Une étoile tombée du ciel
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Une étoile tombée du ciel
Quelques jours après avoir été séparé de Sahélina part l'attaque d'un géant, Woulfound décida de se rendre dans la forêt d'Elgar'a. Ne sachant pas réellement si la jeune femme le savait encore en vie, il se devait de tenter de la retrouver. Mais d'abord, il devait trouver un ami à lui vivant dans cette zone verdoyante du sud d'Orcande. Il s'agissait d'un demi-elfe sylvain à la peau grise cendrée, une mutation physique assez rare pour son peuple. Moins agressif que ses congénère, il était un alchimiste de renom ayant pris sa retraite dans le but de vivre un peu plus paisiblement à la frontière du territoire elfique. Isolé de son peuple, il accueillait les voyageur perdu dans les bois afin de les mettre en bon chemin. C'est ainsi que le guerrier l'avait rencontré, passant la soirée avec lui à boire de l'alcool de mandragore et à manger du rougail qu'il cuisinait à merveille. Toutefois, le chasseur n'allait pas le voir dans le simple but de se remplir la panse, non loin de là. Il souhaitait lui demander une faveur en rapport avec un service qu'il lui avait rendu, il fallait au mercenaire des potions en urgence pour continuer ses activité. Ne pouvant plus s'approvisionner dans le royaume de Telbara de part sont statut de paria, il devait se trouver un nouveau fournisseur et il ne connaissait pas mieux que le vieux Kel'tan pour ce genre de chose. Il arriva alors tard dans la soirée à la hutte de l'alchimiste qui l’accueillit avec un bon ragout maison dont il avait le secret et à default de ne pas avoir de mandragore, de l'eau de dragon.
Ils discutèrent longtemps pendant la nuit, se remémorant le bon vieux temps, leurs parties de pèches, les récoltes et autres aventures qu'ils avaient vécue ensemble. Le guerrier finit donc par parler de son problème de potions lié à son nouveau statut de criminel en Telbara, le demi-elfe compréhensif lui dit alors qu'il était en manque d'ingrédient ces temps-ci et si il voulait avoir certains de ses produits, il devraient partir à leur recherche. Quelque plantes, de la mousse et de l'écorce, mais surtout de la poudre de météorite afin de créer de la poussière astrale. Chose très rare à l'état naturel, il y en avait néanmoins une qui avait tombée cette nuit-là. Il allait falloir aller la chercher dans la matinée si il ne voulait pas tomber sur des elfes ou autre connaisseur voulant se l'accaparer. Woulfound se leva donc aux aurores pour y arriver en premier. Kel'tan ne pouvait pas l'accompagnait s'étant récemment blessé à la jambe et sans de quoi faire une potion, il ne pouvait pas bien se soigner.
Le guerrier partit alors seul, la forêt aux arbre gigantesques étant très sombre, les quelque lumière de l'astre solaire perçant à peine les feuillages. Heureusement, les sens du loup gris étaient affûté, lui permettant de repérer les potentiels danger à l'aide de l'ouïe. L'on pouvait entendre divers animaux dans la forêt, tel que des Vrot ou encore quelque félins aux yeux luisants. Éclairée par une lanterne le traqueur avançait à pas de loup vers l'endroit indiqué. Il s'agissait d'une clairière en plein milieux de la forêt dans laquelle se trouvait la pierre venue du ciel. Pénétrant dans les recoins le plus sombre d'Elgar'a il finit par éteindre sa torche quand il vit que les lieux étaient occupés par de nombreuses lucioles et plantes fluorescentes. Il finit par arriver au lieux attendu, la pierre relativement grande étant présente ici bas et encore brûlante aux vues du sol craquelé. Toutefois au pied de la météorite se trouvait un être, un personne à la peau étrangement cendrée qui dormait dans le brasier comme si il eut été un lit douillet. Sa peau était couverte de tatouages écarlates ou de peintures de guerres, ses oreilles assez longues laissèrent d'abord pensée à une elfe tandis que ses cornes elles lui donner un air de faune. Toutefois, la chaleur qu'elle semblait dégagée et son immunités aux flammes confirmèrent les doutes de Woulfound. Il s'agissait bel et bien d'une dryade endormie ici bas, comme une enfant... Elle avait l'air relativement faible, mais surtout blessée au ventre.
N'ayant jamais vu de pareil créature, il tenta de couvrir la plaie de cendre et versa de l'huile dessus, allumant un feu à l'aide de sa lanterne. Selon ce qu'il avait lu, les dryades de feu semblait avoir une affinité avec cet élément qui lui rendrait des forces... Il veilla à ses côtés environs une heure, cette dernière parlant dans son sommeil. Elle s'appellait Eska et semblait être une genre de prêtresse de la flamme éternelle, une chose du genre, un culte dédie à Ezor le dieu dragon de la vie. Elle finit alors par se réveillée en sursaut et d'un revers de la main baffa Woulfound avant de lui mettre une dague sous la gorge, la respiration courte, elle semblait toutefois en meilleure santé.
-Qui es-tu..? Cracha-t-elle donc au visage du paria sans relâcher la pression de la dague sur le cou de ce dernier. Avant de réaliser que des griffes étaient sorties des phalanges du chevalier, pointées vers son cœur. Des griffes couleur ébène qui tirèrent un étrange regard à la dryade. Elle lâcha donc le chasseur avant de s'excuser de sa voix grave. Ils rentrèrent donc tout deux à la cabane de Kel'tan avec la pierre et le reste des ingrédient, la dénommée Eska relativement peu bavarde car selon son serment de prêtresse elle devait maintenant la vie à Woulfound, une dette de sang les liant dorénavant. Les deux personnes allaient devoir maintenant faire équipe.
Ils discutèrent longtemps pendant la nuit, se remémorant le bon vieux temps, leurs parties de pèches, les récoltes et autres aventures qu'ils avaient vécue ensemble. Le guerrier finit donc par parler de son problème de potions lié à son nouveau statut de criminel en Telbara, le demi-elfe compréhensif lui dit alors qu'il était en manque d'ingrédient ces temps-ci et si il voulait avoir certains de ses produits, il devraient partir à leur recherche. Quelque plantes, de la mousse et de l'écorce, mais surtout de la poudre de météorite afin de créer de la poussière astrale. Chose très rare à l'état naturel, il y en avait néanmoins une qui avait tombée cette nuit-là. Il allait falloir aller la chercher dans la matinée si il ne voulait pas tomber sur des elfes ou autre connaisseur voulant se l'accaparer. Woulfound se leva donc aux aurores pour y arriver en premier. Kel'tan ne pouvait pas l'accompagnait s'étant récemment blessé à la jambe et sans de quoi faire une potion, il ne pouvait pas bien se soigner.
Le guerrier partit alors seul, la forêt aux arbre gigantesques étant très sombre, les quelque lumière de l'astre solaire perçant à peine les feuillages. Heureusement, les sens du loup gris étaient affûté, lui permettant de repérer les potentiels danger à l'aide de l'ouïe. L'on pouvait entendre divers animaux dans la forêt, tel que des Vrot ou encore quelque félins aux yeux luisants. Éclairée par une lanterne le traqueur avançait à pas de loup vers l'endroit indiqué. Il s'agissait d'une clairière en plein milieux de la forêt dans laquelle se trouvait la pierre venue du ciel. Pénétrant dans les recoins le plus sombre d'Elgar'a il finit par éteindre sa torche quand il vit que les lieux étaient occupés par de nombreuses lucioles et plantes fluorescentes. Il finit par arriver au lieux attendu, la pierre relativement grande étant présente ici bas et encore brûlante aux vues du sol craquelé. Toutefois au pied de la météorite se trouvait un être, un personne à la peau étrangement cendrée qui dormait dans le brasier comme si il eut été un lit douillet. Sa peau était couverte de tatouages écarlates ou de peintures de guerres, ses oreilles assez longues laissèrent d'abord pensée à une elfe tandis que ses cornes elles lui donner un air de faune. Toutefois, la chaleur qu'elle semblait dégagée et son immunités aux flammes confirmèrent les doutes de Woulfound. Il s'agissait bel et bien d'une dryade endormie ici bas, comme une enfant... Elle avait l'air relativement faible, mais surtout blessée au ventre.
N'ayant jamais vu de pareil créature, il tenta de couvrir la plaie de cendre et versa de l'huile dessus, allumant un feu à l'aide de sa lanterne. Selon ce qu'il avait lu, les dryades de feu semblait avoir une affinité avec cet élément qui lui rendrait des forces... Il veilla à ses côtés environs une heure, cette dernière parlant dans son sommeil. Elle s'appellait Eska et semblait être une genre de prêtresse de la flamme éternelle, une chose du genre, un culte dédie à Ezor le dieu dragon de la vie. Elle finit alors par se réveillée en sursaut et d'un revers de la main baffa Woulfound avant de lui mettre une dague sous la gorge, la respiration courte, elle semblait toutefois en meilleure santé.
-Qui es-tu..? Cracha-t-elle donc au visage du paria sans relâcher la pression de la dague sur le cou de ce dernier. Avant de réaliser que des griffes étaient sorties des phalanges du chevalier, pointées vers son cœur. Des griffes couleur ébène qui tirèrent un étrange regard à la dryade. Elle lâcha donc le chasseur avant de s'excuser de sa voix grave. Ils rentrèrent donc tout deux à la cabane de Kel'tan avec la pierre et le reste des ingrédient, la dénommée Eska relativement peu bavarde car selon son serment de prêtresse elle devait maintenant la vie à Woulfound, une dette de sang les liant dorénavant. Les deux personnes allaient devoir maintenant faire équipe.
Woulfound Kadova- Expert
- Race : Humain
Re: Une étoile tombée du ciel
Nous nous sommes bien éloigné des montagnes, surnommées le centre historique et… Ce n’était pas pour me déplaire. Je n’en avais que trop vue de ces tas de cailloux, avec ces harpies, bandits et sorciers fous. J’avais besoin de changer de paysage et Sélanéa aussi. En plus, étant son lieu de naissance, elle désirait mettre de la distance entre elle, et les autres harpies qui ne voulaient plus d’une pratiquante de la magie de l’ombre parmi elles. Nous partions donc pour un long voyage qui irait on ne sait où pour une durée indéterminée. En route, nous avions rencontré un autre guerrier noir. Une rencontre au combien intéressant don, je n’oublierais jamais.
