A l'aide de son prochain
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A l'aide de son prochain
Le résultat de ma mission pour le temple perdu fut des moins… Inattendu. Si je me laissais aller à mes premiers sentiments, j’aurais dit que cela n’était qu’une déception. Aussitôt revenue à Ganavarelles, j’avais réalisé de suite un rapport détaillé à mes coreligionnaires ainsi qu’à nos supérieurs. La réponse ne s’était pas fait attendre. Au tout début, j’avais cru, comme on m’en avait laissé entendre, que je partirais aidé à vaincre Morkas. Au lieu de cela, on préféra m’en éloigner. Ils ont opté pour les paladins. Ils voulaient envoyer leurs guerriers de l’ordre pour s’en charger. Avec un peu de recul, cette décision était compréhensible. Je n’étais pas encore qu’une novice si l’on peut dire, et Morkas était puissant, il avait en plus une armée de fidèle et de morts-vivants à ses ordres. Des prêtres plus expérimentés et de puissants paladins étaient plus efficace.
Je ressue par contre de nouvelles instructions. On me demanda de quitter Port Barbe pour rejoindre un moment Telbara avant d’avoir la permission de retourner chez-moi. C’était à voir comme une pause bien méritée après ces aventures où nous avions faillit mourir plus d’une fois. Telbara était la ville la plus accueillante des humains. Je ne risquais pas d’être victime d’agression xénophobe, du moins pas trop, de quoi facilité mon séjour avant de revoir ma tendre cité aquatique.
J’arrivais en ville au beau milieu de la nuit. J’avais bénéficié cette fois-ci de deux gardes pour m’escorter sans encombre. J’aurais voulu rejoindre le temple de Kaluni bien entendu, hélas, il n’était pas ouvert, personne pour nous accueillir. Les prêtres présentèrent leurs excuses, assurant que c’était exceptionnel, et ils m’ont emmené à celui de Théno. Aucun problème, à l’exception de Méphiti et de Silux, je vénérais aussi les autres dieux de notre panthéon. Ils sont enfants et divin de notre mère, ils méritent autant de respect. Je rendis donc dans le temple de Théno, grand et majestueux qui faisait penser à un petit palais. J’y ressue une chambre et tout ce que j’avais besoin comme nourriture et livre par exemple. Mais avant de me coucher, je voulus prier un peu sur l’autel du sanctuaire pour remercier les divins de m’avoir protégé jusque-là.
Je ressue par contre de nouvelles instructions. On me demanda de quitter Port Barbe pour rejoindre un moment Telbara avant d’avoir la permission de retourner chez-moi. C’était à voir comme une pause bien méritée après ces aventures où nous avions faillit mourir plus d’une fois. Telbara était la ville la plus accueillante des humains. Je ne risquais pas d’être victime d’agression xénophobe, du moins pas trop, de quoi facilité mon séjour avant de revoir ma tendre cité aquatique.
J’arrivais en ville au beau milieu de la nuit. J’avais bénéficié cette fois-ci de deux gardes pour m’escorter sans encombre. J’aurais voulu rejoindre le temple de Kaluni bien entendu, hélas, il n’était pas ouvert, personne pour nous accueillir. Les prêtres présentèrent leurs excuses, assurant que c’était exceptionnel, et ils m’ont emmené à celui de Théno. Aucun problème, à l’exception de Méphiti et de Silux, je vénérais aussi les autres dieux de notre panthéon. Ils sont enfants et divin de notre mère, ils méritent autant de respect. Je rendis donc dans le temple de Théno, grand et majestueux qui faisait penser à un petit palais. J’y ressue une chambre et tout ce que j’avais besoin comme nourriture et livre par exemple. Mais avant de me coucher, je voulus prier un peu sur l’autel du sanctuaire pour remercier les divins de m’avoir protégé jusque-là.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A l'aide de son prochain
Enfin j'arrivais à Telbara! Après ce long voyage d'une cinquantaine de jours, je découvris une ville majestueuse et magnifique.
J'en restais ébahi, Calyniel m'avait parlé de cette ville qui était la plus grande du royaume. Elle n'avait pas menti, cette ville resplendissait! Malheureusement, comme je m'y attendais, qui dit grande ville, dit également beaucoup d'habitant. En entrant dans l'enceinte de la ville, je me sentais comme étouffé, à l'étroit, Kulir se dépêcha de grimper sur moi, manquant au passage de dégringoler, puis se faufila par l'entrebâillement de mon sac, pour s'y cacher. Il tremblait, je le sentais car le sac vibrait. Je le caressai afin de le rassurer tout en lui chuchotant de se calmer, de ne pas s'en faire.
En réalité, je me parlais à moi-même, j'avais terriblement peur, la présence de tant de personnes autour de moi m'angoissais. Il fallait que je prenne de l'altitude, afin d'être tranquille. Je grimpai dans un arbre puis,je me mis à observer la ville de la branche où j'étais perché. Je constatai que la ville n'était pas vraiment ce que je m'étais imaginé, car il n'y a pas que les humains à y vivre, mais également les autres races comme les tigrains ou encore les minautores que j'avais déjà croisés auparavant lors de mon entrainement avec Calyniel.
La cité multiculturel, haute en couleur, regorgeait de marchand. Des gens commerçait dans tout les coins, de tout et n'importe quoi. La place était très grande et impressionnante, avec au milieu une fontaine, j'arrivais à l'apercevoir par-dessus le flot vivant qui tournoyait et s'étendait sur toute la place. J'arrivais également à voir au loin des bâtiments gigantesques qui surgissaient derrières les habitations. Cela devait être le point de rendez-vous. Calyniel m'avait dit que son frère avait intégré la guilde des guerriers de Telbara. Vu la taille des constructions, cela ne pouvait être que des bâtisses importantes tel que des lieux de prières où encore des habitations pour les plus nobles, un peu comme dans la forêt finalement, sauf qu'ici, les gens ne vivent pas dans les arbres mais des maisons.
La nuit tomba laissant le clair de lune illuminé la ville. Les gens étaient rentrés chez eux, sauf quelques un qui restaient se promenaient dans la ville, où qui se dirigeaient vers les tavernes pour trinquer autour d'une table avec de nouveau compagnon à qui raconter des histoires. Je descendis de mon arbre pour me dégourdir les jambes, Kulir sorti du sac, où il avait dormi toute l'après midi, pour respirer à l'air libre. Je décidais de me balader dans les ruelles de la ville endormie et découvrir paisiblement, sans craindre le brouhaha de la foule, ce qu'abritait la cité.
Et toute la nuit nous nous sommes baladé dans les ruelles de la ville aux mille et une couleur. j'ai pus découvrir et explorer une bonne partie de la basse ville avec ses tavernes, ses petites places, ses rues marchandes. Je continuais mon ascension jusqu'à l'entré d'un bâtiment gigantesque et imposant. Des gardes faisaient la ronde autour de l'imposante bâtisse. Je devinais qu'il s'agissait certainement d'une construction importante, je ne m'attardais donc pas longtemps. Croiser quelqu'un de louche devant un tel édifice, cela pourrai paraître suspect. Je m'assis donc dans un coin, Kulir dormais sur mes genoux. Je le caressais tout en regardant les étoiles dans le ciel qui illuminaient la ville en attendant le petit matin.
J'en restais ébahi, Calyniel m'avait parlé de cette ville qui était la plus grande du royaume. Elle n'avait pas menti, cette ville resplendissait! Malheureusement, comme je m'y attendais, qui dit grande ville, dit également beaucoup d'habitant. En entrant dans l'enceinte de la ville, je me sentais comme étouffé, à l'étroit, Kulir se dépêcha de grimper sur moi, manquant au passage de dégringoler, puis se faufila par l'entrebâillement de mon sac, pour s'y cacher. Il tremblait, je le sentais car le sac vibrait. Je le caressai afin de le rassurer tout en lui chuchotant de se calmer, de ne pas s'en faire.
En réalité, je me parlais à moi-même, j'avais terriblement peur, la présence de tant de personnes autour de moi m'angoissais. Il fallait que je prenne de l'altitude, afin d'être tranquille. Je grimpai dans un arbre puis,je me mis à observer la ville de la branche où j'étais perché. Je constatai que la ville n'était pas vraiment ce que je m'étais imaginé, car il n'y a pas que les humains à y vivre, mais également les autres races comme les tigrains ou encore les minautores que j'avais déjà croisés auparavant lors de mon entrainement avec Calyniel.
La cité multiculturel, haute en couleur, regorgeait de marchand. Des gens commerçait dans tout les coins, de tout et n'importe quoi. La place était très grande et impressionnante, avec au milieu une fontaine, j'arrivais à l'apercevoir par-dessus le flot vivant qui tournoyait et s'étendait sur toute la place. J'arrivais également à voir au loin des bâtiments gigantesques qui surgissaient derrières les habitations. Cela devait être le point de rendez-vous. Calyniel m'avait dit que son frère avait intégré la guilde des guerriers de Telbara. Vu la taille des constructions, cela ne pouvait être que des bâtisses importantes tel que des lieux de prières où encore des habitations pour les plus nobles, un peu comme dans la forêt finalement, sauf qu'ici, les gens ne vivent pas dans les arbres mais des maisons.
La nuit tomba laissant le clair de lune illuminé la ville. Les gens étaient rentrés chez eux, sauf quelques un qui restaient se promenaient dans la ville, où qui se dirigeaient vers les tavernes pour trinquer autour d'une table avec de nouveau compagnon à qui raconter des histoires. Je descendis de mon arbre pour me dégourdir les jambes, Kulir sorti du sac, où il avait dormi toute l'après midi, pour respirer à l'air libre. Je décidais de me balader dans les ruelles de la ville endormie et découvrir paisiblement, sans craindre le brouhaha de la foule, ce qu'abritait la cité.
Et toute la nuit nous nous sommes baladé dans les ruelles de la ville aux mille et une couleur. j'ai pus découvrir et explorer une bonne partie de la basse ville avec ses tavernes, ses petites places, ses rues marchandes. Je continuais mon ascension jusqu'à l'entré d'un bâtiment gigantesque et imposant. Des gardes faisaient la ronde autour de l'imposante bâtisse. Je devinais qu'il s'agissait certainement d'une construction importante, je ne m'attardais donc pas longtemps. Croiser quelqu'un de louche devant un tel édifice, cela pourrai paraître suspect. Je m'assis donc dans un coin, Kulir dormais sur mes genoux. Je le caressais tout en regardant les étoiles dans le ciel qui illuminaient la ville en attendant le petit matin.
Garràn- Expert
- Race : Dryade de feu
Re: A l'aide de son prochain
La nuit fut douce et agréable. J’avais prié une bonne partie de ce temps, mais j’ai réussi à dormir après et à me lever au petit jour. Je me sentais si bien après avoir dormi dans un lit si confortable, doux et chaud et avoir eut droit à un repas délicieux, fait de gâteaux et de miel. Je m’étais accoutumé à une vie plus simple depuis des semaines, des mois à Ganavarelles et je sus m’en contenter. Surtout si un orc devait partager avec vous votre repas pendants des jours de marche. Après mettre restaurer, je venais en aide aux diverses tâches du temple pendant toute la matinée comme s’occuper des cierges, les prières du matin, apporter des soins à certains, veuillez à la propreté des lieux… Des tâches qui pouvaient prendre toute votre journée. On m’annonça que je pouvais rejoindre le temple de Kaluni. J’aurais bien voulu, mais je commençais à prendre mes marques ici, je voulais rester un peu avant d’aller dans un autre temple. Les autres prêtres et prêtresse en furent heureux.
À lors que le soleil était bien haut dans le ciel, le prêtre en chef du temple me proposa un répit pour aller visiter Telbara. Je voulus bien. Je n’avais vu la ville que peu de fois, trois fois avant et seulement dans des temples, je n’avais jamais vraiment visité ce petit joyau. De plus, la vue de voir cette cité aussi animée était plaisante. Les différentes races qui se mélanger et qui ne s’insultait pas, ou pas trop donnait une image de sécurité. Ainsi, je m’engouffrai dans la ville. Je regardais au tour de moi les différentes activités, les marchands, les artisans en tous genre, les musiciens de rues… La cité était belle ainsi, si on ne comptait pas les odeurs. Les parfums et la nourriture pouvaient ravir les narines et la langue, mais il y avait autre chose de plus nauséabonde et qui se trouvait dans toutes les villes, sauf chez nous. Inutile d’expliquer de quoi il s’agissait. De plus, tous ces déplacements créent un ouragan de vibrations qui pouvait faire perdre un peu la tête.
Je n’ai vue que deux nagas pour l’instant, il était vrai que sur terre, nous étions rare. L’un d’eux portait une étrange tunique avec des manches colorée, c’était amusant. Je m’arrêtai devant divers stands qui proposaient des produits aussi exotiques les un que les autres sur une grande place avec une statue en bronze au centre. Je regardais les marchandises à vendre avec de l’amusement. On y trouvait de la nourriture, des armes, des tapis, des plantes, des objets décoratifs… J’en passe. Je m’arrêtai devant un marchand alchimiste. Ce dernier avait posé ses potions sur une peau de bête au lieu sur un présentoir en bois.
NIYOS – Aller messieurs dames ! Approchez ! Venez voir des potions magnifiques ! Presque magique proposer par votre serviteur Niyos !
Cria le marchand alchimiste.
NIYOS – Tenez ! Une douleur insoutenable ? Mal de tête ou musculaire ? J’ai la potion pour vous ! Cette fiole peu vous soulager rapidement, sans subir les atroces douleurs jusqu’à rétablissement. Et seulement pour trente pièces de cuivre, une affaire. Vous ! La femme serpent ! Vous cherchez l’amour ? J’ai un philtre d’amour pour vous, faite la boire à l’élu de votre cœur et constater les pouvoirs de l’amour !
EURYSSA – Je sssuis une Naga ! Je vous en pris, aillait un peu de ressspect s’il vous plait.
Non mais cela n’allait pas recommencer. J’avais peur d’avoir à faire à un nouveau Bremig.
NIYOS – Désoler la naga. Alors ? Intéresser par mon philtre ? Pas qu'une belle et séduisante femme serpent en ai vraiment besoin, mais, mieux vaut mettre toute ses chances de son côté.
Je ne savais pas si je devais être offensé ou flatter. Il me traiter de serpent, mais il a dit « désoler » et ma dis être belle. À entendre son accent, il devait venir de Tacomnal. Il devait avoir eut une éducation xénophobe et il cherche peut-être asile ici en tentant de changer. Je ne devais donc ne pas m’emporter contre lui et pour cela, je lui fis un sourire chaleureux.
EURYSSA – Non, déssssolé. Je suis déjà marier à la piété. Et ssssela me convient très bien. Merci tout de même.
NIYOS – Et bien la piété a de la chance d’être avec une aussi jolie serpente.
Il me prit la main et la baisa. J’en rougis.
NIYOS – Comment va le corbeau ?
EURYSSA – Aucune idée, je n’ai pas d’oiseau.
NIYOS – Tant pis. Bonne journée à vous.
Je m’éloignai donc, un peu chamboulé, ce Tacoman était des plus original. À la fois galant et provocant. Je préférais poursuivre un peu ma visite pour me changer les idées. J’avais vu tant de choses magnifiques, une longue liste, mais j’en fus fatigué et les odeurs me faisaient tourner la tête. Il faudrait organiser un nettoyage de la ville, ce serait bien. Je rentrais donc au temple de Théno un peu tard. On m’y offrait un bon repas avec mes coreligionnaires avant d’aller aider les malades et de faire mes prières sur l’autel comme hier. Pour l’instant, tout indiquer que mon séjour se passerait sans difficulté.
À lors que le soleil était bien haut dans le ciel, le prêtre en chef du temple me proposa un répit pour aller visiter Telbara. Je voulus bien. Je n’avais vu la ville que peu de fois, trois fois avant et seulement dans des temples, je n’avais jamais vraiment visité ce petit joyau. De plus, la vue de voir cette cité aussi animée était plaisante. Les différentes races qui se mélanger et qui ne s’insultait pas, ou pas trop donnait une image de sécurité. Ainsi, je m’engouffrai dans la ville. Je regardais au tour de moi les différentes activités, les marchands, les artisans en tous genre, les musiciens de rues… La cité était belle ainsi, si on ne comptait pas les odeurs. Les parfums et la nourriture pouvaient ravir les narines et la langue, mais il y avait autre chose de plus nauséabonde et qui se trouvait dans toutes les villes, sauf chez nous. Inutile d’expliquer de quoi il s’agissait. De plus, tous ces déplacements créent un ouragan de vibrations qui pouvait faire perdre un peu la tête.
Je n’ai vue que deux nagas pour l’instant, il était vrai que sur terre, nous étions rare. L’un d’eux portait une étrange tunique avec des manches colorée, c’était amusant. Je m’arrêtai devant divers stands qui proposaient des produits aussi exotiques les un que les autres sur une grande place avec une statue en bronze au centre. Je regardais les marchandises à vendre avec de l’amusement. On y trouvait de la nourriture, des armes, des tapis, des plantes, des objets décoratifs… J’en passe. Je m’arrêtai devant un marchand alchimiste. Ce dernier avait posé ses potions sur une peau de bête au lieu sur un présentoir en bois.
