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Cyldarine [Demi-Elfe / Druide]

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Cyldarine [Demi-Elfe / Druide] Empty Cyldarine [Demi-Elfe / Druide]

Message  Athyl Lun 7 Sep 2015 - 12:52

Nom de votre personnage :
Cyldarine

Age de votre personnage :
21 ans

Race :
Demi-elfe

Classe :
Druide

Arme :
Un arc simple, de facture moyenne.

Armure :
Aucune

Capacité spéciale :
Transformation animale : Tigre blanc

Compétence raciale :
- Maîtrise de l’arc

Sorts ou compétences de votre personnage :
- Magie de transformation
- Magie du soin
- Magie de nature
- [Nature] Racines étrangleuses : des racines sortent du sol pour agripper l’adversaire. (3 fois maxi par combat, dure 2 posts)
- [Nature] Communion animale : Cyldarine abandonne son corps et projette sa conscience vers un animal proche. Tant que dure l’effet, elle voit au travers des yeux de celui-ci, et peut influencer ses actions (ne peut pas ordonner d’actions allant à l’encontre de toute logique comme un suicide ou contre l’instinct de survie ; l'animal reste maître de lui-même et peut refuser d'obéir, mais en général il obéit pour aider Cyldarine).
- [Transformation] novice : mileïs / expert : phaliris / elite : hippogriffe
- [Transformation] novice : kul’tak / expert : harate / elite : bitravée
- [Transformation] novice : colombe / expert : xahart / elite : nurat
- [Soin] rétablissement : Focalise l’énergie de nature pour soigner la cible sur la durée. Progressivement et pendant toute la durée de l’effet, la magie de nature soigne les blessures de la cible. (3 fois maxi par combat, dure 2 posts)
- Combat à mains nues
-

Compétences secondaires de votre personnage :
- Orientation naturelle
- Connaissance de la flore
- Connaissance de la faune

Histoire de votre personnage :
Je suis une demi-elfe des bois, le fruit de l’amour entre un humain et une elfe des bois. Ma mère, Nissa, était une mère aimante, qui aurait donné n’importe quoi pour moi. Elle a fait toute mon éducation dans les premières années de ma vie. Etant jeune, la différence entre un demi-sang comme moi et un elfe sylvain n’est pas flagrante, et ma mère a tout fait pour le cacher. Elle savait bien qu’une bâtarde comme moi serait immédiatement tuée ou chassée si on découvrait ma vraie nature.

Donc j’ai vécu la majeure partie de mon enfance parmi les elfes sylvains, dans les bois, vivant dans les arbres, jouant dans les branches avec les autres jeunes elfes. J’avais aussi un faucon, Plume, qui était mon ami et avec qui je passais les meilleurs moments de ma vie. Un jour, on frappa à la porte de notre maison. Ma mère devait savoir à quoi s’attendre, mais à huit ans, je n’en savais rien. Elle me prit par les épaules, me regardant avec sérieux, son doux visage me souriant.

"Ma chérie… Ma belle Cyldarine… Pars par les bois et cherche un village humain à l’orée de la forêt. Tu y trouveras un homme avec une cicatrice sur la joue. C’est ton père. Va et trouve-le."
"Tu viens avec moi dis maman ?"
"Je suis juste derrière toi."

Elle me souriait, et c’est avec une totale confiance en ma mère que je m’élançais par une fenêtre, avançant agilement de branche en branche, puis, quand ma progression se fit trop difficile, je marchais au sol sur les feuilles mortes de l’automne. J’ai couru un long moment avant de me retourner. Ma mère n’était pas là, alors je me suis mise à paniquer. J’ai appelé Plume, qui savait toujours où me trouver, mais lui non plus ne vint pas. J’étais toute seule dans cette vaste forêt, et j’avais peur, d’autant plus que je ne comprenais pas que ma nature était la cause de tout ça. Je regardais partout autour de moi, ma respiration s’accélérait en même temps que mon pouls. J’entendis des bruits de sabots, les elfes sylvains montaient souvent des sortes d’élans des bois pour chasser, mais cette fois, j’étais l’objet de leur chasse. Je me remets à courir en les voyants bander leurs arcs, bien sûr, ils allaient me rattraper. Un premier tir siffla près de moi, puis un second, juste à côté de ma jambe. Ils ne tiraient pas pour tuer, seulement pour me faire fuir. Soudain, le sol se déroba sous moi, un ravin en pente douce s’étendait en dessous et je chute jusqu’au fond. Je heurtais une pierre dans ma chute et tout devient noir…

***

En me réveillant, car j’étais toujours en vie, je sortis de sous l’épais tapis de feuilles mortes dans lequel j’avais chuté. Les elfes n’étaient plus à mes trousses, mais je repris ma route en courant tout de même, sans me soucier de ma blessure au crâne. Après plusieurs jours, j’émerge enfin de cette forêt apparemment sans fin. J’étais allée vers le nord, vers le royaume de Telbara, sans le savoir. Je vis alors un village, certainement celui décrit par ma mère. En repensant à elle, je crains pour son sort, mais il me faut avancer. Inconsciente du fait que mes oreilles pointues pouvaient me valoir des ennuis, même ici, j’entre dans le petit village à la recherche d’un homme avec une cicatrice sur la joue.

