Comment bien dresser son centaure
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Re: Comment bien dresser son centaure
La longue tirade de Bremig fit réfléchir la Centauresse. Bremig, en bon maître, lui accordait des faveurs, mais Vagabonde commençait à en oublier sa place d'esclave avant tout. D'être ramenée à la réalité ne lui plaisait pas, mais cela, tout le monde s'en fichait. C'était une esclave, une monture, et personne ne lui demandait ni ne lui demanderait son avis. Bremig avait juste besoin d'elle jusqu'à Leyda-Samine. Vagabonde, rendue nerveuse, frotta un sabot au sol. Puis, elle finit par sortir de ses réflexions pour déclarer :
VAGABONDE – Bien, je te porterai jusqu'à ce... Leyda-Saline. Je le ferai, même si ça m'en coûte...
Encore une fois, on ne lui demandait pas son avis. Et encore, Bremig lui avait presque laissé un choix : le supporter un jour de plus ou être vendue ici et maintenant. Vagabonde continuerait sans doute de servir de monture et de bête de somme après avoir été vendue à quelqu'un d'autre.
VAGABONDE – Mais avant ça, tu me retires ce collier. C'est uniquement après ça que je t'emmènerai. Une fois arrivés, on repartira chacun de son côté.
Mais pour qui se prenait-elle ?! N'avait-elle pas encore compris quelle était sa place ? C'était une tête dure, cette Centauresse ! Encore une fois, elle allait trop loin. Bremig perdit patience. Il se déplaça sur son flanc et lui administra une claque sèche sur la croupe.
BREMIG – Tu n'as pas à donner d'ordres. Reste à ta place. C'est à toi d'être sage, et je t'enlèverai ton collier à Leyda-Saline. Pas avant, et seulement si tu m'obéis sagement jusque là-bas.
Si elle continuait comme ça, elle allait lui faire regretter d'avoir réparé sa main et ressucité son origami. Heureusement, l'esclave parut reprendre ses esprits et se rappeler que ce n'était pas à elle de poser ses conditions. Bremig la fit marcher jusqu'à une auberge en la tenant en laisse. Il en trouva une mais contourna d'abord le bâtiment pour aller aux écuries. Il trouva un garçon en train de distribuer de la paille. Quand le garçon vit l'Orc, il se figea de terreur.
BREMIG – Du calme, garçon ! Je ne suis pas là pour te dévorer, juste pour savoir si tu peux t'occuper de cette jument pour la nuit.
Garçon – Euh... oui, oui... euh, enfin, il faudrait voir avec... euh... avec Jonan, c'est... c'est lui q...
BREMIG – Va le chercher, alors, ne me fais pas attendre.
Le garçon d'écurie lâcha sa fourche et s'éloigna pour aller parler à son patron. Temporairement seul avec Vagabonde, et se doutant que la Centauresse sauvage ne voudrait pas dormir dans une écurie, il vint lui rappeler au bout de l'oreille :
BREMIG – Rappelle-toi : reste sage, si tu veux perdre ton collier à Leyda-Saline.
Le garçon d'écurie revint avec un homme, un jeune homme en fait, pas beaucoup plus âgé que l'adolescent.
JONAN – Bonsoir Monsieur. Bien sûr, laissez-nous votre Centaure, nous allons nous occuper d'elle. Souhaitez-vous que nous l'équipions ?
BREMIG – Non, je l'ai déjà montée sans selle. Et ne la ferrez pas, nous ne restons que pour la nuit.
JONAN – Bien, Monsieur.
Bremig donna la laisse à Jonan, puis flatta le flanc équin de Vagabonde de quelques petites tapes.
VAGABONDE – Bien, je te porterai jusqu'à ce... Leyda-Saline. Je le ferai, même si ça m'en coûte...
Encore une fois, on ne lui demandait pas son avis. Et encore, Bremig lui avait presque laissé un choix : le supporter un jour de plus ou être vendue ici et maintenant. Vagabonde continuerait sans doute de servir de monture et de bête de somme après avoir été vendue à quelqu'un d'autre.
VAGABONDE – Mais avant ça, tu me retires ce collier. C'est uniquement après ça que je t'emmènerai. Une fois arrivés, on repartira chacun de son côté.
Mais pour qui se prenait-elle ?! N'avait-elle pas encore compris quelle était sa place ? C'était une tête dure, cette Centauresse ! Encore une fois, elle allait trop loin. Bremig perdit patience. Il se déplaça sur son flanc et lui administra une claque sèche sur la croupe.
