L'honorable aventurier et le subterfuge
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Orcande - forum de RP médiéval-fantastique :: Zones de RP :: Royaume de Tacomnal :: Plaine du Reflet
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L'honorable aventurier et le subterfuge
Voilà maintenant une vingtaine de jours que je garde la cap vers Tacomnal. J'avais décidé de passer là-bas pour me ressourcer avant mon long périple vers le Sud-Est du continent et par la même occasion, me renseigner sur ce marchand d'esclave qui m'avait laissé la vie sauve. Il allait le regretter, mais je devais être patient, rien ne sert de se presser. Peut être qu'avec un peu de chance, je rencontrerais quelqu'un qui se dirigerait vers Telbara. Pour l'instant, il me restait une bonne trotte avant d'arriver à la forteresse de l'Ouest, je n'avais fait que rejoindre la route menant à Tacomnal en passant par les plaines du reflet. je n'étais vraiment pas près d'arriver en réalité, il me semblait avoir vu une pancarte indiquant la prochaine grande étape, une ville du nom de Gota'Hac je crois. On verra bien quand on y sera, pour le moment je devais me contenter de marcher le long de la route.
Le trajet était des plus monotones, de vaste paysage plutôt plat et morose. J'étais fatigué de marcher pendant tout ce temps, sans aucune animation. Mes vivres commençait à se faire juste, il en allait de même pour l'eau. Je pensais m'arrêter au prochain village, faire une petite pose et reprendre des forces. C'est ça, me reposer. J'avais besoin de dormir aussi, peut-être qu'en restant un ou deux jours je pourrai ramener quelques pièces, en ramassant les petites bourses qui traîne par-ci par là. Et puis comme dit ci-bien les marchands "Le malheur des uns fait le bonheur des autres" . En tout cas, une fois arrivé en ville, je me payerai une bonne tranche de viande!
Mes jambes me faisaient souffrir, j'avais l'impression de marcher sur du mou, mais en réalité ce sont mes pattes qui étaient complètement molles. Le sol se mit à trembler légèrement, les cailloux sautillaient. Sans plus attendre, je me cachais dans les fourrés, attendant que le bruit se rapproche. J'avais vu juste! Une carriole passait justement là et vu l'état des roues, elle devait venir des marécages, la boue avait recouvert les cadrans. Je patientais encore un peu, histoire que la carriole passe devant moi, que je puisse rentrer à l'arrière sans me faire remarquer. Je sortis des buissons puis accourais vers la carriole à toute vitesse. Je me hissais à l'intérieur puis rentrais sous la toile. Finalement, je n'aurai peut-être pas dû faire cela. Je me trouvais dans une carriole remplie d'esclave, je m'en doutais un peu, j'espérais seulement me tromper. Les seules raisons pour lesquels on utilisait ce moyen de locomotion pour se déplacer était soit pour les marchands transportant beaucoup de marchandise ou qui venait de loin, dans ce cas ce sont les plus riche qui en profite, soit parce qu'il transporte des esclaves, habituellement des Homme-Lézard, dans ce cas aussi se sont les plus riches qui en profites.
Il y avait six Homme-Lézard, un petit serpent avec des bras et des vêtements (une race que je ne connaissais pas?) et ... une tigraine. Peu de gens savent différencier un Tigrain d'une Tigraine, pourtant il était facile de les reconnaître, peut-être parce que j'en suis un? Son regard était celui d'une Tigraine, nul doute possible. Elle était apparemment plus âgées que moi, typé jaguar avec un corps tout frêle. Je me voyais plus jeune à sa place, avec mes parents essayant de me réconforter, leurs bras me réchauffant. Je n'avais pas fait attention, mais il y avait également trois gardes, un juste à ma droite, un autre à ma gauche assis par terre au milieu des dragons verts et le dernier était assis au fond de la carriole. Le garde à côté de moi m'avait regardé monté, ahuri, et était tout aussi surpris que moi découvrant que l'arrière du véhicule était surveillé. Le garde du fond dormait profondément et celui à ma gauche discutait avec le petit serpent, ou non, il lui grognait dessus pour qu'il arrête de pleurer.
Je devais agir rapidement. Pas de problème, je suis plus rapide que mon ombre! Je donnais un coup de genou au menton du garde à côté de moi afin de l'assommer puis, je lançais ma dague sur le garde qui grondait l'enfant serpent. La lame se planta sur sa tempe (au garde bien sûr) je me précipitais ensuite vers l'enfant serpent et lui mis ma patte devant sa bouche pour ne pas qu'il alerte le dernier garde qui dormait, en voyant le sang qui commençait à sa rependre sur le bois. Avec mon autre main je faisais signe aux autres prisonniers de se calmer et de ne pas faire de bruit. Il y avait un Homme-Lézard fort musclé, je me demandais d'ailleurs comment il avait été fait esclave, il aurait très bien pus s'échapper, surtout avec des gardes ceux là. Le dernier garde dormait toujours, les prisonniers avaient vite compris qu'il était tant de partir.
J'eu le droit à un "Merci mon ami" de la part du colosse vert. Sa poigne m'avait littéralement écrasé les doigts, il aurait très bien pus briser le cou des trois gardes d'un seul coup de main. Le petit serpent me faisait coucou depuis les bras de la Tigraine, elle me regardait partir. Je rigolais dans ma barbe, il devait certainement me prendre pour leur héros, enfin bref, de toute fessons j'avais besoin d'un moyen de locomotion, maintenant j'en ai un. J'hésitais à réveiller le dernier garde, pour le prévenir que les esclaves s'étaient échappés, finalement je le laissais dormir. si jamais il se réveillait, je n'aurai qu'à le sonné et puis on en parlerait plus. De même que le conducteur, s'il ouvrait la toile pour prévenir les gens "censé" se trouver à l'arrière et qu'il découvrait l'inévitable vide mis à part un cadavre, un dormeur, un garde qui tirait la langue, complètement avachi sur le côté et un Tigrain, Il s'arrêterait tout suite où il paniquerait. Hmm ... en fait non, je ne lui laisserai pas le temps. Il n'aurait pas eu le temps de prononcer son propre nom que j'aurai déjà vendu ses dents aux marchés en les faisant passé pour des graines de sésame. Je laissais donc l'embarcation nous mener à la prochaine étape, tant que le dormeur ne se réveillait pas et que le conducteur ne se retournait pas.
Le trajet était des plus monotones, de vaste paysage plutôt plat et morose. J'étais fatigué de marcher pendant tout ce temps, sans aucune animation. Mes vivres commençait à se faire juste, il en allait de même pour l'eau. Je pensais m'arrêter au prochain village, faire une petite pose et reprendre des forces. C'est ça, me reposer. J'avais besoin de dormir aussi, peut-être qu'en restant un ou deux jours je pourrai ramener quelques pièces, en ramassant les petites bourses qui traîne par-ci par là. Et puis comme dit ci-bien les marchands "Le malheur des uns fait le bonheur des autres" . En tout cas, une fois arrivé en ville, je me payerai une bonne tranche de viande!
Mes jambes me faisaient souffrir, j'avais l'impression de marcher sur du mou, mais en réalité ce sont mes pattes qui étaient complètement molles. Le sol se mit à trembler légèrement, les cailloux sautillaient. Sans plus attendre, je me cachais dans les fourrés, attendant que le bruit se rapproche. J'avais vu juste! Une carriole passait justement là et vu l'état des roues, elle devait venir des marécages, la boue avait recouvert les cadrans. Je patientais encore un peu, histoire que la carriole passe devant moi, que je puisse rentrer à l'arrière sans me faire remarquer. Je sortis des buissons puis accourais vers la carriole à toute vitesse. Je me hissais à l'intérieur puis rentrais sous la toile. Finalement, je n'aurai peut-être pas dû faire cela. Je me trouvais dans une carriole remplie d'esclave, je m'en doutais un peu, j'espérais seulement me tromper. Les seules raisons pour lesquels on utilisait ce moyen de locomotion pour se déplacer était soit pour les marchands transportant beaucoup de marchandise ou qui venait de loin, dans ce cas ce sont les plus riche qui en profite, soit parce qu'il transporte des esclaves, habituellement des Homme-Lézard, dans ce cas aussi se sont les plus riches qui en profites.
Il y avait six Homme-Lézard, un petit serpent avec des bras et des vêtements (une race que je ne connaissais pas?) et ... une tigraine. Peu de gens savent différencier un Tigrain d'une Tigraine, pourtant il était facile de les reconnaître, peut-être parce que j'en suis un? Son regard était celui d'une Tigraine, nul doute possible. Elle était apparemment plus âgées que moi, typé jaguar avec un corps tout frêle. Je me voyais plus jeune à sa place, avec mes parents essayant de me réconforter, leurs bras me réchauffant. Je n'avais pas fait attention, mais il y avait également trois gardes, un juste à ma droite, un autre à ma gauche assis par terre au milieu des dragons verts et le dernier était assis au fond de la carriole. Le garde à côté de moi m'avait regardé monté, ahuri, et était tout aussi surpris que moi découvrant que l'arrière du véhicule était surveillé. Le garde du fond dormait profondément et celui à ma gauche discutait avec le petit serpent, ou non, il lui grognait dessus pour qu'il arrête de pleurer.