NIYOS – Aller messieurs dames ! Approchez ! Venez voir des potions magnifiques ! Presque magique proposer par votre serviteur Niyos !
Cria le marchand alchimiste.
NIYOS – Tenez ! Une douleur insoutenable ? Mal de tête ou musculaire ? J’ai la potion pour vous ! Cette fiole peu vous soulager rapidement, sans subir les atroces douleurs jusqu’à rétablissement. Et seulement pour trente pièces de cuivre, une affaire. Vous ! La femme serpent ! Vous cherchez l’amour ? J’ai un philtre d’amour pour vous, faite la boire à l’élu de votre cœur et constater les pouvoirs de l’amour !
EURYSSA – Je sssuis une Naga ! Je vous en pris, aillait un peu de ressspect s’il vous plait.
Non mais cela n’allait pas recommencer. J’avais peur d’avoir à faire à un nouveau Bremig.
NIYOS – Désoler la naga. Alors ? Intéresser par mon philtre ? Pas qu'une belle et séduisante femme serpent en ai vraiment besoin, mais, mieux vaut mettre toute ses chances de son côté.
Je ne savais pas si je devais être offensé ou flatter. Il me traiter de serpent, mais il a dit « désoler » et ma dis être belle. À entendre son accent, il devait venir de Tacomnal. Il devait avoir eut une éducation xénophobe et il cherche peut-être asile ici en tentant de changer. Je ne devais donc ne pas m’emporter contre lui et pour cela, je lui fis un sourire chaleureux.
EURYSSA – Non, déssssolé. Je suis déjà marier à la piété. Et ssssela me convient très bien. Merci tout de même.
NIYOS – Et bien la piété a de la chance d’être avec une aussi jolie serpente.
Il me prit la main et la baisa. J’en rougis.
NIYOS – Comment va le corbeau ?
EURYSSA – Aucune idée, je n’ai pas d’oiseau.
NIYOS – Tant pis. Bonne journée à vous.
Je m’éloignai donc, un peu chamboulé, ce Tacoman était des plus original. À la fois galant et provocant. Je préférais poursuivre un peu ma visite pour me changer les idées. J’avais vu tant de choses magnifiques, une longue liste, mais j’en fus fatigué et les odeurs me faisaient tourner la tête. Il faudrait organiser un nettoyage de la ville, ce serait bien. Je rentrais donc au temple de Théno un peu tard. On m’y offrait un bon repas avec mes coreligionnaires avant d’aller aider les malades et de faire mes prières sur l’autel comme hier. Pour l’instant, tout indiquer que mon séjour se passerait sans difficulté.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A l'aide de son prochain
La lumière du soleil éblouissait la ville et une nouvelle journée débutais. La foule avait repris sa place et s'était installée un peu partout dans la cité de Telbara. J'attendais maintenant dans le hall de la guilde des guerriers. J'avais demandé à un garde s'il connaissait le nom de Eärorfilas, ce nom l'avait interpellé et il me demanda d'attendre ici et il me plantait là au milieu de tout ces guerriers, protecteurs de la ville de Telbara et de son territoire. Je notais qu'il y avait un énorme panneau d'affichage où de multiple feuille étaient placardées, en me rapprochant, ces feuilles ressemblaient à des contrats. Sans doute des missions que les gens de la ville et des villages voisins placardaient. Cette guilde m'intriguait, elle protège la vile, assure la sûreté de ses citoyens, mais elle demande une récompense en retour. C'est comme ça qu'ils aident la population, en leur soutirant de l'argent pour les aider. Mon petit séjour chez les orques m'avait appris une chose, une fois que le travail est terminé, une fois que l'on a aidé quelqu'un, la meilleure chose à faire est de se taire et d'aller voir si on ne nous demande pas un peu plus loin.
Kulir était retourné dans sa cachette, mais il ne tremblait plus. Il observait tout ce qu'ils se passaient autour de lui. Je continuais à regarder les différents contrats que proposaient les affiches, oubliant toute la horde de guerrier se jetant sur les contrats les plus alléchants, ayant les meilleurs récompense. Kulir sortit de la sacoche et se dirigeait vers la sortie, comme contrôlé par une force mystique. Je n'avais pas remarqué qu'il s'était sauvé de sa cachette, je continuais donc à feuilleter les pages de mission qui s'étalaient sur toute la longueur du panneau. Je sentis une main se poser sur mon épaule qui me tira d'un coup sec vers l'arrière me projetant au sol. Un orques! Il y avait également des orques à Telbara! Non, celui-ci avait l'air différent des autres orques, il y avait certain trait qui se rapprochait de l'homme. Ses yeux étaient d'un bleu clair et sa chevelure plutôt griset. Mais le caractère semblait être identique. Orques où pas, il avait sale caractère.
Zirak : Bouge de là, tu es sur mon chemin petit.
Je sentais quelque chose bouillir en moi, il allait reprendre le dessus sur moi. Je ne devais pas le laisser prendre le contrôle de mon corps, cela il en était or de question, pas ici, pas maintenant. Je déclencherai une émeute si je me transformais ici, mais le demi-orque aurait ce qu'il méritait. Je me relevais doucement, le regardai intensément, puis m'en allait, frustré. J'avais réussi à me maîtriser. C'était moins une, un peu plus et je me retrouvais avec toute la guilde sur le dos. Il m'aurait été impossible de rencontrer Eärorfilas. Je ne m'étais pas rendu compte sur le coup, mais en tombant, je m'étais assis sur mon sac. Kulir avait dû avoir mal, pire je l'avais peut être écrasé et transformé en pâte à pain roulé! J'ouvris le sac rapidement pour m'assurer que tout allait bien. Mais en ouvrant le sac, je constatai avec effroi, non pas que Kulir était plat comme un Calips écrasé, mais qu'il n'était plus là! Je regardais autour de moi, en alerte. Je ne voulais pas le perdre ici. Si quelqu'un le découvrait, il servirait pour des potions pour les alchimistes qui viennent nombreux pour vendre leurs produits, ou encore pour les cuisiniers qui arrivent à faire à manger avec tout et n'importe quoi. Cette vision m'effrayait. Je me précipitais vers la sortie de la guilde et me mis à crier son nom de toutes mes forces, partout dans la ville, les gens me regardaient courir et hurler à vous rendre sourd. Je détestais ça, être regardé par tout le monde au milieu du peuple. Mais là, c'était la vie de mon compagnon de route qui était en jeu.
J'arrivais dans la partie basse de la ville, il n'avait pas dû aussi loin, ce serait étonnant d'ailleurs, il passe la majeure partie du temps de voyage allongé dans ma sacoche. En continuant vers la place marchande, j'entendis un cri strident. Ce son m'était familier, je me dépêchais, en bousculant au passage un minautore qui regardait l'étalage d'un marchand d'arme. Je m'excusais brièvement puis continuai vers la source du crie. C'était bien Kulir, il était debout sur une table, par terre, un jeune homme gisais plus aucun signe de vie émanait de lui. Je regardais autour de moi espérant croiser le regard de l'agresseur. Un homme avait croisé mon regard, il commençait à s'enfuir vers la sortie de la ville. Je me relevais et m'apprêtais à le poursuivre, mais Kulir couinai derrière moi. Il était auprès de l'homme inanimé, je me baissais pour sentir son souffle. Il respirait encore, il n'avait pas encore passé la grande porte. Je criais en continu autour de moi.
Garràn: S'il vous plaît, aidez-le, cet homme ai mourant, son souffle est faible! Il faut le soigner! N'y a t-il point de médecin ici, à Telbara? Ni même de prêtre? S'il vous plaît aidez-le!!
Je m'inquiétais pour son lui, un inconnu. Je ne le connaissais pas, mais le fait de voir quelqu'un en détresse m'oblige à venir en aide. Et personnes ici, dans l'assemblée, ne bougeaient le petit doigt. Personnes ne s'approchaient, de peur d'être impliqué dans des histoires qui ne les regardaient pas. Je suppliais mère nature de m'envoyer un miracle.
Kulir était retourné dans sa cachette, mais il ne tremblait plus. Il observait tout ce qu'ils se passaient autour de lui. Je continuais à regarder les différents contrats que proposaient les affiches, oubliant toute la horde de guerrier se jetant sur les contrats les plus alléchants, ayant les meilleurs récompense. Kulir sortit de la sacoche et se dirigeait vers la sortie, comme contrôlé par une force mystique. Je n'avais pas remarqué qu'il s'était sauvé de sa cachette, je continuais donc à feuilleter les pages de mission qui s'étalaient sur toute la longueur du panneau. Je sentis une main se poser sur mon épaule qui me tira d'un coup sec vers l'arrière me projetant au sol. Un orques! Il y avait également des orques à Telbara! Non, celui-ci avait l'air différent des autres orques, il y avait certain trait qui se rapprochait de l'homme. Ses yeux étaient d'un bleu clair et sa chevelure plutôt griset. Mais le caractère semblait être identique. Orques où pas, il avait sale caractère.
Zirak : Bouge de là, tu es sur mon chemin petit.
Je sentais quelque chose bouillir en moi, il allait reprendre le dessus sur moi. Je ne devais pas le laisser prendre le contrôle de mon corps, cela il en était or de question, pas ici, pas maintenant. Je déclencherai une émeute si je me transformais ici, mais le demi-orque aurait ce qu'il méritait. Je me relevais doucement, le regardai intensément, puis m'en allait, frustré. J'avais réussi à me maîtriser. C'était moins une, un peu plus et je me retrouvais avec toute la guilde sur le dos. Il m'aurait été impossible de rencontrer Eärorfilas. Je ne m'étais pas rendu compte sur le coup, mais en tombant, je m'étais assis sur mon sac. Kulir avait dû avoir mal, pire je l'avais peut être écrasé et transformé en pâte à pain roulé! J'ouvris le sac rapidement pour m'assurer que tout allait bien. Mais en ouvrant le sac, je constatai avec effroi, non pas que Kulir était plat comme un Calips écrasé, mais qu'il n'était plus là! Je regardais autour de moi, en alerte. Je ne voulais pas le perdre ici. Si quelqu'un le découvrait, il servirait pour des potions pour les alchimistes qui viennent nombreux pour vendre leurs produits, ou encore pour les cuisiniers qui arrivent à faire à manger avec tout et n'importe quoi. Cette vision m'effrayait. Je me précipitais vers la sortie de la guilde et me mis à crier son nom de toutes mes forces, partout dans la ville, les gens me regardaient courir et hurler à vous rendre sourd. Je détestais ça, être regardé par tout le monde au milieu du peuple. Mais là, c'était la vie de mon compagnon de route qui était en jeu.
J'arrivais dans la partie basse de la ville, il n'avait pas dû aussi loin, ce serait étonnant d'ailleurs, il passe la majeure partie du temps de voyage allongé dans ma sacoche. En continuant vers la place marchande, j'entendis un cri strident. Ce son m'était familier, je me dépêchais, en bousculant au passage un minautore qui regardait l'étalage d'un marchand d'arme. Je m'excusais brièvement puis continuai vers la source du crie. C'était bien Kulir, il était debout sur une table, par terre, un jeune homme gisais plus aucun signe de vie émanait de lui. Je regardais autour de moi espérant croiser le regard de l'agresseur. Un homme avait croisé mon regard, il commençait à s'enfuir vers la sortie de la ville. Je me relevais et m'apprêtais à le poursuivre, mais Kulir couinai derrière moi. Il était auprès de l'homme inanimé, je me baissais pour sentir son souffle. Il respirait encore, il n'avait pas encore passé la grande porte. Je criais en continu autour de moi.
Garràn: S'il vous plaît, aidez-le, cet homme ai mourant, son souffle est faible! Il faut le soigner! N'y a t-il point de médecin ici, à Telbara? Ni même de prêtre? S'il vous plaît aidez-le!!
Je m'inquiétais pour son lui, un inconnu. Je ne le connaissais pas, mais le fait de voir quelqu'un en détresse m'oblige à venir en aide. Et personnes ici, dans l'assemblée, ne bougeaient le petit doigt. Personnes ne s'approchaient, de peur d'être impliqué dans des histoires qui ne les regardaient pas. Je suppliais mère nature de m'envoyer un miracle.
Garràn- Expert
- Race : Dryade de feu
Re: A l'aide de son prochain
Encore une bonne et agréable nuit passée. Cette fois si, j’avais dormi plus longtemps que d’habitude. J’en fus confuse d’avoir tardé à me lever et jouer les paresseuses. Mes coreligionnaires m'on rassurer en disant que j’étais en repos après avoir servi les dieux dans les ruines. J’en fus heureuse, mais encore gêner. Sans me faire prier, je me suis, de suite, attelé aux tâches du temple. En plus de ce que j’avais fait hier, je me mis à étudier divers livres théologiques dans les archives du temple. Je me mis à une grande table en bois, assise sur un banc avec des parchemins et des livres ouvert sur moi. Je me mis à lire attentivement ce que j’avais sous les yeux et méditais sur chaque idée. J’en reconnu certains que j’avais déjà lue, dont celui traitant divers théorie sur l’origine des orcs. Je manquais de rire en le revoyant. Je le relirais en dernier. En attendant, je poursuivais mes lectures. Il y avait tellement de choses à voir que sur un bout de parchemin, je me mis à recopier les idées qui m’interpellaient le plus et dont j’aimerais étudier de façon plus approfondis la prochaine fois.
Les heures défilèrent sans que je ne m’en aperçoive. Un prêtre était entré dans les archives pour me prévenir qu’ils allaient se réunir pour accomplir un rituel. Si j’avais besoin de quoi que ce soit, je n’aurais qu’à m’adresser à un assistant. Je le remerciai et me remis à étudier. Je ne savais combien de temps s’était passé avant que quelqu’un vînt m’interrompre. Un assistant arriva affoler dans les archives :
Assistant - Prêtresse ! Nous avons besoin de vous ! Les autres prêtres sont encore en communion !
EURYSSA – Que ssse passse t’il ?
Assistant – Une agression ! A deux ou trois rue, un homme fut blessé par un autre. Il pers du sang mais reste conscient !
EURYSSA – Petito ! Je m’en occupe. Ssssoit ssssans crainte.
Sans perdre une seconde, je pris mon bâton de prêtresse de Kaluni et suivis l’assistant jusqu’ ‘au lieu du drame. En effet, ce n’était pas loin, en même pas trois minutes, nous arrivions dans la basse ville et en un même laps de temps, nous arrivions près d’un attroupement d’âmes qui formait un cercle. Petito demanda à tout le monde de laisser place. L’homme était allongé au sol, les yeux légèrement ouverts et dans un sale état. Je me servis de ma queue pour m’en faire une sorte de coussin pour mieux m’installer près de la victime. Je penchais ma tête au-dessus de ce dernier et tournai la tête vers les gens présents.
EURYSSA – Qui à trouver sssse pauvre malheureux ?
Les heures défilèrent sans que je ne m’en aperçoive. Un prêtre était entré dans les archives pour me prévenir qu’ils allaient se réunir pour accomplir un rituel. Si j’avais besoin de quoi que ce soit, je n’aurais qu’à m’adresser à un assistant. Je le remerciai et me remis à étudier. Je ne savais combien de temps s’était passé avant que quelqu’un vînt m’interrompre. Un assistant arriva affoler dans les archives :
Assistant - Prêtresse ! Nous avons besoin de vous ! Les autres prêtres sont encore en communion !
EURYSSA – Que ssse passse t’il ?
Assistant – Une agression ! A deux ou trois rue, un homme fut blessé par un autre. Il pers du sang mais reste conscient !
EURYSSA – Petito ! Je m’en occupe. Ssssoit ssssans crainte.
Sans perdre une seconde, je pris mon bâton de prêtresse de Kaluni et suivis l’assistant jusqu’ ‘au lieu du drame. En effet, ce n’était pas loin, en même pas trois minutes, nous arrivions dans la basse ville et en un même laps de temps, nous arrivions près d’un attroupement d’âmes qui formait un cercle. Petito demanda à tout le monde de laisser place. L’homme était allongé au sol, les yeux légèrement ouverts et dans un sale état. Je me servis de ma queue pour m’en faire une sorte de coussin pour mieux m’installer près de la victime. Je penchais ma tête au-dessus de ce dernier et tournai la tête vers les gens présents.
EURYSSA – Qui à trouver sssse pauvre malheureux ?
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A l'aide de son prochain
Je commençais à paniquer, le sang s'étalait tout autour de lui sans que je puisse faire quoi que ce soit pour lui venir en aide. Je continuais à espérer qu'un signe quelconque me parviennent, sauvant la vie de se jeune homme. Les gens de la place s'étaient agglutinés tout autour de moi, formant un cercle assez large et me laissant au centre avec le blessé.
Les gens continuaient à affluer, comme si c'était devenu une pièce de théâtre. Finalement, un homme brisa le cercle et se pencha auprès du moribond. Il ouvrit l'œil gauche du crevard, balança sa main de gauche à droite et regarda si celui-ci ne bougeait plus où s'il arrivait à fixer la main de ce dernier. Il me regarda puis me demanda d'un air sérieux:
Inconnu - Il est dans un état critique. Je vais chercher de l'aide, surtout ne bougez pas d'ici, compris?
