûte fait en os et quatre murènes se balançait sur sa tête. Mystifié, Namkelk sentit qu'il devait s'avancer pour mieux écouter cette musique envoutante. Sorti de sa cachette, la créature le remarqua et elle arrêta de jouer de sa flûte pour se mettre à chanter une mélodie toute aussi harmonieuse et envoutante. Ne pouvant résister, Namkelk se posa devant la pieuvre et l'écouta.
-Mais qui êtes vous magnifique créature? êtes vous venu me chercher?
Sur ses mots un peu mal choisi, Namkelk ne se sentit plus en contrôle, comme si la créature pouvait lui faire faire tout ce qu'elle voulait, mais il ne tenait pas vigueur, vu la magnificence du chant.
Un jour, il vit enfin un cours d'eau, un grand fleuve pur et fraîchement sorti de la saison froide. Il se risqua à entrer l'eau, mais il l'a trouvait trop froide pour lui. Il rampa alors près de la berge. Soudainement, il entendit un chant de flûte qui attira son attention. Il s'éloigna un peu de la berge, dans la forêt, pour pouvoir observer qui faisait cette magnifique musique. Sur un rocher, dans le fleuve, une créature semblable à une pieuvre jouait de la flûte fait en os et quatre murènes se balançait sur sa tête. Mystifié, Namkelk sentit qu'il devait s'avancer pour mieux écouter cette musique envoutante. Sorti de sa cachette, la créature le remarqua et elle arrêta de jouer de sa flûte pour se mettre à chanter une mélodie toute aussi harmonieuse et envoutante. Ne pouvant résister, Namkelk se posa devant la pieuvre et l'écouta.
-Mais qui êtes vous magnifique créature? êtes vous venu me chercher?
Sur ses mots un peu mal choisi, Namkelk ne se sentit plus en contrôle, comme si la créature pouvait lui faire faire tout ce qu'elle voulait, mais il ne tenait pas vigueur, vu la magnificence du chant.
Namkelk- Novice
- Race : Naga
Re: Rencontre entre le poignard sanglant et la flûte d'os
Aucune fin prévu pour ma musique, je voulais la jouer jusqu’au couchant sans m’arrêter. J’aurais pu, mais j’avais envisagé trop vite. Alors que j’entamais un nouveau couplet, mes petits amis s’agitèrent plus nerveusement. Les murènes tournèrent leur petite tête vers une direction en sifflant. Cela voulait dire qu’une présence approchait. Je continuais de jouer en ouvrant délicatement les yeux. Je les tournais dans la même direction que regardaient mes murènes. La vision devint plus claire, quelque chose rampait et s’approcher de moi. Un serpent humanoïde, un naga. Que faisait un naga ici ? On était proche de l’océan, mais dans un lieu perdu… Je connaissais bien ce peuple, j’avais visité déjà plusieurs de leur ville, aussi magnifique les unes que les autres. J’interrompis donc la fête pour passer à quelque chose de plus… Sérieux. Arrêtant de jouer de la flûte, j’allais jouer les sirènes. Faisant mine de ne pas prêter attention à celui qui osait m’importuner, je me mis à chanter. Je voulais le charmer pour le faire baisser sa garde et lui hotter toute agressivité.
Je chantais comme le vent qui dansait sur les vagues lors d’un coucher de soleil. Mon chant pouvait atteindre les âmes des mortels pour les touchers et capturer leur esprit. C’était bien entendu une façon de parler. Cela marchait à chaque fois que j’usais de ce pouvoir. La preuve, le naga venait envoûter par ma prestation. Il approchait comme un insecte volant attirait par la lumière. À chaque fois que j’envoûtais quelqu’un, c’était une personne dangereuse que je noyais. Là, je ne savais pas qui il était. Il devait approcher. Mes murènes se mirent à siffler et menacèrent de leurs dents pointues le naga. Dés qu’il fut proche de deux ou trois mètres, il parla à mon intention :
Namkelk - Mais qui êtes vous magnifique créature? êtes vous venu me chercher?
Ils disaient tous la même chose en me voyant, avant l’inéluctable. Enfin, c’était la même idée dite de façon plus ou moins différente. Je ne répondis pas. Je continuais à chanter, mais tout en le fixant cette foi-ci. Il était totalement en mon pouvoir. Mes petits en rirent à voir ce petit naga se comporter de façon aussi pathétique. Je ne fis aucune pose, je ne repris pas une seule fois, mon souffle, la chanson devait continuer. De ma main, je lui ordonnai de se mettre à terre et de plonger sa tête dans l’eau. Je voulais m’amuser un peu pour savoir à qui j’avais à faire.