Mon amie volaille m’était bien utile, je ne le dirais jamais assez. Elle passait la majeure partie du voyage à voler, se tenant à une dizaine de mètres au-dessus de ma tête. De là, elle avait une vue incroyable sur tout ce qui nous entourait. Elle servait donc de vigie et m’alertait en cas de danger. Nous évitions donc les lieux trop habités comme les villes et village important, ainsi que les convois bien trop garder. Nous étions devenus des sortes de bandits ne s’attaquant qu’à plus faible. Mais par ce moyen, nous trouvions de quoi survivre, tout en évitant de croiser trop de d’autres races qui me feraient exploser de rage.
Nous n’avions croisé qu’une petite caravane, n’ayant pas grand-chose à proposer comme nourriture, mais elle nous permit de nous défouler un peu. Pour la suite, nous chassions divers gibiers devant nous. Le pouvoir de la harpie était pratique, de distance, elle parvenait à toucher une large zone l’endroit où se trouvait notre futur dîner. Et moi, avec ma force, je pouvais achever la bête et lui arracher les membres, surtout pour les plus gros. Nous vivions ainsi durant de nombreux jours, jusqu’à ce que nous arrivions près de la forêt d’Elegar’a. Je fus au départ, retissent d’y rentrer. Une forêt n’était pas l’endroit que j’aimais visité, je voulais même faire demi-tour. Mais Sélanéa se posa à côté de moi pour chercher à me faire changer d’avis.
Sélanéa – C’est la forêt d’Elegar’a. La plus grande et la plus belle. Nous pourrions u trouver de quoi manger et sans doute un ou deux petits elfes à mettre en pièce. Nous n’avons pas besoin de trop nous éloigner.
Je me mis à râler, ne désirant suivre cette idée. Mais au final, j’ai dû céder. L’idée de se nourrir et de massacrer quelques personnes me plaisait toujours. Nous rentrions donc dans ce royaume de mangeur de salade pour nous remplir la panse. Ce fut difficile pour moi, la forêt fut si dense que j’avais du mal à me déplacer. Mon imposante carrure n’était pas pratique pour une randonnée en forêt. Cela m’énerva tellement que je me mis à écraser et détruire tout obstacle sur mon chemin avec mon marteau. La harpie elle, progressa dans les arbres. Parfois, elle volait au-dessus des branches pour voir au loin, parfois, elle sautait de branche en branches, de façon à ce que je la voie.
Nous trouvions de quoi manger pendant le jour et, une fois la nuit tombée, nous dormions au creux d’un arbre. Je dormais entre deux grosses racines, Sélanéa se reposait deux branches plus hautes. Je pensais pouvoir me reposer en peu, mais la harpie vint me réveillait. Je sursautais sur le coup, menaçant de lui exploser le crâne à coup-de-poing, mais m’abstenant comprenant que ce n’était qu’elle. Elle me dévisagea un moment avant de m’expliquer la raison de venir m’importuner.
Sélanéa – J’ai vu un feu plus loin. Une longue fumée montant jusqu’au ciel.
Garkar – Des elfes ?
Sélanéa – Je ne pense pas. Mais nous pourrions aller voir ce qu’il se passa et s’il fallait, leur montrer qu’allumé un feu en pleine forêt peut être dangereux.
Garkar – Montre-moi.
Me levant, j’essayais de suivre la harpie qui se dirigeait vers là où elle pensait avoir vu un feu. Si c’était bien des gens perdus, nous nous amuserions à les voler et laisser leur cadavre pourrir en peine nature. Le froid de la nuit était bien dérangeant, au départ, elle me faisait ralentir, mais pratiquer un peu de sport et se dire que nous trouverions de la chair fraiche, suffire à me garder au sol. D’ailleurs, le soleil ne tarda pas à se lever et réchauffer ce monde. Nous trouvions l’origine de la fumée, mais le feu était déjà éteint. Ceux qui étaient là avaient déjà abandonner le camp. La harpie se mit à râler et à griffer un arbre juste à côté, furieuse de cet échec. Je fus de même contrarier de n’avoir frappé personne à coups de marteau, mais un détail me remonta le moral.
Garkar – Calmes toi voyons ! Y’a des empruntes. Deux. L’un humain et l’autre… Proche. Ils partent dans cette direction, on peut les suivres.
Mon amie volaille m’était bien utile, je ne le dirais jamais assez. Elle passait la majeure partie du voyage à voler, se tenant à une dizaine de mètres au-dessus de ma tête. De là, elle avait une vue incroyable sur tout ce qui nous entourait. Elle servait donc de vigie et m’alertait en cas de danger. Nous évitions donc les lieux trop habités comme les villes et village important, ainsi que les convois bien trop garder. Nous étions devenus des sortes de bandits ne s’attaquant qu’à plus faible. Mais par ce moyen, nous trouvions de quoi survivre, tout en évitant de croiser trop de d’autres races qui me feraient exploser de rage.
Nous n’avions croisé qu’une petite caravane, n’ayant pas grand-chose à proposer comme nourriture, mais elle nous permit de nous défouler un peu. Pour la suite, nous chassions divers gibiers devant nous. Le pouvoir de la harpie était pratique, de distance, elle parvenait à toucher une large zone l’endroit où se trouvait notre futur dîner. Et moi, avec ma force, je pouvais achever la bête et lui arracher les membres, surtout pour les plus gros. Nous vivions ainsi durant de nombreux jours, jusqu’à ce que nous arrivions près de la forêt d’Elegar’a. Je fus au départ, retissent d’y rentrer. Une forêt n’était pas l’endroit que j’aimais visité, je voulais même faire demi-tour. Mais Sélanéa se posa à côté de moi pour chercher à me faire changer d’avis.
Sélanéa – C’est la forêt d’Elegar’a. La plus grande et la plus belle. Nous pourrions u trouver de quoi manger et sans doute un ou deux petits elfes à mettre en pièce. Nous n’avons pas besoin de trop nous éloigner.
Je me mis à râler, ne désirant suivre cette idée. Mais au final, j’ai dû céder. L’idée de se nourrir et de massacrer quelques personnes me plaisait toujours. Nous rentrions donc dans ce royaume de mangeur de salade pour nous remplir la panse. Ce fut difficile pour moi, la forêt fut si dense que j’avais du mal à me déplacer. Mon imposante carrure n’était pas pratique pour une randonnée en forêt. Cela m’énerva tellement que je me mis à écraser et détruire tout obstacle sur mon chemin avec mon marteau. La harpie elle, progressa dans les arbres. Parfois, elle volait au-dessus des branches pour voir au loin, parfois, elle sautait de branche en branches, de façon à ce que je la voie.
Nous trouvions de quoi manger pendant le jour et, une fois la nuit tombée, nous dormions au creux d’un arbre. Je dormais entre deux grosses racines, Sélanéa se reposait deux branches plus hautes. Je pensais pouvoir me reposer en peu, mais la harpie vint me réveillait. Je sursautais sur le coup, menaçant de lui exploser le crâne à coup-de-poing, mais m’abstenant comprenant que ce n’était qu’elle. Elle me dévisagea un moment avant de m’expliquer la raison de venir m’importuner.
Sélanéa – J’ai vu un feu plus loin. Une longue fumée montant jusqu’au ciel.
Garkar – Des elfes ?
Sélanéa – Je ne pense pas. Mais nous pourrions aller voir ce qu’il se passa et s’il fallait, leur montrer qu’allumé un feu en pleine forêt peut être dangereux.
Garkar – Montre-moi.
Me levant, j’essayais de suivre la harpie qui se dirigeait vers là où elle pensait avoir vu un feu. Si c’était bien des gens perdus, nous nous amuserions à les voler et laisser leur cadavre pourrir en peine nature. Le froid de la nuit était bien dérangeant, au départ, elle me faisait ralentir, mais pratiquer un peu de sport et se dire que nous trouverions de la chair fraiche, suffire à me garder au sol. D’ailleurs, le soleil ne tarda pas à se lever et réchauffer ce monde. Nous trouvions l’origine de la fumée, mais le feu était déjà éteint. Ceux qui étaient là avaient déjà abandonner le camp. La harpie se mit à râler et à griffer un arbre juste à côté, furieuse de cet échec. Je fus de même contrarier de n’avoir frappé personne à coups de marteau, mais un détail me remonta le moral.
Garkar – Calmes toi voyons ! Y’a des empruntes. Deux. L’un humain et l’autre… Proche. Ils partent dans cette direction, on peut les suivres.
Garkar- Bon
- Race : Minotaure
Re: Une étoile tombée du ciel
Kel'tan en voyant les deux nouveaux compagnons de voyage arrivés haussa un sourcil surpris non pas par la présence d'une dryade, mais plus par son accoutrement. Il avait eut vent de rumeurs sur le culte qu'elle menait, sa peau d'un gris cendre couverte de marques écarlate tandis que son corps lui était protégé par une armure de cuir rouge sang. Le tout contrastant avec sa chevelure blanche et les excroissances noir charbon laissant penser à des cornes sur sa tête. Si le bas de son corps n'avait pas été couvert d'un pantalon et qu'il n'y avait pas eu de bottes à ses pieds, on aurait presque pu penser à une Satyr en la voyant. Quoi qu'il en soit, son apparence lui rappelait donc les fameuses prêtresses de la flamme éternel, un culte ayant disparu il y a bien trop longtemps pour que certaines races à la longévité trop courte puissent s'en rappeler. Alors certes, il y avait déjà toute une religion dédié au dieu-dragon, mais celle de la flamme éternelle était très peu connue de nos jours et encore moins pratiquée. A leur plus grande époque, ses derniers étaient considérés comme des fanatiques, brûlant tout ceux qui n'avaient pas assez bonne foi en leur dieu, mais surtout en la flamme éternel. Il n'en savait rien pour cette femme, mais malgré ses airs sympathique il s'en méfiait beaucoup intérieurement.
Ce n'est que lorsque Woulfound lui raconta qu'il lui avait sauvé la vie qu'il fut rassuré: elle était donc maintenant lié à lui par le sang. Et un rituel allait donc devoir être pratiqué.
-Et donc, dorénavant elle m'accompagnera dans mes voyages...? Et bien... J'ai pour habitude de travailler seul...
-N'en dis pas plus Woulfound, sache d'abord que les prêtresse avant d'être de simples croyantes sont aussi des combattantes hors pair?
-Le mot est faible, rajouta-t-elle à voix basse tandis qu'elle se tenait bien près du feu au milieux de la pièce sur lequel était déposé une grosse marmite dans laquelle l'alchimiste préparait une soupe dont il avait le secret. Tandis que de son côté, il rangeait les ingrédient que le loup gris lui avait rapporté.