Je devais agir rapidement. Pas de problème, je suis plus rapide que mon ombre! Je donnais un coup de genou au menton du garde à côté de moi afin de l'assommer puis, je lançais ma dague sur le garde qui grondait l'enfant serpent. La lame se planta sur sa tempe (au garde bien sûr) je me précipitais ensuite vers l'enfant serpent et lui mis ma patte devant sa bouche pour ne pas qu'il alerte le dernier garde qui dormait, en voyant le sang qui commençait à sa rependre sur le bois. Avec mon autre main je faisais signe aux autres prisonniers de se calmer et de ne pas faire de bruit. Il y avait un Homme-Lézard fort musclé, je me demandais d'ailleurs comment il avait été fait esclave, il aurait très bien pus s'échapper, surtout avec des gardes ceux là. Le dernier garde dormait toujours, les prisonniers avaient vite compris qu'il était tant de partir.
J'eu le droit à un "Merci mon ami" de la part du colosse vert. Sa poigne m'avait littéralement écrasé les doigts, il aurait très bien pus briser le cou des trois gardes d'un seul coup de main. Le petit serpent me faisait coucou depuis les bras de la Tigraine, elle me regardait partir. Je rigolais dans ma barbe, il devait certainement me prendre pour leur héros, enfin bref, de toute fessons j'avais besoin d'un moyen de locomotion, maintenant j'en ai un. J'hésitais à réveiller le dernier garde, pour le prévenir que les esclaves s'étaient échappés, finalement je le laissais dormir. si jamais il se réveillait, je n'aurai qu'à le sonné et puis on en parlerait plus. De même que le conducteur, s'il ouvrait la toile pour prévenir les gens "censé" se trouver à l'arrière et qu'il découvrait l'inévitable vide mis à part un cadavre, un dormeur, un garde qui tirait la langue, complètement avachi sur le côté et un Tigrain, Il s'arrêterait tout suite où il paniquerait. Hmm ... en fait non, je ne lui laisserai pas le temps. Il n'aurait pas eu le temps de prononcer son propre nom que j'aurai déjà vendu ses dents aux marchés en les faisant passé pour des graines de sésame. Je laissais donc l'embarcation nous mener à la prochaine étape, tant que le dormeur ne se réveillait pas et que le conducteur ne se retournait pas.
Tyover- Bon
- Race : Tigrain Guépard
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
Plusieurs semaines après que vagabonde a aidé Kylian a ramené Ginette au refuse.
Kylian se réveillait tôt avec Ginette, une petite fille lézard qui a de grand pouvoirs, celui de guérir mais aussi de tuer. Son père quand il a appris ce qu'elle est capable, on aurais cru qu'il a vu un démon? Et puis surtout le fait qu'elle peut réduire la réputation de sa famille. Les mots du père, un lâche qui abandonne sa fille. Son sang pour de la magie !!
Alors la réputation de notre famille serait finie.
Tout les jours Kylian est choquer par la réaction du père. Il avait choisit que Ginette fut la première à faire partit du refuge. Et le père lui avait laisser sa fille aussitôt. Comme un vrai enfoiré. Kylian n'arrive pas à se calmer alors il sortait de la tour où tout le monde dormait, il frappe les mannequins avec des crie de rage. Comment on peut abandonné un enfant !!
Ce n'est pas un Origami que je donne à votre fille, mais bien plus. Je lui offre la possibilité de mettre son don au service du monde.
Au loin, Ginette arrive en pyjama, fatiguer et avec une peluche que Julith, la soeur de Kylian à pris soin de coudre pour la petite. Kylian se calmais et la pris dans les bras. Ginette savait très bien que Kylian n'a pas encore encaissé le coup de son père.
Kylian : J'ai trouvé un mage qui pourrais t'apprendre à utiliser t'a magie. Ton pouvoir est de plus en plus incontrôlable. Alors il faut se dépécher, je vais à Tacomnal pour le voir et le ramener ici.
Ginette mit sa tête au cou de Kylian et murmure des mot dans sa propre langue, elle le regarde avec des yeux en larmes. Elle ne pouvais et ne voulais surtout pas que son protecteur s'en aille.
Ginette : après tout ce que tu as fait pour moi. Je ne veux pas que tu me laisse toute seule. Julith est gentille avec moi mais elle est jamais là physiquement, elle me laisse seule mais elle me surveille sur un arbre. Et ça me fait peur.
Au loin, les deux paysans qui avait sauver Kylian il y a très longtemps arrivent en levant la main et en hurlant son nom. Ils avaient fait tout le voyage pour le revoir. Ce qui étonna Kylian mais qui était quand même ravie.
Paysan : Chevalier, nous avons reçu votre demande, on est d'accord pour qu'on s'occupe de vos champs et de vos bestiaux. Vous avez eu un idée honorable, mais dites moi, le chemin entre ici et chez nous est long alors nous ne viendrons que pour deux jours chaque semaines, ça vous vas mon brave ?
Kylian sourit, toujours avec la petite dans ses bras, il explique que les paysans seront nourris et logés pendant leurs court séjour au refuge. Mais bon assez parler, L'homme envoie Ginette manger, se laver puis s'habiller alors que pendant se temps il selle son cheval pour partir à Tacomnal pour rencontrer le mage qui pourrais s'occuper de Ginette. Kylian ne voulais pas prendre sa grosse armure de plate pour sortir, alors il pris juste une chemise et un pantalon pour y aller, et son épée en cas où les choses peuvent très mal tourner à Orcande.
Une fois prêt, Kylian sort de son refuge sous les "au revoir frérot" de sa petite soeur Julith, Ginette était assise devant Kylian, elle lui demandais qu'il aille au galop, elle adorais la sensation du vent claquant sur sa joue. Kylian riait de sa demande et fait partir son cheval au galop, mais pendant de courtes minutes car une carriole lui coupa la route, il se faisait enguirlander par le conducteur. Il s'excusa et suivit la carriole au trôt.
Après des minutes, le conducteur parlait avec Kylian de ses marchandise, il avait du pain et du vin qu'il allais donner à un marchand. Mais se que Kylian ignore c'est que tout ce que dit le conducteur est faux. L'ambiance était vraiment silencieuse, du coup Ginette creva le silence en posant mille et une question de marchandage au conducteur.
Conducteur : Tu sais ma p'tite, le marchandage c'est un art, quand tu veux acheter des objet regarde toujours dans les yeux la personne et dit lui le prix, et insiste bien. Fait attention a pas être trop gourmande, baisse au maximum de 10 pièce, sinon le vendeur vas vouloir te faire sortir.
Le conducteur avait les yeux rivé sur la petite fille, Kylian était un peu méfiant, mais bon, les gens sont souvent bizarre quand il est avec GInette, c'est vrai, pourquoi un humain traîne avec une Sédalienne ? Surtout si jeune. Mais Kylian n'y fait plus attention.
Le voyage à durer des bonne heures au galop, une fois arrivé à Tacomnal, il était très tard, Kylian laisse son cheval à l'écurie en demandant à un jeune garçon de s'en occuper, il lui laisse une petite bourse d'au moins 20 pièces et vas en ville en gardant la petite dans ses bras pour aller chercher une taverne pour y passer la nuit.
Dernière édition par Kylian Kragan le Dim 24 Avr 2016 - 13:23, édité 1 fois
Kylian Kragan- Expert
- Race : Humain
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
Cela faisait maintenant un bon moment que la carriole roulait, sans aucun arrêt. Généralement, un voyage aussi long que celui-ci n'ait jamais tout beau tout rose. Cela peut être un problème dû à des intempéries, les roues qui sont usées, des brigands, toujours à l'affût du premier transport de marchandises. Quoi que, l'emblème de Tacomnal était bien dessiné sur la toile de la carriole. Un simple dessin sur une toile avait une force de dissuasion impressionnante quand même. Le garde ne s'était toujours pas réveillé, le sommeil lourd apparemment.
Petit à petit, j'entendais se rapprocher un animal, des coups de sabot qui allait à bonne allure. Un cheval au galop certainement. Je me tournais vers le garde, il commençait à s'étirer. Je mettais ma main droite devant sa bouche pour éviter qu'il fasse du bruit, puis, de mon autre main, je lui montrais ma lame pour lui faire comprendre qu'au moindre mouvement je pouvais lui donner un sommeil éternel. Il acquiesçait de la tête, il n'avait certainement pas envie de rejoindre son copain allongé à côté. Le conducteur commençait à grogner puis à crier sur quelqu'un, sûrement le cavalier que je venais d'entendre sur son cheval. Cela ne m'arrangeait pas, à la vitesse où allait le cheval, cela devait être soit un destrier auquel cas son cavalier était un chevalier, soit un coursier où dans ce cas, je l'espérais d'ailleurs, ce n'était qu'un messager qui passait par là.