Je l’ignorais, mais je n’étais pas dans le bon village. Mes recherches ne donnèrent donc rien, mais les gens me jetaient des regards étranges, méfiants. Je portais de plus une tenue elfique. Finalement, un homme m’aborda, l’air bienveillant.

"Ma petite, tu es perdue ?"
"Je cherche mon papa, un homme avec une cicatrice sur la joue."
"Ah… Tu as perdu ton papa alors… Viens chez moi, tu pourras y rester jusqu’à ce qu’on le retrouve."

Je suivis l’homme. En réalité, je lui ai servi d’esclave pendant deux ans, même si il ne me traitait pas comme telle. Je n’étais pas battue, ni rabaissée, mais il me faisait faire toutes les corvées. Je le faisais bien sûr, pas par peur qu’il ne me frappe, il ne donnait vraiment pas l’air méchant, mais par reconnaissance de son geste. J’avais reconstruit ma vie ici, renonçant à trouver mon père qui n’existait peut-être pas. Seulement, si mes traits elfiques n’étaient pas très marqués à mes huit ans, lorsque j’eus atteint mes dix ans, mes oreilles étaient incontestablement pointues, et les traits de mon corps et de mon visage faisaient bien plus elfique qu’humain, même si j’étais les deux à la fois. Les insultes se faisaient de plus en plus fréquentes. « Bâtarde », « fille d’elfe », et autres insultes plus grossières encore devenaient monnaie courante. Il faut dire que si près de la forêt des elfes sylvains, on n’aimait pas vraiment cette race. Mon bienfaiteur recevait des menaces, car les gens ne voulaient pas d’ennuis avec ma race d’origine.

Finalement, un jour, on me força à partir, me traitant d’animal, de moins que rien. Si Telbara était le siège de la tolérance, dans une région si reculée, cela ne se voyait guère. Je fus renvoyée à la forêt, sans rien pour vivre, sans foyer. Mon bienfaiteur n’y put rien, il se mêla a la foule, certainement pour que je ne cherche pas à revenir, car il m’avait toujours défendue par le passé. Je rentrais donc dans les bois, seule, avec de simples vêtements humains sur moi.

***

Huit ans ont passé, huit années à vivre dans les bois. Je n’étais plus Cyldarine, j’étais un animal. Je n’avais rencontré personne depuis huit ans, je n’avais parlé à personne, à tel point que ma voix se résumait à des grognements d’animal. Je me déplaçais sur quatre pattes, bien que je fusse toujours humaine, car j’étais moins visible en rasant le sol que debout. Je ne me déplaçais pas comme un bébé, non, comme un félin plutôt. Mes mains et mes pieds étaient couverts de cicatrices et de peau morte à force de grimper aux arbres. Lorsque je chassais, je ne le faisais plus comme les humains, avec des armes fabriquées. Je chassais avec mes ongles et mes dents. Je ne raisonnais plus comme une humaine, tout cela était derrière moi, je vivais par instinct, comme une bête. Je portais toujours les vêtements du jour de mon départ de la ville humaine, je ne les avais jamais enlevés, mais ils se résumaient à de simples morceaux de tissus ne couvrant rien de ma nudité.

Comme l’avaient dit les humains, je n’étais pas humaine, j’étais une bête à présent. Je ne vivais que pour vivre le jour suivant, sans penser à rien, sans me souvenir de rien de ma vie d’antan. Je ne savais même plus ce qu’être humaine pouvait signifier. Tout cela n’avait plus de sens pour une bête sauvage. J’étais repoussante, une humaine couverte de crasse et de boue, les cheveux emmêlés, le regard vide et bestial. Et c’est un jour, vers mes seize ans, même si j’avais arrêté de compter depuis longtemps, que j’entendis des voix mélodieuses. Des elfes en patrouille dans les bois. Mais même les entendre parler n’éveillait rien en moi, rien en la bête qui ne savait même plus ce qu’était le langage. Curieuse, comme l’étaient souvent les animaux, je m’approchais des sons. Trois elfes sylvains discutaient, fascinée par ces nouvelles créatures (car j’avais oublié ce qu’était un elfe), je m’approchais encore, à quatre pattes. Ils me repérèrent, et me regardèrent avec des yeux ronds, comme si ils avaient vu quelque chose d’inédit.

