Vhaar [Loup-garou / Rôdeur]
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Vhaar [Loup-garou / Rôdeur]
Nom de votre personnage : Vhaar
Age de votre personnage : 20
Race : Loup-Garou
Classe : Rodeur
Arme : Arc
Armure : Veste de teinte marron/gris renforcée avec du cuir aux épaules par dessus des habits de marchand simples.
Physique : Cheveux noir en bataille tendu avec un bandeau rouge. Tatouage sur les bras, et pendentif divers au cou.
Capacité spéciale : Vitesse de déplacement accrue.
Compétence raciale : Combat à mains nues
Sorts ou compétences de votre personnage :
- Grande agilité
- Grande agilité ×2
- Maniement de l'arc
- Furtivité
- Précision
Compétences secondaires de votre personnage :
- Maîtrise de l'équitation
- Orientation naturelle
- Lire/écrire
- Métier : Marchand
Histoire de votre personnage :
Je suis né d'un marchand ordinaire et d'une fille de paysan. J'ai grandi comme n'importe qui, dans les bras de ma mère, puis plus tard, comme le bras de mon père. Je l'aidais à vendre ses affaires. De merveilleuses choses. Des cuirs et des fourrures, des herbes, des graines, des remèdes. Toute petite découverte devait passer par lui pour qu'il les revende. Il tenait un petit bric-à-brac dans un village pas très loin de Tacomnal. Il m'apprit à lire et à écrire, à compter les pièces. Quand je fus presque un jeune homme, il m'emmena avec lui pour rejoindre la caravane qui allait en ville. On partait, trois ou quatre fois par ans, pendant quatre à cinq jours. Il m'apprenait à chevaucher, à me repérer grâce aux étoiles, et surtout à repérer les objets de qualité qui pouvaient être revendus à un prix supérieur.
Pour mes 18 ans, il décida de m’emmener à la capitale, Tacomnal. Comme d'habitude, on rejoignit la caravane. Ce soir-là, nous nous étions arrêtés en bordure d'une forêt pour être protégés du vent. On passa une brève soirée autour d'un feu dans le brouhaha des autres marchands, puis on se retira pour s'allonger et dormir. Le ciel était magnifique, les étoiles scintillaient et la lune était pleine, rayonnant d'un blanc parfait. A peine avais-je fermé les yeux que nous fûmes réveillés par un hurlement. Je me rappelle de ce moment, les feuillages derrière nous se mirent à frémir et puis soudain, une masse sombre surgit des arbres. C'était un loup, mais il était perché sur ses deux pattes arrières et son corps avait l'air d’être étonnamment développé et puissant. D'un seul coup de pattes, il envoya deux hommes voler. Il poussa un hurlement terrifiant en crachant de la bave. Ce fut la panique, les plus courageux saisirent leurs armes mais se firent dévorer, les autres détalèrent, épouvantés. La créature continua son carnage, ne laissant personne vivant. Tout le monde fuyait. On me renversa à terre et mon visage s'aplatit dans la boue. Mon père me releva et cria "Il faut y aller !". Trop tard ! Par-dessus mon épaule, je vis le loup tout proche. Il me jeta un coup de griffe en visant mon bras et je retombai à terre. Il posa ses pattes avant, montra ses crocs dans un grognement et allait se jeter sur moi lorsque son attention fut distraite par une torche qu’agitait mon père. "Cours!" hurla-t-il. Je me levai en agrippant mon épaule et me dirigeai loin du campement. Derrière moi, le loup se jeta sur mon père, et se régala des autres retardataires. J'aurais dû rester avec lui cette nuit-là, mais il avait choisi de se sacrifier pour moi.
Je n'arrivais pas à sécher mes larmes. Je marchais d'un pas lourd, la main sur mon épaule ensanglanté, une boule au ventre. Enfin,j'aperçus mon village au loin. La vie y était la même :le marteau frappait l'enclume, le hachoir tombait sur la viande. Ma mère me vit et je lui racontai cette nuit terrifiante, ce loup humain, la mort de mon père. Elle s'écroula en pleurs. Un docteur vint voir mon épaule et la soigna du mieux qu'il put. Les jours suivants, je dus reprendre le commerce de mon père. Et la vie continua dans un chagrin immense.
Mais un mois après la nuit du loup, la lune était à nouveau pleine, comme pour me rappeler ce qu'il s'était passé. Ce soir-là, je ramassais du bois sec car les nuits étaient de plus en plus froides. Mais sous les rayons de la lune, mon corps se réchauffa, ma pilosité devint importante et mon genou craqua. Je lachai mon fagot de bois et criai de douleur. Mes os se brisèrent, mes muscles se déchirèrent, mon visage, mes membres, mon torse s'allongèrent. Je souffrais horriblement. Puis la douleur passa. Je me relevai et je poussai un hurlement effrayant. Puis tout devint noir.
Quand je rouvris les yeux, j'étais allongé au milieu des pins, exténué. Je compris alors que la griffure du loup m'avait condamné moi aussi à me transformer à chaque pleine lune. Je repartis, en me dirigeant grâce au soleil vers mon village. Je n'allais pas y rester, je ne voulais même pas que ma mère me voit. J'étais devenu un monstre, je devais partir loin. Je savais que je rentrais pour la dernière fois dans ma chaumière. Ma mère n'était pas là : comme chaque matin elle était partie s'occuper de notre échoppe. Je saisis des habits pas trop usés puis une ancienne veste de capitaine que mon père avait dénichée. Elle était d'un tissu marron avec des bandes de gris et était renforcée avec du cuir aux épaules. Je pris aussi un couteau de cuisine qui trainait, une gourde, un quignon de pain et un peu de monnaie puis je poussai la porte de la maison. Je partais de mon village pour en apprendre plus sur la malédiction qui m'avait frappé.