Le guerrier haussa alors un sourcil, il aurait bien aimé testé les compétences martiales de sa nouvelle partenaire de voyage. Elle était armé d'un long poignard à un seul tranchant dont la taille avoisinait presque celle d'une épée à une main, tandis qu'elle gardait près d'elle une arme connue des moines gris: Une naginata, une genre de hallebarde à tranchant simple qui avait l'air d'être une arme rituel de son culte au vue de comment elle était ouvragé. Il haussa les épaules, il verrait bien demain. Il alla donc se lover dans un fauteuil, près de la fenêtre à travers on pouvait voir la lumière du feu. Il avait avec lui sa fameuse épée batarde qu'il aiguisait à l'aide d'une pierre, provoquant quelque étincelle dans l'air.
Ce n'est que lorsque Woulfound lui raconta qu'il lui avait sauvé la vie qu'il fut rassuré: elle était donc maintenant lié à lui par le sang. Et un rituel allait donc devoir être pratiqué.
-Et donc, dorénavant elle m'accompagnera dans mes voyages...? Et bien... J'ai pour habitude de travailler seul...
-N'en dis pas plus Woulfound, sache d'abord que les prêtresse avant d'être de simples croyantes sont aussi des combattantes hors pair?
-Le mot est faible, rajouta-t-elle à voix basse tandis qu'elle se tenait bien près du feu au milieux de la pièce sur lequel était déposé une grosse marmite dans laquelle l'alchimiste préparait une soupe dont il avait le secret. Tandis que de son côté, il rangeait les ingrédient que le loup gris lui avait rapporté.
Le guerrier haussa alors un sourcil, il aurait bien aimé testé les compétences martiales de sa nouvelle partenaire de voyage. Elle était armé d'un long poignard à un seul tranchant dont la taille avoisinait presque celle d'une épée à une main, tandis qu'elle gardait près d'elle une arme connue des moines gris: Une naginata, une genre de hallebarde à tranchant simple qui avait l'air d'être une arme rituel de son culte au vue de comment elle était ouvragé. Il haussa les épaules, il verrait bien demain. Il alla donc se lover dans un fauteuil, près de la fenêtre à travers on pouvait voir la lumière du feu. Il avait avec lui sa fameuse épée batarde qu'il aiguisait à l'aide d'une pierre, provoquant quelque étincelle dans l'air.
Woulfound Kadova- Expert
- Race : Humain
Re: Une étoile tombée du ciel
Nous remontions la piste, tant bien que mal à travers cette maudite forêt. Les plantes qui s’agrippaient à mes jambes et ces branches me fouettant le visage m’énervaient au plus haut point. J’aurais voulu tronquer mon fameux marteau contre une hache, et ainsi faire un peu de jardinage. J’aurais coupé, tranché toute cette verdure inutile et laisser un passage bien large et pratique. Non mais sérieusement, la nature ne servait pas à grand-chose, à part refilé des maladies ou faire tomber sur votre dos une bestiole pour vous dévorer. Même les créatures de la forêt n’aiment pas ceux vivant de l’extérieur, alors je ne voyais pas de raison de laisser toute cette végétation encore debout. Je me verrais bien avec un pouvoir de feu là.
Les empruntes disparurent à un moment. Je fouillais dans toutes les directions pour retrouver la piste, mais rien. Là j’allais tout écraser avec mon arme pour me défouler, mais Sélanéa m’empêcha à temps pour me proposer de l’espoir. A ma hauteur, elle me montra avec l’un de ses ailes, ce qui ressemblait à une petite cabane plus loin. Je me mis à sourire, ceux qui avaient laissé ce feu ici devaient s’être habité dans la cabane. Et sinon, nous nous contenterions de nous amuser avec l’occupant de cette demeure au combien pittoresque.
L’endroit était habité. De la lumière s’échappait par les fenêtres et une fumée sortit de la cheminée. Mais au fur et à mesure que nous en approchions, nous ne distinguions aucun mouvement, aucun signe de vie. Le maître de la cabane devait peut-être se restaurer, ou dormir dans un coin. Quelle surprise se serait, s’il voyait défoncer la porte de sa cabane à grand coup de marteau et bondir sur lui pour le maître en pièce. Le bougre en aurait une crise. Pris de terreur, il resterait pétrifier de trouille avant de devenir une belle crêpe bien rouge. Mais quand nous n’étions plus qu’à quelques mètres de la porte, la harpie me proposa quelque chose qui me surprit énormément :
Sélanéa – Il serait préférable de tenter une approche moins agressive tu ne penses pas ?
Garkar – Quoi ?
Sélanéa – Je connais la hardiesse de ton cœur. Mais il serait idiot de foncer dans le tas et de tous massacrer, sans savoir à quoi nous aurions à faire.
Garkar – Ce n’est qu’une cabane pourri. Il ne doit y avoir qu’un vieux croulant ou un marginal.
Sélanéa – Ou un druide, ou un sorcier qui n’aurait que faire de notre sombre puissance. Il vaut mieux y aller avec prudence et après, frapper. Tiens, je vais me tenir à l’écart, pendant que toi, tu essayeras de l’attirer ou les attirer à l’écart. Ainsi je pourrais frapper à distance… Si c’est nécessaire.
La harpie s’en vola et se posa juste derrière dans un arbre, guettant l’entrée de la cabane. Je n’étais pas des plus convaincu par son plan, mais elle se révélait plus stratège que moi. Elle était un peu la tête pensante du groupe, usant de malice et de toutes sortes de ruses pour venir à bout de sa proie, alors que moi, je laissais constamment exploser ma rage, voulant tout écraser aussi facilement qu’un géant piétinerait des gnomes. Cette colère, qui alimentait ma magie qui elle-même, alimentait la colère. Un cercle sans fin, qui me poussait parfois à me demander si c’était normal ou non. Mais très vite, un souvenir douloureux revenait en mémoire et j’étais de nouveau près à tous écraser, sans me prendre la tête.
Je m’approchais de la porte, me tenant prêt à agir. Je respirais un bon coup avant de frapper avec mon poing. Ce fut difficile de résister à l’envi de fracasser la porte avec ce même poing et de massacrer tout ce qu’il se trouvait à l’intérieur. Mais je tins bon, pour éviter une bourde de ma part, je ne frappais qu’une seule fois, mais assez fort, ce qui fit trembler la porte.
Les empruntes disparurent à un moment. Je fouillais dans toutes les directions pour retrouver la piste, mais rien. Là j’allais tout écraser avec mon arme pour me défouler, mais Sélanéa m’empêcha à temps pour me proposer de l’espoir. A ma hauteur, elle me montra avec l’un de ses ailes, ce qui ressemblait à une petite cabane plus loin. Je me mis à sourire, ceux qui avaient laissé ce feu ici devaient s’être habité dans la cabane. Et sinon, nous nous contenterions de nous amuser avec l’occupant de cette demeure au combien pittoresque.
L’endroit était habité. De la lumière s’échappait par les fenêtres et une fumée sortit de la cheminée. Mais au fur et à mesure que nous en approchions, nous ne distinguions aucun mouvement, aucun signe de vie. Le maître de la cabane devait peut-être se restaurer, ou dormir dans un coin. Quelle surprise se serait, s’il voyait défoncer la porte de sa cabane à grand coup de marteau et bondir sur lui pour le maître en pièce. Le bougre en aurait une crise. Pris de terreur, il resterait pétrifier de trouille avant de devenir une belle crêpe bien rouge. Mais quand nous n’étions plus qu’à quelques mètres de la porte, la harpie me proposa quelque chose qui me surprit énormément :
Sélanéa – Il serait préférable de tenter une approche moins agressive tu ne penses pas ?
Garkar – Quoi ?
Sélanéa – Je connais la hardiesse de ton cœur. Mais il serait idiot de foncer dans le tas et de tous massacrer, sans savoir à quoi nous aurions à faire.
Garkar – Ce n’est qu’une cabane pourri. Il ne doit y avoir qu’un vieux croulant ou un marginal.
Sélanéa – Ou un druide, ou un sorcier qui n’aurait que faire de notre sombre puissance. Il vaut mieux y aller avec prudence et après, frapper. Tiens, je vais me tenir à l’écart, pendant que toi, tu essayeras de l’attirer ou les attirer à l’écart. Ainsi je pourrais frapper à distance… Si c’est nécessaire.
La harpie s’en vola et se posa juste derrière dans un arbre, guettant l’entrée de la cabane. Je n’étais pas des plus convaincu par son plan, mais elle se révélait plus stratège que moi. Elle était un peu la tête pensante du groupe, usant de malice et de toutes sortes de ruses pour venir à bout de sa proie, alors que moi, je laissais constamment exploser ma rage, voulant tout écraser aussi facilement qu’un géant piétinerait des gnomes. Cette colère, qui alimentait ma magie qui elle-même, alimentait la colère. Un cercle sans fin, qui me poussait parfois à me demander si c’était normal ou non. Mais très vite, un souvenir douloureux revenait en mémoire et j’étais de nouveau près à tous écraser, sans me prendre la tête.
Je m’approchais de la porte, me tenant prêt à agir. Je respirais un bon coup avant de frapper avec mon poing. Ce fut difficile de résister à l’envi de fracasser la porte avec ce même poing et de massacrer tout ce qu’il se trouvait à l’intérieur. Mais je tins bon, pour éviter une bourde de ma part, je ne frappais qu’une seule fois, mais assez fort, ce qui fit trembler la porte.
Garkar- Bon
- Race : Minotaure
Re: Une étoile tombée du ciel
Il se faisait tard et la nuit était tombée depuis un bon petit moment. Les étoiles brillaient dans la nuit à travers les branchages, illuminant légèrement le ciel tandis que la lune elle était absente ce soir. Laissant la petite clairière uniquement éclairée par la lumière qui s'échappait de la chaumière. Woulfound était bien content de dormir en intérieur, l'hiver arrivant à grand pas les nuits à la belle étoile se faisant de plus en plus froides, surtout lorsqu'il y avait un peu de vent. Il devait bien avoir un peu de peau de bête pour lui tenir chaud, néanmoins cela restait très sommaire dans l'idée qu'on se faisait d'une couverture ou d'un rembourrage d'armure. Mais bon, il était à l'intérieur et le froid n'avait au final pas lieu d'être.