"Regardez-moi cette horreur ! On lui ferait un beau cadeau en s’en débarrassant."
"Attend… C’est une femme ! Regarde son corps !"

Une femme finit par s’approcher, celle qui n’avait pas parlé. Elle me regarda alors que je poussais des grognements destinés à la faire reculer. Puis un sourire mauvais se dessina sur son visage. Bien que la coïncidence paraisse impossible, c’était bien la femme qui l’avait pourchassée de longues années auparavant. Elle ne s’en souvenait pas, mais l’elfe s’en souvenait très bien.

"Tu es tombée bien bas, l’impure. Au moins tu es à ta place."

Je ne comprenais pas un mot de ce qu’elle me disait, et je grognais encore en réponse. J’étais prête à me défendre si ces intrus s’en prenaient à moi. Un tremblement se fit entendre. Des bruits de pas lourds. Les montures des elfes commencèrent à paniquer, alors ils remontèrent en selle. L’autre me jeta un dernier regard et un sourire moqueur avant de partir. Moi aussi je devais fuir, mais par où ? Une grande silhouette se détacha de derrière les arbres, je me mis à courir, effrayée. Mais les bruits se rapprochaient. C’est alors que des racines me saisirent, m’empêchant de fuir. Je me retournai alors pour contempler l’immense chose qui se tenait derrière moi. Fait de terre, de roches et de racines, se tenait un colosse sans visage titanesque. J’étais apeurée, je griffais frénétiquement les racines qui me retenaient. Si j’avais encore eu une raison humaine, j’aurai su que cela ne servirait à rien. La créature s’arrêta devant moi, me regardant sans yeux. Sa voix s’éleva dans les airs résonnant aussi bien sur le plan physique que dans mon esprit.

"La jeune elfe se comporte comme un animal, pourtant la jeune elfe n’est pas un animal. Pourquoi la jeune elfe agit-elle ainsi ?"

Ces mots, en revanche, réveillèrent une chose en moi, une chose que je n’avais pas ressentie depuis huit ans. Cette chose, car je ne savais pas ce qu’elle était, me parlait ! Les mots revenaient petit à petit, comme des souvenirs oubliés depuis bien longtemps. Mais la bête était trop profondément ancrée en moi, et les paroles me revenant me semblaient aussitôt inutiles.

"La jeune elfe ne sait-elle pas parler ? La jeune elfe est une humaine, pas un animal pourtant."

Il avait raison. Ses mots me frappèrent comme un coup de poing au ventre, et je réalisais peu à peu ce que j’étais, ce que j’avais oublié il y a longtemps, ce que la nature m’avait pris. J’entrouvris les lèvres, tentant de pousser les mots à sortir de ma gorge. Ma voix était frêle et brisée, mais c’était ma voix tout de même.

"Q-Qui… êtes… v-vous ?"
"L’élémentaire se nomme Ashaya, créé par Elasgol. Ashaya marche, Ashaya regarde, Ashaya aide ceux qui, comme la jeune elfe, en ont besoin. Comment se nomme la jeune elfe ?"

Mon nom ? Je l’ignorais, la bête l’avait remplacé, une bête n’a pas besoin de nom. Je ne savais même pas ce que signifiait un nom. Des images me revenaient, les images d’une autre personne, à un autre moment. Une belle femme parlait à cette personne, elle parlait d’une voix cristalline, magnifique. Des larmes roulèrent sur mes joues.

"Cyl… da… rine ?"
"Cyldarine est donc le nom de la jeune elfe. Ashaya peut aider la jeune elfe à se libérer de l’animal. Ashaya peut montrer à la jeune elfe comment être un animal sans ne plus être Cyldarine."

Je hochais la tête, je commençais à comprendre de mieux en mieux ses paroles, comme si j’avais toujours su comment les comprendre. Mais ma vie commençait par l’animal, Cyldarine était une autre vie, il y a longtemps. Je ne comprenais pas comment je pourrais être elle, qui était si… humaine. Ashaya se mit à marcher jusqu’à une clairière. Là, il me posa au sol et sembla se concentrer. Des fins filaments verts sortirent paresseusement des plantes alentours, et vinrent lécher mon corps. Mes cicatrices, ma crasse, tout ce qui faisait de moi un animal, disparut peu à peu. Je commençais à me sentir plus Cyldarine, moins bestiale. Je retrouvais mon humanité.

"Ashaya va apprendre à Cyldarine les voies d’Elasgol, pour que Cyldarine puisse lutter contre l’animal qu'elle porte en elle et protéger la nature."