Je chantais comme le vent qui dansait sur les vagues lors d’un coucher de soleil. Mon chant pouvait atteindre les âmes des mortels pour les touchers et capturer leur esprit. C’était bien entendu une façon de parler. Cela marchait à chaque fois que j’usais de ce pouvoir. La preuve, le naga venait envoûter par ma prestation. Il approchait comme un insecte volant attirait par la lumière. À chaque fois que j’envoûtais quelqu’un, c’était une personne dangereuse que je noyais. Là, je ne savais pas qui il était. Il devait approcher. Mes murènes se mirent à siffler et menacèrent de leurs dents pointues le naga. Dés qu’il fut proche de deux ou trois mètres, il parla à mon intention :
Namkelk - Mais qui êtes vous magnifique créature? êtes vous venu me chercher?
Ils disaient tous la même chose en me voyant, avant l’inéluctable. Enfin, c’était la même idée dite de façon plus ou moins différente. Je ne répondis pas. Je continuais à chanter, mais tout en le fixant cette foi-ci. Il était totalement en mon pouvoir. Mes petits en rirent à voir ce petit naga se comporter de façon aussi pathétique. Je ne fis aucune pose, je ne repris pas une seule fois, mon souffle, la chanson devait continuer. De ma main, je lui ordonnai de se mettre à terre et de plonger sa tête dans l’eau. Je voulais m’amuser un peu pour savoir à qui j’avais à faire.
Melusa- (personnage abandonné)
- Race : Dryade d'eau
Re: Rencontre entre le poignard sanglant et la flûte d'os
La créature devant Namkelk n'avait pas l'air de se soucier qu'un serpent aussi grand qu'un homme se tient devant elle. Peut-être que le fait qu'il soit envoûté aidait un peu. La créature fit un signe que Namkelk ne comprit pas vraiment. Elle fit un mouvement vers le fleuve, signifiant d'y entrer selon lui. Il fit se que sa nouvelle maîtresse lui demanda et puisqu'elle ne le rapellait pas, il alla chasser le poisson pour l'offrir à la jolie dame. Après 15 minutes de nage autour du rocher, Namkelk avait pêché 3 poissons, dont 2 qu'il mangea vu sa gourmandise. Il sortit de l'eau et offrit le poisson à la créature.
-Magnifique créature, que votre existence soit chanté par tout les peuples, puisse cette offrande vous satisfaire malgré le peu de grâce qu'elle dégage. Je ne suis pas à votre hauteur et veuillez m'en excuser. Je me nomme Namkelk, ancien héritier de Shaslevk et je suis prêt à tout pour votre magnificence.
Namkelk s'inclina devant sa maîtresse et il attendit qu'elle le félicite pour son bon travail.
-Magnifique créature, que votre existence soit chanté par tout les peuples, puisse cette offrande vous satisfaire malgré le peu de grâce qu'elle dégage. Je ne suis pas à votre hauteur et veuillez m'en excuser. Je me nomme Namkelk, ancien héritier de Shaslevk et je suis prêt à tout pour votre magnificence.
Namkelk s'inclina devant sa maîtresse et il attendit qu'elle le félicite pour son bon travail.
Namkelk- Novice
- Race : Naga
Re: Rencontre entre le poignard sanglant et la flûte d'os
Le naga devant moi mit un moment pour exécuter mon ordre. Il plongea donc dans l’eau, mais il fit quelque chose dont je ne m’y attendais pas. Je pensais qu’il resterait ventre à terre devant moi, au lieu de cela, il nagea pour attraper les quelques poissons qui nageaient près de mon rocher. Nous le regardions faire avec curiosité. Je m’arrêtai de chanter, interrompant ainsi mon charme. Mais quand le naga sortit de l’eau, il mangea devant moi deux poissons et m’en offrit un avec une expression d’ahuri. En réalité, mon sort avait mieux marché sur lui que je ne l’avais supposé, il resta complètement sous mon emprise. Mais je devais savoir comment considérer son don. Je n’étais pas contre le fait de chasser et tuer des animaux de la mer pour se nourrir, même eux le faisaient, mais il semblait plus attirer par la gourmandise que par la survie. Mes murènes se mirent à cracher vers lui, le menaçant avec leurs crocs. En plus sur les trois, il s’en était gardé deux comme un vrai radin.