Comme si j'allais me déplacer avec un demi-cadavre sur le dos dans la ville. Mais il était sérieux et tout comme moi, il voulait le sauver. Le voilà, le miracle que j'attendais, mère nature m'a répondu. Je pouvais lui faire confiance, dans son regard je devinais qu'il allait revenir avec de l'aide, j'en étais persuadé. Je hochais la tête de bas en haut sans prononcer un seul mot. Et il se précipita en-dehors de la prison vivante avec fougue. j'étais assis à côté du jeune homme, lui tenant la main, comme un père au chevet de son fils malade, espérant qu'il lutte de toutes des forces contre le mal qui le ronge. Il toussa un bon coup, projetant au passage quelque goûte de sang au loin. Son état empirait de petit à petit. Il me serra très fort la main et j'en fus surpris sur le coup, m'écartant de lui avec épouvante. Les souvenirs commençait à revenir me hanter, passant en boucle ces carnages, ces guerres qui avaient fait tant de mort et qui furent tous tombé dans l'oubli.
Enfin, j'entendis une voix que je reconnus tout suite, avec le même ton sérieux, impliquer dans ce qu'il faisait. La foule s'écarta comme si quelqu'un avait tranché la meute de villageois en deux. Je fis un bond en arrière en voyant arriver un serpent immense, faisant la taille d'un homme plutôt bien taillé. La créature me dépassait largement d'une tête et demi et tenait dans sa main gauche un grand bâton. Il ressemblait à un écailleux, c'est comme ça que nous avions, mon frère, ma sœur et moi-même, renommé les gens qui étaient esclaves avec nous dans le domaine des Orques et qui possédaient une peau en écaille. Elle s'approcha, s'installa et se baissa près du corps en déclin qui était maintenant allongé dans une flaque de sang. C'était ce brave homme qui était parti chercher se serpent, qui visiblement, devait s'y connaître en soin. Il était revenu rapidement, tel un héraut arpentant les divers dangers pour informer ses supérieurs. Le serpent se tourna vers la foule et demanda :
EURYSSA – Qui à trouver sssse pauvre malheureux ?
Garràn - Je m'avançais d'un pas.C'est moi, enfin non. C'est Kulir qui l'a trouvé effondré au sol.
Kulir était rester tout près du blessé. L'écailleux ne l'avait sans doute pas remarqué, il s'était installé juste à côté. Le plus surprenant c'est que Kulir n'avait même pas peur de la présence soudaine d'un serpent faisant probablement 3 fois sa taille si ce n'est plus. Il n'avait même pas tourné la tête, comme s'il n'avait pas remarqué sa présence. Je m'approchai encore un peu et abordais le serpent:
Garràn - Vous êtes médecin, guérisseur? Vous pouvez le sauver? Est-ce qu'il va s'en sortir?
Les gens continuaient à affluer, comme si c'était devenu une pièce de théâtre. Finalement, un homme brisa le cercle et se pencha auprès du moribond. Il ouvrit l'œil gauche du crevard, balança sa main de gauche à droite et regarda si celui-ci ne bougeait plus où s'il arrivait à fixer la main de ce dernier. Il me regarda puis me demanda d'un air sérieux:
Inconnu - Il est dans un état critique. Je vais chercher de l'aide, surtout ne bougez pas d'ici, compris?
Comme si j'allais me déplacer avec un demi-cadavre sur le dos dans la ville. Mais il était sérieux et tout comme moi, il voulait le sauver. Le voilà, le miracle que j'attendais, mère nature m'a répondu. Je pouvais lui faire confiance, dans son regard je devinais qu'il allait revenir avec de l'aide, j'en étais persuadé. Je hochais la tête de bas en haut sans prononcer un seul mot. Et il se précipita en-dehors de la prison vivante avec fougue. j'étais assis à côté du jeune homme, lui tenant la main, comme un père au chevet de son fils malade, espérant qu'il lutte de toutes des forces contre le mal qui le ronge. Il toussa un bon coup, projetant au passage quelque goûte de sang au loin. Son état empirait de petit à petit. Il me serra très fort la main et j'en fus surpris sur le coup, m'écartant de lui avec épouvante. Les souvenirs commençait à revenir me hanter, passant en boucle ces carnages, ces guerres qui avaient fait tant de mort et qui furent tous tombé dans l'oubli.
Enfin, j'entendis une voix que je reconnus tout suite, avec le même ton sérieux, impliquer dans ce qu'il faisait. La foule s'écarta comme si quelqu'un avait tranché la meute de villageois en deux. Je fis un bond en arrière en voyant arriver un serpent immense, faisant la taille d'un homme plutôt bien taillé. La créature me dépassait largement d'une tête et demi et tenait dans sa main gauche un grand bâton. Il ressemblait à un écailleux, c'est comme ça que nous avions, mon frère, ma sœur et moi-même, renommé les gens qui étaient esclaves avec nous dans le domaine des Orques et qui possédaient une peau en écaille. Elle s'approcha, s'installa et se baissa près du corps en déclin qui était maintenant allongé dans une flaque de sang. C'était ce brave homme qui était parti chercher se serpent, qui visiblement, devait s'y connaître en soin. Il était revenu rapidement, tel un héraut arpentant les divers dangers pour informer ses supérieurs. Le serpent se tourna vers la foule et demanda :
EURYSSA – Qui à trouver sssse pauvre malheureux ?
Garràn - Je m'avançais d'un pas.C'est moi, enfin non. C'est Kulir qui l'a trouvé effondré au sol.
Kulir était rester tout près du blessé. L'écailleux ne l'avait sans doute pas remarqué, il s'était installé juste à côté. Le plus surprenant c'est que Kulir n'avait même pas peur de la présence soudaine d'un serpent faisant probablement 3 fois sa taille si ce n'est plus. Il n'avait même pas tourné la tête, comme s'il n'avait pas remarqué sa présence. Je m'approchai encore un peu et abordais le serpent:
Garràn - Vous êtes médecin, guérisseur? Vous pouvez le sauver? Est-ce qu'il va s'en sortir?
Garràn- Expert
- Race : Dryade de feu
Re: A l'aide de son prochain
Un jeune garçon approcha de moi, le visage rouge, au bord des larmes.
Garràn - C'est moi, enfin non. C'est Kulir qui l'a trouvé effondré au sol.
Je vis de quoi il parlait. Un petit Rintec se tenait près du blessé. Il lui manquait une antenne sur sa tête et il gigotait un peu. Il était mignon à croquer comme un chaton. Je me mis à lui sourire tellement il était beau et adorable. On pourrait lui donner une balle pour le regarder jouer.
Garràn - Vous êtes médecin, guérisseur? Vous pouvez le sauver? Est-ce qu'il va s'en sortir?
EURYSSA – Je suis prêtressssse. Ne sssoit pas inquiet jeune homme. Je vais tenter de guérir ssssa blessssure. Mais tu devras me dire, sssse qu’il s’est passsé, comment il fut bessser, par quoi.
Je fixais le garçon un moment. Son odeur et son physique étaient peu communs. Cela avait quelque chose de piquant comme des épices ou de la braise plutôt. Même ses cheveux et ses yeux évoquaient le feu. On aurait dit un mage pyromancien, ou un esprit de feu. Ou quelque chose d’autre. En attendant, je pouvais déjà guérir la blessure physique de ce pauvre homme. M’appuyant sur mon bâton d’une main, posant la seconde sur le torse de la victime, je me mis à prier faiblement. Je pouvais encore sentir la foule au tour de nous, regardant le travail s’effectuer comme s’ils voyaient soit un spectacle ou attendait un miracle. Je fis abstraction de cette pensée et me concentra sur la blessure. Cela ne dura pas longtemps. Je sentis une partie de mon énergie me quitter pour s’apparaître sous une forme de lumière jaune lumineuse qui passa à travers mes écailles de la main pour entrer directement dans le corps blessé. Dés que la lumière eut fini d’entrer en l’homme, une attente de quelque seconde se fit avant que le blesser ne se remette à tousser et arriva à respirer de nouveau. Toute la foule poussa un cri de joie, heureux d’avoir vu cela.
Garràn - C'est moi, enfin non. C'est Kulir qui l'a trouvé effondré au sol.
Je vis de quoi il parlait. Un petit Rintec se tenait près du blessé. Il lui manquait une antenne sur sa tête et il gigotait un peu. Il était mignon à croquer comme un chaton. Je me mis à lui sourire tellement il était beau et adorable. On pourrait lui donner une balle pour le regarder jouer.
Garràn - Vous êtes médecin, guérisseur? Vous pouvez le sauver? Est-ce qu'il va s'en sortir?
EURYSSA – Je suis prêtressssse. Ne sssoit pas inquiet jeune homme. Je vais tenter de guérir ssssa blessssure. Mais tu devras me dire, sssse qu’il s’est passsé, comment il fut bessser, par quoi.
Je fixais le garçon un moment. Son odeur et son physique étaient peu communs. Cela avait quelque chose de piquant comme des épices ou de la braise plutôt. Même ses cheveux et ses yeux évoquaient le feu. On aurait dit un mage pyromancien, ou un esprit de feu. Ou quelque chose d’autre. En attendant, je pouvais déjà guérir la blessure physique de ce pauvre homme. M’appuyant sur mon bâton d’une main, posant la seconde sur le torse de la victime, je me mis à prier faiblement. Je pouvais encore sentir la foule au tour de nous, regardant le travail s’effectuer comme s’ils voyaient soit un spectacle ou attendait un miracle. Je fis abstraction de cette pensée et me concentra sur la blessure. Cela ne dura pas longtemps. Je sentis une partie de mon énergie me quitter pour s’apparaître sous une forme de lumière jaune lumineuse qui passa à travers mes écailles de la main pour entrer directement dans le corps blessé. Dés que la lumière eut fini d’entrer en l’homme, une attente de quelque seconde se fit avant que le blesser ne se remette à tousser et arriva à respirer de nouveau. Toute la foule poussa un cri de joie, heureux d’avoir vu cela.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A l'aide de son prochain
Le grand serpent analysait la situation, il restait maître de la situation. Il devait savoir ce qu'il faisait et puis si l'autre personne l'avait ramené, c'est qu'il devait être important.
EURYSSA – Je suis prêtressssse. Ne sssoit pas inquiet jeune homme. Je vais tenter de guérir ssssa blessssure. Mais tu devras me dire, sssse qu’il s’est passsé, comment il fut bessser, par quoi.
En fin de compte, c'était une femme serpent, jusque là j'avais un doute. Mais ces mots me rassuraient, il était tiré d'affaire le bougre. J'esquissais un sourire en entendant le "S" prolongé du serpent, cela le représentait très bien. Puis elle me fixa, m'étudiant de la tête au pied, cherchant à me jauger probablement. Cela me ôta mon petit sourire narquois, ça me gênais quand on me fixait ainsi. Son regard était perçant et me transperçait de part en part, impossible d'en réchapper. En même temps, se n'était pas très malin de me moquer ainsi d'elle, j'espérais seulement qu'elle ne puisse pas deviner ce qu'il m'était passer par la tête. Elle avait quand même un petit aire effrayant dans son rôle de prêtresse.
Garràn - Tout en faisant non de la tête, je m'excusais.Désolé, mais je ne peux pas vous répondre. Je n'étais pas là quand il fut attaqué. Je montrais le sol tout autour de nous. Et il n'y a point d'arme au sol. J'ai cru apercevoir son agresseur s'enfuir vers les portes de la ville toutefois.
Elle se retourna de nouveau vers le patient et commençait à opérer sa magie sur ce dernier. Elle posa une main sur son bâton et l'autre sur le torse du blessé. Elle commençait à marmonner quelque chose à voix basse, impossible d'entendre un traître mot de ce qu'elle disait. Mais je compris qu'elle avait lancé une sorte de magie pour guérir le jeune homme à terre, une lumière longea son bras pour atteindre le corps allongé et encore inerte de l'homme. Incroyable! Il se mit à tousser! Il était vivant, sauvé par je ne sais quel miracle! Je ne sais pas ce qu'elle à bien pus utiliser comme magie, mais j'en restais bouche bée devant tant de prouesse. Il semblait cependant qu'utilisé cette magie demandait beaucoup d'énergie, elle s'appuyait un peu plus sur son bâton.
La foule tout autour de nous hurlait et acclamait la sauveuse serpent. En effet, il est rare de voir quelqu'un venir en aide à son prochain. Ce comportement était remarquable, digne des plus valeureux protecteurs d'Orcande. L'inconnu de tout à l'heure, qui devait être un proche de l'écailleux, faisait signe aux gens de s'écarter, afin de laisser respirer le miraculé, qu'il puisse reprendre ses esprits doucement.
Inconnu - Tout en faisant de grands gestes avec ses bras .Vous pouvez retourner à vos occupations, laissez-le respirer s'il vous plaît.
La foule se dissipa, me laissant avec la prêtresse écailleuse, l'inconnu qui l'avait ramené, Kulir et enfin le convalescent qui était encore allongé dans son sang. Il valait mieux que quelqu'un se charge de laver le sol, laisser le sang sécher par terre laisserait des marques au sol et puis il y a quand même des enfants à venir ici. J'étais quand même grandement soulagé. Je m'asseyais à côté, les jambes croisées, je ne quittais plus des yeux la serpente. Elle m'intriguait, disons plutôt que sa magie m'intéressait. Il faut dire que je n'avais jamais croisé de mage auparavant. J'ai beau avoir été formé chez les sylves, à aucun moment je n'ai pu assisté à de la magie. Celle-ci avait le pouvoir de guérir, ce qui n'était pas rien tout de même. Je me demandais qu'elle genre de magie elle pouvait encore disposer.
EURYSSA – Je suis prêtressssse. Ne sssoit pas inquiet jeune homme. Je vais tenter de guérir ssssa blessssure. Mais tu devras me dire, sssse qu’il s’est passsé, comment il fut bessser, par quoi.
En fin de compte, c'était une femme serpent, jusque là j'avais un doute. Mais ces mots me rassuraient, il était tiré d'affaire le bougre. J'esquissais un sourire en entendant le "S" prolongé du serpent, cela le représentait très bien. Puis elle me fixa, m'étudiant de la tête au pied, cherchant à me jauger probablement. Cela me ôta mon petit sourire narquois, ça me gênais quand on me fixait ainsi. Son regard était perçant et me transperçait de part en part, impossible d'en réchapper. En même temps, se n'était pas très malin de me moquer ainsi d'elle, j'espérais seulement qu'elle ne puisse pas deviner ce qu'il m'était passer par la tête. Elle avait quand même un petit aire effrayant dans son rôle de prêtresse.
Garràn - Tout en faisant non de la tête, je m'excusais.Désolé, mais je ne peux pas vous répondre. Je n'étais pas là quand il fut attaqué. Je montrais le sol tout autour de nous. Et il n'y a point d'arme au sol. J'ai cru apercevoir son agresseur s'enfuir vers les portes de la ville toutefois.
Elle se retourna de nouveau vers le patient et commençait à opérer sa magie sur ce dernier. Elle posa une main sur son bâton et l'autre sur le torse du blessé. Elle commençait à marmonner quelque chose à voix basse, impossible d'entendre un traître mot de ce qu'elle disait. Mais je compris qu'elle avait lancé une sorte de magie pour guérir le jeune homme à terre, une lumière longea son bras pour atteindre le corps allongé et encore inerte de l'homme. Incroyable! Il se mit à tousser! Il était vivant, sauvé par je ne sais quel miracle! Je ne sais pas ce qu'elle à bien pus utiliser comme magie, mais j'en restais bouche bée devant tant de prouesse. Il semblait cependant qu'utilisé cette magie demandait beaucoup d'énergie, elle s'appuyait un peu plus sur son bâton.
La foule tout autour de nous hurlait et acclamait la sauveuse serpent. En effet, il est rare de voir quelqu'un venir en aide à son prochain. Ce comportement était remarquable, digne des plus valeureux protecteurs d'Orcande. L'inconnu de tout à l'heure, qui devait être un proche de l'écailleux, faisait signe aux gens de s'écarter, afin de laisser respirer le miraculé, qu'il puisse reprendre ses esprits doucement.
Inconnu - Tout en faisant de grands gestes avec ses bras .Vous pouvez retourner à vos occupations, laissez-le respirer s'il vous plaît.
La foule se dissipa, me laissant avec la prêtresse écailleuse, l'inconnu qui l'avait ramené, Kulir et enfin le convalescent qui était encore allongé dans son sang. Il valait mieux que quelqu'un se charge de laver le sol, laisser le sang sécher par terre laisserait des marques au sol et puis il y a quand même des enfants à venir ici. J'étais quand même grandement soulagé. Je m'asseyais à côté, les jambes croisées, je ne quittais plus des yeux la serpente. Elle m'intriguait, disons plutôt que sa magie m'intéressait. Il faut dire que je n'avais jamais croisé de mage auparavant. J'ai beau avoir été formé chez les sylves, à aucun moment je n'ai pu assisté à de la magie. Celle-ci avait le pouvoir de guérir, ce qui n'était pas rien tout de même. Je me demandais qu'elle genre de magie elle pouvait encore disposer.