Kel'tan et Woulfound discutèrent un long moment de la composition de certaines potions, de leur efficacité et de celles les plus utiles en voyage, Eska ne les arrêtant que très peu dans leur discours pour demander à ce que l'on ravive le feu. Normalement, toutes ses mixtures et autres elixirs devraient être prêts pour demain si tout se passait bien. Le demi-drow pourrait néanmoins s'occuper de sa jambe amoché dans la soirée après le repas. D'ailleurs en parlant de repas, Kel'tan vint prendre deux coupelles dans lesquels il servit quelque louche de sa fameuse soupe aux vertu revigorante. Il s'agissait d'une soupe préparée à l'aide d'un peu de viande, de plantes médicinales et de divers champignons. Habituellement, le guerrier ne raffolait pas des "fungus", mais pour son ami il fit une exception. Cet soupe était alors loin d'être mauvaise, voir même plutôt bonne. Le breuvage s'infiltra alors dans sa gorge, pour descendre dans son estomac, réchauffant d'une douce chaleur son corps de pierre... L'espace d'un instant, une moue triste se dessina sur le visage du chasseur. Il avait repensé à son amante Sahélina dont la magie divine faisait plus ou moins le même effet, en plus de guérir les blessures. Il soupira, avant d'observer un peu la dryade qui ne mangeait pas. Elle lui lâcha alors de sa voix rauque:
-Nous n'avons besoin que de la chose qui nous compose pour nous maintenir en vie. Nous ne mangeons pas, nous ne buvons pas, nous ne dormons pas.
Woulfound en entendit cela se dit que ce genre de vie devait être bien triste, ne pas connaître le bonheur de s'assoupir après une bonne journée de travail, ne pas sentir les arômes d'une volailles cuite à la braise. C'était tout simplement inconcevable pour lui de renoncer à cela en échange d'une immunité à la famine ou au sommeil. Après, peut-être trouvait-elle un plaisir similaire en restant près du feu. C'était tout à fait possible. Mais bon, il ne pouvait pas se mettre à sa place étant donné qu'il n'avait pas les même sensations.
Mais alors que Woulfound était en pleine réflexion, on entendit quelqu'un taper à la porte. Et pas avec le dos de la cuillère l'espace d'un instant, tout le monde pensant que la porte allait céder. Elle trembla sous la force du coup, le traqueur se demandant un instant si l'on essayait pas de l'enfoncer avec un bélier. Mais qui serait assez stupide pour défoncer une porte avec un tronc d'arbre sans essayer de l'ouvrir avant? La dryade se leva avec agilité, un air mécontent au regard mais l'alchimiste lui fit signe de s'asseoir. Il ne voulait pas de problème avec ce qu'il y avait dehors, surtout au vu de comment la porte avait supporter le coup. C'est donc le mercenaire qui se leva, vêtu de son armure de cuir avec quelque parties en acier, il avait sur le dos une longue cape blanche en peau de bête qui pourrait peut-être intimider le "visiteur nocturne". Il s'approcha de la porte, inspirant un grand coup avant de saisir la poignée, son autre main dans son dos posée sur le manche d'un de ses poignard attaché au niveau de son bassin. Il ouvrit donc lentement, un air relativement neutre au visage découvrant petit à petit un géant au poil gris avoisinant bien les deux mètre trente en comptant ses énormes cornes noires. Ses yeux était d'un jaune vraiment étrange, pas très commun en tout cas et loin d'être accueillant. Il portait un énorme marteau à deux main sur son épaule à la manière d'un bûcheron, qu'il portait quand à lui d'une seul de ses grosses pogne de minotaure, car jusqu'à preuve du contraire il était un membre de cette fière race guerrière des plaines. Il ne devait pas venir d'ici en tout cas, la vegetation trop contraignante à la proliferation d'une tribu minotaure. Quoi qu'il en soit, il était là pour quelque chose et il allait bien falloir lui demandé pourquoi. Sans se démonter, de son mètre 75 le guerrier lui déclara alors:
-Bonsoir voyageur, que venez-vous faire ici bas près de la noble habitation de mon ami?
Kel'tan et Woulfound discutèrent un long moment de la composition de certaines potions, de leur efficacité et de celles les plus utiles en voyage, Eska ne les arrêtant que très peu dans leur discours pour demander à ce que l'on ravive le feu. Normalement, toutes ses mixtures et autres elixirs devraient être prêts pour demain si tout se passait bien. Le demi-drow pourrait néanmoins s'occuper de sa jambe amoché dans la soirée après le repas. D'ailleurs en parlant de repas, Kel'tan vint prendre deux coupelles dans lesquels il servit quelque louche de sa fameuse soupe aux vertu revigorante. Il s'agissait d'une soupe préparée à l'aide d'un peu de viande, de plantes médicinales et de divers champignons. Habituellement, le guerrier ne raffolait pas des "fungus", mais pour son ami il fit une exception. Cet soupe était alors loin d'être mauvaise, voir même plutôt bonne. Le breuvage s'infiltra alors dans sa gorge, pour descendre dans son estomac, réchauffant d'une douce chaleur son corps de pierre... L'espace d'un instant, une moue triste se dessina sur le visage du chasseur. Il avait repensé à son amante Sahélina dont la magie divine faisait plus ou moins le même effet, en plus de guérir les blessures. Il soupira, avant d'observer un peu la dryade qui ne mangeait pas. Elle lui lâcha alors de sa voix rauque:
-Nous n'avons besoin que de la chose qui nous compose pour nous maintenir en vie. Nous ne mangeons pas, nous ne buvons pas, nous ne dormons pas.
Woulfound en entendit cela se dit que ce genre de vie devait être bien triste, ne pas connaître le bonheur de s'assoupir après une bonne journée de travail, ne pas sentir les arômes d'une volailles cuite à la braise. C'était tout simplement inconcevable pour lui de renoncer à cela en échange d'une immunité à la famine ou au sommeil. Après, peut-être trouvait-elle un plaisir similaire en restant près du feu. C'était tout à fait possible. Mais bon, il ne pouvait pas se mettre à sa place étant donné qu'il n'avait pas les même sensations.
Mais alors que Woulfound était en pleine réflexion, on entendit quelqu'un taper à la porte. Et pas avec le dos de la cuillère l'espace d'un instant, tout le monde pensant que la porte allait céder. Elle trembla sous la force du coup, le traqueur se demandant un instant si l'on essayait pas de l'enfoncer avec un bélier. Mais qui serait assez stupide pour défoncer une porte avec un tronc d'arbre sans essayer de l'ouvrir avant? La dryade se leva avec agilité, un air mécontent au regard mais l'alchimiste lui fit signe de s'asseoir. Il ne voulait pas de problème avec ce qu'il y avait dehors, surtout au vu de comment la porte avait supporter le coup. C'est donc le mercenaire qui se leva, vêtu de son armure de cuir avec quelque parties en acier, il avait sur le dos une longue cape blanche en peau de bête qui pourrait peut-être intimider le "visiteur nocturne". Il s'approcha de la porte, inspirant un grand coup avant de saisir la poignée, son autre main dans son dos posée sur le manche d'un de ses poignard attaché au niveau de son bassin. Il ouvrit donc lentement, un air relativement neutre au visage découvrant petit à petit un géant au poil gris avoisinant bien les deux mètre trente en comptant ses énormes cornes noires. Ses yeux était d'un jaune vraiment étrange, pas très commun en tout cas et loin d'être accueillant. Il portait un énorme marteau à deux main sur son épaule à la manière d'un bûcheron, qu'il portait quand à lui d'une seul de ses grosses pogne de minotaure, car jusqu'à preuve du contraire il était un membre de cette fière race guerrière des plaines. Il ne devait pas venir d'ici en tout cas, la vegetation trop contraignante à la proliferation d'une tribu minotaure. Quoi qu'il en soit, il était là pour quelque chose et il allait bien falloir lui demandé pourquoi. Sans se démonter, de son mètre 75 le guerrier lui déclara alors:
-Bonsoir voyageur, que venez-vous faire ici bas près de la noble habitation de mon ami?
Woulfound Kadova- Expert
- Race : Humain
Re: Une étoile tombée du ciel
On vint enfin m’ouvrir. Ce n’était pas trop tôt. Un peu plus et j’aurais perdu patience et défoncer à coups de marteau la porte pour entrer. Je m’attendais à voir un pauvre ermite rabougris, dos voûté avec une longue barbe et des yeux de taupe m’ouvrir, ce fut tout le contraire. Il s’agissait d’un humain d’âge mur, portant une armure légère avec des morceaux de métal recouvrant certaines parties, et une longue cape blanche faite en fourrure. Il avait tout d’un guerrier, d’un homme ayant la guerre dans le sang, sans porter l’accoutrement d’une quelconque armée. Je plongeais mon regard dans le sien pour l’enjuguer.
Woulfound - Bonsoir voyageur, que venez-vous faire ici bas près de la noble habitation de mon ami?
Ils étaient plusieurs ici. J’aurais pu croire que c’était un guerrier solitaire s’isolant pour je serais pourquoi. Non, il rendait visite a sans doute à l’ermite de ce coin paumé. J’essayais de l’apercevoir à l’intérieur, y glissant mon regard. J’arrivais à apercevoir une silhouette au fond près du feu. Une bien étrange créature, sans doute, l’ami dont il parlait. Puis je revins sur le guerrier. Un combattant sera plus dur à affronter et cela me donnera plus de challenge. Je n’avais rien contre le fait de me battre contre un guerrier plus ou moins expérimenter et de l’écraser comme un insecte. Mais je ne devais pas laisser la colère l’emportait si vite. Comme la volaille, je devais user de ruse pour qu’il se retrouve à la merci de la harpie.
Garkar – On a vu un feu pas loin. J’ai pensé à des voyageurs égarer alors j’ai voulu donner un coup de main.
Ceux qui me connaissaient, se seraient mis à rire, moi venant en aide à qui que ce soit. Pour Sélanéa ce n’était qu’un concours de circonstances avec une récompense à la clef. Mais jouer les paladins plaisait au gens, croyant encore à l’existence d’une réelle bonté et de justice dans ce monde des plus corrompu. Mais il fallait que je les mette en confiance, que je sache à qui j’avais à faire avant de m’amuser à repeindre les arbres et ces murs de leur sang et de leurs entrailles. La harpie devait s’impatientait derrière moi, mais tant qu’elle resterait cachée dans les branches plongées dans l’obscurité, elle ne risquait rien et pourrait attaquer à tout instant. Déjà, je savais que j’avais un guerrier devant moi. Un humain. Mais son ami difforme, qui était-il ? Un autre guerrier ou un pratiquant de la magie ? Il me faisait penser à un satyre. Peut-être un pratiquant de la magie sylvestre.
Garkar – Tout va bien alors ?
Je ne savais pas trop quoi dire ni faire. Mais le regard du guerrier humain et sa façon de parler ma laissèrent penser qu’il était de nature respectueuse, tenu par un code ou autre absurdité du genre et non remplis de malice. C’était ce qui le rendait si dangereux à mes yeux jaunes brillant.