BREMIG – Tu n'as pas à donner d'ordres. Reste à ta place. C'est à toi d'être sage, et je t'enlèverai ton collier à Leyda-Saline. Pas avant, et seulement si tu m'obéis sagement jusque là-bas.
Si elle continuait comme ça, elle allait lui faire regretter d'avoir réparé sa main et ressucité son origami. Heureusement, l'esclave parut reprendre ses esprits et se rappeler que ce n'était pas à elle de poser ses conditions. Bremig la fit marcher jusqu'à une auberge en la tenant en laisse. Il en trouva une mais contourna d'abord le bâtiment pour aller aux écuries. Il trouva un garçon en train de distribuer de la paille. Quand le garçon vit l'Orc, il se figea de terreur.
BREMIG – Du calme, garçon ! Je ne suis pas là pour te dévorer, juste pour savoir si tu peux t'occuper de cette jument pour la nuit.
Garçon – Euh... oui, oui... euh, enfin, il faudrait voir avec... euh... avec Jonan, c'est... c'est lui q...
BREMIG – Va le chercher, alors, ne me fais pas attendre.
Le garçon d'écurie lâcha sa fourche et s'éloigna pour aller parler à son patron. Temporairement seul avec Vagabonde, et se doutant que la Centauresse sauvage ne voudrait pas dormir dans une écurie, il vint lui rappeler au bout de l'oreille :
BREMIG – Rappelle-toi : reste sage, si tu veux perdre ton collier à Leyda-Saline.
Le garçon d'écurie revint avec un homme, un jeune homme en fait, pas beaucoup plus âgé que l'adolescent.
JONAN – Bonsoir Monsieur. Bien sûr, laissez-nous votre Centaure, nous allons nous occuper d'elle. Souhaitez-vous que nous l'équipions ?
BREMIG – Non, je l'ai déjà montée sans selle. Et ne la ferrez pas, nous ne restons que pour la nuit.
JONAN – Bien, Monsieur.
Bremig donna la laisse à Jonan, puis flatta le flanc équin de Vagabonde de quelques petites tapes.
Bremig- Elite
Re: Comment bien dresser son centaure
« Tu n'as pas à donner d'ordres. Reste à ta place. C'est à toi d'être sage, et je t'enlèverai ton collier à Leyda-Saline. Pas avant, et seulement si tu m'obéis sagement jusque là-bas. » répondit-il. Vagabonde se tait. Tant qu’elle garde ce collier, elle sera fichée « esclave en fuite ». Bremig lui a retiré la marque sur le dos, mais cela ne suffit pas.
Elle le suit. Ils progressent sur un sol dur et inégal. Les pavés manquent à plusieurs reprises de la faire trébucher, puis ils arrivent dans un endroit où le sol est beaucoup plus mou. L’odeur d’animal et la paille qui lui chatouille les pattes suffisent à lui faire comprendre qu’elle se trouve dans une écurie. Bremig échange avec un jeune humain, d’après les intonations enfantines de sa voix. Elle, elle se retourne, prête à s’en aller, quand Bremig lui murmure perfidement à l’oreille : « Rappelle-toi : reste sage, si tu veux perdre ton collier à Leyda-Saline. » Il recommence à parler avec un autre humain, puis s’éloigne en lui tapotant le flanc. Ça commence à devenir une écœurante habitude de sa part. Elle frappe violemment mais inutilement le sabot contre le sol, et le jeune humain, probablement effrayé, ne s’approche pas d’elle. Cependant elle sent encore une fois le collier qui la tire en avant pour l’emmener dans un lieu exigüe où le moindre de ses mouvements la cogne contre des planches de bois.
Elle est enfermée dans un box, comme un animal.
Complètement dépitée, Vagabonde pose sa tête contre une des planches de sa prison. Toutes ces humiliations semblent ne pas avoir de fin et les évènements de la journée l’ont épuisée. Elle finit par s’endormir.
Le lendemain, croyant s’éveiller d’un rêve, elle passe ses mains dans son dos à la recherche de son arc. Mais le vide qu’elle rencontre lui rappelle qu’elle ne va pas pouvoir aller librement chasser. D’ailleurs, elle ne pourra plus faire grand-chose librement. Par exemple, durant la journée qui suit, à son grand damne, elle dépend totalement de Bremig pour se nourrir. Elle ne peut décider de la route à prendre, ne peut choisir quand faire une pause, ne peut… rien faire d’autre qu’obéir.