Garràn- Expert
- Race : Dryade de feu
Re: A l'aide de son prochain
Garràn - Désolé, mais je ne peux pas vous répondre. Je n'étais pas là quand il fut attaqué. Et il n'y a point d'arme au sol. J'ai cru apercevoir son agresseur s'enfuir vers les portes de la ville toutefois.
Sa réponse me paraissait difficile à avaler facilement. Etait-il responsable de cette agression ? Si oui, ce ne serait qu’un accident, car il ne s’était pas enfui. Et puis il était visiblement jeune et naïf, on ne pouvait imaginer qu’il puisse avoir un esprit d’assassin. Ce qui m’embêtait par contre, ce fut que je ne savais pas si la victime était empoisonnée ou non ou bien frapper d’un maléfice. Comme pour ton bon guérisseur, il fallait connaître le mal précis qui touchait le patient pour donner les bons soins. Visiblement, j’avais eu de la chance. La blessure n’était que physique, l’homme se releva avec un peu de difficulté, mais il parvint à se tenir debout. Il n’avait pas encore conscience de ce qui venait de lui arrivait, il regardait tout au tour de lui pour trouver ses repères. Dés qu’il eut plus dégourdi, il nous fixa tous les deux. À ses yeux, il était évident qu’il avait reconnu ma fonction. Baissant la tête pour faire une révérence un peu maladroite, il remercia.
VICTIME – Je vous remercie madame. Vous m’avez sauvez la vie.
Sa voix faisait penser à celle d’un marin qui venait d’une taverne, mais la tonation de sa voix, ses yeux et son sourire furent très charmeur et poussait à de la sympathie. Je me mis à lui sourire à mon tout et e même, fit une légère révérence.
EURYSSA – Je vous en pris. Sssse n’était que mon devoir. Mais, vous devriez allez voir la gardessss et les prévenir de vossstre agresssion.
VICTIME – Vous avez raison. Mais ce ne serait pas nécessaire, un accident tout bête que je peux régler sans problèmes. La garde sera prévenu mais pas de suite. Sur ceux, je vous souhaite une agréable journée à vous madame.
EURYSSA – A vous sssausssi. Mais soyer prudent.
Il partit donc dans les ruelles sombres des bas quartiers, disparaissant au prochain tournant. Je me doutais bien que cela cachait quelque chose, que cette affaire s’apparentait à une histoire de trafic quelconque, mais je n’avais nulle autorité. Je ne pouvais pas le forcer à parler aux gardes, lui dire quoi faire. De plus, si c’était bien une histoire peu scrupuleuse, avoir les gardes dans les pattes ne devrait le réjouir. Enfin bref, j’avais accompli mon devoir, je pouvais rentrer au temple, poursuivre mes études jusqu’au prochain appel. En me retournant, je vis ce jeune enfant, assis par terre avec son petit compagnon, oh il était vraiment trop chou, et qui me regardait de façon enfantine. Je pouvais le comprendre, sans doute n’avait-il jamais vue de naga de sa vie. Nous étions si rares sur terre. Et en plus, je n’en avais vu que deux depuis le début de mon séjour. Il devait être curieux, tout comme moi, je l’étais en le regardant. Je devinais qu’il n’était pas vraiment humain, il était différent. Au tant entamer la conversation. Je me mis à rire pour détendre l’atmosphère.
EURYSSA – ET bien jeune garssson. Est-ce la première fois que vous voyer une nagi ?
Sa réponse me paraissait difficile à avaler facilement. Etait-il responsable de cette agression ? Si oui, ce ne serait qu’un accident, car il ne s’était pas enfui. Et puis il était visiblement jeune et naïf, on ne pouvait imaginer qu’il puisse avoir un esprit d’assassin. Ce qui m’embêtait par contre, ce fut que je ne savais pas si la victime était empoisonnée ou non ou bien frapper d’un maléfice. Comme pour ton bon guérisseur, il fallait connaître le mal précis qui touchait le patient pour donner les bons soins. Visiblement, j’avais eu de la chance. La blessure n’était que physique, l’homme se releva avec un peu de difficulté, mais il parvint à se tenir debout. Il n’avait pas encore conscience de ce qui venait de lui arrivait, il regardait tout au tour de lui pour trouver ses repères. Dés qu’il eut plus dégourdi, il nous fixa tous les deux. À ses yeux, il était évident qu’il avait reconnu ma fonction. Baissant la tête pour faire une révérence un peu maladroite, il remercia.
VICTIME – Je vous remercie madame. Vous m’avez sauvez la vie.
Sa voix faisait penser à celle d’un marin qui venait d’une taverne, mais la tonation de sa voix, ses yeux et son sourire furent très charmeur et poussait à de la sympathie. Je me mis à lui sourire à mon tout et e même, fit une légère révérence.
EURYSSA – Je vous en pris. Sssse n’était que mon devoir. Mais, vous devriez allez voir la gardessss et les prévenir de vossstre agresssion.
VICTIME – Vous avez raison. Mais ce ne serait pas nécessaire, un accident tout bête que je peux régler sans problèmes. La garde sera prévenu mais pas de suite. Sur ceux, je vous souhaite une agréable journée à vous madame.
EURYSSA – A vous sssausssi. Mais soyer prudent.
Il partit donc dans les ruelles sombres des bas quartiers, disparaissant au prochain tournant. Je me doutais bien que cela cachait quelque chose, que cette affaire s’apparentait à une histoire de trafic quelconque, mais je n’avais nulle autorité. Je ne pouvais pas le forcer à parler aux gardes, lui dire quoi faire. De plus, si c’était bien une histoire peu scrupuleuse, avoir les gardes dans les pattes ne devrait le réjouir. Enfin bref, j’avais accompli mon devoir, je pouvais rentrer au temple, poursuivre mes études jusqu’au prochain appel. En me retournant, je vis ce jeune enfant, assis par terre avec son petit compagnon, oh il était vraiment trop chou, et qui me regardait de façon enfantine. Je pouvais le comprendre, sans doute n’avait-il jamais vue de naga de sa vie. Nous étions si rares sur terre. Et en plus, je n’en avais vu que deux depuis le début de mon séjour. Il devait être curieux, tout comme moi, je l’étais en le regardant. Je devinais qu’il n’était pas vraiment humain, il était différent. Au tant entamer la conversation. Je me mis à rire pour détendre l’atmosphère.
EURYSSA – ET bien jeune garssson. Est-ce la première fois que vous voyer une nagi ?
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A l'aide de son prochain
La victime s'était relevé, un peu étourdit, mais debout et guéris. Impressionnant, cette magie était incroyable. Le convalescent nous regarda tous les deux à tour de rôle, puis se plia légèrement en deux, comme pour saluer un noble. Il me semble que chez les sylves, ils appelaient ça "faire une révérence" généralement pour remercier quelqu'un pour X raisons, ou pour saluer la noblesse en guise de respect. Il s'adressa ensuite à l'écailleuse.
VICTIME – Je vous remercie madame. Vous m’avez sauvez la vie.
Elle arborait un sourire en retour puis fit révérence également. Kulir avait l'air réjouit, il était tout excité. Il devait être content que le jeune homme se soit relevé. Je l'appelais discrètement en tapant le sol à 2 reprises, celui-ci se retourna et vînt me voir. Il
se posa sur mes jambes et tout comme moi, il regardait la femme serpent.
EURYSSA – Je vous en pris. Sssse n’était que mon devoir. Mais, vous devriez allez voir la gardessss et les prévenir de vossstre agresssion.
VICTIME – Vous avez raison. Mais ce ne serait pas nécessaire, un accident tout bête que je peux régler sans problèmes. La garde sera prévenu mais pas de suite. Sur ceux, je vous souhaite une agréable journée à vous madame.
La réaction de la victime me laissait perplexe. Comment peut-on rester calme et ne pas vouloir prévenir la garde après s'être fait agressé, cela n'avait aucun sens. Il était devenu fou? Et je revois encore son agresseur se diriger vers la sortie de la ville. Capuche noire, tatouage bleu en forme de demi-lune recouvrant son arcade ainsi que le haut de sa pommette gauche, un foulard cachant le bas de son visage, recouvrant sa bouche et le bas de son nez. Je me souviens parfaitement de son accoutrement. Je sens que ça pourrait être important.
EURYSSA – A vous sssausssi. Mais soyer prudent.
La serpente le laissait partir sans lui poser de question. Bizarre, elle devait avoir quelque chose derrière la tête, on ne laisse pas un homme qui vient tout juste d'être remis sur pied dans la nature comme ça, sans aucune protection et surtout sans qu'il nous explique ce qui lui était arrivé.
Elle se retournait vers moi. Kulir devait l'intéresser puisqu'elle n'arrêtait pas de le regarder. Je me méfiais d'elle, si se trouve, elle en avait après lui, pour le transformer en une quelconque potion ou remède. Je le serrai dans mes bras, comme pour faire obstacle entre elle et lui. Puis elle se mit à rire.
EURYSSA – ET bien jeune garssson. Est-ce la première fois que vous voyer une nagi ?
Je me mis debout. Il était impoli de rester au sol ainsi en pleine discussion. Kulir monta sur mon épaule et me lécha la joue, puis il regarda la serpente. Il avait l'air de l'apprécier. Le quotidien des gens avait repris le dessus, comme si de rien n'était.
Garràn - Non, mais je ne savais pas que votre peuple s'appelait les Nagi. J'en ai croisé il y a longtemps. Ce n'est pas votre personne qui m'étonnais mais votre magie. Comment est-ce possible de remettre un blessé, et pas légèrement, sur pied en aussi peu de temps? C'est un incroyable! Etes-vous une magicienne de renom?
VICTIME – Je vous remercie madame. Vous m’avez sauvez la vie.
Elle arborait un sourire en retour puis fit révérence également. Kulir avait l'air réjouit, il était tout excité. Il devait être content que le jeune homme se soit relevé. Je l'appelais discrètement en tapant le sol à 2 reprises, celui-ci se retourna et vînt me voir. Il
se posa sur mes jambes et tout comme moi, il regardait la femme serpent.
EURYSSA – Je vous en pris. Sssse n’était que mon devoir. Mais, vous devriez allez voir la gardessss et les prévenir de vossstre agresssion.
VICTIME – Vous avez raison. Mais ce ne serait pas nécessaire, un accident tout bête que je peux régler sans problèmes. La garde sera prévenu mais pas de suite. Sur ceux, je vous souhaite une agréable journée à vous madame.
La réaction de la victime me laissait perplexe. Comment peut-on rester calme et ne pas vouloir prévenir la garde après s'être fait agressé, cela n'avait aucun sens. Il était devenu fou? Et je revois encore son agresseur se diriger vers la sortie de la ville. Capuche noire, tatouage bleu en forme de demi-lune recouvrant son arcade ainsi que le haut de sa pommette gauche, un foulard cachant le bas de son visage, recouvrant sa bouche et le bas de son nez. Je me souviens parfaitement de son accoutrement. Je sens que ça pourrait être important.
EURYSSA – A vous sssausssi. Mais soyer prudent.
La serpente le laissait partir sans lui poser de question. Bizarre, elle devait avoir quelque chose derrière la tête, on ne laisse pas un homme qui vient tout juste d'être remis sur pied dans la nature comme ça, sans aucune protection et surtout sans qu'il nous explique ce qui lui était arrivé.
Elle se retournait vers moi. Kulir devait l'intéresser puisqu'elle n'arrêtait pas de le regarder. Je me méfiais d'elle, si se trouve, elle en avait après lui, pour le transformer en une quelconque potion ou remède. Je le serrai dans mes bras, comme pour faire obstacle entre elle et lui. Puis elle se mit à rire.
EURYSSA – ET bien jeune garssson. Est-ce la première fois que vous voyer une nagi ?
Je me mis debout. Il était impoli de rester au sol ainsi en pleine discussion. Kulir monta sur mon épaule et me lécha la joue, puis il regarda la serpente. Il avait l'air de l'apprécier. Le quotidien des gens avait repris le dessus, comme si de rien n'était.
Garràn - Non, mais je ne savais pas que votre peuple s'appelait les Nagi. J'en ai croisé il y a longtemps. Ce n'est pas votre personne qui m'étonnais mais votre magie. Comment est-ce possible de remettre un blessé, et pas légèrement, sur pied en aussi peu de temps? C'est un incroyable! Etes-vous une magicienne de renom?
Garràn- Expert
- Race : Dryade de feu
Re: A l'aide de son prochain
Il s’était redressé pour me répondre. Son petit compagnon s’était, quant à lui, installé sur son épaule pour lui lécher la joue. Je ne savais pas si la salive d’une telle créature était dégoutante ou non, plus ou moins que celle d’un orc.
Garràn - Non, mais je ne savais pas que votre peuple s'appelait les Nagi. J'en ai croisé il y a longtemps. Ce n'est pas votre personne qui m'étonnais mais votre magie. Comment est-ce possible de remettre un blessé, et pas légèrement, sur pied en aussi peu de temps? C'est un incroyable! Etes-vous une magicienne de renom?
J’étais des plus étonné par son ignorance. Déjà, quand on parle de notre peuple, on dit Naga, un détail. Mais ne savait-il pas que la prêtrise enseignait l’art de la guérison à tous ses membres ? Pourtant, tout le monde qui me voyait me demandait une guérison, en général. Venait-il d’un endroit reculé, isoler du monde ? Ou bien, il était bien un enfant qui découvre tout juste celui-ci. Apparemment, il était en apprentissage, car il pensait que la magie du soin était une école de sorcier. Du tout. A moins d’être dryade, les sorciers ne peuvent apprendre la magie de guérison. S’il fallait lui apprendre ça, je pouvais bien être son enseignante pour un court instant.
EURYSSA – Non, que dites-vous. Ssss. Je ssssuis une prêtresssse je vous rappelle. Les prêtres connaissent la magie du ssoin. Cela est nécessaire pour leur missssion sacré. Les mages ne peuvent pratiquer cette magie. Mais on peut la retrouver chez les druides, ou les bardes. Sssss. Si je ne me trompe. Et vous ? Qui êtes-vous ? Comment vous êtes vous retrouver, sssss, dans cette situasssion ?
Il m’était encore impossible d’identifier cette personne. Son odeur était inconnue. Je voulais savoir à qui j’avais à faire devant moi. De plus, son histoire d’être tombé comme ça sur la victime était tout aussi louche que le comportement de la victime. Peut-être que ce dernier ne voulut dire qu’il allait voir les gardes devant lui, car il était peut-être lié à l’agression. Je voulais en avoir le cœur net en obtenant plus de renseignements.
Garràn - Non, mais je ne savais pas que votre peuple s'appelait les Nagi. J'en ai croisé il y a longtemps. Ce n'est pas votre personne qui m'étonnais mais votre magie. Comment est-ce possible de remettre un blessé, et pas légèrement, sur pied en aussi peu de temps? C'est un incroyable! Etes-vous une magicienne de renom?
J’étais des plus étonné par son ignorance. Déjà, quand on parle de notre peuple, on dit Naga, un détail. Mais ne savait-il pas que la prêtrise enseignait l’art de la guérison à tous ses membres ? Pourtant, tout le monde qui me voyait me demandait une guérison, en général. Venait-il d’un endroit reculé, isoler du monde ? Ou bien, il était bien un enfant qui découvre tout juste celui-ci. Apparemment, il était en apprentissage, car il pensait que la magie du soin était une école de sorcier. Du tout. A moins d’être dryade, les sorciers ne peuvent apprendre la magie de guérison. S’il fallait lui apprendre ça, je pouvais bien être son enseignante pour un court instant.
EURYSSA – Non, que dites-vous. Ssss. Je ssssuis une prêtresssse je vous rappelle. Les prêtres connaissent la magie du ssoin. Cela est nécessaire pour leur missssion sacré. Les mages ne peuvent pratiquer cette magie. Mais on peut la retrouver chez les druides, ou les bardes. Sssss. Si je ne me trompe. Et vous ? Qui êtes-vous ? Comment vous êtes vous retrouver, sssss, dans cette situasssion ?
Il m’était encore impossible d’identifier cette personne. Son odeur était inconnue. Je voulais savoir à qui j’avais à faire devant moi. De plus, son histoire d’être tombé comme ça sur la victime était tout aussi louche que le comportement de la victime. Peut-être que ce dernier ne voulut dire qu’il allait voir les gardes devant lui, car il était peut-être lié à l’agression. Je voulais en avoir le cœur net en obtenant plus de renseignements.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A l'aide de son prochain
Je ne savais pas si c'était kulir ou moi qu'elle regardait comme ça, mais son regard était intense, comme si elle s'intéressait à quelques choses. je me grattais la tête, un peu gêné par l'attention qu'elle nous portait. Et moi qui pensais passer rapidement voir Eärorfilas à la Guilde des Guerriers pour qu'il m'aide dans ma quête, c'était raté.
EURYSSA – Non, que dites-vous. Ssss. Je ssssuis une prêtresssse je vous rappelle. Les prêtres connaissent la magie du ssoin. Cela est nécessaire pour leur missssion sacré. Les mages ne peuvent pratiquer cette magie. Mais on peut la retrouver chez les druides, ou les bardes. Sssss. Si je ne me trompe. Et vous ? Qui êtes-vous ? Comment vous êtes vous retrouver, sssss, dans cette situasssion ?