J'attendis quelques minutes. Apparemment, le cavalier était encore là, il discutait avec le conducteur de la carriole. Mince! Ce dernier allait certainement se retourner pour voir ce que faisait ses camarades une fois le cavalier parti. Je n'avais plus le choix, il fallait que je m'empare de la carriole. Je m'apprêtais à assommer le garde avec le manche de ma dague, mais le silence ce fit entendre, plus un bruit. Je me suis retenu au dernier moment, le choc entre ma dague et la tête du garde aurait certainement alerté le cavalier. Surtout que celui-ci avait une voix plutôt grave et le cliquetis du métal m'indiquait que le cavalier possédait une armure, signe qu'il s'agissait bien d'un chevalier. Une voix enfantine et plutôt reptilienne brisa le silence, posant beaucoup de questions. Le chevalier était accompagné? La voix était semblable aux Hommes-Lézards que j'avais côtoyé pendant mon séjour en esclavage à Azgalban. Le conducteur répondit clairement :
Conducteur - Tu sais ma p'tite, le marchandage c'est un art, quand tu veux acheter des objets regarde toujours dans les yeux la personne et dit lui le prix, et insiste bien. Fait attention à ne pas être trop gourmande, baisse au maximum de 10 pièce, sinon le vendeur va vouloir te faire sortir.
Non mais franchement, qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre. De toute manière je lui réservais quelque chose qui lui ferait regretter ses paroles. Au bout d'un certain temps, le cavalier pris congé du conducteur et repartis au galop, il devait probablement être pressé. C'est maintenant que je devais agir. D'un bref coup de poignet, j'assommais le garde que je gardais toujours dans mes mains. Je le retins pour ne pas qu'il s'écroule lourdement sur le plancher de la carriole, puis je le déposais doucement au sol. Le conducteur n'avait pas l'air de se retourner. C'est moi qui irai le voir dans ce cas. J'ouvris la toile et assommai violemment le conducteur avec le coude. Il s'affaissa sur le côté, je prenais les rênes à sa place et stoppai les chevaux. Je n'avais plus qu'à tirer les gardes dans les fourrés. Ils se réveilleront plus tard de toute manière, sauf un qui continuerait à dormir profondément.
Je reprenais donc les rênes et me dirigeais vers Tacomnal. A cette vitesse, j'y serais sûrement dans la nuit. Une fois arrivée en ville je m'arrêtais près d'une sorte d'écurie. Je n'avais plus besoin de la carriole, ni des chevaux d'ailleurs. J'allais pouvoir en tirer un bon prix. J'avais ramassé 57 pièces d'or sur les gardes de tout à l'heure et je les donnais à un jeune garçon qui s'occupait d'un beau cheval. Il emmena avec lui les deux chevaux qui tiraient la carriole à l'intérieur de l'écurie, laissant la carriole à l'arrière du bâtiment. Je me dirigeais maintenant vers la taverne, il y a toujours des gens intéressés pour tout et n'importe quoi à l'intérieur. Cela faisait maintenant peu de temps que j'étais rentré dans l'enceinte de Tacomnal et je sentais déjà les regards peser sur moi, c'était vraiment désagréable.
Petit à petit, j'entendais se rapprocher un animal, des coups de sabot qui allait à bonne allure. Un cheval au galop certainement. Je me tournais vers le garde, il commençait à s'étirer. Je mettais ma main droite devant sa bouche pour éviter qu'il fasse du bruit, puis, de mon autre main, je lui montrais ma lame pour lui faire comprendre qu'au moindre mouvement je pouvais lui donner un sommeil éternel. Il acquiesçait de la tête, il n'avait certainement pas envie de rejoindre son copain allongé à côté. Le conducteur commençait à grogner puis à crier sur quelqu'un, sûrement le cavalier que je venais d'entendre sur son cheval. Cela ne m'arrangeait pas, à la vitesse où allait le cheval, cela devait être soit un destrier auquel cas son cavalier était un chevalier, soit un coursier où dans ce cas, je l'espérais d'ailleurs, ce n'était qu'un messager qui passait par là.
J'attendis quelques minutes. Apparemment, le cavalier était encore là, il discutait avec le conducteur de la carriole. Mince! Ce dernier allait certainement se retourner pour voir ce que faisait ses camarades une fois le cavalier parti. Je n'avais plus le choix, il fallait que je m'empare de la carriole. Je m'apprêtais à assommer le garde avec le manche de ma dague, mais le silence ce fit entendre, plus un bruit. Je me suis retenu au dernier moment, le choc entre ma dague et la tête du garde aurait certainement alerté le cavalier. Surtout que celui-ci avait une voix plutôt grave et le cliquetis du métal m'indiquait que le cavalier possédait une armure, signe qu'il s'agissait bien d'un chevalier. Une voix enfantine et plutôt reptilienne brisa le silence, posant beaucoup de questions. Le chevalier était accompagné? La voix était semblable aux Hommes-Lézards que j'avais côtoyé pendant mon séjour en esclavage à Azgalban. Le conducteur répondit clairement :
Conducteur - Tu sais ma p'tite, le marchandage c'est un art, quand tu veux acheter des objets regarde toujours dans les yeux la personne et dit lui le prix, et insiste bien. Fait attention à ne pas être trop gourmande, baisse au maximum de 10 pièce, sinon le vendeur va vouloir te faire sortir.
Non mais franchement, qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre. De toute manière je lui réservais quelque chose qui lui ferait regretter ses paroles. Au bout d'un certain temps, le cavalier pris congé du conducteur et repartis au galop, il devait probablement être pressé. C'est maintenant que je devais agir. D'un bref coup de poignet, j'assommais le garde que je gardais toujours dans mes mains. Je le retins pour ne pas qu'il s'écroule lourdement sur le plancher de la carriole, puis je le déposais doucement au sol. Le conducteur n'avait pas l'air de se retourner. C'est moi qui irai le voir dans ce cas. J'ouvris la toile et assommai violemment le conducteur avec le coude. Il s'affaissa sur le côté, je prenais les rênes à sa place et stoppai les chevaux. Je n'avais plus qu'à tirer les gardes dans les fourrés. Ils se réveilleront plus tard de toute manière, sauf un qui continuerait à dormir profondément.
Je reprenais donc les rênes et me dirigeais vers Tacomnal. A cette vitesse, j'y serais sûrement dans la nuit. Une fois arrivée en ville je m'arrêtais près d'une sorte d'écurie. Je n'avais plus besoin de la carriole, ni des chevaux d'ailleurs. J'allais pouvoir en tirer un bon prix. J'avais ramassé 57 pièces d'or sur les gardes de tout à l'heure et je les donnais à un jeune garçon qui s'occupait d'un beau cheval. Il emmena avec lui les deux chevaux qui tiraient la carriole à l'intérieur de l'écurie, laissant la carriole à l'arrière du bâtiment. Je me dirigeais maintenant vers la taverne, il y a toujours des gens intéressés pour tout et n'importe quoi à l'intérieur. Cela faisait maintenant peu de temps que j'étais rentré dans l'enceinte de Tacomnal et je sentais déjà les regards peser sur moi, c'était vraiment désagréable.
Dernière édition par Tyover le Dim 24 Avr 2016 - 14:14, édité 1 fois
Tyover- Bon
- Race : Tigrain Guépard
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
Ginette dormait a poing fermer dans les bras de Kylian a cause du voyage. Elle avait mal au dos a cause des secousse du galop. La pauvre, elle n'étai vraiment pas habitué à sortir et aussi longtemps. Kylian la serras contre lui, sa chaleur humaine fit du bien car la nuit était froide et glaciale en se moment. Il entre dans la taverne, tout le monde était presque soul et en train de se bagarrer, mais bon, c'est la seule taverne de ce coin. Alors autant y aller. Kylian réveille Ginette et la fait assoir sur une chaise, il lui embrasse le front et vas voir le tavernier.
Kylian : bonsoir, une chambre avec deux lits et un bon repas pour deux s'il vous..
Il se fit couper directement par le responsable.
Tavernier : les esclave c'est dehors.
Touché ! Même si Kylian avait pris la protection de la petite fille qui devait avoir 6-7 ans. Elle pouvait déjà être vendu comme esclave. Kylian sourit et prend sa dague et joue avec, les gardes et les autres hommes regarde avec un silence la scène.
Kylian : Je le répète, une chambre avec deux lits et un bon repas pour deux.
Le tavernier, pas habitué à sa, ravale sa salive et donne une clé de la chambre désiré, il parle faiblement largement intimité par la carrure costaud et de la dague, un garde viens voir Kylian pour lui dire de se calmer. Tandis qu'un homme tourne autour de Ginette. Il vas voir Kylian et lui propose 80 pièces pour l'avoir. Kylian repsire un coup, fait un petit bisous au front de la petite Sédalienne et lui murmure un "excuse moi pour ça". Elle ne comprend pas vraiment ce qu'il veut dire par là. Kylian regarde l'homme et lui met la main à l'épaule.