***

Quatre ans plus tard, je me tenais avec Ashaya dans la forêt où il m’avait recueillie. J’étais redevenue Cyldarine, bien qu’il me faille souvent lutter pour ne pas laisser ma part bestiale remonter en surface et me faire oublier que j’étais humaine. Il m’avait montré comment utiliser la nature avec respect, comment l’honorer, comment communier avec elle. Ashaya était une créature pleine de sagesse, et pleine de savoirs. Ashaya avait une dernière chose à m’apprendre. J’étais assise au bord d’un lac, lui à côté de moi, lorsqu’il prit la parole.

"Cyldarine n’est pas un animal. Mais elle peut devenir un animal, si elle le souhaite. Elasgol permet de devenir un animal, dans l’apparence. Rares sont ceux à pouvoir changer de peau, mais Cyldarine sait déjà comment faire. Cyldarine a vécu comme un animal pendant longtemps, la peau d’un animal est tout ce qu’il manquait à Cyldarine."
"Que voulez-vous dire ?"
"Ashaya veut dire que si Cyldarine laisse l’animal revenir, avec les nouveaux pouvoirs d’Elasgol, Cyldarine pourra devenir l’animal qu’elle souhaite."

Laisser l’animal revenir, j’en tremblais déjà. Je n’avais jamais désobéi à Ashaya, mais je me rappelais de cette période de ma vie, où j’avais complètement oublié d’être humaine. J’avais peur de revenir à cet état, de lui laisser le champ libre, car je ne réfléchissais plus, j’agissais uniquement par instinct. J’étais consciente que ma santé mentale était fragile, et que je pourrais bien vite revenir à l’état sauvage, j’étais comme un animal sauvage qu’on aurait domestiqué, ma volonté servant de seul mur pour ne pas revenir à cet état.

Mais je lui obéis, Ashaya était là, et j’espérais qu’il saurait me faire revenir. J’abandonnais Cyldarine, et redevenait l’animal. J’oubliais alors tout, comment parler, comment bouger comme une humaine, comment raisonner. Je n’étais qu’une bête, et je sentis des changements dans mon corps, comme si ma bête intérieure prenait encore plus de poids que jamais. J’essayais de me contrôler, de contrôler la bête et de la raisonner, mais ce changement me balaya en même temps que mon corps, et à ma place se trouvait un tigre blanc aux oreilles pointues, sauvage et indompté. J’étais le tigre blanc, Cyldarine n’existait plus, je n’avais jamais été Cyldarine. Je voulus partir mais la grande main de Ashaya me retint comme une cage.

"Cyldarine doit se souvenir de qui Cyldarine est vraiment. Sinon Cyldarine est condamnée à être un animal."

Je ne comprenais plus sa langue, et pourtant il me sembla savoir ce qu’il voulait. J’étais un tigre blanc, pas cette fichue Cyldarine qui n’existe pas ! Mais cela sonnait creux, et petit à petit, je revins à moi, toujours changée en tigre. Cyldarine était revenue des abysses de son esprit, de mon esprit. Je contemplais mon nouveau corps, puissant, agile, rapide, c’était une sensation incroyable. Sur ma simple volonté, je redevins humaine, mes cheveux noirs remplaçant le pelage du tigre sur mon crâne. Je repris forme féline, sans même laisser derrière moi mon humanité, mais je sentais toujours cette volonté écrasante de rester dans cet état et de partir vivre comme un tigre, et non comme une humaine.

"Cyldarine sera toujours confrontée à la volonté de retourner à l’état sauvage, mais Cyldarine doit toujours se rappeler qui elle est."

Apres m’être métamorphosée à nouveau, je regardais mes mains, qui auparavant étaient des pattes de tigre. J’étais fascinée par ce pouvoir, car il me permettait de laisser ma part sauvage s’exprimer sans lui lâcher la bride. J’étais toujours moi-même, même dans l’état sauvage, sauf que cet état m’ôtait tout ce qui faisait de moi une humaine, et que si ma raison fléchissait, je pourrais bien une fois encore oublier mon humanité.

***

Un an a passé depuis que je me suis séparée d’Ashaya, qui poursuivrait son voyage seul. Je lui étais infiniment reconnaissante de m’avoir ramenée à moi. Son dernier cadeau était une tenue et un arc, dont j’ignorais par quel moyen il se les était procurés. Ma part bestiale continuait de me ronger. Souvent j’avais failli revenir à l’état sauvage duquel Ashaya m’avait tirée. Une fois même, il s’en était fallu de peu que j’attaque un enfant, qui jouait tranquillement, pour me nourrir. La bête ne fait pas de cas de son repas, mais cette pensée bestiale avait suffisamment choqué ma raison pour me faire revenir.

J’étais aussi revenue parmi les humains, en masquant mes attributs elfiques pour ne pas être discriminée. Je vivais paisiblement, fascinée par ce monde que je n’avais pas revu depuis que j’en avais été chassée.
Athyl
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