Décidément, son accent avait le don de me faire rire. Je me retins tout de même pour ne pas être impoli. Donc, si je résume ce qu'elle venait de me dire, les prêtres étaient en quelques sortes des soigneurs et d'après ce que j'ai pu voir, ils pouvaient guérir n'importe quel type de blessure physique, peut importe la gravité. C'est très impressionnant en tout cas, mais surtout très efficace. Avec des guérisseurs aussi compétent que cette prêtresse, les habitants n'avaient pas de souci à se faire. Elle avait l'air de savoir beaucoup de choses, peut-être que je pourrai lui demander si elle connaissait l'homme que je recherche? Cette idée ne me plaisait pas trop mais bon, qui ne tente rien n'a rien, elle pourrait peut être me conduire à lui? Et puis l'idée de retourner dans cette Guilde de brute ne me rassurais pas non plus. Si c'était pour me faire attendre au milieu de tout ces rustres, ce n'était même pas la peine.
Garràn - C'est un peu compliqué, mais pour faire court, j'étais à la recherche de Kulir et je l'ai retrouvé auprès du jeune homme allongé. Je suis un voyageur venant d'Elegar'a. Je me pliais en deux pour faire une révérence. Je m'appelle Garràn, enchanté.
Je n'avais pas l'habitude de faire de révérence, je n'avais fait qu'imiter maladroitement la victime de tout à l'heure. Et puis maintenant que j'y pensais, un voyageur avec une arme aussi imposante dans le dos et un gantelet de chevalier orné de pointes ne pouvait pas être qu'un "simple voyager". J'espérais simplement que cela n'allait pas l'alerter. Je ne voulais absolument pas me frotter à la garde de la ville. Je ne voulais pas qu'elle s'intéresse trop à moi, c'était le moment pour lui poser la question.
Garràn - Excusez-moi mais est-ce que par hasard vous ne connaîtriez pas un certain Eärorfilas, il est membre de la Guilde des Guerriers. Je dois le rencontrer.
EURYSSA – Non, que dites-vous. Ssss. Je ssssuis une prêtresssse je vous rappelle. Les prêtres connaissent la magie du ssoin. Cela est nécessaire pour leur missssion sacré. Les mages ne peuvent pratiquer cette magie. Mais on peut la retrouver chez les druides, ou les bardes. Sssss. Si je ne me trompe. Et vous ? Qui êtes-vous ? Comment vous êtes vous retrouver, sssss, dans cette situasssion ?
Décidément, son accent avait le don de me faire rire. Je me retins tout de même pour ne pas être impoli. Donc, si je résume ce qu'elle venait de me dire, les prêtres étaient en quelques sortes des soigneurs et d'après ce que j'ai pu voir, ils pouvaient guérir n'importe quel type de blessure physique, peut importe la gravité. C'est très impressionnant en tout cas, mais surtout très efficace. Avec des guérisseurs aussi compétent que cette prêtresse, les habitants n'avaient pas de souci à se faire. Elle avait l'air de savoir beaucoup de choses, peut-être que je pourrai lui demander si elle connaissait l'homme que je recherche? Cette idée ne me plaisait pas trop mais bon, qui ne tente rien n'a rien, elle pourrait peut être me conduire à lui? Et puis l'idée de retourner dans cette Guilde de brute ne me rassurais pas non plus. Si c'était pour me faire attendre au milieu de tout ces rustres, ce n'était même pas la peine.
Garràn - C'est un peu compliqué, mais pour faire court, j'étais à la recherche de Kulir et je l'ai retrouvé auprès du jeune homme allongé. Je suis un voyageur venant d'Elegar'a. Je me pliais en deux pour faire une révérence. Je m'appelle Garràn, enchanté.
Je n'avais pas l'habitude de faire de révérence, je n'avais fait qu'imiter maladroitement la victime de tout à l'heure. Et puis maintenant que j'y pensais, un voyageur avec une arme aussi imposante dans le dos et un gantelet de chevalier orné de pointes ne pouvait pas être qu'un "simple voyager". J'espérais simplement que cela n'allait pas l'alerter. Je ne voulais absolument pas me frotter à la garde de la ville. Je ne voulais pas qu'elle s'intéresse trop à moi, c'était le moment pour lui poser la question.
Garràn - Excusez-moi mais est-ce que par hasard vous ne connaîtriez pas un certain Eärorfilas, il est membre de la Guilde des Guerriers. Je dois le rencontrer.
Garràn- Expert
- Race : Dryade de feu
Re: A l'aide de son prochain
Garràn - C'est un peu compliqué, mais pour faire court, j'étais à la recherche de Kulir et je l'ai retrouvé auprès du jeune homme allongé. Je suis un voyageur venant d'Elegar'a. Il exécuta à son tour une révérence des plus maladroites, pire que celle du blessé. Je me retins de rire. Je m'appelle Garràn, enchanté.
Garràn. En voilà un nom charmant. J’ai pu remarquer son arme dans son dos, une bien grosse lame. Un guerrier ? Un mercenaire peut-être qui portait bien ce nom. Un enfant qui se bat, et d’une nature mystérieuse, ne dévoilant de suite sa vraie race, ceci était amusant à y penser. De plus, je notais une certaine gêne en lui. Manquait-il d’assurance ? Je me posais tant de questions, et je n’avais probablement pas le temps d’en avoir les réponses. Nous devions sans doute chacun reprendre nos activités en cours.
Garràn - Excusez-moi mais est-ce que par hasard vous ne connaîtriez pas un certain Eärorfilas, il est membre de la Guilde des Guerriers. Je dois le rencontrer.
Je fus surprise sur le coup, mais ravis d’obtenir un semblant de réponse à mes interrogations. Il cherchait un membre de la guilde des guerriers et, il était visiblement un combattant, donc bien un guerrier. Mais ce n’était qu’une hypothèse sans plus. Je ramenai ma main vers mon menton pour réfléchir. Je connaissais surtout les prêtres et prêtresses à Telbara. Le reste du peuple, je ne le voyais qu’en de rare occasion, si ce n’était par des sorties comme hier, c’était surtout pour des consultations. Et les blessés ne donnaient pas toujours leurs noms. Cela dit, un vague souvenir insistait dans ma mémoire. Comme s’il avait un bélier et voulait enfoncer les portes de mon esprit pour se montrer. Je n’en voyais que des bribes dont j’avais du mal à remettre en place. Je voulais bien le laisser entrer, mais ce n’était pas plus clair. Je me souviens du premier jour de mes services ici, avant-hier. C’était un guerrier blessé, il me semble.
Euryssa – Le premier jour où j’ai ssservi ici à mon arrivé, un guerrier blésssser s’était présenter au temple. Il disait s’être blessé à un entrainement, il avait dit un nom aussssi. Ssss. Désolé, je ne m’en souviens pas très bien. Cela finisssait par Lasssss aussi. Il faudra que je demande au prêtre qui la soigné à ce propos.
Le jeune garçon rougeoyant devait avoir d’autres projets que d’aller dans un temple de Théno, dieu des éléments. La plupart des jeunes, surtout ceux dans le combat, préfèrent aller à l’aventure que de passer par un temple. De toute façon, je n’avais pas plus d’information à lui fournir, je ne pouvais pas être d’une grande aide pour lui. J’attendrais donc sa réponse, s’il veut bien parler à mon confrère, je le guiderais, sinon on reprendra chacun sa route, j’imaginais.
Garràn. En voilà un nom charmant. J’ai pu remarquer son arme dans son dos, une bien grosse lame. Un guerrier ? Un mercenaire peut-être qui portait bien ce nom. Un enfant qui se bat, et d’une nature mystérieuse, ne dévoilant de suite sa vraie race, ceci était amusant à y penser. De plus, je notais une certaine gêne en lui. Manquait-il d’assurance ? Je me posais tant de questions, et je n’avais probablement pas le temps d’en avoir les réponses. Nous devions sans doute chacun reprendre nos activités en cours.
Garràn - Excusez-moi mais est-ce que par hasard vous ne connaîtriez pas un certain Eärorfilas, il est membre de la Guilde des Guerriers. Je dois le rencontrer.
Je fus surprise sur le coup, mais ravis d’obtenir un semblant de réponse à mes interrogations. Il cherchait un membre de la guilde des guerriers et, il était visiblement un combattant, donc bien un guerrier. Mais ce n’était qu’une hypothèse sans plus. Je ramenai ma main vers mon menton pour réfléchir. Je connaissais surtout les prêtres et prêtresses à Telbara. Le reste du peuple, je ne le voyais qu’en de rare occasion, si ce n’était par des sorties comme hier, c’était surtout pour des consultations. Et les blessés ne donnaient pas toujours leurs noms. Cela dit, un vague souvenir insistait dans ma mémoire. Comme s’il avait un bélier et voulait enfoncer les portes de mon esprit pour se montrer. Je n’en voyais que des bribes dont j’avais du mal à remettre en place. Je voulais bien le laisser entrer, mais ce n’était pas plus clair. Je me souviens du premier jour de mes services ici, avant-hier. C’était un guerrier blessé, il me semble.
Euryssa – Le premier jour où j’ai ssservi ici à mon arrivé, un guerrier blésssser s’était présenter au temple. Il disait s’être blessé à un entrainement, il avait dit un nom aussssi. Ssss. Désolé, je ne m’en souviens pas très bien. Cela finisssait par Lasssss aussi. Il faudra que je demande au prêtre qui la soigné à ce propos.
Le jeune garçon rougeoyant devait avoir d’autres projets que d’aller dans un temple de Théno, dieu des éléments. La plupart des jeunes, surtout ceux dans le combat, préfèrent aller à l’aventure que de passer par un temple. De toute façon, je n’avais pas plus d’information à lui fournir, je ne pouvais pas être d’une grande aide pour lui. J’attendrais donc sa réponse, s’il veut bien parler à mon confrère, je le guiderais, sinon on reprendra chacun sa route, j’imaginais.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A l'aide de son prochain
La prêtresse se mit à réfléchir, ramenant sa main vers son menton. j'espérai qu'elle se rappelle d'un quelconque détail. Si ce nom lui rappelait quelque chose, cela m'éviterait de retourner dans le hall à attendre au milieu de la cohue générale. Sinon, je savais ce qu'il me restait à faire.
Euryssa – Le premier jour où j’ai ssservi ici à mon arrivé, un guerrier blésssser s’était présenter au temple. Il disait s’être blessé à un entrainement, il avait dit un nom aussssi. Ssss. Désolé, je ne m’en souviens pas très bien. Cela finisssait par Lasssss aussi. Il faudra que je demande au prêtre qui la soigné à ce propos.
C'est mon Jour de chance. il ne fallait pas que je m'enflamme pour autant, elle semblait se souvenir de quelqu'un dont le nom se terminait par las. Des gens avec un nom se terminant ainsi, il devait y en avoir une flopée. De toute façon ça ne me coûtait rien d'essayer. Kulir descendit de mon épaule pour se blottir près de la femme serpent. Depuis qu'on l'avait croisé, il était devenu bizarre, habituellement il a peur de tout et de rien et la seule personne qu'il arrive à approcher c'est moi. Or, depuis aujourd'hui, il s'était tenu auprès du blessé et il avait l'air d'apprécier la serpente au point de se coller à elle. je fronçai les sourcils.
Garràn - Kulir vient ici. je tapais à deux reprises dans mes mains. il se retourna et positionna à mis distance entre la femme serpente et moi. Je suis désolé, les évènements d'aujourd'hui l'ont quelque peut secoué on dirait, il ne réagit pas comme cela d'habitude.
Le mieux pour aujourd'hui était d'aller voir avec elle son collègue prêtre pour avoir un peu plus d'information. on verra ensuite ce qu'il se passera. je regardais avec insistance la prêtresse, j'étais des plus sérieux.
Garràn - Pourriez-vous m'accompagner voir votre confrère, s'il sait quoi que ce soit sur l'homme que je recherche, cela me permettrait peut-être de le retrouver plus facilement. Bien sûr, je peux tout à fait comprendre que vous ne vouliez pas. Je lui fis un petit sourire . C'est la première fois que nous nous croisons et dans des circonstances, pour le moins qu'on puisse dire, particulières.
Euryssa – Le premier jour où j’ai ssservi ici à mon arrivé, un guerrier blésssser s’était présenter au temple. Il disait s’être blessé à un entrainement, il avait dit un nom aussssi. Ssss. Désolé, je ne m’en souviens pas très bien. Cela finisssait par Lasssss aussi. Il faudra que je demande au prêtre qui la soigné à ce propos.
C'est mon Jour de chance. il ne fallait pas que je m'enflamme pour autant, elle semblait se souvenir de quelqu'un dont le nom se terminait par las. Des gens avec un nom se terminant ainsi, il devait y en avoir une flopée. De toute façon ça ne me coûtait rien d'essayer. Kulir descendit de mon épaule pour se blottir près de la femme serpent. Depuis qu'on l'avait croisé, il était devenu bizarre, habituellement il a peur de tout et de rien et la seule personne qu'il arrive à approcher c'est moi. Or, depuis aujourd'hui, il s'était tenu auprès du blessé et il avait l'air d'apprécier la serpente au point de se coller à elle. je fronçai les sourcils.
Garràn - Kulir vient ici. je tapais à deux reprises dans mes mains. il se retourna et positionna à mis distance entre la femme serpente et moi. Je suis désolé, les évènements d'aujourd'hui l'ont quelque peut secoué on dirait, il ne réagit pas comme cela d'habitude.
Le mieux pour aujourd'hui était d'aller voir avec elle son collègue prêtre pour avoir un peu plus d'information. on verra ensuite ce qu'il se passera. je regardais avec insistance la prêtresse, j'étais des plus sérieux.
Garràn - Pourriez-vous m'accompagner voir votre confrère, s'il sait quoi que ce soit sur l'homme que je recherche, cela me permettrait peut-être de le retrouver plus facilement. Bien sûr, je peux tout à fait comprendre que vous ne vouliez pas. Je lui fis un petit sourire . C'est la première fois que nous nous croisons et dans des circonstances, pour le moins qu'on puisse dire, particulières.
Garràn- Expert
- Race : Dryade de feu
Re: A l'aide de son prochain
Il appela à lui son petit compagnon. La façon dont Kulir avait à se comporter faisait beaucoup penser à un chat affectueux qui aimait jouer. La façon qu’il avait à gigoter me faisait regretter de ne pas avoir une petite balle sur moi pour la lui lancer.
Garràn - Kulir vient ici. Je suis désolé, les évènements d'aujourd'hui l'ont quelque peut secoué on dirait, il ne réagit pas comme cela d'habitude.
Un peu difficile à l’imaginer. Après avoir vu une agression, ce Rintec se montrerait attachant ? Il faut dire, je ne connaissais pas la mentalité des animaux. Il connaissait mieux sa petite créature de compagnie mieux que moi.
Garràn - Pourriez-vous m'accompagner voir votre confrère, s'il sait quoi que ce soit sur l'homme que je recherche, cela me permettrait peut-être de le retrouver plus facilement. Bien sûr, je peux tout à fait comprendre que vous ne vouliez pas. C'est la première fois que nous nous croisons et dans des circonstances, pour le moins qu'on puisse dire, particulières.
Finalement, il voulait bien aller au temple. Je ne l’aurais parié. Soit, cela me ferait très plaisir d’accompagner quelqu’un jusqu’au temple. Un peu de compagnies, même brève serait agréable. Je tendis mon bras vers la sortie de la rue pour le laisser ouvrir la marche. Un peu de compagnies, même brève serait agréable. Le chemin le plus court pour aller soigner quelqu’un. En route, je voulais en savoir un peu plus sur mon nouveau camarade. Sa nature m’intriguait. Oh et après tout, n’allons pas par quatre chemins et demandons lui directement ce qu’il était pour que je puisse donner un nom à son odeur.
Euryssa – Dites moi, j’ai du malsss à identifier votre ethnie, jeune guerrier. Pardonnez-moi sssi je vous offense, j’aimerais savoir sssi vous êtes humain ou non. Sssss.
Garràn - Kulir vient ici. Je suis désolé, les évènements d'aujourd'hui l'ont quelque peut secoué on dirait, il ne réagit pas comme cela d'habitude.
Un peu difficile à l’imaginer. Après avoir vu une agression, ce Rintec se montrerait attachant ? Il faut dire, je ne connaissais pas la mentalité des animaux. Il connaissait mieux sa petite créature de compagnie mieux que moi.
Garràn - Pourriez-vous m'accompagner voir votre confrère, s'il sait quoi que ce soit sur l'homme que je recherche, cela me permettrait peut-être de le retrouver plus facilement. Bien sûr, je peux tout à fait comprendre que vous ne vouliez pas. C'est la première fois que nous nous croisons et dans des circonstances, pour le moins qu'on puisse dire, particulières.
Finalement, il voulait bien aller au temple. Je ne l’aurais parié. Soit, cela me ferait très plaisir d’accompagner quelqu’un jusqu’au temple. Un peu de compagnies, même brève serait agréable. Je tendis mon bras vers la sortie de la rue pour le laisser ouvrir la marche. Un peu de compagnies, même brève serait agréable. Le chemin le plus court pour aller soigner quelqu’un. En route, je voulais en savoir un peu plus sur mon nouveau camarade. Sa nature m’intriguait. Oh et après tout, n’allons pas par quatre chemins et demandons lui directement ce qu’il était pour que je puisse donner un nom à son odeur.