Kylian : Je me présente, Kylian Kragan, chevalier mercenaire, si jamais vous voulez m'achetez la petite, voici ma réponse.
Il regarde l'homme avec un grand sourire et le frappe sèchement avec un coup de poing de la main droite. L'homme tombe dans les pommes et ses amis le tire pour le faire sortir. Kylian lui, se rassoit tranquillement comme si il ne s'est rien passer, la petite avait les mains sur sa bouche, surprise qu'il en est arriver à frapper un homme pour elle. Elle se mit à avoir les larmes au yeux, pour elle Kylian n'étais pas son protecteur mais son ange gardien.
Quelque minutes pus tard, le tavernier revient avec une grande assiette de boeuf et de pomme de terre. Kylian mange avec la petite puis quand ils furent repus, il monte à l'étage pour prendre la chambre, Kylian se couche dans son lit tandis que Ginette dans l'autre.
Ginette : c'était vraiment nécessaire le coup de poing ?
Kylian : Je suis fatigué du voyage, les voir te regarder m’énerve tu peut pas savoir.
Ginette : Oui mais...Bon, dort bien Kylian
Elle sort du lit pour faire un calin rapide à Kylian puis se recouche pour s'endormir.
Kylian : bonsoir, une chambre avec deux lits et un bon repas pour deux s'il vous..
Il se fit couper directement par le responsable.
Tavernier : les esclave c'est dehors.
Touché ! Même si Kylian avait pris la protection de la petite fille qui devait avoir 6-7 ans. Elle pouvait déjà être vendu comme esclave. Kylian sourit et prend sa dague et joue avec, les gardes et les autres hommes regarde avec un silence la scène.
Kylian : Je le répète, une chambre avec deux lits et un bon repas pour deux.
Le tavernier, pas habitué à sa, ravale sa salive et donne une clé de la chambre désiré, il parle faiblement largement intimité par la carrure costaud et de la dague, un garde viens voir Kylian pour lui dire de se calmer. Tandis qu'un homme tourne autour de Ginette. Il vas voir Kylian et lui propose 80 pièces pour l'avoir. Kylian repsire un coup, fait un petit bisous au front de la petite Sédalienne et lui murmure un "excuse moi pour ça". Elle ne comprend pas vraiment ce qu'il veut dire par là. Kylian regarde l'homme et lui met la main à l'épaule.
Kylian : Je me présente, Kylian Kragan, chevalier mercenaire, si jamais vous voulez m'achetez la petite, voici ma réponse.
Il regarde l'homme avec un grand sourire et le frappe sèchement avec un coup de poing de la main droite. L'homme tombe dans les pommes et ses amis le tire pour le faire sortir. Kylian lui, se rassoit tranquillement comme si il ne s'est rien passer, la petite avait les mains sur sa bouche, surprise qu'il en est arriver à frapper un homme pour elle. Elle se mit à avoir les larmes au yeux, pour elle Kylian n'étais pas son protecteur mais son ange gardien.
Quelque minutes pus tard, le tavernier revient avec une grande assiette de boeuf et de pomme de terre. Kylian mange avec la petite puis quand ils furent repus, il monte à l'étage pour prendre la chambre, Kylian se couche dans son lit tandis que Ginette dans l'autre.
Ginette : c'était vraiment nécessaire le coup de poing ?
Kylian : Je suis fatigué du voyage, les voir te regarder m’énerve tu peut pas savoir.
Ginette : Oui mais...Bon, dort bien Kylian
Elle sort du lit pour faire un calin rapide à Kylian puis se recouche pour s'endormir.
Kylian Kragan- Expert
- Race : Humain
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
J'arrivais à l'entré de la taverne. Un groupe d'hommes sortait un de leur congénère en le tirant par les bras. Il avait l'air d'être sonné. Je me rapprochais pour voir la tête qu'il tirait. En effet, il avait été sacrément amoché. Une bosse grosse comme un œuf lui poussait au coin de l'œil recouvrant au passage son œil. Son arcade était ouverte et laissait couler un filet de sang. C'était typique des tavernes, toujours un coin de bagarres et de règlement de compte en tout genre. Si quelqu'un voulait passer un petit moment pour se reposer, ce n'était pas ici qu'il fallait aller.
ami du blessé- Dégage de là chiabrena ! Il n'y a rien à voir ici !
Je ne me faisais pas prier. Ni une, ni deux, j'entrais dans la taverne en poussant les portes battantes. De toute manière, je n'avais rien à faire avec eux. Rien ne me servais de m'attarder pour de pauvres hommes sortant d'une bagarre. L'ambiance était palpable, personne ne parlait. Tous les yeux avaient l'air d'être dirigé vers un grand homme blond en armure, légèrement usé d'ailleurs, il devrait peut-être la faire réparer. A côté de lui, un homme-lézard miniature mangeait de la viande. Un esclave ?! Non, c'était peu probable, on ne donnait pas à manger en public à un esclave, cela ne se faisait pas. De même que l'on ne nourrissait pas un esclave avec de la nourriture de qualité, c'est-à-dire pas de viande. Les esclaves n'avaient le droit de manger que des légumes, généralement moisi ou en mauvais état. La seule chose que l'on pouvait faire, c'était roucher les os, une fois que le chien ne jouait plus avec.
L'ambiance était tellement pesante que le tavernier ne faisait pas plus attention à mon apparence de Tigrain, souvent traité comme esclave ou comme bête de foire. Je demandais au tavernier de quoi me remplir le gosier ainsi qu'une chambre pour dormir. Je m'installais dans un coin, histoire d'être tranquille. Je ne voulais pas être dérangé pendant mon repas. Le tavernier revînt me voir avec une assiette de courgette et de carotte avec une bonne tranche de porc. Je m'en régalais d'avance. Je le remerciai et lui laissais une petite bourse. Le chevalier blond et le petit Homme-Lézard se levèrent et montèrent à l'étage sûrement pour aller se coucher. Quelques instants plus tard, deux hommes, qui était avec l'homme allongé à l'entré, montèrent à leur tour à l'étage.
Je finissais mon assiette. Je n'avais pas mangé comme cela depuis des lustres. Je me dirigeais maintenant vers le tavernier puis je lui demandais s'il connaissait quelqu'un qui serait intéressé par une carriole en bon état. Il me fit signe que non de la tête, mais ajoutait ensuite qu'il connaissait un bazar en ville, peut-être qu'il serait intéressé. Je prenais note et je le remerciais puis, je montais à mon tour à l'étage. Arrivé en haut des escaliers, j'apercevais les deux hommes de tout à l'heure près de la porte du fond. Il semblait qu'ils écoutaient à la porte, l'un d'eux avait un poignard dans la main. Quelque chose me disait qu'ils n'étaient pas là pour éplucher les patates. Ils étaient dos à moi, je me rapprochais donc sans faire le moindre bruit, sur la pointe des pattes. Arrivé derrière eux, ils ne m'avaient toujours pas remarqués. Je me penchais à mon tour pour écouter à la porte.
Tyover - Qu'êtes-vous en train d'écouter? Je n'entends rien derrière la porte.
Les deux hommes sursautèrent et firent un grand bond sur le côté tout en hurlant à la mort. Quelle bande de poltrons. Avoir peur à ce point-là, il ne devait rien avoir dans leur froc ceux là. Je ne sais pas qui est-ce qu'ils voulaient éliminer, mais là, ils avaient grillé leur discrétion en criant ainsi. Ils reprirent peu à peu leur esprit puis ils se tournèrent vers moi, le regard noir. Ils commençaient à me menacer l'un avec ses poings, l'autre avec son poignard.
Tyover - Du calme! Vous risquez de vous blesser avec ceci. Je désignais la lame dans sa main gauche.
Pleutre armé - Tais-toi! Je vais te saigner le chat!
Tyover - A deux contre un, vous n'avez pas honte?! Bande de couillemolle!
Je faisais le malin, mais en réalité, je cherchais un moyen de m'échapper. Je reculais, pas à pas, en ne quittant pas la lame qui tournoyait dans la main de l'homme.
ami du blessé- Dégage de là chiabrena ! Il n'y a rien à voir ici !
Je ne me faisais pas prier. Ni une, ni deux, j'entrais dans la taverne en poussant les portes battantes. De toute manière, je n'avais rien à faire avec eux. Rien ne me servais de m'attarder pour de pauvres hommes sortant d'une bagarre. L'ambiance était palpable, personne ne parlait. Tous les yeux avaient l'air d'être dirigé vers un grand homme blond en armure, légèrement usé d'ailleurs, il devrait peut-être la faire réparer. A côté de lui, un homme-lézard miniature mangeait de la viande. Un esclave ?! Non, c'était peu probable, on ne donnait pas à manger en public à un esclave, cela ne se faisait pas. De même que l'on ne nourrissait pas un esclave avec de la nourriture de qualité, c'est-à-dire pas de viande. Les esclaves n'avaient le droit de manger que des légumes, généralement moisi ou en mauvais état. La seule chose que l'on pouvait faire, c'était roucher les os, une fois que le chien ne jouait plus avec.