Woulfound - Bonsoir voyageur, que venez-vous faire ici bas près de la noble habitation de mon ami?
Ils étaient plusieurs ici. J’aurais pu croire que c’était un guerrier solitaire s’isolant pour je serais pourquoi. Non, il rendait visite a sans doute à l’ermite de ce coin paumé. J’essayais de l’apercevoir à l’intérieur, y glissant mon regard. J’arrivais à apercevoir une silhouette au fond près du feu. Une bien étrange créature, sans doute, l’ami dont il parlait. Puis je revins sur le guerrier. Un combattant sera plus dur à affronter et cela me donnera plus de challenge. Je n’avais rien contre le fait de me battre contre un guerrier plus ou moins expérimenter et de l’écraser comme un insecte. Mais je ne devais pas laisser la colère l’emportait si vite. Comme la volaille, je devais user de ruse pour qu’il se retrouve à la merci de la harpie.
Garkar – On a vu un feu pas loin. J’ai pensé à des voyageurs égarer alors j’ai voulu donner un coup de main.
Ceux qui me connaissaient, se seraient mis à rire, moi venant en aide à qui que ce soit. Pour Sélanéa ce n’était qu’un concours de circonstances avec une récompense à la clef. Mais jouer les paladins plaisait au gens, croyant encore à l’existence d’une réelle bonté et de justice dans ce monde des plus corrompu. Mais il fallait que je les mette en confiance, que je sache à qui j’avais à faire avant de m’amuser à repeindre les arbres et ces murs de leur sang et de leurs entrailles. La harpie devait s’impatientait derrière moi, mais tant qu’elle resterait cachée dans les branches plongées dans l’obscurité, elle ne risquait rien et pourrait attaquer à tout instant. Déjà, je savais que j’avais un guerrier devant moi. Un humain. Mais son ami difforme, qui était-il ? Un autre guerrier ou un pratiquant de la magie ? Il me faisait penser à un satyre. Peut-être un pratiquant de la magie sylvestre.
Garkar – Tout va bien alors ?
Je ne savais pas trop quoi dire ni faire. Mais le regard du guerrier humain et sa façon de parler ma laissèrent penser qu’il était de nature respectueuse, tenu par un code ou autre absurdité du genre et non remplis de malice. C’était ce qui le rendait si dangereux à mes yeux jaunes brillant.
Garkar- Bon
- Race : Minotaure
Re: Une étoile tombée du ciel
Woulfound écouta donc avec attention le minotaure, relâchant sa prise sur le pommeau de sa lame, sans pour autant la quitter de la main. Ce minotaure était vraiment étrange, d'un point de vue physique déjà ses yeux n'étaient pas du tout normal. Un jaune brillant dans le noir, laissant penser aux yeux d'un chat sans la même forme ovale au niveau de la pupille. C'était loin d'être anodin. Il avait également ses deux cornes noires ébènes, plutôt étrange mais déjà plus normal au vu des connaissance du chasseur sur la race des minotaure. Peut-être ses traits étaient-ils les fruits d'une malformation à la naissance, d'un maléfice ou encore d'une mutation alchimique. Il ne savait pas, mais restait assez curieux de ses caractéristiques. Quoi qu'il en soit, cet étranger avait tout l'air d'un dur à cuir, un baroudeur, un guerrier. D'une certaine manière, tout les membre de cette race avaient le combat dans le sang. Mais lui semblait en vouloir d'avantage, comme si toute sa vie n'avait été que douleur et violence. Si l'on avait pas été si près de Telbara, Woulf aurait pu penser qu'il s'agissait d'un ancien esclave d'Estandre ou de Tacomnal. Ses pratiques barbares avaient été prohibés et ne subsistaient donc que dans l'ombre, se faisant de plus en plus rare au final. Tant mieux d'ailleurs car le loup gris tenait ses coutumes en horreur.
Durant son discours, de son regard aiguisé Woulfound remarqua alors que le géant gris zyeuté brièvement l'intérieur de la maison. Comme si il cherchait à faire un repérage, balayant la pièce des yeux, s'attardant sur les compagnon du mer mercenaire. C'était un comportement vraiment louche, avait-il l'intention de voler quelque-chose? D'entrer de force même? Il ne le savait pas, mais en cas de problème le chevalier gris avait son épée accroché à l'aide de deux anneaux dans son dos, qu'il pourrait dégainer en un rien de temps.
Pendant ce temps là, Kel'tan lui semblait trop occupé avec ses préparations alchimique. En apparence du moins, car en réalité il sentait assez mal cette visite nocturne, il ne voulait pas qu'une rixe entre le minotaure et la dryade s'engage et qu'ils finissent par saccager sa maison. Ce qui pourrait bien arriver, au vu du regard noir que la prêtresse lui lançait. On pouvait sentir une certaine arrogance , ainsi qu'un air supérieur dans ses yeux. Elle le défiait littéralement du regard.
-Non, non il n'y a rien eu de grave... Mon amie ici présente avait été blessée par quelque-chose, mais nous l'avons soignée et elle semble déjà bien se rétablir. Déclara Woulfound à l'air gêné du minotaure, il ne devait plus savoir quoi inventé pour venir piller des honnêtes gens. Le guerrier lança alors un regard derrière son épaule, comme pour dire quelque-chose à la dryade et à l'elfe. Mais sans prononcer un mot, ils comprirent.
Il revint donc à l'inconnu ayant décider de s'inviter cher eux, si il voulait en découdre autan éviter de tout détruire à l'intérieur. Surtout qu'au vu des potions sur les étagère et sur l'atelier, il valait peut-être mieux sortir plutôt que de prendre le risque de faire sauter la cabane du drow. Il avança donc d'un pas nonchalant vers l'extérieur, demandant au minotaure de le suivre sans le perdre de son champs de vision au cas où il tenterait un coup fourré. En même temps, la dryade avançait vers la porte sans trop se découvrir pour les observer avec une lanterne qu'elle vint accrocher à l'entré.
-Vous dîtes avoir vu un feu, mais où se trouvait-il exactement? Demanda le traqueur en se grattant l'arrière de la tête, pour en réalité avoir sa main prête à dégainer.
Tandis qu'il gardait tout ses sens en alerte, le regard vif et l'oreille attentive.
Durant son discours, de son regard aiguisé Woulfound remarqua alors que le géant gris zyeuté brièvement l'intérieur de la maison. Comme si il cherchait à faire un repérage, balayant la pièce des yeux, s'attardant sur les compagnon du mer mercenaire. C'était un comportement vraiment louche, avait-il l'intention de voler quelque-chose? D'entrer de force même? Il ne le savait pas, mais en cas de problème le chevalier gris avait son épée accroché à l'aide de deux anneaux dans son dos, qu'il pourrait dégainer en un rien de temps.
Pendant ce temps là, Kel'tan lui semblait trop occupé avec ses préparations alchimique. En apparence du moins, car en réalité il sentait assez mal cette visite nocturne, il ne voulait pas qu'une rixe entre le minotaure et la dryade s'engage et qu'ils finissent par saccager sa maison. Ce qui pourrait bien arriver, au vu du regard noir que la prêtresse lui lançait. On pouvait sentir une certaine arrogance , ainsi qu'un air supérieur dans ses yeux. Elle le défiait littéralement du regard.
-Non, non il n'y a rien eu de grave... Mon amie ici présente avait été blessée par quelque-chose, mais nous l'avons soignée et elle semble déjà bien se rétablir. Déclara Woulfound à l'air gêné du minotaure, il ne devait plus savoir quoi inventé pour venir piller des honnêtes gens. Le guerrier lança alors un regard derrière son épaule, comme pour dire quelque-chose à la dryade et à l'elfe. Mais sans prononcer un mot, ils comprirent.
Il revint donc à l'inconnu ayant décider de s'inviter cher eux, si il voulait en découdre autan éviter de tout détruire à l'intérieur. Surtout qu'au vu des potions sur les étagère et sur l'atelier, il valait peut-être mieux sortir plutôt que de prendre le risque de faire sauter la cabane du drow. Il avança donc d'un pas nonchalant vers l'extérieur, demandant au minotaure de le suivre sans le perdre de son champs de vision au cas où il tenterait un coup fourré. En même temps, la dryade avançait vers la porte sans trop se découvrir pour les observer avec une lanterne qu'elle vint accrocher à l'entré.
-Vous dîtes avoir vu un feu, mais où se trouvait-il exactement? Demanda le traqueur en se grattant l'arrière de la tête, pour en réalité avoir sa main prête à dégainer.
Tandis qu'il gardait tout ses sens en alerte, le regard vif et l'oreille attentive.
Woulfound Kadova- Expert
- Race : Humain
Re: Une étoile tombée du ciel
Un court silence s’imposa en attendant ma réponse. Ils étaient trois dans la cabane et ils étaient sur leur garde, cela se voyait. Tant mieux, ils n’étaient pas aussi idiots qu’ils en avaient l’air. J’étais curieux de savoir ce qu’ils faisaient ici, tous réunis dans un si petit lieu.
Woulfound - Non, non il n'y a rien eu de grave... Mon amie ici présente avait été blessée par quelque-chose, mais nous l'avons soignée et elle semble déjà bien se rétablir.
Je me mis à regarder plus attentivement ce petit monde et cette amie. Son physique était bien particulier. On aurait dit une faune, mais modifié comme si elle était croisée à autres. Cette dernière croisée mon regard d’un air de défi. Je me mis à lâcher un rire, amuser par l’audace de la créature. La troisième personne était au fond, concoctant, je ne savais pas trop quoi, mais évitant de s’immiscer dans notre discussion. Je devrais sans doute garder un œil sur lui. Le guerrier humain m’invita à le suivre dehors. J’aurais préféré que tout le monde sorte pour être à la merci de la harpie, mais tampis, un seul suffira.
Woulfound - Vous dîtes avoir vu un feu, mais où se trouvait-il exactement ?
Je me mis à lui montrer la direction où nous avions trouvé le feu. Lui aussi, il se préparait à quelque chose. Il pouvait se faire passer pour un bandit ou un criminel en cavale. Sa bande serait bien originale avec un herboriste et un monstre inconnu. Je le vis vouloir se gratter la tête. Un geste anodin, mais je remarquais que sa lame se tenait derrière son dos. Comptait-il me faire une petite blessure ? Si tel était le cas, il recevrait mon marteau en pleine tête, transformant son crâne en confiture. Et puis, je comptais sur l’appui de Sélanéa en cas d’ennuis. Bien cacher dans les bras en pleine nuit, elle pouvait voir si cet humain comptait m’attaquer en premier et si tel était le cas, elle foncerait sur lui par surprise, ou le planterait d’une centaine de plumes noires.