Euryssa – Dites moi, j’ai du malsss à identifier votre ethnie, jeune guerrier. Pardonnez-moi sssi je vous offense, j’aimerais savoir sssi vous êtes humain ou non. Sssss.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A l'aide de son prochain
Elle me tendit le bras vers le bout de la rue, me faisant signe d'ouvrir la marche. On se dirigeait vers les plus grands bâtiments de la ville, qu'on pouvait voir par-dessus les habitations. J'étais curieux de voir où nous allions, il me semblait qu'elle avait parlée d'un temple où elle guérissait divers blessés, mais je n'avais jamais vu un temple de ma courte existence. Serais-ce possible que ce soit ces grandes constructions justement ? On verra bien quand on y sera.
Euryssa – Dites moi, j’ai du malsss à identifier votre ethnie, jeune guerrier. Pardonnez-moi sssi je vous offense, j’aimerais savoir sssi vous êtes humain ou non. Sssss.
Il est vrai que je ressemblais beaucoup aux humains, mis à part le fait que je n'avais nul besoin de me nourrir, de dormir ou même de respirer, plutôt pratique. D'ailleurs, comment avait-elle deviné que je n'étais pas humain? Cette femme serpent m'intriguais de plus en plus. Je continuais à marcher en direction des édifices qui surplombaient la ville, les voyants se rapprocher petit à petit.
On passait devant des tavernes, des armureries et divers autres vendeurs et points de rencontres pour les différents habitants, commerçants et voyageurs qui passaient à Telbara. Je lus une pancarte au-dessus d'une taverne, il était écrit " Chez Dorcos ". Il y avait beaucoup de bruit qui venaient de derrière les portes battantes de la taverne. Je me retournais vers l'écailleuse pour lui répondre.
Garràn - Vous ne m'offensez point, il est normal que vous vouliez en savoir plus sur moi. Je lui souris amicalement. Je suis une Dryade. Mais vous ne vous êtes pas encore présenté il me semble. Je sais que vous êtes une Nagi et une prêtresse très douée, mais comment vous appelez vous?
J'étais gêné de lui poser cette question, en réalité je ne savais plus si elle m'avait révélé son nom. Décidément, j'ai une mémoire affreuse, j'avais beau la travailler fréquemment, je ne progressais pas d'un pouce. je pourrai peut-être lui demander de m'examiner, elle pouvait peut-être faire quelque chose pour ma mémoire laborieuse. On arrivait bientôt au pied des escaliers menant à une immense bâtisse.
Euryssa – Dites moi, j’ai du malsss à identifier votre ethnie, jeune guerrier. Pardonnez-moi sssi je vous offense, j’aimerais savoir sssi vous êtes humain ou non. Sssss.
Il est vrai que je ressemblais beaucoup aux humains, mis à part le fait que je n'avais nul besoin de me nourrir, de dormir ou même de respirer, plutôt pratique. D'ailleurs, comment avait-elle deviné que je n'étais pas humain? Cette femme serpent m'intriguais de plus en plus. Je continuais à marcher en direction des édifices qui surplombaient la ville, les voyants se rapprocher petit à petit.
On passait devant des tavernes, des armureries et divers autres vendeurs et points de rencontres pour les différents habitants, commerçants et voyageurs qui passaient à Telbara. Je lus une pancarte au-dessus d'une taverne, il était écrit " Chez Dorcos ". Il y avait beaucoup de bruit qui venaient de derrière les portes battantes de la taverne. Je me retournais vers l'écailleuse pour lui répondre.
Garràn - Vous ne m'offensez point, il est normal que vous vouliez en savoir plus sur moi. Je lui souris amicalement. Je suis une Dryade. Mais vous ne vous êtes pas encore présenté il me semble. Je sais que vous êtes une Nagi et une prêtresse très douée, mais comment vous appelez vous?
J'étais gêné de lui poser cette question, en réalité je ne savais plus si elle m'avait révélé son nom. Décidément, j'ai une mémoire affreuse, j'avais beau la travailler fréquemment, je ne progressais pas d'un pouce. je pourrai peut-être lui demander de m'examiner, elle pouvait peut-être faire quelque chose pour ma mémoire laborieuse. On arrivait bientôt au pied des escaliers menant à une immense bâtisse.
Garràn- Expert
- Race : Dryade de feu
Re: A l'aide de son prochain
Nous traversions le quartier des marchands où nous pouvions y voir encore touts les produits que l’on pouvait trouver sur les terres d’Orcande. Il y avait même des artisans qui montraient fièrement les créations de manufacture Telbaran. Que de joli produit il y avait. Le travail délicat qui était fait sur les moindres détails pour tout montrer bien le savoir-faire de nombreuses espèces. Le jeune garçon me répondit avec sourire et chaleureusement.
Garràn - Vous ne m'offensez point, il est normal que vous vouliez en savoir plus sur moi. Je suis une Dryade. Mais vous ne vous êtes pas encore présenté il me semble. Je sais que vous êtes une Nagi et une prêtresse très douée, mais comment vous appelez vous?
Une dryade ? Depuis toute jeune, je rêvais de rencontrer une dryade. Au vu de son aspect, j’aurais dit une dryade de feu. Évidemment, je m’attendais plus le jour où j’en verrais une, ce serait une dryade des bois femelle. Et bien que je vivais sous l’océan, je n’avais jamais vu de dryade de l’eau non plus. Mon cœur battait fort dans ma poitrine. C’était encore mieux que si on rencontrait un roi, ou un prêtre de renom. En plus, j’avais enfin l’occasion d’user les connaissances apprises quand j’étais enfant. Je lui répondis dans la langue dryade.
Euryssa – Je sssuis ravis de rencontrer une dryade, de feu. Sss’est un véritable honneur pour moi. Je me préssente, je me nomme Eurysssa. Je viens de l’océan, comme tout naga, près de Lagisse vers les montagnes.
Bien que nous puissions parler la langue commune, il était toujours agréable de parler dans la langue natale de son interlocuteur. J’utilisais encore mon accent bien évidemment, cela je n’y pouvais rien, j’espérais juste que j’étais compréhensible et que mon nouvel ami apprécie cette intention. Peut-être s’y connaissait-il aussi dans les arts et pourrait me faire une démonstration. Que ce soit dans le chant, la danse, la musique, la sculpture, la peinture, les récits… Peut importe, j’étais toujours preneuse quand il s’agissait de culture, un peu comme un péché mignon si l’on peut dire.
Garràn - Vous ne m'offensez point, il est normal que vous vouliez en savoir plus sur moi. Je suis une Dryade. Mais vous ne vous êtes pas encore présenté il me semble. Je sais que vous êtes une Nagi et une prêtresse très douée, mais comment vous appelez vous?
Une dryade ? Depuis toute jeune, je rêvais de rencontrer une dryade. Au vu de son aspect, j’aurais dit une dryade de feu. Évidemment, je m’attendais plus le jour où j’en verrais une, ce serait une dryade des bois femelle. Et bien que je vivais sous l’océan, je n’avais jamais vu de dryade de l’eau non plus. Mon cœur battait fort dans ma poitrine. C’était encore mieux que si on rencontrait un roi, ou un prêtre de renom. En plus, j’avais enfin l’occasion d’user les connaissances apprises quand j’étais enfant. Je lui répondis dans la langue dryade.
Euryssa – Je sssuis ravis de rencontrer une dryade, de feu. Sss’est un véritable honneur pour moi. Je me préssente, je me nomme Eurysssa. Je viens de l’océan, comme tout naga, près de Lagisse vers les montagnes.
Bien que nous puissions parler la langue commune, il était toujours agréable de parler dans la langue natale de son interlocuteur. J’utilisais encore mon accent bien évidemment, cela je n’y pouvais rien, j’espérais juste que j’étais compréhensible et que mon nouvel ami apprécie cette intention. Peut-être s’y connaissait-il aussi dans les arts et pourrait me faire une démonstration. Que ce soit dans le chant, la danse, la musique, la sculpture, la peinture, les récits… Peut importe, j’étais toujours preneuse quand il s’agissait de culture, un peu comme un péché mignon si l’on peut dire.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A l'aide de son prochain
Je m'arrêtais devant une immense maison. Cela devait être là, au-dessus de la porte était inscrit un symbole, une sorte de cercle avec 4 spirales partant du cercle formant une espèce de croix. Je n'avais jamais vu cela auparavant, je remarquais qu'il y en avait d'autre aux alentours. Saisie d'une profonde curiosité, mes yeux commençait à s'agrandir, j'avais même l'impression que mes cheveux virevoltaient avec fougue. je me tournais vers la prêtresse comme pour lui demander la permission d'entrer. Celle-ci me regardait intensément.
Euryssa – Je sssuis ravis de rencontrer une dryade, de feu. Sss’est un véritable honneur pour moi. Je me préssente, je me nomme Eurysssa. Je viens de l’océan, comme tout naga, près de Lagisse vers les montagnes.
Ma curiosité n'était plus dirigée vers l'édifice qui se trouvait derrière moi, mais vers la femme serpent que j'avais devant moi. J'étais stupéfait, mes yeux s'écarquillèrent, ils étaient rivés sur la serpente en face de moi. Elle parlait ma langue, je pouvais remarquer son accent, mais elle parlait très bien la langue des Dryades. Jusqu'à aujourd'hui, les seules personnes avec qui je parlais cette langue était mon frère et ma sœur. Une larme s'échappa sans que je fasse quoi que ce soit. je m'empressais de l'essuyer, je ne voulais qu'elle se moque de moi, que je sois un faible à ses yeux. Je cherchais mes mots tellement j'étais tourneboulé. Enfin, je pris le dessus sur moi-même, puis je lui répondit de même en Dryade.
Garràn - Tout le plaisir est pour moi, je suis enchanté et ravi de faire votre connaissance. Je fis un grand sourire. Excusez-moi, je n'ai plus parlé cette langue depuis des années, ça me fait grand plaisir. Peu de personne parle cette langue et je n'ai encore croisé aucun de mes semblables sur ma route et dans cette ville.
Une foultitude de question me tournait dans la tête et je ne savais pas là quelle posé en premier. Je lui proposais de me poser toutes les questions qu'elle voulait, elle avait l'air très gentille et très intéressée. En contre partie, j'avais beaucoup de questions à lui posé également, ce n'est pas tous les jours qu'on a la chance de pouvoir discuter dans sa langue natale. Je lui ouvris la porte du "temple", si c'était bien cela, et lui proposai de continuer la discution à l'intérieur.
Euryssa – Je sssuis ravis de rencontrer une dryade, de feu. Sss’est un véritable honneur pour moi. Je me préssente, je me nomme Eurysssa. Je viens de l’océan, comme tout naga, près de Lagisse vers les montagnes.
Ma curiosité n'était plus dirigée vers l'édifice qui se trouvait derrière moi, mais vers la femme serpent que j'avais devant moi. J'étais stupéfait, mes yeux s'écarquillèrent, ils étaient rivés sur la serpente en face de moi. Elle parlait ma langue, je pouvais remarquer son accent, mais elle parlait très bien la langue des Dryades. Jusqu'à aujourd'hui, les seules personnes avec qui je parlais cette langue était mon frère et ma sœur. Une larme s'échappa sans que je fasse quoi que ce soit. je m'empressais de l'essuyer, je ne voulais qu'elle se moque de moi, que je sois un faible à ses yeux. Je cherchais mes mots tellement j'étais tourneboulé. Enfin, je pris le dessus sur moi-même, puis je lui répondit de même en Dryade.
Garràn - Tout le plaisir est pour moi, je suis enchanté et ravi de faire votre connaissance. Je fis un grand sourire. Excusez-moi, je n'ai plus parlé cette langue depuis des années, ça me fait grand plaisir. Peu de personne parle cette langue et je n'ai encore croisé aucun de mes semblables sur ma route et dans cette ville.
Une foultitude de question me tournait dans la tête et je ne savais pas là quelle posé en premier. Je lui proposais de me poser toutes les questions qu'elle voulait, elle avait l'air très gentille et très intéressée. En contre partie, j'avais beaucoup de questions à lui posé également, ce n'est pas tous les jours qu'on a la chance de pouvoir discuter dans sa langue natale. Je lui ouvris la porte du "temple", si c'était bien cela, et lui proposai de continuer la discution à l'intérieur.
Garràn- Expert
- Race : Dryade de feu
Re: A l'aide de son prochain
Visiblement, j’avais vu juste. Garràn manifestait bien de la joie due fait que je lui parlais dans sa langue. S’il le désirait, nous pourrions poursuivre nos conversations ainsi. Je n’avais pas pratiqué depuis mes études et dut maintenir cette connaissance lors de petites révisions quand j’en avais l’occasion. Nous étions par contre arrivée au temple. Il fallait espérer que les autres prêtes avaient terminé leur cérémonie pour que nous puissions trouver celui qui nous intéresser.
Garràn - Tout le plaisir est pour moi, je suis enchanté et ravi de faire votre connaissance. Excusez-moi, je n'ai plus parlé cette langue depuis des années, ça me fait grand plaisir. Peu de personne parle cette langue et je n'ai encore croisé aucun de mes semblables sur ma route et dans cette ville.
Il en était tout ému. Il s’empêchait même de pleurer. Je le comprenais parfaitement, moi-même, je ne croisais pas beaucoup de représentants de ma race ici et donc peut de personne avec qui parler ma langue. À mon tour, je lui souriais pour le rassurer. Il n’y avait pas de honte à pleurer, c’était le fait de pleurer qui prouve que nous avons une âme et ne sommes pas des monstres damnés.
Euryssa – Je me disais jussstement, si vous le désirez, nous pourrions parler en votre langue, ssss, pendant nos discussssions futur.
Garràn fut des plus galant. Il m’invita à entrer en tenant la porte avec beaucoup de gentillesse. Sur le coup, je me disais que c’étaient probablement les dieux qui nous ont fait nous rencontrer pour des dessins futurs. D’ailleurs, sur le coup, je voulus faire un peu d’humour :
Euryssa – Dans le temple de Théno, vous devriez ssssêtre dans votre élément.
Un petit jeu de mot sympathique pour renforcer nos liens. Apparemment, les prêtres avaient terminé la cérémonie et venaient juste de sortir de la grande salle. Je pouvais apercevoir celui que nous cherchions discuter avec trois confrères près de l’autel. Je me proposai à la dryade de feu de l’accompagner. Aborder un prêtre, surtout en pleine discussion n’était pas toujours pas facile et pouvait même paraitre impressionnant pour beaucoup. Des gens se montraient bien souvent timides pour nous approcher, de peur d’en vexer un et de le mettre en colère. Car mettre un prêtre à dos, c’était un peu se mettre les divins sur le dos aussi. Toutefois, il était important d’installer un climat de confiance, car sinon, ce serait les résultats contraires qui se produiront par rapport à notre sainte mission. Garràn m’avait bien dit qu’avant de me rencontrer, il ne connaissait pas notre magie du soin. Il n’avait pas rencontré de prêtre avant, ou bien n’en avait pas côtoyait. Il pouvait bien être aussi impressionné et se bloquer, ou manquer de tact et jouer les bourrins. Mais j’en doutais.
Garràn - Tout le plaisir est pour moi, je suis enchanté et ravi de faire votre connaissance. Excusez-moi, je n'ai plus parlé cette langue depuis des années, ça me fait grand plaisir. Peu de personne parle cette langue et je n'ai encore croisé aucun de mes semblables sur ma route et dans cette ville.
Il en était tout ému. Il s’empêchait même de pleurer. Je le comprenais parfaitement, moi-même, je ne croisais pas beaucoup de représentants de ma race ici et donc peut de personne avec qui parler ma langue. À mon tour, je lui souriais pour le rassurer. Il n’y avait pas de honte à pleurer, c’était le fait de pleurer qui prouve que nous avons une âme et ne sommes pas des monstres damnés.
Euryssa – Je me disais jussstement, si vous le désirez, nous pourrions parler en votre langue, ssss, pendant nos discussssions futur.
Garràn fut des plus galant. Il m’invita à entrer en tenant la porte avec beaucoup de gentillesse. Sur le coup, je me disais que c’étaient probablement les dieux qui nous ont fait nous rencontrer pour des dessins futurs. D’ailleurs, sur le coup, je voulus faire un peu d’humour :
Euryssa – Dans le temple de Théno, vous devriez ssssêtre dans votre élément.