Age de votre personnage : 20
Race : Loup-Garou
Classe : Rodeur
Arme : Arc
Armure : Veste de teinte marron/gris renforcée avec du cuir aux épaules par dessus des habits de marchand simples.
- Spoiler:
Physique : Cheveux noir en bataille tendu avec un bandeau rouge. Tatouage sur les bras, et pendentif divers au cou.
- Spoiler:
Capacité spéciale : Vitesse de déplacement accrue.
Compétence raciale : Combat à mains nues
Sorts ou compétences de votre personnage :
- Grande agilité
- Grande agilité ×2
- Maniement de l'arc
- Furtivité
- Précision
Compétences secondaires de votre personnage :
- Maîtrise de l'équitation
- Orientation naturelle
- Lire/écrire
- Métier : Marchand
Histoire de votre personnage :
Je suis né d'un marchand ordinaire et d'une fille de paysan. J'ai grandi comme n'importe qui, dans les bras de ma mère, puis plus tard, comme le bras de mon père. Je l'aidais à vendre ses affaires. De merveilleuses choses. Des cuirs et des fourrures, des herbes, des graines, des remèdes. Toute petite découverte devait passer par lui pour qu'il les revende. Il tenait un petit bric-à-brac dans un village pas très loin de Tacomnal. Il m'apprit à lire et à écrire, à compter les pièces. Quand je fus presque un jeune homme, il m'emmena avec lui pour rejoindre la caravane qui allait en ville. On partait, trois ou quatre fois par ans, pendant quatre à cinq jours. Il m'apprenait à chevaucher, à me repérer grâce aux étoiles, et surtout à repérer les objets de qualité qui pouvaient être revendus à un prix supérieur.
Pour mes 18 ans, il décida de m’emmener à la capitale, Tacomnal. Comme d'habitude, on rejoignit la caravane. Ce soir-là, nous nous étions arrêtés en bordure d'une forêt pour être protégés du vent. On passa une brève soirée autour d'un feu dans le brouhaha des autres marchands, puis on se retira pour s'allonger et dormir. Le ciel était magnifique, les étoiles scintillaient et la lune était pleine, rayonnant d'un blanc parfait. A peine avais-je fermé les yeux que nous fûmes réveillés par un hurlement. Je me rappelle de ce moment, les feuillages derrière nous se mirent à frémir et puis soudain, une masse sombre surgit des arbres. C'était un loup, mais il était perché sur ses deux pattes arrières et son corps avait l'air d’être étonnamment développé et puissant. D'un seul coup de pattes, il envoya deux hommes voler. Il poussa un hurlement terrifiant en crachant de la bave. Ce fut la panique, les plus courageux saisirent leurs armes mais se firent dévorer, les autres détalèrent, épouvantés. La créature continua son carnage, ne laissant personne vivant. Tout le monde fuyait. On me renversa à terre et mon visage s'aplatit dans la boue. Mon père me releva et cria "Il faut y aller !". Trop tard ! Par-dessus mon épaule, je vis le loup tout proche. Il me jeta un coup de griffe en visant mon bras et je retombai à terre. Il posa ses pattes avant, montra ses crocs dans un grognement et allait se jeter sur moi lorsque son attention fut distraite par une torche qu’agitait mon père. "Cours!" hurla-t-il. Je me levai en agrippant mon épaule et me dirigeai loin du campement. Derrière moi, le loup se jeta sur mon père, et se régala des autres retardataires. J'aurais dû rester avec lui cette nuit-là, mais il avait choisi de se sacrifier pour moi.
Je n'arrivais pas à sécher mes larmes. Je marchais d'un pas lourd, la main sur mon épaule ensanglanté, une boule au ventre. Enfin,j'aperçus mon village au loin. La vie y était la même :le marteau frappait l'enclume, le hachoir tombait sur la viande. Ma mère me vit et je lui racontai cette nuit terrifiante, ce loup humain, la mort de mon père. Elle s'écroula en pleurs. Un docteur vint voir mon épaule et la soigna du mieux qu'il put. Les jours suivants, je dus reprendre le commerce de mon père. Et la vie continua dans un chagrin immense.
Mais un mois après la nuit du loup, la lune était à nouveau pleine, comme pour me rappeler ce qu'il s'était passé. Ce soir-là, je ramassais du bois sec car les nuits étaient de plus en plus froides. Mais sous les rayons de la lune, mon corps se réchauffa, ma pilosité devint importante et mon genou craqua. Je lachai mon fagot de bois et criai de douleur. Mes os se brisèrent, mes muscles se déchirèrent, mon visage, mes membres, mon torse s'allongèrent. Je souffrais horriblement. Puis la douleur passa. Je me relevai et je poussai un hurlement effrayant. Puis tout devint noir.
Quand je rouvris les yeux, j'étais allongé au milieu des pins, exténué. Je compris alors que la griffure du loup m'avait condamné moi aussi à me transformer à chaque pleine lune. Je repartis, en me dirigeant grâce au soleil vers mon village. Je n'allais pas y rester, je ne voulais même pas que ma mère me voit. J'étais devenu un monstre, je devais partir loin. Je savais que je rentrais pour la dernière fois dans ma chaumière. Ma mère n'était pas là : comme chaque matin elle était partie s'occuper de notre échoppe. Je saisis des habits pas trop usés puis une ancienne veste de capitaine que mon père avait dénichée. Elle était d'un tissu marron avec des bandes de gris et était renforcée avec du cuir aux épaules. Je pris aussi un couteau de cuisine qui trainait, une gourde, un quignon de pain et un peu de monnaie puis je poussai la porte de la maison. Je partais de mon village pour en apprendre plus sur la malédiction qui m'avait frappé.
Athyl- Membre du staff
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