Garkar – Alors c’était vous ?
Woulfound - Non, non il n'y a rien eu de grave... Mon amie ici présente avait été blessée par quelque-chose, mais nous l'avons soignée et elle semble déjà bien se rétablir.
Je me mis à regarder plus attentivement ce petit monde et cette amie. Son physique était bien particulier. On aurait dit une faune, mais modifié comme si elle était croisée à autres. Cette dernière croisée mon regard d’un air de défi. Je me mis à lâcher un rire, amuser par l’audace de la créature. La troisième personne était au fond, concoctant, je ne savais pas trop quoi, mais évitant de s’immiscer dans notre discussion. Je devrais sans doute garder un œil sur lui. Le guerrier humain m’invita à le suivre dehors. J’aurais préféré que tout le monde sorte pour être à la merci de la harpie, mais tampis, un seul suffira.
Woulfound - Vous dîtes avoir vu un feu, mais où se trouvait-il exactement ?
Je me mis à lui montrer la direction où nous avions trouvé le feu. Lui aussi, il se préparait à quelque chose. Il pouvait se faire passer pour un bandit ou un criminel en cavale. Sa bande serait bien originale avec un herboriste et un monstre inconnu. Je le vis vouloir se gratter la tête. Un geste anodin, mais je remarquais que sa lame se tenait derrière son dos. Comptait-il me faire une petite blessure ? Si tel était le cas, il recevrait mon marteau en pleine tête, transformant son crâne en confiture. Et puis, je comptais sur l’appui de Sélanéa en cas d’ennuis. Bien cacher dans les bras en pleine nuit, elle pouvait voir si cet humain comptait m’attaquer en premier et si tel était le cas, elle foncerait sur lui par surprise, ou le planterait d’une centaine de plumes noires.
Garkar – Alors c’était vous ?
Garkar- Bon
- Race : Minotaure
Re: Une étoile tombée du ciel
Visiblement pour l'instant, personne n'était sortis des fourrés pour se jeter à sa gorge. Pour l'instant justement, c'est ce pourquoi Woulfound restait attentif, prêt à bondir sur le côté pour éviter un mauvais coup ou encore une flèche... Une flèche... Une flèche, ça lui sauta à l'esprit comme un Cellion sauterait à la gorge d'un voyageur imprudent. C'était donc ça. Il était fort probable qu'on essaie de l'avoir à l'aide de tireurs embusqués. Au final, c'était le plus probable: pourquoi donc se salir les mains quand une flèche entre les deux yeux suffit? Le traqueur ne repérait personne pour l'instant, mais il était toujours attentif et fit exprès d'avancer dans l'ombre pour gêner un potentiel tir qui lui serait mortel en plein milieux de la lumière. Pendant ce temps là, la dryade elle observait à la porte, sa hallebarde attachée dans son dos au cas où elle viendrait à sortir, mais surtout un sabre court à sa ceinture qu'elle était prête à dégainer si besoin... Elle observait attentivement le minotaure, tandis que derrière elle l'alchimiste zyeutait la scène par la fenêtre.
-Effectivement, cela devait bel et bien être nous. Répondit donc le chevalier gris avec un air calme malgré la distance qu'il gardait entre lui et le géant gris aux yeux luisants. Il ne manifestait pas le moindre signe de crainte.
Woulfound semblait bel et bien serein malgré la situation, ses sens en éveil, mais son esprit aussi calme que le courant d'une petite rivière. Mais comme dit le proverbe: "Il faut se méfier de l'eau qui dort." Ce dernier valait autant pour l'humain que pour le colosse, l'un cachant ses intentions tandis que l'autre cachait sa méfiance. Il soupira, d'aise peut-être ou de fatigue? Peut-être les deux. Pour enfin s'étirer un peu, faisant craquer bruyamment les os de son dos, son cou et ses phalanges, pour enfin lui poser la question suivant:
-Que fait un fier baroudeur, car vous m'en avez l'air, ici bas dans cette forêt Elfique? Je sais votre peuple proche de la nature, mais les zones plus dégagés vous sont plus favorable normalement, non? Pourquoi être venu ici?
Woulfound le regardait donc de ses yeux couleur émeraude, son regard cherchant à croiser celui du colosse, comme pour tenter de lire en lui. Comme si il le jaugeait finalement , n'ayant que faire d'un tir, se sachant plus ou moins à l'abris grâce à la noirceur de l'endroit où il se tenait.
-Effectivement, cela devait bel et bien être nous. Répondit donc le chevalier gris avec un air calme malgré la distance qu'il gardait entre lui et le géant gris aux yeux luisants. Il ne manifestait pas le moindre signe de crainte.
Woulfound semblait bel et bien serein malgré la situation, ses sens en éveil, mais son esprit aussi calme que le courant d'une petite rivière. Mais comme dit le proverbe: "Il faut se méfier de l'eau qui dort." Ce dernier valait autant pour l'humain que pour le colosse, l'un cachant ses intentions tandis que l'autre cachait sa méfiance. Il soupira, d'aise peut-être ou de fatigue? Peut-être les deux. Pour enfin s'étirer un peu, faisant craquer bruyamment les os de son dos, son cou et ses phalanges, pour enfin lui poser la question suivant:
-Que fait un fier baroudeur, car vous m'en avez l'air, ici bas dans cette forêt Elfique? Je sais votre peuple proche de la nature, mais les zones plus dégagés vous sont plus favorable normalement, non? Pourquoi être venu ici?
Woulfound le regardait donc de ses yeux couleur émeraude, son regard cherchant à croiser celui du colosse, comme pour tenter de lire en lui. Comme si il le jaugeait finalement , n'ayant que faire d'un tir, se sachant plus ou moins à l'abris grâce à la noirceur de l'endroit où il se tenait.
Woulfound Kadova- Expert
- Race : Humain
Re: Une étoile tombée du ciel
Woulfound - Effectivement, cela devait bel et bien être nous.
Si le guerrier éprouvait la moindre peur ou méfiance, il n’en montra aucun signe. Il était d’un grand calme et soutenait mon regard avec l’assurance que son rang lui imposait. Je percevais toutefois qu’il restait sur ses gardes. Il devait sans doute m’épier des sabots aux cornes pour savoir si je représentais une menace ou non. Il était vrai que mon épaisse fourrure sombre, mais cornes noires et mes yeux brillants ne m’aidèrent pas beaucoup à donner une image positive de ma personne. En réalité, mon aspect physique reflétait bien mon âme. Noircit par l’injustice et la colère, cherchant à s’apaisant en rétablissant la justice par le sang. Le guerrier s’étira devant moi, faisant craquer bruyamment ses os. Une façon de faire croire qu’il était maître de la situation sans doute.
Woulfound - Que fait un fier baroudeur, car vous m'en avez l'air, ici-bas dans cette forêt Elfique? Je sais votre peuple proche de la nature, mais les zones plus dégagés vous sont plus favorable normalement, non ? Pourquoi être venu ici ?
Il cherchait à nouveau à croiser mon regard, d’une façon presque accusatrice. Il était clair à présent qu’il se doutait du danger et que bientôt, peut-être dans une minute ou deux, il faudra agir au plus vite. Cet humain m’avait déjà déclaré dangereux rien qu’en me voyant de toute façon, une preuve que tous ceux de sa race furent xénophobes. Me débarrasser de lui ne serait que justice finalement. En attendant, je devais lui répondre. Pour faire baisser sa garde, je laissais mon arme en repos, poser sur mon épaule comme un stupide bucheron rentrant de son labeur et usais d’une voix presque chaleureuse.
Garkar – Moi ? Et bien je suis un paladin. Un justicier vagabond qui parcourt Orcande pour répandre la justice et aider ce monde à aller mieux… Mais pas facile avec une sale tête comme la mienne ha !
Une vérité vraie pour moi. J’étais un authentique justicier, défendant ma cause. Et si je le confortais dans son idée de xénophobe, que je m’abaissais devant lui, je pourrais le frapper aux niveaux des jambes. Je n’étais plus grand-chose depuis mon emprisonnement. Mon corps fut meurtri par les coups, et l’enfermement et les maltraitances on détruit mon âme. J’étais devenue une bête sanguinaire à cause des hommes. Mais une bête qui a reçu une chance de se venger et de corriger tout cela. Alors, m’abaisser plus bas que terre pour tuer les autres était le moindre de mes soucis.
Garkar – Une des raisons pourquoi je me suis inquiétais en voyant un feu dans un endroit aussi dangereux.
Si le guerrier éprouvait la moindre peur ou méfiance, il n’en montra aucun signe. Il était d’un grand calme et soutenait mon regard avec l’assurance que son rang lui imposait. Je percevais toutefois qu’il restait sur ses gardes. Il devait sans doute m’épier des sabots aux cornes pour savoir si je représentais une menace ou non. Il était vrai que mon épaisse fourrure sombre, mais cornes noires et mes yeux brillants ne m’aidèrent pas beaucoup à donner une image positive de ma personne. En réalité, mon aspect physique reflétait bien mon âme. Noircit par l’injustice et la colère, cherchant à s’apaisant en rétablissant la justice par le sang. Le guerrier s’étira devant moi, faisant craquer bruyamment ses os. Une façon de faire croire qu’il était maître de la situation sans doute.
Woulfound - Que fait un fier baroudeur, car vous m'en avez l'air, ici-bas dans cette forêt Elfique? Je sais votre peuple proche de la nature, mais les zones plus dégagés vous sont plus favorable normalement, non ? Pourquoi être venu ici ?
Il cherchait à nouveau à croiser mon regard, d’une façon presque accusatrice. Il était clair à présent qu’il se doutait du danger et que bientôt, peut-être dans une minute ou deux, il faudra agir au plus vite. Cet humain m’avait déjà déclaré dangereux rien qu’en me voyant de toute façon, une preuve que tous ceux de sa race furent xénophobes. Me débarrasser de lui ne serait que justice finalement. En attendant, je devais lui répondre. Pour faire baisser sa garde, je laissais mon arme en repos, poser sur mon épaule comme un stupide bucheron rentrant de son labeur et usais d’une voix presque chaleureuse.
Garkar – Moi ? Et bien je suis un paladin. Un justicier vagabond qui parcourt Orcande pour répandre la justice et aider ce monde à aller mieux… Mais pas facile avec une sale tête comme la mienne ha !