Vagabonde se laisse faire. Elle ne dit plus rien et ne cherche plus à se révolter. De toute façon, chaque fois qu’elle tente quelque chose, elle se fait recadrer ce qui fini par l’épuiser. Elle n’attend plus qu’une seule chose : arriver enfin dans ce maudit village pour que cette ordure lui retire son collier et la laisse enfin partir. Il lui reste au moins ça, ce tout petit espoir qu’il lui dise la vérité et que tout rentre dans l’ordre.
Elle le suit. Ils progressent sur un sol dur et inégal. Les pavés manquent à plusieurs reprises de la faire trébucher, puis ils arrivent dans un endroit où le sol est beaucoup plus mou. L’odeur d’animal et la paille qui lui chatouille les pattes suffisent à lui faire comprendre qu’elle se trouve dans une écurie. Bremig échange avec un jeune humain, d’après les intonations enfantines de sa voix. Elle, elle se retourne, prête à s’en aller, quand Bremig lui murmure perfidement à l’oreille : « Rappelle-toi : reste sage, si tu veux perdre ton collier à Leyda-Saline. » Il recommence à parler avec un autre humain, puis s’éloigne en lui tapotant le flanc. Ça commence à devenir une écœurante habitude de sa part. Elle frappe violemment mais inutilement le sabot contre le sol, et le jeune humain, probablement effrayé, ne s’approche pas d’elle. Cependant elle sent encore une fois le collier qui la tire en avant pour l’emmener dans un lieu exigüe où le moindre de ses mouvements la cogne contre des planches de bois.
Elle est enfermée dans un box, comme un animal.
Complètement dépitée, Vagabonde pose sa tête contre une des planches de sa prison. Toutes ces humiliations semblent ne pas avoir de fin et les évènements de la journée l’ont épuisée. Elle finit par s’endormir.
Le lendemain, croyant s’éveiller d’un rêve, elle passe ses mains dans son dos à la recherche de son arc. Mais le vide qu’elle rencontre lui rappelle qu’elle ne va pas pouvoir aller librement chasser. D’ailleurs, elle ne pourra plus faire grand-chose librement. Par exemple, durant la journée qui suit, à son grand damne, elle dépend totalement de Bremig pour se nourrir. Elle ne peut décider de la route à prendre, ne peut choisir quand faire une pause, ne peut… rien faire d’autre qu’obéir.
Vagabonde se laisse faire. Elle ne dit plus rien et ne cherche plus à se révolter. De toute façon, chaque fois qu’elle tente quelque chose, elle se fait recadrer ce qui fini par l’épuiser. Elle n’attend plus qu’une seule chose : arriver enfin dans ce maudit village pour que cette ordure lui retire son collier et la laisse enfin partir. Il lui reste au moins ça, ce tout petit espoir qu’il lui dise la vérité et que tout rentre dans l’ordre.
Vagabonde- (personnage abandonné)
Re: Comment bien dresser son centaure
Après avoir laissé Vagabonde à l'écurie, Bremig alla dormir à l'auberge. Il sentit bien encore une fois les regards interloqués et effrayés des gens sur sa personne. Il n'avait pas l'allure d'un maître d'esclave mais d'un mendiant avec son pagne comme seul et unique vêtement. Pourtant, il paya sa chambre rubis sur l'ongle, et personne ne fit d'histoire au final. Il passa une bonne nuit, pendant laquelle il se demanda ce qu'il ferait de Vagabonde une fois arrivé à Leyda-Saline. Le lendemain à la première heure, il alla récupérer la Centauresse à l'écurie. Elle avait été placée dans un box parmi les autres chevaux.
Il sembla qu'enfin Vagabonde avait compris la leçon : elle se montra sage et obéissante, ne causant pas de tort ou presque à son cavalier. Elle avança à bon rythme dans la journée, et Bremig lui offrit les pauses nécessaires pour qu'elle puisse se détendre. Il ne voulait pas l'épuiser. Plusieurs fois, il essaya d'ouvrir une conversation avec elle. L'avantage d'un Centaure sur un cheval, c'est qu'il sait parler ; alors autant en profiter. Quitte à avoir un Centaure pour monture, autant s'en servir aussi pour tuer l'ennui plutôt que de rester dans le silence comme ce serait le cas lors d'un voyage solitaire à cheval.