Namkelk - Magnifique créature, que votre existence soit chanté par tout les peuples, puisse cette offrande vous satisfaire malgré le peu de grâce qu'elle dégage. Je ne suis pas à votre hauteur et veuillez m'en excuser. Je me nomme Namkelk, ancien héritier de Shaslevk et je suis prêt à tout pour votre magnificence.
Il me parlait tel un conteur qui allait chanter une histoire épic, usant de charme et de manière. Ses mots étaient beaucoup moins tournés vers le charnel au contraire de tous ceux qui durent tomber sous mon chant par le passé. Toutefois, il était utilisais bien la séduction en jouant les vaniteux. Il se présenta comme un ancien héritier, donc une personne ayant côtoyé les hautes sphères d’une société mortelle. Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas vu quelqu’un se vantant d’être une personne importante. En tout cas, il avait bien dit être un ancien. Un exilé sûrement, une personne dangereuse pour les siens. Connaissant les nagas, il fallait être coupable d’un crime grave pour être banni, un vrai danger. S’il était pour les siens, il devait l’être pour père. Je devais le mettre à l’épreuve. Je calmai mes petits, leur sifflant doucement. Je devais mettre ce Namkelk à l’épreuve pour savoir à quoi m’attendre et décider si oui ou non, il devrait être anéanti.
Melusa – Naga des profondeurs. Tu viens jusqu’à moi à travers ce fleuve. De tes mains, tu as attrapé trois bêtes des eaux et tu désires me faire offrande. Ancien héritier de Shaslevk, tu veux avoir de mes grâces, mais tu ne m’offres qu’un tiers de ce que tu as obtenu. Dois-je m’en offusquer ou bien l’accepter ? Avais-tu vraiment besoin de faire cela ? Ton exil est-il la raison pour que tu sois loin de père bleu et des frères ?
Namkelk - Magnifique créature, que votre existence soit chanté par tout les peuples, puisse cette offrande vous satisfaire malgré le peu de grâce qu'elle dégage. Je ne suis pas à votre hauteur et veuillez m'en excuser. Je me nomme Namkelk, ancien héritier de Shaslevk et je suis prêt à tout pour votre magnificence.
Il me parlait tel un conteur qui allait chanter une histoire épic, usant de charme et de manière. Ses mots étaient beaucoup moins tournés vers le charnel au contraire de tous ceux qui durent tomber sous mon chant par le passé. Toutefois, il était utilisais bien la séduction en jouant les vaniteux. Il se présenta comme un ancien héritier, donc une personne ayant côtoyé les hautes sphères d’une société mortelle. Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas vu quelqu’un se vantant d’être une personne importante. En tout cas, il avait bien dit être un ancien. Un exilé sûrement, une personne dangereuse pour les siens. Connaissant les nagas, il fallait être coupable d’un crime grave pour être banni, un vrai danger. S’il était pour les siens, il devait l’être pour père. Je devais le mettre à l’épreuve. Je calmai mes petits, leur sifflant doucement. Je devais mettre ce Namkelk à l’épreuve pour savoir à quoi m’attendre et décider si oui ou non, il devrait être anéanti.
Melusa – Naga des profondeurs. Tu viens jusqu’à moi à travers ce fleuve. De tes mains, tu as attrapé trois bêtes des eaux et tu désires me faire offrande. Ancien héritier de Shaslevk, tu veux avoir de mes grâces, mais tu ne m’offres qu’un tiers de ce que tu as obtenu. Dois-je m’en offusquer ou bien l’accepter ? Avais-tu vraiment besoin de faire cela ? Ton exil est-il la raison pour que tu sois loin de père bleu et des frères ?
Melusa- (personnage abandonné)
- Race : Dryade d'eau
Re: Rencontre entre le poignard sanglant et la flûte d'os
La créature arrêta de chanter pour enfin adresser quelques mots à Namkelk. Sa voix était aussi mélodieuse que ses chants. Les effets de l'envoutement magique commencèrent à disparaître, mais Namkelk était simplement fasciné par la beauté de cette créature venu tout droit du fond des mers.
– Naga des profondeurs. Tu viens jusqu’à moi à travers ce fleuve. De tes mains, tu as attrapé trois bêtes des eaux et tu désires me faire offrande. Ancien héritier de Shaslevk, tu veux avoir de mes grâces, mais tu ne m’offres qu’un tiers de ce que tu as obtenu. Dois-je m’en offusquer ou bien l’accepter ? Avais-tu vraiment besoin de faire cela ? Ton exil est-il la raison pour que tu sois loin de père bleu et des frères ?