Une vérité vraie pour moi. J’étais un authentique justicier, défendant ma cause. Et si je le confortais dans son idée de xénophobe, que je m’abaissais devant lui, je pourrais le frapper aux niveaux des jambes. Je n’étais plus grand-chose depuis mon emprisonnement. Mon corps fut meurtri par les coups, et l’enfermement et les maltraitances on détruit mon âme. J’étais devenue une bête sanguinaire à cause des hommes. Mais une bête qui a reçu une chance de se venger et de corriger tout cela. Alors, m’abaisser plus bas que terre pour tuer les autres était le moindre de mes soucis.
Garkar – Une des raisons pourquoi je me suis inquiétais en voyant un feu dans un endroit aussi dangereux.
Garkar- Bon
- Race : Minotaure
Re: Une étoile tombée du ciel
La dryade regardait donc le guerrier sombre d'un regard qui en disait long sur ce qui se tramait derrière sa tête, elle ne pensait pas du bien de cet inconnu et agirait en conséquence si il venait à se montrer agressif envers son nouveau compagnon de route. Il lui fallait juste trouver un angle pour une attaque, Eska ne désirant pas blesser son sauveur avec un coup mal placée... Elle se contentait alors d'observer calmement, le regard pleins de mépris tandis qu'elle caressait du bout de ses doigt la lanterne. L'alchimiste quand à lui se mordait les doigts à l'idée qu'une bagarre éclate, il connaissait Woulfound qui ferait surement en sorte de calmer le jeu, mais la dryade elle il n'en savait rien. Peut-être même finirait-elle par provoquer le minotaure, le pensant hostile malgré ses paroles.
Woulfound quand à lui se contentait d'observer le géant noir, il avait tout du baroudeur comme il l'avait dit. Mais semblait également marqué de divers cicatrice bien étrange, qui avait plus de la torture que du combat à la loyale dans une arène. Il devait donc être sacrément endurant pour avoir subit tout cela. La vie n'avait pas dû lui faire beaucoup de cadeau, déjà il était minotaure et donc non humain. Ce qui faisait de lui une cible majeur des raillerie et du racisme malgré son physique imposant. Puis ensuite, il y avait ses cornes aussi noire que du charbon et ses deux yeux brillant comme des éclair d'un jaune vif. Ca ne devait pas l'aider, beaucoup de personne ayant croisé le fer avec lui ou simplement voyagé à ses côtés avaient du le prendre pour un démon, un monstre assoiffé de sang tuant par centaine. C'était l'image que son physique effroyable renvoyait en tout cas.
Il remit soudain son marteau sur son épaule, à la manière d'un bûcheron se reposant entre quelque coupe pour ensuite se remettre au travail. On aurait pu prendre cela comme un geste agressif, ce qui poussa la dryade à mettre la main au pommeau de sa lame. Woulfound leva alors la main vers elle, lui intimant de ne rien faire malgré la situation plutôt tendancieuse et de le laisser parler de ce qu'il venait faire ici. Il déclara alors être en réalité un paladin, un homme de justice parcourant Orcande dans le but de sauver la veuve et l'orphelin. Cela expliquait donc ses blessures, mais également son marteau de guerre dont il devait savoir se servir malgré sa pose de bûcheron. Il devait en avoir connu des batailles au vu de sa démarche forte et fière. Néanmoins, il y avait cette violence dans ses gestes témoignant d'une certaine noirceur en lui... Le chasseur toussota donc pour s'éclaircir la voix.
-Et bien... Je penses qu'il vaut toujours mieux faire attention aux apparences. L'habit ne fait pas le moine et ne pas s'arrêter aux apparences peut réserver de nombreuses surprises. Regardez, j'ai rencontré quelque semaines plus tôt une jeune femme du nom de Sahélina. Il s'agissait d'une paladine de l'ordre paladin de Tacomnal... Elle avait une armure de l'ordre incomplète, n'était pas bien grande et assez fine. Vu la réputation de son ordre, elle devait être une femme raciste et arrogante, mais au final elle devint quelqu'un qui me fut très proche ces temps-ci... D'ailleurs, je suis à sa recherche en ce moment, si vous l'aviez vu, elle porte une épée longue à un tranchant et use de la magie divine... Elle est capable de soigner les gens par le toucher et de projeter des flammes lumineuses.
Woulfound quand à lui se contentait d'observer le géant noir, il avait tout du baroudeur comme il l'avait dit. Mais semblait également marqué de divers cicatrice bien étrange, qui avait plus de la torture que du combat à la loyale dans une arène. Il devait donc être sacrément endurant pour avoir subit tout cela. La vie n'avait pas dû lui faire beaucoup de cadeau, déjà il était minotaure et donc non humain. Ce qui faisait de lui une cible majeur des raillerie et du racisme malgré son physique imposant. Puis ensuite, il y avait ses cornes aussi noire que du charbon et ses deux yeux brillant comme des éclair d'un jaune vif. Ca ne devait pas l'aider, beaucoup de personne ayant croisé le fer avec lui ou simplement voyagé à ses côtés avaient du le prendre pour un démon, un monstre assoiffé de sang tuant par centaine. C'était l'image que son physique effroyable renvoyait en tout cas.
Il remit soudain son marteau sur son épaule, à la manière d'un bûcheron se reposant entre quelque coupe pour ensuite se remettre au travail. On aurait pu prendre cela comme un geste agressif, ce qui poussa la dryade à mettre la main au pommeau de sa lame. Woulfound leva alors la main vers elle, lui intimant de ne rien faire malgré la situation plutôt tendancieuse et de le laisser parler de ce qu'il venait faire ici. Il déclara alors être en réalité un paladin, un homme de justice parcourant Orcande dans le but de sauver la veuve et l'orphelin. Cela expliquait donc ses blessures, mais également son marteau de guerre dont il devait savoir se servir malgré sa pose de bûcheron. Il devait en avoir connu des batailles au vu de sa démarche forte et fière. Néanmoins, il y avait cette violence dans ses gestes témoignant d'une certaine noirceur en lui... Le chasseur toussota donc pour s'éclaircir la voix.
-Et bien... Je penses qu'il vaut toujours mieux faire attention aux apparences. L'habit ne fait pas le moine et ne pas s'arrêter aux apparences peut réserver de nombreuses surprises. Regardez, j'ai rencontré quelque semaines plus tôt une jeune femme du nom de Sahélina. Il s'agissait d'une paladine de l'ordre paladin de Tacomnal... Elle avait une armure de l'ordre incomplète, n'était pas bien grande et assez fine. Vu la réputation de son ordre, elle devait être une femme raciste et arrogante, mais au final elle devint quelqu'un qui me fut très proche ces temps-ci... D'ailleurs, je suis à sa recherche en ce moment, si vous l'aviez vu, elle porte une épée longue à un tranchant et use de la magie divine... Elle est capable de soigner les gens par le toucher et de projeter des flammes lumineuses.
Woulfound Kadova- Expert
- Race : Humain
Re: Une étoile tombée du ciel
L’étrange créature au fond de la cabane semblait bien méfiante à mon égard. Elle tenta de prendre son arme quand elle me vit jouer avec mon marteau, mais le guerrier humain l’en dissuada. S’il savait que son « ami » avait raison de se préparer au combat. J’attendais juste le bon moment pour lancer le signal afin que la harpie attaque avec ses plumes et moi avec mon marteau. L’humain semblait plus dipomate, ou discomat. Enfin ceux qui savaient bien parler pour éviter les disputes ou les guerres. Quelque chose qui me fut étrangère car la guerre, je ne connais plus que ça et toutes les belles phrases du monde ne sauraient me convaincre d’arrêter le massacre. Je pouvais toujours repousser l’inévitable, mais à un moment, je frapperais. Seuls ceux aux cœurs noirs avaient une petite chance d’éviter mon marteau de la justice.
Woulfound - Et bien... Je penses qu'il vaut toujours mieux faire attention aux apparences. L'habit ne fait pas le moine et ne pas s'arrêter aux apparences peut réserver de nombreuses surprises.
De quoi il parlait celui-là ? À oui, parce que j’étais un minotaure noir aux yeux brillant que je ne pouvais pas être paladin ? La bonne blague, un paladin des ténèbres plutôt. Ce n’était pas parcequ’on avait une belle gueule qu’on était forcément un gentil. Ça, c’étaient des images véhiculaient par des bardes lors de chant dans les tavernes ou chez les riches.
Woulfound - Regardez, j'ai rencontré quelque semaines plus tôt une jeune femme du nom de Sahélina. Il s'agissait d'une paladine de l'ordre paladin de Tacomnal... Elle avait une armure de l'ordre incomplète, n'était pas bien grande et assez fine. Vu la réputation de son ordre, elle devait être une femme raciste et arrogante, mais au final elle devint quelqu'un qui me fut très proche ces temps-ci... D'ailleurs, je suis à sa recherche en ce moment, si vous l'aviez vu, elle porte une épée longue à un tranchant et use de la magie divine... Elle est capable de soigner les gens par le toucher et de projeter des flammes lumineuses.
Mon cœur s’embrasa d’un feu puissant qui embrasa mon corps en entier. Mes yeux se changèrent en deux nuages d’orage qui lancèrent des éclairs sur l’humain. Ma main tenant mon marteau serra si fort le manche que je sentais quelque chose de chaud et de liquide. Cette femelle… Sa description correspondait parfaitement à celle qui m'a affronté à Tacomnal ! J’ignorais son nom jusqu’à présent, mais son armure, ses pouvoirs… Tout cela correspondait et ça ne pouvait être qu’elle. La voix de la raison me criait « Tue le ! » En plus, il disait en être proche d’elle. N’ayant pu la vaincre au village, j’aurais ma revanche sur cette femelle en tuant cet homme. À la façon dont il en parlait, il était sûr qu’ils étaient vraiment très proches. Si un dieu veillait sur moi, je lui remercie de cette chance d’être tombé sur ce ver de terre. Et pour le gratifier de son don, je lui offrirais le sang du guerrier. Sans prendre plus de temps, j’attrapai de ma grosse main le bras de l’humain pour le jeter dehors, afin qu’il soit à la merci de Sélanéa en grognant de colère, me souvenant bien des douleurs causaient par cette traînée de paladine :
Garkar – Tu connais cette maudite garce ?!!!