Le trajet se passa sans encombre et la journée défila ainsi jusqu'en fin d'après-midi où ils arrivèrent enfin à Leyda-Saline. Bremig avait déjà réfléchi au sort de Vagabonde. Il ne savait pas combien de temps il passerait à Leyda-Saline, et ne voulait pas s'encombrer d'une Centauresse non dressée qui chercherait la moindre opportunité pour s'échapper ou faire du grabuge quelconque. Leyda-Saline était un petit village, et peu de gens seraient intéressés d'acheter un esclave Centaure rebelle, d'autant que Bremig n'était pas marchand ; quand il achetait, il négociait les prix à coups de poing, mais il ne savait pas vendre et ne voyait pas ce qu'il pouvait vanter chez Vagabonde. Cependant, elle venait de se montrer docile toute la journée, et Bremig lui avait promis qu'il lui retirerait au moins son collier dans ce cas.
Bremig la fit s'arrêter à cinq cents mètres du village.
BREMIG – Nous sommes arrivés. C'est bien, tu as été sage aujourd'hui. Tu as mérité de perdre ton collier.
Bremig sortit la petite clé de ses affaires et l'inséra dans le collier. Un cliquetis se fit entendre alors qu'il la fit tourner. Il rangea la clé, défit le collier en faisant attention au petit origami qui était resté sur Vagabonde toute la journée, et descendit de son dos équin en tenant le collier et la laisse dans une main.
BREMIG – Voilà, Vagabonde. Tu es libre, jusqu'à ce qu'un autre chasseur d'esclave te tombe dessus.
Il lui donna une dernière claque sur la croupe, ou plutôt sur la fesse, mais cette fois-ci, ce n'était pas pour la réprimander de quoi que ce soit, il s'agissait du même geste que l'on faisait à un cheval pour le pousser à s'enfuir au galop. Il ne savait pas si Vagabonde aurait la même réaction, et il doutait qu'elle ait envie de lui adresser un au revoir, mais sait-on jamais, elle pouvait le surprendre.
Il sembla qu'enfin Vagabonde avait compris la leçon : elle se montra sage et obéissante, ne causant pas de tort ou presque à son cavalier. Elle avança à bon rythme dans la journée, et Bremig lui offrit les pauses nécessaires pour qu'elle puisse se détendre. Il ne voulait pas l'épuiser. Plusieurs fois, il essaya d'ouvrir une conversation avec elle. L'avantage d'un Centaure sur un cheval, c'est qu'il sait parler ; alors autant en profiter. Quitte à avoir un Centaure pour monture, autant s'en servir aussi pour tuer l'ennui plutôt que de rester dans le silence comme ce serait le cas lors d'un voyage solitaire à cheval.
Le trajet se passa sans encombre et la journée défila ainsi jusqu'en fin d'après-midi où ils arrivèrent enfin à Leyda-Saline. Bremig avait déjà réfléchi au sort de Vagabonde. Il ne savait pas combien de temps il passerait à Leyda-Saline, et ne voulait pas s'encombrer d'une Centauresse non dressée qui chercherait la moindre opportunité pour s'échapper ou faire du grabuge quelconque. Leyda-Saline était un petit village, et peu de gens seraient intéressés d'acheter un esclave Centaure rebelle, d'autant que Bremig n'était pas marchand ; quand il achetait, il négociait les prix à coups de poing, mais il ne savait pas vendre et ne voyait pas ce qu'il pouvait vanter chez Vagabonde. Cependant, elle venait de se montrer docile toute la journée, et Bremig lui avait promis qu'il lui retirerait au moins son collier dans ce cas.
Bremig la fit s'arrêter à cinq cents mètres du village.
BREMIG – Nous sommes arrivés. C'est bien, tu as été sage aujourd'hui. Tu as mérité de perdre ton collier.
Bremig sortit la petite clé de ses affaires et l'inséra dans le collier. Un cliquetis se fit entendre alors qu'il la fit tourner. Il rangea la clé, défit le collier en faisant attention au petit origami qui était resté sur Vagabonde toute la journée, et descendit de son dos équin en tenant le collier et la laisse dans une main.
BREMIG – Voilà, Vagabonde. Tu es libre, jusqu'à ce qu'un autre chasseur d'esclave te tombe dessus.