Namkelk se releva légèrement, un peu étonné de la question de la créature devant lui. Les 4 murènes sur sa tête le dévisageaient autant qu'il les dévisageait. Il recula un peu pour ne pas se faire prendre au dépourvu si elle décidait de l'attaquer. Namkelk reprit sa stature plus imposante pour avoir l'air moins vulnérable.
- Créature marine, cette offrande est un cadeau de gratitude pour votre magnifique mélodie, faites en se qui vous plait. J'ai besoin de me nourrir comme toutes les créatures sur cette terre, c'est pour cela que je les chasse. Je suis en effet en exil car mon peuple m'a chassé de mon patelin sans aucune raison. Il ne mérite pas que l'on parle d'eux. Je cherche seulement à refaire mon existence dans une autre contrée qui serait accueillante, mais vous, qui êtes vous et que faites vous ici seule à jouer de votre instrument sans aucune surveillance?
Namkelk la regardait droit dans les yeux pour qu'elle le prenne au sérieux, mais dans sa tête, il était déjà caché dans la forêt à tirer des rayons incandescents partout.
– Naga des profondeurs. Tu viens jusqu’à moi à travers ce fleuve. De tes mains, tu as attrapé trois bêtes des eaux et tu désires me faire offrande. Ancien héritier de Shaslevk, tu veux avoir de mes grâces, mais tu ne m’offres qu’un tiers de ce que tu as obtenu. Dois-je m’en offusquer ou bien l’accepter ? Avais-tu vraiment besoin de faire cela ? Ton exil est-il la raison pour que tu sois loin de père bleu et des frères ?
Namkelk se releva légèrement, un peu étonné de la question de la créature devant lui. Les 4 murènes sur sa tête le dévisageaient autant qu'il les dévisageait. Il recula un peu pour ne pas se faire prendre au dépourvu si elle décidait de l'attaquer. Namkelk reprit sa stature plus imposante pour avoir l'air moins vulnérable.
- Créature marine, cette offrande est un cadeau de gratitude pour votre magnifique mélodie, faites en se qui vous plait. J'ai besoin de me nourrir comme toutes les créatures sur cette terre, c'est pour cela que je les chasse. Je suis en effet en exil car mon peuple m'a chassé de mon patelin sans aucune raison. Il ne mérite pas que l'on parle d'eux. Je cherche seulement à refaire mon existence dans une autre contrée qui serait accueillante, mais vous, qui êtes vous et que faites vous ici seule à jouer de votre instrument sans aucune surveillance?
Namkelk la regardait droit dans les yeux pour qu'elle le prenne au sérieux, mais dans sa tête, il était déjà caché dans la forêt à tirer des rayons incandescents partout.
Namkelk- Novice
- Race : Naga
Re: Rencontre entre le poignard sanglant et la flûte d'os
Le naga changea de posture, en prenant une avec plus d’assurance. Il tenait son torse droit, gonflant la poitrine. Il osait me faire front et jouer les autoritaires sur moi avec sa tenue. N’avait-il pas dit qu’il était issu d’une famille puissante ? Il voulait jouer de cela pour m’impressionner et me dominer. Cela pouvait être une technique de séduction, mais si tel était le cas, qu’il sache que cela ne marcherait pas avec moi. Il n’avait aucune raison de se croire supérieur sur moi, et je le lui ferais regretter.
Namkelk - Créature marine, cette offrande est un cadeau de gratitude pour votre magnifique mélodie, faites en se qui vous plait. J'ai besoin de me nourrir comme toutes les créatures sur cette terre, c'est pour cela que je les chasse. Je suis en effet en exil car mon peuple m'a chassé de mon patelin sans aucune raison. Il ne mérite pas que l'on parle d'eux. Je cherche seulement à refaire mon existence dans une autre contrée qui serait accueillante, mais vous, qui êtes vous et que faites vous ici seule à jouer de votre instrument sans aucune surveillance?
Visiblement, il était sérieux dans son cadeau. Il avait faim, je voulais bien l’admettre, mais ne donner qu’un tiers à une dame manqué de tact et de chevalerie, si l’on peut dire. Mais que sont peuple l’avait exilé sans raison… Me prenait-il en plus pour une idiote ?! Les nagas ne chassaient pas les leurs pour rien, ils n’avaient pas idée de bannir un des leurs parce qu’ils ne savaient pas quoi faire, non, ils punissaient pour faute grave. J’en étais convaincu, il ne devait être un enfant de cœur. Chasser, il voulait refaire sa vie sur terre. De plus, il voulait savoir ce que je fessais ici sans protection. Me pensait-il si faible et fragile, ne pouvant survivre toute seule ? Une mentalité de mâle bien répandu chez beaucoup d’espèce dites intelligentes. J’allais donc lui prouver le contraire et le remettre à sa place. Et si jamais il venait à attaquer, j’aurais été la dernière personne qu’il verra de son vivant.