Toute la colère, tout mon désir de vengeance se concentrèrent ensemble à cet instant sur ce blanc-bec. Mes chances de retrouver l’humaine étaient incertaines, mais lui, il m’aidera à me défouler, à me soulager de ma colère. Et si jamais sa mort venait aux oreilles de la femelle, elle désirerait aussi de venger et viendra jusqu’à moi, pour affronter sa mort. Comme je l’avais dit, avec moi, on ne pouvait que repoussait l’inévitable, jamais l’empêcher. Tout rentrerait dans l’ordre comme ça, la justice sera une fois de plus rendu et je pourrais poursuivre ma croisade. Évidemment, dans ma colère, j’oubliais pour le moment les deux amis du guerrier. Mais je comptais sur Sélanéa pour me couvrir et les tenir à distance, avant que je ne règle leur compte à eux aussi.
Woulfound - Et bien... Je penses qu'il vaut toujours mieux faire attention aux apparences. L'habit ne fait pas le moine et ne pas s'arrêter aux apparences peut réserver de nombreuses surprises.
De quoi il parlait celui-là ? À oui, parce que j’étais un minotaure noir aux yeux brillant que je ne pouvais pas être paladin ? La bonne blague, un paladin des ténèbres plutôt. Ce n’était pas parcequ’on avait une belle gueule qu’on était forcément un gentil. Ça, c’étaient des images véhiculaient par des bardes lors de chant dans les tavernes ou chez les riches.
Woulfound - Regardez, j'ai rencontré quelque semaines plus tôt une jeune femme du nom de Sahélina. Il s'agissait d'une paladine de l'ordre paladin de Tacomnal... Elle avait une armure de l'ordre incomplète, n'était pas bien grande et assez fine. Vu la réputation de son ordre, elle devait être une femme raciste et arrogante, mais au final elle devint quelqu'un qui me fut très proche ces temps-ci... D'ailleurs, je suis à sa recherche en ce moment, si vous l'aviez vu, elle porte une épée longue à un tranchant et use de la magie divine... Elle est capable de soigner les gens par le toucher et de projeter des flammes lumineuses.
Mon cœur s’embrasa d’un feu puissant qui embrasa mon corps en entier. Mes yeux se changèrent en deux nuages d’orage qui lancèrent des éclairs sur l’humain. Ma main tenant mon marteau serra si fort le manche que je sentais quelque chose de chaud et de liquide. Cette femelle… Sa description correspondait parfaitement à celle qui m'a affronté à Tacomnal ! J’ignorais son nom jusqu’à présent, mais son armure, ses pouvoirs… Tout cela correspondait et ça ne pouvait être qu’elle. La voix de la raison me criait « Tue le ! » En plus, il disait en être proche d’elle. N’ayant pu la vaincre au village, j’aurais ma revanche sur cette femelle en tuant cet homme. À la façon dont il en parlait, il était sûr qu’ils étaient vraiment très proches. Si un dieu veillait sur moi, je lui remercie de cette chance d’être tombé sur ce ver de terre. Et pour le gratifier de son don, je lui offrirais le sang du guerrier. Sans prendre plus de temps, j’attrapai de ma grosse main le bras de l’humain pour le jeter dehors, afin qu’il soit à la merci de Sélanéa en grognant de colère, me souvenant bien des douleurs causaient par cette traînée de paladine :
Garkar – Tu connais cette maudite garce ?!!!
Toute la colère, tout mon désir de vengeance se concentrèrent ensemble à cet instant sur ce blanc-bec. Mes chances de retrouver l’humaine étaient incertaines, mais lui, il m’aidera à me défouler, à me soulager de ma colère. Et si jamais sa mort venait aux oreilles de la femelle, elle désirerait aussi de venger et viendra jusqu’à moi, pour affronter sa mort. Comme je l’avais dit, avec moi, on ne pouvait que repoussait l’inévitable, jamais l’empêcher. Tout rentrerait dans l’ordre comme ça, la justice sera une fois de plus rendu et je pourrais poursuivre ma croisade. Évidemment, dans ma colère, j’oubliais pour le moment les deux amis du guerrier. Mais je comptais sur Sélanéa pour me couvrir et les tenir à distance, avant que je ne règle leur compte à eux aussi.
Garkar- Bon
- Race : Minotaure
Re: Une étoile tombée du ciel
Woulfound vit soudain les yeux de la bête s'enflammer de rage, cette dernier ce retenant de grogner tel un Nurat ou un Hicarus. Ses muscles se crispant de colère, son visage bovin se déformant ne laissant que de la haine. Une haine noire et sombre, qui semblait profondément encrée dans son âme. Ainsi, il n'était même plus un minotaure, mais plus un monstre, une créature de Méphiti, un démon assoiffé de sang. Si ses yeux n'avaient pas été totalement jaune, ses orbites se serraient surement injecté de sang et le chasseur n'aurait pas été étonné de voir des ailes de chauves souris pousser dans son dos, lui donnant cette fois-ci réellement l'apparence d'une engeance de la déesse de ma malice ou d'une autre entité chaotique.
Il entendit alors le souffle du minotaure changer, annonçant une attaque à main nue. Il aurait bien tenté de riposter, il en était d'ailleurs bien capable mais le mots qu'il venait de hurler le perturbèrent légèrement... Tant mieux au final, car si il restait ici il ne pourrait point permettre à la dryade d'user de sa magie. Il se fit donc saisir et dans un réflexe naturel s'élança dans le sens vers lequel il était jeter pour effectuer une roulade au sol afin de se réceptionner. Mais une fois plus loin, il fut étonné que le géant noir ait décidé de l'éloigner de lui. Il repensa alors au tireur embusqué qui pouvait se cacher ici tandis qu'il se retournait vers son adversaire en dégainant sa lame qui se trouvait dans son dos, attachée de manière à être dégainer rapidement. Il n'avait plus qu'à espérer que sa cape en peau de Vrot lui permettrait de par son épaisseur de le protéger ou encore de pat ses dimensions de tromper le tireur. Woulfound se mit alors à courir en zigzaguant vers le minotaure, son épée bâtarde dans la main gauche , la laissant légèrement derrière lui durant sa course.
Pendant ce temps, lorsque Eska vit son compagnon valser elle prit la lampe à huile qu'elle jeta dans les herbes devant elle, un air tristement sombre au visage. Les herbes prirent feu alors qu'elle dégainait de la main droite un sabre à une main tandis qu'elle levait sa main gauche pour propager un brasier ardent vers le baroudeur noir. Plus précisément, dans son dos tout en prenant un angle pour ne pas toucher Woulfoud dans le cas où elle n'arriverait pas à dévier le projectile, pareil au souffle d'un dragon. Pendant ce temps là, Kel'tan ne se sentait pas très bien. Il n'avait aucun moyen de se défendre contrairement à eux, en dehors de certains élixir relevant plus d'arme alchimique qu'il ne se risquerait pas à utiliser pour l'instant. Il craignait aussi pour sa bicoque qui était faîte majoritairement de bois et qui si elle prenait feu, détruirait ses précieuses ressources et risquerait de créer un sacré feu d'artifice, digne des plus grand pyromanciens ou artificiers nains. Heureusement, la dryade semblait savoir ce qu'elle faisait et les flammes à l'entée étaient canalysée par cette dernière.
Il entendit alors le souffle du minotaure changer, annonçant une attaque à main nue. Il aurait bien tenté de riposter, il en était d'ailleurs bien capable mais le mots qu'il venait de hurler le perturbèrent légèrement... Tant mieux au final, car si il restait ici il ne pourrait point permettre à la dryade d'user de sa magie. Il se fit donc saisir et dans un réflexe naturel s'élança dans le sens vers lequel il était jeter pour effectuer une roulade au sol afin de se réceptionner. Mais une fois plus loin, il fut étonné que le géant noir ait décidé de l'éloigner de lui. Il repensa alors au tireur embusqué qui pouvait se cacher ici tandis qu'il se retournait vers son adversaire en dégainant sa lame qui se trouvait dans son dos, attachée de manière à être dégainer rapidement. Il n'avait plus qu'à espérer que sa cape en peau de Vrot lui permettrait de par son épaisseur de le protéger ou encore de pat ses dimensions de tromper le tireur. Woulfound se mit alors à courir en zigzaguant vers le minotaure, son épée bâtarde dans la main gauche , la laissant légèrement derrière lui durant sa course.
Pendant ce temps, lorsque Eska vit son compagnon valser elle prit la lampe à huile qu'elle jeta dans les herbes devant elle, un air tristement sombre au visage. Les herbes prirent feu alors qu'elle dégainait de la main droite un sabre à une main tandis qu'elle levait sa main gauche pour propager un brasier ardent vers le baroudeur noir. Plus précisément, dans son dos tout en prenant un angle pour ne pas toucher Woulfoud dans le cas où elle n'arriverait pas à dévier le projectile, pareil au souffle d'un dragon. Pendant ce temps là, Kel'tan ne se sentait pas très bien. Il n'avait aucun moyen de se défendre contrairement à eux, en dehors de certains élixir relevant plus d'arme alchimique qu'il ne se risquerait pas à utiliser pour l'instant. Il craignait aussi pour sa bicoque qui était faîte majoritairement de bois et qui si elle prenait feu, détruirait ses précieuses ressources et risquerait de créer un sacré feu d'artifice, digne des plus grand pyromanciens ou artificiers nains. Heureusement, la dryade semblait savoir ce qu'elle faisait et les flammes à l'entée étaient canalysée par cette dernière.
Woulfound Kadova- Expert
- Race : Humain
Re: Une étoile tombée du ciel
Le combat était lancé, on ne jouait plus sur les paroles, mais avec nos armes maintenant. L’humain se retrouva à l’autre bout et parvint avec agilité à retomber sur ses pattes comme un chat. Sans perdre une seconde, il s’élança vers moi, l’arme au poing. Qu’il vienne, je le tuerais avec mon marteau d’un seul coup. Mais des flammes jaillirent de partout, nous encerclant dans une arène de feu. Je compris alors que l’alliée monstrueuse du guerrier était une sorte de créature magique. Je m’occuperais d’elle plus tard. En attendant, j’avais un humain à me débarrasser.
Sélanéa me vint en aide. Quand l’humain se retrouva dehors, elle envoya une pluie de plumes noirs pour arriver à le transpercer dans le dos. Les traits des ténèbres se mélangèrent avec l’herbe et les flammes. Je tentais à mon tour de frapper, quand il se retrouva à un ou deux mètres, je tentais de le frappais en pleine tête avec mon marteau.
Sélanéa me vint en aide. Quand l’humain se retrouva dehors, elle envoya une pluie de plumes noirs pour arriver à le transpercer dans le dos. Les traits des ténèbres se mélangèrent avec l’herbe et les flammes. Je tentais à mon tour de frapper, quand il se retrouva à un ou deux mètres, je tentais de le frappais en pleine tête avec mon marteau.
Garkar- Bon
- Race : Minotaure
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