Il lui donna une dernière claque sur la croupe, ou plutôt sur la fesse, mais cette fois-ci, ce n'était pas pour la réprimander de quoi que ce soit, il s'agissait du même geste que l'on faisait à un cheval pour le pousser à s'enfuir au galop. Il ne savait pas si Vagabonde aurait la même réaction, et il doutait qu'elle ait envie de lui adresser un au revoir, mais sait-on jamais, elle pouvait le surprendre.
Bremig- Elite
- Race : Demi-Orc
Re: Comment bien dresser son centaure
« Nous sommes arrivés. C'est bien, tu as été sage aujourd'hui. Tu as mérité de perdre ton collier. » Un bruit de tissus froissé. Vagabonde dresse les oreilles, tout à coup en alerte. Elle a passé la journée à marcher la tête basse et l’humeur noire. Est-ce vraiment la fin de son calvaire ? Elle a du mal à y croire. Un tintement métallique. Les mains du demi-orc sur son dos, repoussant son épaisse crinière, la sensations des pattes de l’origami qui s’enfuit un peu plus loin quand il se retrouve à découvert. Vagabonde ne peut s’empêcher de sourire. La petite créature de papier a été son seul réconfort durant cette longue journée d’humiliation. Et puis elle sent qu’il appuie sur son cou et qu’un cliquetis résonne dans son dos, elle sent un frisson lui parcourir la colonne vertébrale. Elle a presque peur de ressentir cette excitation. La froide morsure du métal s’en va en même temps que le poids du collier et de ses peines.
Bremig lui a bel et bien retiré le symbole de sa honte. Mais que fera-t-il par la suite ? Elle continue de se méfier, elle ne peut jamais trop savoir à quoi s’attendre avec lui. Il descend de son dos et elle inspire profondément. Ça fait du bien. Il est vraiment très lourd, et elle n’est pas habituée à porter de telles charges. Son dos est douloureux. « Voilà, Vagabonde. Tu es libre, jusqu'à ce qu'un autre chasseur d'esclave te tombe dessus. » La centauresse sent une pression sur son flanc : on la pousse vers l’avant, vers… la liberté.
Est-ce vrai ? Elle se précipite en avant, courant à toute allure, angoissée à l’idée que tout cela ne soit qu’une farce. Mais non, il n’y a plus aucune entrave, elle court sans s’arrêter, libre et légère.
Au milieu de l’herbe, elle se dresse sur ses deux pattes arrière, les bras écartés dans la chaleur du soleil encore chaud de la fin de l’été.
Toutes les horreurs qu’elle a subi sont derrière elle maintenant. L’origami s’agite silencieusement dans son cou. Elle retombe sur ses pattes et se retourne, oreilles dressées, queue relevée. Sans le voir, Vagabonde fait face à celui qui l’a possédée, puis libérée. Elle penche la tête sur le côté en sans savoir quoi penser de ce demi-orc…
Puis, sans plus de cérémonie, elle tourne les sabots et se rue vers sa liberté retrouvée.
Bremig lui a bel et bien retiré le symbole de sa honte. Mais que fera-t-il par la suite ? Elle continue de se méfier, elle ne peut jamais trop savoir à quoi s’attendre avec lui. Il descend de son dos et elle inspire profondément. Ça fait du bien. Il est vraiment très lourd, et elle n’est pas habituée à porter de telles charges. Son dos est douloureux. « Voilà, Vagabonde. Tu es libre, jusqu'à ce qu'un autre chasseur d'esclave te tombe dessus. » La centauresse sent une pression sur son flanc : on la pousse vers l’avant, vers… la liberté.
Est-ce vrai ? Elle se précipite en avant, courant à toute allure, angoissée à l’idée que tout cela ne soit qu’une farce. Mais non, il n’y a plus aucune entrave, elle court sans s’arrêter, libre et légère.
Au milieu de l’herbe, elle se dresse sur ses deux pattes arrière, les bras écartés dans la chaleur du soleil encore chaud de la fin de l’été.
Toutes les horreurs qu’elle a subi sont derrière elle maintenant. L’origami s’agite silencieusement dans son cou. Elle retombe sur ses pattes et se retourne, oreilles dressées, queue relevée. Sans le voir, Vagabonde fait face à celui qui l’a possédée, puis libérée. Elle penche la tête sur le côté en sans savoir quoi penser de ce demi-orc…
Puis, sans plus de cérémonie, elle tourne les sabots et se rue vers sa liberté retrouvée.
Vagabonde- (personnage abandonné)
- Race : Centaure
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