Un petit jeu de mot sympathique pour renforcer nos liens. Apparemment, les prêtres avaient terminé la cérémonie et venaient juste de sortir de la grande salle. Je pouvais apercevoir celui que nous cherchions discuter avec trois confrères près de l’autel. Je me proposai à la dryade de feu de l’accompagner. Aborder un prêtre, surtout en pleine discussion n’était pas toujours pas facile et pouvait même paraitre impressionnant pour beaucoup. Des gens se montraient bien souvent timides pour nous approcher, de peur d’en vexer un et de le mettre en colère. Car mettre un prêtre à dos, c’était un peu se mettre les divins sur le dos aussi. Toutefois, il était important d’installer un climat de confiance, car sinon, ce serait les résultats contraires qui se produiront par rapport à notre sainte mission. Garràn m’avait bien dit qu’avant de me rencontrer, il ne connaissait pas notre magie du soin. Il n’avait pas rencontré de prêtre avant, ou bien n’en avait pas côtoyait. Il pouvait bien être aussi impressionné et se bloquer, ou manquer de tact et jouer les bourrins. Mais j’en doutais.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A l'aide de son prochain
Elle me souriait, comme une mère réconfortant son enfant. Cela me soulageait et m'apaisais. J'avais maintenant une sorte de boule au ventre, entre l'excitation et l'angoisse. Comme quoi mère nature nous réserve toujours des surprises, je regardais le ciel et fermais les yeux, je la remerciais de m'avoir fait rencontrer cette Naga qui parlait le Dryade. Je sentais qu'une étape venais d'être franchi dans la reconquête de mon passé.
Euryssa – Je me disais jussstement, si vous le désirez, nous pourrions parler en votre langue, ssss, pendant nos discussssions futur.
J'acceptais sa proposition, si toutefois cela ne l'a dérangeait pas. Euryssa rentrait dans le temple la première, puis je la suivais. Nous étions maintenant dans le hall du temple, C'était extrêmement grand et spacieux. Il y avait toute sorte de motif sur les piliers, l'architecture de la voûte formait un éventail très décoratif. La lumière passait au travers de grandes fenêtres colorées représentant des personnes. Cela devait être des gens importants.
Euryssa – Dans le temple de Théno, vous devriez ssssêtre dans votre élément.
Qui est ce Théno? le propriétaire de ce temple? Il devait être très riche pour avoir une habitation aussi grande. Mais alors pourquoi dans mon élément? Bizarre. Je m'apprêtais à lui poser la question, mais la femme serpent me montra le prêtre qui avait consulté l'homme que je recherche. Il était en train de discuter avec 3 autres prêtres près d'une table toute blanche. Euryssa m'indiquait qu'elle allait m'accompagner. Encore une fois elle me rassurait, je ne suis pas à l'aise avec les gens que je ne connaissais pas, pourtant il y a peu, elle m'était tout aussi inconnu que ces 3 prêtres. Ce n'était pas non plus dans les mêmes conditions, en temps normal, j'essaye d'éviter tout contact avec autrui, mais là, je ne sais pour quelle raison, j'arrivais à discuter normalement avec Euryssa. Je l'a remerciais d'un signe de la tête et lui sourie.
Je me dirigeais en direction des 3 prêtres qui discutaient entre eux. En me rapprochant, je pus identifier la table blanche. On aurait dit du marbre. Sur la table, il y avait des bols dans lesquels se trouvait divers ressources. De l'eau, des fleurs, de la nourriture et ... de l'encens. Ce dernier élément me rappelait une vieille anecdote. je souriais en voyant le bol rempli d'encens.
J'arrivais maintenant à côté d'eux, ils étaient tous les 3 vêtu de la même fessons, une bure claire, une ceinture en cuir et l'aumusse qui reposait sur les épaules et le long du dos. Ils n'avaient pas remarqué m'a présence on dirait. Mais le fait qu'Euryssa était derrière moi me rassurait. J'insistais donc pour interrompre leur discution sans être impoli.
Garràn - Heu ... Excusez-moi messieurs. Ils tournèrent leur tête vers moi. Puis-je vous interrompre un cours instant?
Euryssa – Je me disais jussstement, si vous le désirez, nous pourrions parler en votre langue, ssss, pendant nos discussssions futur.
J'acceptais sa proposition, si toutefois cela ne l'a dérangeait pas. Euryssa rentrait dans le temple la première, puis je la suivais. Nous étions maintenant dans le hall du temple, C'était extrêmement grand et spacieux. Il y avait toute sorte de motif sur les piliers, l'architecture de la voûte formait un éventail très décoratif. La lumière passait au travers de grandes fenêtres colorées représentant des personnes. Cela devait être des gens importants.
Euryssa – Dans le temple de Théno, vous devriez ssssêtre dans votre élément.
Qui est ce Théno? le propriétaire de ce temple? Il devait être très riche pour avoir une habitation aussi grande. Mais alors pourquoi dans mon élément? Bizarre. Je m'apprêtais à lui poser la question, mais la femme serpent me montra le prêtre qui avait consulté l'homme que je recherche. Il était en train de discuter avec 3 autres prêtres près d'une table toute blanche. Euryssa m'indiquait qu'elle allait m'accompagner. Encore une fois elle me rassurait, je ne suis pas à l'aise avec les gens que je ne connaissais pas, pourtant il y a peu, elle m'était tout aussi inconnu que ces 3 prêtres. Ce n'était pas non plus dans les mêmes conditions, en temps normal, j'essaye d'éviter tout contact avec autrui, mais là, je ne sais pour quelle raison, j'arrivais à discuter normalement avec Euryssa. Je l'a remerciais d'un signe de la tête et lui sourie.
Je me dirigeais en direction des 3 prêtres qui discutaient entre eux. En me rapprochant, je pus identifier la table blanche. On aurait dit du marbre. Sur la table, il y avait des bols dans lesquels se trouvait divers ressources. De l'eau, des fleurs, de la nourriture et ... de l'encens. Ce dernier élément me rappelait une vieille anecdote. je souriais en voyant le bol rempli d'encens.
J'arrivais maintenant à côté d'eux, ils étaient tous les 3 vêtu de la même fessons, une bure claire, une ceinture en cuir et l'aumusse qui reposait sur les épaules et le long du dos. Ils n'avaient pas remarqué m'a présence on dirait. Mais le fait qu'Euryssa était derrière moi me rassurait. J'insistais donc pour interrompre leur discution sans être impoli.
Garràn - Heu ... Excusez-moi messieurs. Ils tournèrent leur tête vers moi. Puis-je vous interrompre un cours instant?
Garràn- Expert
- Race : Dryade de feu
Re: A l'aide de son prochain
Cette pauvre petite dryade était toute timide. Elle hésitait à parler aux prêtres. Sur le coup, on aurait cru voir un enfant qui voulait parler sans oser à son père. Je le laissai prendre la parole.
Garràn - Heu ... Excusez-moi messieurs. Ils tournèrent leur tête vers moi. Puis-je vous interrompre un cours instant?
Mince alors ! Ces derniers n’arrangeaient pas la situation. Ils le dévisageaient comme si Garràn venait les importuner par plaisir. Ne leur à ton pas appris, que même en plein discours, ou discussion quel qu’elle soit son importance, il fallait prêter attention aux personnes qui viennent nous voir ? Car cela pouvait représenter une importance immédiate quelqu’un de blesser, mourant, une malédiction et si le prêtre n’en faisaient attention… Quel message transmettra-t-il ? Leur regard froid et disant pouvait déstabiliser n’importe qui. Peut-être ne se rendaient-ils pas compte et ce n’était donc pas fait exprès. J’ai donc voulu prendre les devants pour installer une atmosphère plus sereine et facilité l’échange entre la dryade et le prêtre :
Euryssa – Toutes nos excussssses mes frères. Mais sse jeune garsson à besoin de parler à l’un d’entre vous. Il doit retrouver un ami. Je penssse que c’est vous jussstement qui pouvait l’aider.
Je désignai de ma main libre le prêtre à côté de moi pour le présenter. Leur visage s’était adouci, mais leur interrogation s’y lisait à présent. Je restais à côté pour apporter un soutien physique et moral pour Garràn car ces prêtres restaient encore très impressionnants et leur petit groupe rapprocher formait une sorte de bulle.
Garràn - Heu ... Excusez-moi messieurs. Ils tournèrent leur tête vers moi. Puis-je vous interrompre un cours instant?
Mince alors ! Ces derniers n’arrangeaient pas la situation. Ils le dévisageaient comme si Garràn venait les importuner par plaisir. Ne leur à ton pas appris, que même en plein discours, ou discussion quel qu’elle soit son importance, il fallait prêter attention aux personnes qui viennent nous voir ? Car cela pouvait représenter une importance immédiate quelqu’un de blesser, mourant, une malédiction et si le prêtre n’en faisaient attention… Quel message transmettra-t-il ? Leur regard froid et disant pouvait déstabiliser n’importe qui. Peut-être ne se rendaient-ils pas compte et ce n’était donc pas fait exprès. J’ai donc voulu prendre les devants pour installer une atmosphère plus sereine et facilité l’échange entre la dryade et le prêtre :
Euryssa – Toutes nos excussssses mes frères. Mais sse jeune garsson à besoin de parler à l’un d’entre vous. Il doit retrouver un ami. Je penssse que c’est vous jussstement qui pouvait l’aider.
Je désignai de ma main libre le prêtre à côté de moi pour le présenter. Leur visage s’était adouci, mais leur interrogation s’y lisait à présent. Je restais à côté pour apporter un soutien physique et moral pour Garràn car ces prêtres restaient encore très impressionnants et leur petit groupe rapprocher formait une sorte de bulle.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A l'aide de son prochain
Décidément, il n'y avait rien à faire, parler aux gens comme ça ne me mettais pas à l'aise. Ils me dévisageaient et m'examinaient de la tête aux pieds, comme pour me faire comprendre que je dérangeais leur discussion. Mince alors, je voulais simplement me renseigner, je ne voulais pas les interrompre sans raison. Déstabilisé, je fis un pas en arrière, leur regard ne m'inspiraient pas confiance. Mais une fois de plus, Euryssa me rassurait. Elle s'était avancée et s'apprêtait à engager la conversation avec eux. Elle était si gentille avec moi, j'avais vraiment eu beaucoup de chance de la rencontrer ici.
Euryssa – Toutes nos excussssses mes frères. Mais sse jeune garsson à besoin de parler à l’un d’entre vous. Il doit retrouver un ami. Je penssse que c’est vous jussstement qui pouvait l’aider.
Elle désignait maintenant de sa main libre le prêtre en question. L'atmosphère s'était détendue d'un coup. Je préférai largement cette ambiance, et la présence d'Euryssa m'encourageait. Je m'avançais puis regardais le prêtre en face de moi. J'étais encore un peu crispé, mais je me lançais tout de même.
Garràn - Je suis vraiment désolé de vous déranger en pleine discussion, mais j'aurai quelques questions à vous poser au sujet d'un guerrier que vous auriez probablement soigné il y a quelque temps.
Prêtre - Oui, vas-y je t'écoute mon jeune enfant.
Garràn - Et bien je suis à la recherche d'un guerrier se nommant Eärorfilas, il est membre de la Guilde des Guerriers. Est-ce que ce nom vous rappelle quelque chose?
Prêtre - Se frottant la tête. Hmmm ... ce nom me dit quelque chose, en effet.
Garràn - j'essayais de rester calme, j'étais tout excité par sa réponse. Pourriez-vous me le décrire?
Prêtre - Oui, certainement. C'était un grand guerrier, plutôt mince et agile. De long cheveux brun qui lui tombait jusqu'aux épaules. Il était très poli. Si je me souviens bien, il s'était blessé en s'entraînant, sans doute au tir à l'arc puisqu'il était venu avec son arc et son carquois.
Garràn - Avait-il des yeux de couleur azur?
Prêtre - oui, en effet, des yeux faisant penser à la couleur de l'océan Haquemire.
Garràn - Est-ce que par hasard, vous sauriez où est-ce qu'il serait allé ensuite? Ou un quelconque lieu qu'il aurait mentionné?
Prêtre - Il me semble qu'il avait évoqué le nom d'une taverne à Telbara. Drocso ou Drosso, le nom de la taverne m'échappe.
Garràn - Je vous remercie infiniment monsieur! Je laissais apparaître un large sourire sur mon visage. Merci beaucoup.
Prêtre - Tout le plaisir est pour moi. Il me renvoya un sourire. J'espère que vous trouverez ce que vous cherchez. Que le Dieu-Gardien veille sur vous.
Je saluais les 3 prêtres et pris congé d'eux. Finalement, il ne fallait pas se fier à la première impression, ils m'avaient beaucoup aidé. Au moins, je savais qu'il était à Telbara. Après avoir fait quelques pas vers la sortie, le prêtre revînt me voir.
Prêtre - Je me souviens de son nom, à se Guerrier aux yeux bleu. Il s'agissait de Orifilas. J'espère que cela pourra vous aider.
Il me salua avant de rejoindre ses confrère. Le doute s'installa en moi. Je me grattais la tête, perplexe. Ce n'était pas la même personne? Où est-ce qu'il aurait changé délibérément son nom? Je me posais beaucoup de questions. Si toutefois il s'agissait bien de lui. Je devais le rencontrer pour en savoir plus à son sujet. Je me tournais maintenant vers Euryssa.
Garràn - Je vous remercie sincèrement. Mon sourire devait faire deux fois le tour de mon visage tellement j'étais content. Vous m'avez beaucoup aidé depuis que je vous ai croisé sur la place. Et je ne sais comment vous remercier. Merci infiniment.
Je m'inclinais à la perpendiculaire, faisant une révérence plus ou moins grossière par rapport à celle que j'avais appris un peu plus tôt.
Euryssa – Toutes nos excussssses mes frères. Mais sse jeune garsson à besoin de parler à l’un d’entre vous. Il doit retrouver un ami. Je penssse que c’est vous jussstement qui pouvait l’aider.
Elle désignait maintenant de sa main libre le prêtre en question. L'atmosphère s'était détendue d'un coup. Je préférai largement cette ambiance, et la présence d'Euryssa m'encourageait. Je m'avançais puis regardais le prêtre en face de moi. J'étais encore un peu crispé, mais je me lançais tout de même.
Garràn - Je suis vraiment désolé de vous déranger en pleine discussion, mais j'aurai quelques questions à vous poser au sujet d'un guerrier que vous auriez probablement soigné il y a quelque temps.
Prêtre - Oui, vas-y je t'écoute mon jeune enfant.
Garràn - Et bien je suis à la recherche d'un guerrier se nommant Eärorfilas, il est membre de la Guilde des Guerriers. Est-ce que ce nom vous rappelle quelque chose?
Prêtre - Se frottant la tête. Hmmm ... ce nom me dit quelque chose, en effet.
Garràn - j'essayais de rester calme, j'étais tout excité par sa réponse. Pourriez-vous me le décrire?
Prêtre - Oui, certainement. C'était un grand guerrier, plutôt mince et agile. De long cheveux brun qui lui tombait jusqu'aux épaules. Il était très poli. Si je me souviens bien, il s'était blessé en s'entraînant, sans doute au tir à l'arc puisqu'il était venu avec son arc et son carquois.
Garràn - Avait-il des yeux de couleur azur?
Prêtre - oui, en effet, des yeux faisant penser à la couleur de l'océan Haquemire.
Garràn - Est-ce que par hasard, vous sauriez où est-ce qu'il serait allé ensuite? Ou un quelconque lieu qu'il aurait mentionné?
Prêtre - Il me semble qu'il avait évoqué le nom d'une taverne à Telbara. Drocso ou Drosso, le nom de la taverne m'échappe.
Garràn - Je vous remercie infiniment monsieur! Je laissais apparaître un large sourire sur mon visage. Merci beaucoup.
Prêtre - Tout le plaisir est pour moi. Il me renvoya un sourire. J'espère que vous trouverez ce que vous cherchez. Que le Dieu-Gardien veille sur vous.
Je saluais les 3 prêtres et pris congé d'eux. Finalement, il ne fallait pas se fier à la première impression, ils m'avaient beaucoup aidé. Au moins, je savais qu'il était à Telbara. Après avoir fait quelques pas vers la sortie, le prêtre revînt me voir.
Prêtre - Je me souviens de son nom, à se Guerrier aux yeux bleu. Il s'agissait de Orifilas. J'espère que cela pourra vous aider.
Il me salua avant de rejoindre ses confrère. Le doute s'installa en moi. Je me grattais la tête, perplexe. Ce n'était pas la même personne? Où est-ce qu'il aurait changé délibérément son nom? Je me posais beaucoup de questions. Si toutefois il s'agissait bien de lui. Je devais le rencontrer pour en savoir plus à son sujet. Je me tournais maintenant vers Euryssa.
Garràn - Je vous remercie sincèrement. Mon sourire devait faire deux fois le tour de mon visage tellement j'étais content. Vous m'avez beaucoup aidé depuis que je vous ai croisé sur la place. Et je ne sais comment vous remercier. Merci infiniment.
Je m'inclinais à la perpendiculaire, faisant une révérence plus ou moins grossière par rapport à celle que j'avais appris un peu plus tôt.