L'ambiance était tellement pesante que le tavernier ne faisait pas plus attention à mon apparence de Tigrain, souvent traité comme esclave ou comme bête de foire. Je demandais au tavernier de quoi me remplir le gosier ainsi qu'une chambre pour dormir. Je m'installais dans un coin, histoire d'être tranquille. Je ne voulais pas être dérangé pendant mon repas. Le tavernier revînt me voir avec une assiette de courgette et de carotte avec une bonne tranche de porc. Je m'en régalais d'avance. Je le remerciai et lui laissais une petite bourse. Le chevalier blond et le petit Homme-Lézard se levèrent et montèrent à l'étage sûrement pour aller se coucher. Quelques instants plus tard, deux hommes, qui était avec l'homme allongé à l'entré, montèrent à leur tour à l'étage.
Je finissais mon assiette. Je n'avais pas mangé comme cela depuis des lustres. Je me dirigeais maintenant vers le tavernier puis je lui demandais s'il connaissait quelqu'un qui serait intéressé par une carriole en bon état. Il me fit signe que non de la tête, mais ajoutait ensuite qu'il connaissait un bazar en ville, peut-être qu'il serait intéressé. Je prenais note et je le remerciais puis, je montais à mon tour à l'étage. Arrivé en haut des escaliers, j'apercevais les deux hommes de tout à l'heure près de la porte du fond. Il semblait qu'ils écoutaient à la porte, l'un d'eux avait un poignard dans la main. Quelque chose me disait qu'ils n'étaient pas là pour éplucher les patates. Ils étaient dos à moi, je me rapprochais donc sans faire le moindre bruit, sur la pointe des pattes. Arrivé derrière eux, ils ne m'avaient toujours pas remarqués. Je me penchais à mon tour pour écouter à la porte.
Tyover - Qu'êtes-vous en train d'écouter? Je n'entends rien derrière la porte.
Les deux hommes sursautèrent et firent un grand bond sur le côté tout en hurlant à la mort. Quelle bande de poltrons. Avoir peur à ce point-là, il ne devait rien avoir dans leur froc ceux là. Je ne sais pas qui est-ce qu'ils voulaient éliminer, mais là, ils avaient grillé leur discrétion en criant ainsi. Ils reprirent peu à peu leur esprit puis ils se tournèrent vers moi, le regard noir. Ils commençaient à me menacer l'un avec ses poings, l'autre avec son poignard.
Tyover - Du calme! Vous risquez de vous blesser avec ceci. Je désignais la lame dans sa main gauche.
Pleutre armé - Tais-toi! Je vais te saigner le chat!
Tyover - A deux contre un, vous n'avez pas honte?! Bande de couillemolle!
Je faisais le malin, mais en réalité, je cherchais un moyen de m'échapper. Je reculais, pas à pas, en ne quittant pas la lame qui tournoyait dans la main de l'homme.
Tyover- Bon
- Race : Tigrain Guépard
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
Une fois prêt à s'endormir Kylian fermait les yeux et... Et bien non, les cris et les paroles d'hommes qui parlent. Avec une autre personne qui à l'air d'avoir un accent que Kylian ne sais pas distinguer. Ginette tellement qu'elle était fatigué, dormait à poing fermé, un dragon où une autre créature géante pourrais venir détruire le village, Ginette dormirait toujours aussi bien. Mais en tout cas, pour Kylian il est heureux de la voir si reposée car c'est vrai qu'elle n'est pas en super forme. Elle doit se faire à l'idée que son père l'a abandonné. Mais elle est encore très jeune.
Kylian se lève pour voir se qu'il se passe, quand il ouvre la porte il voit les deux hommes, pas vraiment content que leur ami à été blesser et envie de vengeance. Kylian vit qu'un des deux avait un poignard, Kylian enlève sa chemise pour l'enrouler à son bras. Il pouvais pas laisser cette personne...ce...chat ? Maigre et petit corps il ne survivras pas longtemps. Alors Kylian s'avance, le parquet grince et les deux hommes se retournent.
Pleutre armé - Te voilà petite enflure !! Tu as touché à la mauvaise personne
Le torse, bien que musclé et marqué par les combat était une proie facile, alors il court vers le chevalier blond et vise le torse de celui-ci. Kylian d'un geste habile met son bras qui avait sa chemise enroulée par dessus, ça lui coupait un peu le bras car sa chemise n'est pas d'une texture épaisse, mais il valait mieux ça que rien et se laisser tuer.
Kylian : Vous n'avez pas le niveau pour me défier, même un groupe de vingt petite merde comme vous je vous prend en un coup. Alors maintenant. Il prend le poignard des mains de l'autre gars qui commence à regretter. Vous dégagez et si je voit encore votre tête je vous tue.
Il fait des petit geste comme "attention je vais te tuer" pour intimider les deux gars. Ce qui marchait beaucoup, le nombre de cicatrice qu'il avait au torse était déjà bien imposant mais avec un poignard dans les mains. Kylian regarde le chat intrigué mais il fit un petit sourire et s'avance en lui tendant la main
Kylian : Vous avez eu chaud mon ami. Je me présente, Kylian Kragan, certain ici me considère comme un "videur de ville" ou certain même de "sauveur de race". Vos avez de quoi dormir ? Besoin d'argent ou de quoi manger ?
Kylian était quand même fatigué et heureusement que c'était que deux soulard qui sont venu le déranger. Son bras saignait encore un peu, il sert la chemise, autant la rendre inutile, il en a pris plein dans le sac de son cheval, la tenu est primordiale même sous armure.
Kylian se lève pour voir se qu'il se passe, quand il ouvre la porte il voit les deux hommes, pas vraiment content que leur ami à été blesser et envie de vengeance. Kylian vit qu'un des deux avait un poignard, Kylian enlève sa chemise pour l'enrouler à son bras. Il pouvais pas laisser cette personne...ce...chat ? Maigre et petit corps il ne survivras pas longtemps. Alors Kylian s'avance, le parquet grince et les deux hommes se retournent.
Pleutre armé - Te voilà petite enflure !! Tu as touché à la mauvaise personne
Le torse, bien que musclé et marqué par les combat était une proie facile, alors il court vers le chevalier blond et vise le torse de celui-ci. Kylian d'un geste habile met son bras qui avait sa chemise enroulée par dessus, ça lui coupait un peu le bras car sa chemise n'est pas d'une texture épaisse, mais il valait mieux ça que rien et se laisser tuer.
Kylian : Vous n'avez pas le niveau pour me défier, même un groupe de vingt petite merde comme vous je vous prend en un coup. Alors maintenant. Il prend le poignard des mains de l'autre gars qui commence à regretter. Vous dégagez et si je voit encore votre tête je vous tue.
Il fait des petit geste comme "attention je vais te tuer" pour intimider les deux gars. Ce qui marchait beaucoup, le nombre de cicatrice qu'il avait au torse était déjà bien imposant mais avec un poignard dans les mains. Kylian regarde le chat intrigué mais il fit un petit sourire et s'avance en lui tendant la main
Kylian : Vous avez eu chaud mon ami. Je me présente, Kylian Kragan, certain ici me considère comme un "videur de ville" ou certain même de "sauveur de race". Vos avez de quoi dormir ? Besoin d'argent ou de quoi manger ?
Kylian était quand même fatigué et heureusement que c'était que deux soulard qui sont venu le déranger. Son bras saignait encore un peu, il sert la chemise, autant la rendre inutile, il en a pris plein dans le sac de son cheval, la tenu est primordiale même sous armure.
Kylian Kragan- Expert
- Race : Humain
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
J'étais acculé par les deux hommes en faces de moi. J'entendais des bruits de pas se rapprocher, c'était tout proche. Les deux couillemolle n'avaient pas l'air d'entendre les bruits de pas. D'un coup la porte s'ouvrit sur un grand homme en chemise blanche, remplissant bien l'encadrement de la porte. Il s'agissait de l'homme en armure de tout à l'heure. Ses cheveux blond lui tombait jusque dans le dos et une grande cicatrice barrait son visage sérieux et déterminé. Il analysa la situation quelques instants puis enleva sa chemise pour l'enrouler sur son bras droit, laissant à découvert son torse développé et parsemé de cicatrice. Il ne devait pas être à son premier combat. Il s'avança lentement en essayant d'être discret, malheureusement son poids joua sur le plancher et celui-ci grinça sous l'effort. Les deux hommes se retournèrent pour faire face à leur cible.
Pleutre armé - Te voilà petite enflure !! Tu as touché à la mauvaise personne!
Ce dernier se rua sur le grand gaillard en chemise, la dague en avant, pointant son arme vers la poitrine du blondin. Le chevalier, d'un geste vif qui me surprit d'ailleurs, para le coup sans trop de problèmes avec son bras droit, protégé maigrement par le tissu de sa chemise. Avec si peu de protection, il avait certainement dû sentir le coup passer. Sa chemise pris une couleur rouge au niveau de la plaie.