Melusa – Exilé de Shaslevk, tu as eu faim, soit je le consens, mais tu devras apprendre la galanterie. Naga perdu de ces terres, tu aires ici sans savoir où aller, sans repaire, tu oses me demander qui je suis et pourquoi ne suis-je pas protégé ? Saches opportun qui a perdu la confiance de ses paires, je suis la gardienne des océans et des mers. Je suis là où mon père me dit aller, là où s’étend son domaine allant de l’océan à la rivière. Une protection ? Je suis la protection, j’ai vaincu les ennemis de notre monde, j’ai fait sombrer des flottes entières, des armées périrent pour les impudences. J’ai sauvé des malheureux et punis des misérables depuis des siècles. Oh naga perdu, je n’ai besoin de protection.
Je le regardai froidement, lui lançant des éclairs parles yeux. Mes petits trésors se mirent à s’agiter et à cracher contre le naga. Pensait-il encore qu’il avait raison de montrer supérieur ? Si jamais il persistait, ce serait un affront direct à l’océan et comme à chaque fois, je devrais agir en conséquence. Déjà que j’étais persuadé qu’il me mentait, je n’allais pas jouer les naïves. Chacune de ses paroles et actions seront jugées. Tout dépendrait de ce qu’il allait dire à présent.
Namkelk - Créature marine, cette offrande est un cadeau de gratitude pour votre magnifique mélodie, faites en se qui vous plait. J'ai besoin de me nourrir comme toutes les créatures sur cette terre, c'est pour cela que je les chasse. Je suis en effet en exil car mon peuple m'a chassé de mon patelin sans aucune raison. Il ne mérite pas que l'on parle d'eux. Je cherche seulement à refaire mon existence dans une autre contrée qui serait accueillante, mais vous, qui êtes vous et que faites vous ici seule à jouer de votre instrument sans aucune surveillance?
Visiblement, il était sérieux dans son cadeau. Il avait faim, je voulais bien l’admettre, mais ne donner qu’un tiers à une dame manqué de tact et de chevalerie, si l’on peut dire. Mais que sont peuple l’avait exilé sans raison… Me prenait-il en plus pour une idiote ?! Les nagas ne chassaient pas les leurs pour rien, ils n’avaient pas idée de bannir un des leurs parce qu’ils ne savaient pas quoi faire, non, ils punissaient pour faute grave. J’en étais convaincu, il ne devait être un enfant de cœur. Chasser, il voulait refaire sa vie sur terre. De plus, il voulait savoir ce que je fessais ici sans protection. Me pensait-il si faible et fragile, ne pouvant survivre toute seule ? Une mentalité de mâle bien répandu chez beaucoup d’espèce dites intelligentes. J’allais donc lui prouver le contraire et le remettre à sa place. Et si jamais il venait à attaquer, j’aurais été la dernière personne qu’il verra de son vivant.
Melusa – Exilé de Shaslevk, tu as eu faim, soit je le consens, mais tu devras apprendre la galanterie. Naga perdu de ces terres, tu aires ici sans savoir où aller, sans repaire, tu oses me demander qui je suis et pourquoi ne suis-je pas protégé ? Saches opportun qui a perdu la confiance de ses paires, je suis la gardienne des océans et des mers. Je suis là où mon père me dit aller, là où s’étend son domaine allant de l’océan à la rivière. Une protection ? Je suis la protection, j’ai vaincu les ennemis de notre monde, j’ai fait sombrer des flottes entières, des armées périrent pour les impudences. J’ai sauvé des malheureux et punis des misérables depuis des siècles. Oh naga perdu, je n’ai besoin de protection.
Je le regardai froidement, lui lançant des éclairs parles yeux. Mes petits trésors se mirent à s’agiter et à cracher contre le naga. Pensait-il encore qu’il avait raison de montrer supérieur ? Si jamais il persistait, ce serait un affront direct à l’océan et comme à chaque fois, je devrais agir en conséquence. Déjà que j’étais persuadé qu’il me mentait, je n’allais pas jouer les naïves. Chacune de ses paroles et actions seront jugées. Tout dépendrait de ce qu’il allait dire à présent.
Melusa- (personnage abandonné)
- Race : Dryade d'eau
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