Garràn- Expert
- Race : Dryade de feu
Re: A l'aide de son prochain
L’échange entre le prêtre et la dryade se passèrent à merveille. Le mauvais départ qu’il avait pris avec son comportement était vite corriger par sa courtoisie et sa façon de répondre avec plaisir. Je laissais les deux hommes discutait, tout en jouant les indiscrètes. N’avais-je pas dit que je resterais à côté de Garràn pour le rassurer ? Il était donc logique que j’entende ce qu’ils disaient. Le prêtre fit un rapide descriptif de la personne qu’il avait soigné. Apparemment, ce portrait correspondait bien à la personne que recherchait la jeune dryade. Il chauffait, sans faire de jeu de mots encore, de son but. De plus, l’ancien blessé du prêtre avait dit sa destination en partant. Voilà qui facilitait bien les choses. Par contre, une taverne… Vraiment le repère des gens alcoolique et bourrin. J’évite au mieux de mettre mon museau à l’intérieur de tel établissement. Je le faisais quand je n’avais nulle part ailleurs allé, mais j’essayais toujours de m’installer sois dans un temple, même rustique. Je ne savais donc pas si je devais oui ou non l’accompagné là-bas. Et pourquoi donc devrais-je le faire ? Je l’avais aidé jusque-là, je n’allais pas le coller à ses bottes.
Leur discussion prit fin et Garràn s’en alla, chacun se saluant avant de se séparer. Je restais un peu à l’écart, les regardant tout deux s’éloigner. La dryade alla vers la sortie, sans doute pour trouver cette auberge. Mais, alors qu’il allait franchir la grande porte, le prêtre revint vers lui pour lui apporter une nouvelle information. Il se souvenait du nom de son blessé « Orifilas ». Ce nom n’était pas le même que celui qu’il recherchait. Erreur sur la personne ? Frère jumeau caché ? Un mystère, mais dont j’avais peu de chance de m’en occuper, cette affaire ne me concernait nullement. Je regardais la dryade partir. De même, j’allais me congédier, j’avais besoin d’un peu de repos.
Leur discussion prit fin et Garràn s’en alla, chacun se saluant avant de se séparer. Je restais un peu à l’écart, les regardant tout deux s’éloigner. La dryade alla vers la sortie, sans doute pour trouver cette auberge. Mais, alors qu’il allait franchir la grande porte, le prêtre revint vers lui pour lui apporter une nouvelle information. Il se souvenait du nom de son blessé « Orifilas ». Ce nom n’était pas le même que celui qu’il recherchait. Erreur sur la personne ? Frère jumeau caché ? Un mystère, mais dont j’avais peu de chance de m’en occuper, cette affaire ne me concernait nullement. Je regardais la dryade partir. De même, j’allais me congédier, j’avais besoin d’un peu de repos.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
Re: A l'aide de son prochain
Je pris congé d'Euryssa et la remerciai pour tout ce qu'elle avait fait pour moi. C'est ici que nos chemins se séparaient. Peut être qu'ils seront amenés à se croiser plus tard. On ne sait pas ce que nous réserve l'avenir. Je poussais la porte pour sortir. Où est passé encore Kulir, il n'était pas avec moi quand je discutais avec le prêtre. Je me retournais et l'apercevais sur la table en marbre. Il dégustait la nourriture qui était dans les bols. Je l'appelais en tapant à deux reprises dans mes mains, ce dernier me regarda puis il vînt me voir. Il monta dans la sacoche, sans doute pour faire une sieste comme il en avait l'habitude.
Il commençait à se faire tard. Je décidais d'aller à cette taverne dont m'avait parlé le prêtre. Il me semble que nous l'avions croisé tout à l'heure. Je rebroussais chemin, me dirigeant vers la place du marché où avait eu lieu l'agression un peu plus tôt dans la journée. En effet, la taverne était bien sur le trajet, la pancarte indiquait "Chez Dorcos" , c'était certainement ici. Avec un peu de chance, il venait fréquemment dans cette taverne. Je poussais les portes battantes. Une ambiance festive s'était emparé de la taverne, les gens rigolaient bruyamment, comptaient leurs exploits, racontaient de merveilleuses histoires et buvaient à s'en remplir le gosier. Je ne voyais pas d'homme ressemblant à la description du prêtre, il n'était peut-être pas encore arrivé. Je m'asseyais dans un coin, espérant croisé cet "Orifilas".
Cela faisait maintenant un bon moment que j'attendais dans mon coin. Surpris, je vis entrer une personne qui m'était familière. Qu'est-ce qu'il venait faire ici lui, le blessé grave d'aujourd'hui. Il n'avait pas l'air de m'avoir remarqué, je mis m'a capuche pour être un peu plus discret. Il s'était assis à une table non loin de la mienne, avec un Minautore avec des motifs sur ses cornes et un Humain aux cheveux sombres avec une grande balafre sur son visage, partant de son crâne jusqu'à sa mâchoire. Il n'y avait plus de cheveux sur sa tête au niveau de sa cicatrice, ni de sourcil d'ailleurs. Il était effrayant. Ce n'était vraiment pas dans ma nature d'espionner les gens comme ça, mais il n'avait pas voulu nous expliquer ce qui lui était arrivé et avait refusé l'aide de la garde. J'avais beaucoup de doute à son sujet, je devais en savoir plus. Il fallait que je me place juste derrière eux pour entendre discrètement leur conversation.
Je me levais pour me rapprocher un peu plus. Ils devaient certainement parler argent puisque la victime de tout à l'heure venait de poser un sac sur la table, vu le bruit de ce dernier en se posant sur la table, ça ne devait pas être des cailloux. Il était en train d'engager des mercenaires? Je devais en avoir le cœur net. Je me rapprochais encore un peu, bousculant au passage quelqu'un, je ne fis pas attention à lui. Mes pieds décolèrent soudain de terre, j'aurais peut-être du faire attention en fait.
Zirak - Mais je me souviens de toi! On s'est croisé à la Guilde des Guerriers, il me semble. Et si je me souviens bien, tu m'avais bousculé de la même fessons !!
Dans quel pétrin je mettais encore fourré. Les autres l'encourageaient et criaient son nom. J'essayais de rester calme. Il fallait que j'apaise cette orque de malheur ou sinon j'allais passer un sale moment. J'allais perdre aussi ma filature, mince! Il me tenait par les épaules avec ses deux bras puissants. Son torse était recouvert de tatouage et de cicatrice, ça devait être un guerrier, et pas un novice vu le nombre de cicatrice sur son corps massif.
Garràn - On peut peut-être se calmer, trouver un arrangement?
La foule - Zirak! Zirak! Zirak!
Zirak - Un arrangement, rien que ça? Je vais très certainement t'arranger en moins de deux!
C'est ce moment que choisi Kulir pour sauter sur l'orque et lui mordre le bout du nez. Après quoi il se sauva de la taverne. Au moins, il était très certainement plus en sécurité que moi. L'orque était encore plus énervé je m'attendais au pire. Il me tenait encore d'une main, et de son autre main, il fracassa la table juste à côté. Si ça continuait, j'allais vraiment devoir me battre, cela allait contre mes principes, mais pour sauver ma peau je n'avais pas vraiment le choix. J'ai l'impression que partout où je passe, je sème la zizanie. Bon sang, mais dans quel pagaille je me suis encore fourré!
Il commençait à se faire tard. Je décidais d'aller à cette taverne dont m'avait parlé le prêtre. Il me semble que nous l'avions croisé tout à l'heure. Je rebroussais chemin, me dirigeant vers la place du marché où avait eu lieu l'agression un peu plus tôt dans la journée. En effet, la taverne était bien sur le trajet, la pancarte indiquait "Chez Dorcos" , c'était certainement ici. Avec un peu de chance, il venait fréquemment dans cette taverne. Je poussais les portes battantes. Une ambiance festive s'était emparé de la taverne, les gens rigolaient bruyamment, comptaient leurs exploits, racontaient de merveilleuses histoires et buvaient à s'en remplir le gosier. Je ne voyais pas d'homme ressemblant à la description du prêtre, il n'était peut-être pas encore arrivé. Je m'asseyais dans un coin, espérant croisé cet "Orifilas".
Cela faisait maintenant un bon moment que j'attendais dans mon coin. Surpris, je vis entrer une personne qui m'était familière. Qu'est-ce qu'il venait faire ici lui, le blessé grave d'aujourd'hui. Il n'avait pas l'air de m'avoir remarqué, je mis m'a capuche pour être un peu plus discret. Il s'était assis à une table non loin de la mienne, avec un Minautore avec des motifs sur ses cornes et un Humain aux cheveux sombres avec une grande balafre sur son visage, partant de son crâne jusqu'à sa mâchoire. Il n'y avait plus de cheveux sur sa tête au niveau de sa cicatrice, ni de sourcil d'ailleurs. Il était effrayant. Ce n'était vraiment pas dans ma nature d'espionner les gens comme ça, mais il n'avait pas voulu nous expliquer ce qui lui était arrivé et avait refusé l'aide de la garde. J'avais beaucoup de doute à son sujet, je devais en savoir plus. Il fallait que je me place juste derrière eux pour entendre discrètement leur conversation.
Je me levais pour me rapprocher un peu plus. Ils devaient certainement parler argent puisque la victime de tout à l'heure venait de poser un sac sur la table, vu le bruit de ce dernier en se posant sur la table, ça ne devait pas être des cailloux. Il était en train d'engager des mercenaires? Je devais en avoir le cœur net. Je me rapprochais encore un peu, bousculant au passage quelqu'un, je ne fis pas attention à lui. Mes pieds décolèrent soudain de terre, j'aurais peut-être du faire attention en fait.
Zirak - Mais je me souviens de toi! On s'est croisé à la Guilde des Guerriers, il me semble. Et si je me souviens bien, tu m'avais bousculé de la même fessons !!
Dans quel pétrin je mettais encore fourré. Les autres l'encourageaient et criaient son nom. J'essayais de rester calme. Il fallait que j'apaise cette orque de malheur ou sinon j'allais passer un sale moment. J'allais perdre aussi ma filature, mince! Il me tenait par les épaules avec ses deux bras puissants. Son torse était recouvert de tatouage et de cicatrice, ça devait être un guerrier, et pas un novice vu le nombre de cicatrice sur son corps massif.
Garràn - On peut peut-être se calmer, trouver un arrangement?
La foule - Zirak! Zirak! Zirak!
Zirak - Un arrangement, rien que ça? Je vais très certainement t'arranger en moins de deux!
C'est ce moment que choisi Kulir pour sauter sur l'orque et lui mordre le bout du nez. Après quoi il se sauva de la taverne. Au moins, il était très certainement plus en sécurité que moi. L'orque était encore plus énervé je m'attendais au pire. Il me tenait encore d'une main, et de son autre main, il fracassa la table juste à côté. Si ça continuait, j'allais vraiment devoir me battre, cela allait contre mes principes, mais pour sauver ma peau je n'avais pas vraiment le choix. J'ai l'impression que partout où je passe, je sème la zizanie. Bon sang, mais dans quel pagaille je me suis encore fourré!
Garràn- Expert
- Race : Dryade de feu
Re: A l'aide de son prochain
J’étais un peu triste de voir Garràn partir. Il était si attachant et j’étais aussi très contente de l’avoir croisé. Mais les dieux avaient prévu autre chose pour chacun. Notre mission commune était finie, nous devions prendre notre propre route. Voyant que le soleil déclinait déjà, je sentis la faim me tenaillait. Je me dirigeais vers le réfectoire des prêtres pour me restaurer. Je vis avec surprise le nombre de personnes entré en masse. J’entendis certains d’entre eux parler de meurtres dont ils ont vu. Quelle horreur, qu’arrivait-il donc à cette cité ? On parlait d’agression, d’un homme ayant tué son fils unique sauvagement et autre abomination. Je vis un couple tellement affolé qui parlait à un jeune novice. Un très jeune garçon qui venait de tout juste entrer dans les ordres. Je voulais prêter main forte, mais le jeune homme déclina mon aide avec politesse, montrant qu’il avait ce qu’il fallait. Il tendit une petite fiole avec un corbeau dessus au couple. Que c’est bizarre.
Je m’installai dans le réfectoire sur l’un des longs bancs en bois. Contrairement au reste du temple, cette pièce était moins prestigieuse que les autres. Les fenêtres étaient plus classiques et il n’y avait que des fresques qui décorer la pièce. On m’apporta rapidement une soupe de poisson avec de l’eau pure et du pain. Bien assez pour moi. Je commençais à déguster ce repas après une prière. Je mangeais lentement, je méditais sur ma journée. Au bout de quelques minutes, d’étranges bruits émanaient du couloir. Des prêtres et des prêtresses criaient et râlaient sur quelque chose. Apparemment, un intrus se baladait et semer la panique dans le temple. Je me levais de ma table et pris mon bâton pour me préparer à recevoir le visiteur. Je fus des plus surpris en le voyant débarquer tout exciter dans le réfectoire, rampant au sol et agitant son unique antenne. La petite créature se jeta devant moi faisant de grands yeux affolés. Il était bien énervé et s’agitait dans tous les sens, il tournait en rond. Un assistant arriva dans la pièce avec un grand balai :
Assistant : N’ayez crainte madame ! Je vais chasser ce monstre !
Euryssa – Non ! Laisssez-le, je le connais. Rangez votre arme mon enfant, je vais m’en occupé.
L’assistant obéit et se tint à l’écart. Je me penchai vers Kulir pour lui parler et comprendre ce qu’il voulait me dire. La pauvre petite créature était si affolée que l’on aurait cru qu’il était pris de folie.
Euryssa – Et bien Kulir, que se passse-t-il ? Esst-ce Garràn qui a des ennuissss ?
Kulir faisait des allé retour entre la porte et moi.
Euryssa – Tu es malade ? Tu veux jouer ? Ssss.
Cette fois-ci, il tourna au tour de moi et refis ses allées retour entre moi et la sortie.
Euryssa – Visssiblement, les dieux n’ont pas fini leur projet entre moi et ton maîsstre. Je vais te sssuivre.
Le Rintec continua sa chorégraphie jusqu’à ce que je me bouge. À chaque fois que j’allais là où il montrait, il me montrait la prochaine étape. C’était bien ça, il voulait me montrer là où se cachait son maître. Un grand danger devait le menaçait. Je suivis donc. Sur le chemin, je me demandais s’il ne serait pas utile de faire venir un garde. Si tel était le cas, j’en appellerais un sur la route, car je ne voulais pas perdre de temps au risque de faire condamner la petite dryade. Et si je n’avais pas le choix, j’userais de mon autorité de prêtresse. La ville était bien calme d’un seul coup, cela me dérangeait. Je me rassurais quand je vis le Rintec s’approchait d’une auberge, surement celle que Garràn devait chercher. Elle n’était plus qu’à quelques mètres devant moi, j’espère que le temps qu’il me faudra pour la rejoindre, il ne saura pas trop tard.
Je m’installai dans le réfectoire sur l’un des longs bancs en bois. Contrairement au reste du temple, cette pièce était moins prestigieuse que les autres. Les fenêtres étaient plus classiques et il n’y avait que des fresques qui décorer la pièce. On m’apporta rapidement une soupe de poisson avec de l’eau pure et du pain. Bien assez pour moi. Je commençais à déguster ce repas après une prière. Je mangeais lentement, je méditais sur ma journée. Au bout de quelques minutes, d’étranges bruits émanaient du couloir. Des prêtres et des prêtresses criaient et râlaient sur quelque chose. Apparemment, un intrus se baladait et semer la panique dans le temple. Je me levais de ma table et pris mon bâton pour me préparer à recevoir le visiteur. Je fus des plus surpris en le voyant débarquer tout exciter dans le réfectoire, rampant au sol et agitant son unique antenne. La petite créature se jeta devant moi faisant de grands yeux affolés. Il était bien énervé et s’agitait dans tous les sens, il tournait en rond. Un assistant arriva dans la pièce avec un grand balai :
Assistant : N’ayez crainte madame ! Je vais chasser ce monstre !
Euryssa – Non ! Laisssez-le, je le connais. Rangez votre arme mon enfant, je vais m’en occupé.
L’assistant obéit et se tint à l’écart. Je me penchai vers Kulir pour lui parler et comprendre ce qu’il voulait me dire. La pauvre petite créature était si affolée que l’on aurait cru qu’il était pris de folie.
Euryssa – Et bien Kulir, que se passse-t-il ? Esst-ce Garràn qui a des ennuissss ?
Kulir faisait des allé retour entre la porte et moi.
Euryssa – Tu es malade ? Tu veux jouer ? Ssss.
Cette fois-ci, il tourna au tour de moi et refis ses allées retour entre moi et la sortie.
Euryssa – Visssiblement, les dieux n’ont pas fini leur projet entre moi et ton maîsstre. Je vais te sssuivre.
Le Rintec continua sa chorégraphie jusqu’à ce que je me bouge. À chaque fois que j’allais là où il montrait, il me montrait la prochaine étape. C’était bien ça, il voulait me montrer là où se cachait son maître. Un grand danger devait le menaçait. Je suivis donc. Sur le chemin, je me demandais s’il ne serait pas utile de faire venir un garde. Si tel était le cas, j’en appellerais un sur la route, car je ne voulais pas perdre de temps au risque de faire condamner la petite dryade. Et si je n’avais pas le choix, j’userais de mon autorité de prêtresse. La ville était bien calme d’un seul coup, cela me dérangeait. Je me rassurais quand je vis le Rintec s’approchait d’une auberge, surement celle que Garràn devait chercher. Elle n’était plus qu’à quelques mètres devant moi, j’espère que le temps qu’il me faudra pour la rejoindre, il ne saura pas trop tard.
Euryssa- (personnage abandonné)
- Race : Naga
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