Chevalier blond - Vous n'avez pas le niveau pour me défier, même un groupe de vingt petite merde comme vous je vous prend en un coup.
Rien qu'avec ces paroles, l'on pouvait sentir sa détermination. Il était sans aucun doute bien supérieur à ces deux poltrons. Ces paroles dégageaient une force de conviction à la hauteur de son corps musclé.
Chevalier blond - Alors maintenant. Tranquillement, il retira la dague planté sur son avant bras puis l'a pointait sur les deux hommes. Vous dégagez et si je voit encore votre tête je vous tue.
Il continuait à menacer les deux hommes avec le poignard qu'il avait ramassé. Ces-derniers partirent à toute vitesse vers l'escalier, me laissant tout seul avec ce colosse. Il est vrai que là pour le coup, si je devais me battre contre lui, je n'avais strictement aucune chance. Je pouvais simplement fuir, avec ma vitesse, je pourrai le distancé aisément. Je le regardais, près à réagir au moindre mouvement de sa part. Il souriait étrangement puis vînt me voir en me tendant la main.
Chevalier blond - Vous avez eu chaud mon ami. Je me présente, Kylian Kragan, certain ici me considère comme un "videur de ville" ou certain même de "sauveur de race". Vos avez de quoi dormir ? Besoin d'argent ou de quoi manger ?
Il me parlait comme si de rien n'était. Soit il avait tellement l'habitude de rencontrer ce genre de situation que cela faisait parti de son quotidien, soit il était fou. De toute manière, que ce soit l'un ou l'autre, il n'avait pas l'air de me vouloir du mal. Tant mieux, je ne voulais pas avoir affaire à lui.
Tyover - Merci, mais je n'ai besoin de rien. Même si je n'avais rien contre quelques pièces .Vous m'avez sorti d'un mauvais pas, je vous remercie encore. je souriais. Au moins, maintenant, je sais à quel porte frapper si j'ai besoin d'aide cette nuit.
Je disais cela, mais je pense que je n'oserais même pas le déranger pendant son sommeil. Il risquerait sûrement de me zigouiller si je le réveillais. Même sans armures il était très intimidant. Il était tant que j'aille me coucher, une grosse journée m'attendait. Je prenais congé du chevalier en le saluant de la main.
Tyover - Je vais vous laisser vous reposer maintenant, le grabuge qu'a causé ces deux malandrins vous ayant dérangés durant votre sommeil, vous risquerez d'être fatigué demain. Je vous souhaite donc de passer une bonne nuit.
Pleutre armé - Te voilà petite enflure !! Tu as touché à la mauvaise personne!
Ce dernier se rua sur le grand gaillard en chemise, la dague en avant, pointant son arme vers la poitrine du blondin. Le chevalier, d'un geste vif qui me surprit d'ailleurs, para le coup sans trop de problèmes avec son bras droit, protégé maigrement par le tissu de sa chemise. Avec si peu de protection, il avait certainement dû sentir le coup passer. Sa chemise pris une couleur rouge au niveau de la plaie.
Chevalier blond - Vous n'avez pas le niveau pour me défier, même un groupe de vingt petite merde comme vous je vous prend en un coup.
Rien qu'avec ces paroles, l'on pouvait sentir sa détermination. Il était sans aucun doute bien supérieur à ces deux poltrons. Ces paroles dégageaient une force de conviction à la hauteur de son corps musclé.
Chevalier blond - Alors maintenant. Tranquillement, il retira la dague planté sur son avant bras puis l'a pointait sur les deux hommes. Vous dégagez et si je voit encore votre tête je vous tue.
Il continuait à menacer les deux hommes avec le poignard qu'il avait ramassé. Ces-derniers partirent à toute vitesse vers l'escalier, me laissant tout seul avec ce colosse. Il est vrai que là pour le coup, si je devais me battre contre lui, je n'avais strictement aucune chance. Je pouvais simplement fuir, avec ma vitesse, je pourrai le distancé aisément. Je le regardais, près à réagir au moindre mouvement de sa part. Il souriait étrangement puis vînt me voir en me tendant la main.
Chevalier blond - Vous avez eu chaud mon ami. Je me présente, Kylian Kragan, certain ici me considère comme un "videur de ville" ou certain même de "sauveur de race". Vos avez de quoi dormir ? Besoin d'argent ou de quoi manger ?
Il me parlait comme si de rien n'était. Soit il avait tellement l'habitude de rencontrer ce genre de situation que cela faisait parti de son quotidien, soit il était fou. De toute manière, que ce soit l'un ou l'autre, il n'avait pas l'air de me vouloir du mal. Tant mieux, je ne voulais pas avoir affaire à lui.
Tyover - Merci, mais je n'ai besoin de rien. Même si je n'avais rien contre quelques pièces .Vous m'avez sorti d'un mauvais pas, je vous remercie encore. je souriais. Au moins, maintenant, je sais à quel porte frapper si j'ai besoin d'aide cette nuit.
Je disais cela, mais je pense que je n'oserais même pas le déranger pendant son sommeil. Il risquerait sûrement de me zigouiller si je le réveillais. Même sans armures il était très intimidant. Il était tant que j'aille me coucher, une grosse journée m'attendait. Je prenais congé du chevalier en le saluant de la main.
Tyover - Je vais vous laisser vous reposer maintenant, le grabuge qu'a causé ces deux malandrins vous ayant dérangés durant votre sommeil, vous risquerez d'être fatigué demain. Je vous souhaite donc de passer une bonne nuit.
Tyover- Bon
- Race : Tigrain Guépard
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
Kylian aller se retourner pour aller dans sa chambre après la petite discussion avec la personne devant lui. Mais il lui sourit et expliqua qu'il n'y a aucun soucis à ce qu'il soit déranger pour une personne en danger, c'est son métier. Aider et servir des gens. Quelque soit leurs races, leurs origines.
Kylian : comparé à certain, je suis pas non plus un idiot, chacun à sa place dans Orcande, pourquoi un centaure ou minotaure serais t'il condamné à vivre comme un esclave ? C'est complètement stupide.
On pouvait entendre la petite fille qui se réveille car elle aussi été déranger par le bruits. Ginette sort de son lit pour voir son protecteur mais elle fut choquer en voyant son bras qui saignait, heureusement qu'elle connais un peu de ses sort pour refermer la blessure et la faire disparaître. Quand elle tourne le visage pour voir le tigrain elle eut des étoiles dans les yeux. Elle se mit à courir vers lui alors que Kylian n'avais pas assez de vitesse pour la reprendre. Elle se met au pieds de l'individu en le regardant, elle touche son genoux comme si elle voulais qu'on la prenne dans les bras. Kylian s'approche d'elle et la reprend dans ses bras.
Kylian : Je suis désoler pour elle. Elle est pas au top de sa forme en se moment. Je vous souhaite de passer une agréable et bonne nuit, si besoin n'hésitez pas à venir me voir si besoin.
Il fit une petite tape amicale à l'épaule de l'individu puis retourne dans sa chambre et verrouille la porte pour enfin loger Ginette dans son lit. Il la berce doucement d'une petite chanson douce qu'on pouvais entendre à travers la porte. Quelque minutes plus tard la chanson se tue et Kylian retourne dans son lit pour pouvoir enfin s'endormir.
***************************************************************************************************************************************************
Les rayons du soleil caresse la joue de Kylian qui se réveille sur le coup, en s'étirant il vit Ginette sur son torse en train de dormir. Il la secoue très doucement, elle baille et s'étire aussi. Les deux touristes vont au rez de chaussé pour rendre les clé de la chambre, il donne deux pièces en pourboire au chef de la tavernière. Puis Kylian et la petite fille sortent de la taverne. Kylian avait remis une chemise, il portait son armure de plate dans les bras, il vas la donner à un forgeron. Puis vas à la direction du marché pour aller au point de rendez-vous donner au mage par corbeaux.
Ginette : on peut aller m'acheter quelque chose avant d'aller voir ce mage ? S'il te plais ?
Elle tira la plus des mignonne bouille d'amour qu'un enfant peut faire à ses parents. Ce qui fait rire Kylian n'étant pas habitué, il lui caresse la tête signe qu'il était d'accord. Il marchèrent alors tout les deux au marché, la population y était dense, alors pour plus de sécurité, il mis Ginette sur ses épaules pour ne pas la perdre, elle riait en traitant Kylian de "cheval" ce qui fit rire certain centaure qui voyageait comme ça, mais qui choquait d'autre humains. Et oui, les humains sont des racistes, Kylian aurait voulu être un elfe ou un centaure au leu d'un être comme il est.
Une petite boutique de bijoux intéressait la petite et demanda à Kylian d'y aller. Il la pose et entre avec elle, une jeune femme, brune au yeux vert, assez belle pour une jeune paysanne était sur la pointe des pieds pour prendre un objet qui était sur une étagère. Kylian voyant la détresse de celle ci viens prendre l'objet et la donne à la demoiselle.
Femme : h...merci, j-je sais pas comment vous remercier, je galère depuis plusieurs minutes. Personne ne voulais m'aider.
Elle rougissait de honte mais Kylian lui fit un sourire qui la rendait carrément rouge pivoine. Elle courut en caisse pour l'encaisser et partir avec. Tandis que Ginette avait un beau collier en argent avec une émeraude au centre, ornée de petite pierre précieuse. Kylian allait voir le prix, mais le repris pour le poser. Kylian ne pouvait pas dépenser autant d'argent pour un bijoux. Alors Ginette fit la boudeuse et pris un autre bijoux, une couronne ornée de petit diamant. Mais toujours trop chère. Alors Kylian pris un bracelet en argent qui avait un rubis sur la chaîne, Ginette n'aimais pas le rouge, mais elle accepte quand même à le prendre et de le porter. Après l’achat pour la sédalienne, Kylian et cette dernière sortirent de la boutique.
Ginette : Je te remercie pour le bijoux, j'aime bien finalement, le rubis est dicret.
Kylian lui sourit.
Kylian : Tu me coûte chère pour une enfant, imagine quand tu seras adulte et avec un petit copain.
Ginette rougissait à cette remarque ce qui fit rire au éclat Kylian.
Ginette : Je ne suis pas une tombeuse. Alors que toi n'importe quelle femme tombe dans les pommes quand elle croise ton regard.
Kylian pouffe de rire. Il la remet sur son épaule et vas voir le mage. Il recroise du regard la femme brune qu'il avait aidé. Elle semblait attendre quelqu'un ou quelque chose.
Kylian : comparé à certain, je suis pas non plus un idiot, chacun à sa place dans Orcande, pourquoi un centaure ou minotaure serais t'il condamné à vivre comme un esclave ? C'est complètement stupide.
On pouvait entendre la petite fille qui se réveille car elle aussi été déranger par le bruits. Ginette sort de son lit pour voir son protecteur mais elle fut choquer en voyant son bras qui saignait, heureusement qu'elle connais un peu de ses sort pour refermer la blessure et la faire disparaître. Quand elle tourne le visage pour voir le tigrain elle eut des étoiles dans les yeux. Elle se mit à courir vers lui alors que Kylian n'avais pas assez de vitesse pour la reprendre. Elle se met au pieds de l'individu en le regardant, elle touche son genoux comme si elle voulais qu'on la prenne dans les bras. Kylian s'approche d'elle et la reprend dans ses bras.
Kylian : Je suis désoler pour elle. Elle est pas au top de sa forme en se moment. Je vous souhaite de passer une agréable et bonne nuit, si besoin n'hésitez pas à venir me voir si besoin.
Il fit une petite tape amicale à l'épaule de l'individu puis retourne dans sa chambre et verrouille la porte pour enfin loger Ginette dans son lit. Il la berce doucement d'une petite chanson douce qu'on pouvais entendre à travers la porte. Quelque minutes plus tard la chanson se tue et Kylian retourne dans son lit pour pouvoir enfin s'endormir.
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Les rayons du soleil caresse la joue de Kylian qui se réveille sur le coup, en s'étirant il vit Ginette sur son torse en train de dormir. Il la secoue très doucement, elle baille et s'étire aussi. Les deux touristes vont au rez de chaussé pour rendre les clé de la chambre, il donne deux pièces en pourboire au chef de la tavernière. Puis Kylian et la petite fille sortent de la taverne. Kylian avait remis une chemise, il portait son armure de plate dans les bras, il vas la donner à un forgeron. Puis vas à la direction du marché pour aller au point de rendez-vous donner au mage par corbeaux.
Ginette : on peut aller m'acheter quelque chose avant d'aller voir ce mage ? S'il te plais ?
Elle tira la plus des mignonne bouille d'amour qu'un enfant peut faire à ses parents. Ce qui fait rire Kylian n'étant pas habitué, il lui caresse la tête signe qu'il était d'accord. Il marchèrent alors tout les deux au marché, la population y était dense, alors pour plus de sécurité, il mis Ginette sur ses épaules pour ne pas la perdre, elle riait en traitant Kylian de "cheval" ce qui fit rire certain centaure qui voyageait comme ça, mais qui choquait d'autre humains. Et oui, les humains sont des racistes, Kylian aurait voulu être un elfe ou un centaure au leu d'un être comme il est.
Une petite boutique de bijoux intéressait la petite et demanda à Kylian d'y aller. Il la pose et entre avec elle, une jeune femme, brune au yeux vert, assez belle pour une jeune paysanne était sur la pointe des pieds pour prendre un objet qui était sur une étagère. Kylian voyant la détresse de celle ci viens prendre l'objet et la donne à la demoiselle.
Femme : h...merci, j-je sais pas comment vous remercier, je galère depuis plusieurs minutes. Personne ne voulais m'aider.
Elle rougissait de honte mais Kylian lui fit un sourire qui la rendait carrément rouge pivoine. Elle courut en caisse pour l'encaisser et partir avec. Tandis que Ginette avait un beau collier en argent avec une émeraude au centre, ornée de petite pierre précieuse. Kylian allait voir le prix, mais le repris pour le poser. Kylian ne pouvait pas dépenser autant d'argent pour un bijoux. Alors Ginette fit la boudeuse et pris un autre bijoux, une couronne ornée de petit diamant. Mais toujours trop chère. Alors Kylian pris un bracelet en argent qui avait un rubis sur la chaîne, Ginette n'aimais pas le rouge, mais elle accepte quand même à le prendre et de le porter. Après l’achat pour la sédalienne, Kylian et cette dernière sortirent de la boutique.
Ginette : Je te remercie pour le bijoux, j'aime bien finalement, le rubis est dicret.
Kylian lui sourit.
Kylian : Tu me coûte chère pour une enfant, imagine quand tu seras adulte et avec un petit copain.
Ginette rougissait à cette remarque ce qui fit rire au éclat Kylian.
Ginette : Je ne suis pas une tombeuse. Alors que toi n'importe quelle femme tombe dans les pommes quand elle croise ton regard.
Kylian pouffe de rire. Il la remet sur son épaule et vas voir le mage. Il recroise du regard la femme brune qu'il avait aidé. Elle semblait attendre quelqu'un ou quelque chose.
Kylian Kragan- Expert
- Race : Humain
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
Le colosse commençait à retourner dans sa piaule, mais il se ravisa au dernier moment. Il me sourit puis, m'expliquais que si j'avais le moindre problème, il viendrait m'aider. Il ajoutait également qu'il ne faisait aucune distinction quel que soit la race de l'individu ou encore ses origines. Finalement, certains humains étaient moins idiot qu'ils n'y paraissaient. Je n'aimais pas les humains, mais lui je l'aimais bien, même s'il était humain. Il renchérit sur l'importance qu'il s'adonnait à la lutte contre l'esclavage. Je croyais tomber amoureux de lui! Enfin, façon de parler, je n'avais encore jamais rencontré de personne avec cet état d'esprit. Ma haine envers les humains descendait d'un cran.
Un lit couina derrière le blondin, je pouvais entendre quelqu'un s'étirer puis bailler. Le petit Homme-Lézard de tout à l'heure arriva derrière Kylian Kragan et vit la blessure de celui-ci. Elle appliqua ses mains au-dessus de sa plaie et une lueur sortit du bout de ses mains. J'en restais estomaqué, la plaie se refermait a vu d'œil, certes elle n'était pas bien grosse, mais guérir à une vitesse comme celle-ci, cela relevait de l'exploit. Cette gamine devait avoir des dons bien particulier pour maîtriser une telle magie à son âge. Une fois la plaie refermée, elle se tourna vers moi et ouvrit ses yeux au plus grand qu'elle pouvait. Elle se jeta sur moi à une vitesse. Ce n'est pas que je n'avais pas l'habitude de voir des enfants mais ... je n'avais pas du tout l'habitude de voir des enfants et je ne savais pas comment réagir avec eux.
Je fis un pas en arrière. Elle s'arrêta devant moi et tapotait mon genou en levant l'autre main vers moi. Qu'est-ce qu'elle voulait? Jouer avec moi? En fait, si je suis si perturbé avec les enfants, c'est parce que j'en garde un très mauvais souvenir du temps où j'étais esclave à Azgalban. Kylian la prenait dans ses bras puis s'excusa de son comportement. Il n'y avait pas de mal, il ne fallait pas qu'il s'en fasse pour si peu. Il prit ensuite congé de moi pour se coucher en me souhaitant de passer une bonne nuit. J'en fis de même avant de me diriger vers ma loge. Un bon lit douillet avec un drap en laine, de quoi passer une nuit chaude à l'abri du vent. Je me demandais depuis combien de temps je n'avais pas dormi dans une chambre. Je préférai oublier, les mauvais souvenirs commençaient à affluer dans ma tête. Il fallait que j'oublie tout ça. Fermer les yeux et faire le vide dans ma tête.
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La journée commençait par une bonne grasse mâtiné. Je me levais enfin bien reposé et tout frais. Je me rhabillais, me préparais, sorti de la chambre après l'avoir remis en état puis fermait la porte à clé. Je descendis les escaliers deux par deux comme un enfant près pour passer une journée radieuse, puis je donnais les clés au tavernier. Quel bonheur que d'avoir dormis luxueusement. Certains humains trouveraient cet endroit comme inhospitalier ou encore peu charmant et miteux. Je ne comprenais pas ce genre de réflexion, certaines personnes ne dormaient qu'à la belle étoile.
Aujourd'hui, j'avais du pain sur la planche. Je devais me rendre au bazar du bourg, le tavernier m'avait expliqué qu'il se situait non loin d'une bijouterie très connue de la ville. J'irai certainement rendre visite à la bijouterie par la suite. Cela ne ferait qu'embellir mes poches et ma bou-bourse. Je marchais d'un pas motivé, le sourire aux lèvres. Tout ce passait comme prévu, mis à part les regards que me jetaient les gens autour de moi. A force, je commençais à m'y habituer.
J'arrivais devant la bijouterie, bondé de monde. En effet à côté se trouvait un petit bazar. L'enseigne était marquée d'une roue de chariot avec une épée et un grand marteau qui se croisaient au-dessus de la roue. Il y avait quelque chose d'écrit dessus, mais à part un ramassis de trait, je ne savais pas du tout qu'est-ce que cela signifiait. Parfois, ça pouvait être utile de savoir lire. Il fallait que je me fasse une raison, arrivé à Telbara, je commencerai ma nouvelle vie par un apprentissage à la lecture et peut-être même à l'écriture. J'entrais dans la boutique en poussant la porte. J'ouvris grand mes yeux, il y avait vraiment de tout! De la faucille de l'herboriste aux grandes charrues démontées pièce par pièce, en passant par du tissu, du cuir et des vêtements de toutes les couleurs. Je m'approchais du vendeur, je n'eu même pas le temps de lui poser la moindre question qu'il me faisait signe de sortir.
Marchand du bazar - Dehors salle matou ! Il me poussa en-dehors de la boutique. Je ne veux pas que des minets comme toi rentre dans ma boutique! Tu ne sais pas lire? Il pointait l'enseigne au-dessus de ma tête. Il n'y a que les humains à pouvoir entrer ici !
Tyover - Mon chèr monsieur, je ne voulais point vous offusquer. En effet, je ne sais pas lire. Je ferai plus attention la prochaine fois, veuillez m'excusez.
Le marchand se calma puis me regardait de haut tout en me montrant qu'il était étonné de voir un Tigrain parler de la sorte. Mes années en boutique en tant qu'esclave m'ont bien aidé, je l'avoue, en thermes de belles paroles et de négociation. Je repris tout aussi posé:
Tyover - Je venais vous voir car l'on m'avait renseigné que vous seriez probablement intéressé par une carriole encore en bon état, ainsi qu'un cheval de trait en bonne santé. Je ne voyage plus depuis quelques années. Je guettais maintenant son regard. Je pensais qu'entre de meilleures mains ils pourraient être réutilisés et rendre service.
Marchand du bazar - Hmm ... veuillez me pardonner pour mon comportement. En effet, il est possible que je m'intéresse aux carrioles. Je vais y réfléchir si vous le permettez. Je vous donne rendez-vous ici même après le déjeuner.
Je le remerciai et m'inclinai délicatement pour lui montrer que j'étais un homme honnête et respectueux, puis je me retirais. Dans quelque temps j'allais surtout embobiner un pauvre marchand qui se méfiait des Tigrains. Cela me mit en rogne de constater encore cette discrimination. Sans trop faire attention, je trébuchais sur une jeune femme. Je me cramponnais à ses épaules, constatant au passage qu'elle possédait un très joli collier. Je la soulageais de ce petit trésor délicatement et me relevais rapidement. Je m'excusais mille et une fois auprès de celle-ci pour ma maladresse. Et hop, c'est ce qu'on appelle faire de bonnes affaires. La journée n'était que plus belle.
Un lit couina derrière le blondin, je pouvais entendre quelqu'un s'étirer puis bailler. Le petit Homme-Lézard de tout à l'heure arriva derrière Kylian Kragan et vit la blessure de celui-ci. Elle appliqua ses mains au-dessus de sa plaie et une lueur sortit du bout de ses mains. J'en restais estomaqué, la plaie se refermait a vu d'œil, certes elle n'était pas bien grosse, mais guérir à une vitesse comme celle-ci, cela relevait de l'exploit. Cette gamine devait avoir des dons bien particulier pour maîtriser une telle magie à son âge. Une fois la plaie refermée, elle se tourna vers moi et ouvrit ses yeux au plus grand qu'elle pouvait. Elle se jeta sur moi à une vitesse. Ce n'est pas que je n'avais pas l'habitude de voir des enfants mais ... je n'avais pas du tout l'habitude de voir des enfants et je ne savais pas comment réagir avec eux.
Je fis un pas en arrière. Elle s'arrêta devant moi et tapotait mon genou en levant l'autre main vers moi. Qu'est-ce qu'elle voulait? Jouer avec moi? En fait, si je suis si perturbé avec les enfants, c'est parce que j'en garde un très mauvais souvenir du temps où j'étais esclave à Azgalban. Kylian la prenait dans ses bras puis s'excusa de son comportement. Il n'y avait pas de mal, il ne fallait pas qu'il s'en fasse pour si peu. Il prit ensuite congé de moi pour se coucher en me souhaitant de passer une bonne nuit. J'en fis de même avant de me diriger vers ma loge. Un bon lit douillet avec un drap en laine, de quoi passer une nuit chaude à l'abri du vent. Je me demandais depuis combien de temps je n'avais pas dormi dans une chambre. Je préférai oublier, les mauvais souvenirs commençaient à affluer dans ma tête. Il fallait que j'oublie tout ça. Fermer les yeux et faire le vide dans ma tête.
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La journée commençait par une bonne grasse mâtiné. Je me levais enfin bien reposé et tout frais. Je me rhabillais, me préparais, sorti de la chambre après l'avoir remis en état puis fermait la porte à clé. Je descendis les escaliers deux par deux comme un enfant près pour passer une journée radieuse, puis je donnais les clés au tavernier. Quel bonheur que d'avoir dormis luxueusement. Certains humains trouveraient cet endroit comme inhospitalier ou encore peu charmant et miteux. Je ne comprenais pas ce genre de réflexion, certaines personnes ne dormaient qu'à la belle étoile.
Aujourd'hui, j'avais du pain sur la planche. Je devais me rendre au bazar du bourg, le tavernier m'avait expliqué qu'il se situait non loin d'une bijouterie très connue de la ville. J'irai certainement rendre visite à la bijouterie par la suite. Cela ne ferait qu'embellir mes poches et ma bou-bourse. Je marchais d'un pas motivé, le sourire aux lèvres. Tout ce passait comme prévu, mis à part les regards que me jetaient les gens autour de moi. A force, je commençais à m'y habituer.
J'arrivais devant la bijouterie, bondé de monde. En effet à côté se trouvait un petit bazar. L'enseigne était marquée d'une roue de chariot avec une épée et un grand marteau qui se croisaient au-dessus de la roue. Il y avait quelque chose d'écrit dessus, mais à part un ramassis de trait, je ne savais pas du tout qu'est-ce que cela signifiait. Parfois, ça pouvait être utile de savoir lire. Il fallait que je me fasse une raison, arrivé à Telbara, je commencerai ma nouvelle vie par un apprentissage à la lecture et peut-être même à l'écriture. J'entrais dans la boutique en poussant la porte. J'ouvris grand mes yeux, il y avait vraiment de tout! De la faucille de l'herboriste aux grandes charrues démontées pièce par pièce, en passant par du tissu, du cuir et des vêtements de toutes les couleurs. Je m'approchais du vendeur, je n'eu même pas le temps de lui poser la moindre question qu'il me faisait signe de sortir.
Marchand du bazar - Dehors salle matou ! Il me poussa en-dehors de la boutique. Je ne veux pas que des minets comme toi rentre dans ma boutique! Tu ne sais pas lire? Il pointait l'enseigne au-dessus de ma tête. Il n'y a que les humains à pouvoir entrer ici !
Tyover - Mon chèr monsieur, je ne voulais point vous offusquer. En effet, je ne sais pas lire. Je ferai plus attention la prochaine fois, veuillez m'excusez.
Le marchand se calma puis me regardait de haut tout en me montrant qu'il était étonné de voir un Tigrain parler de la sorte. Mes années en boutique en tant qu'esclave m'ont bien aidé, je l'avoue, en thermes de belles paroles et de négociation. Je repris tout aussi posé:
Tyover - Je venais vous voir car l'on m'avait renseigné que vous seriez probablement intéressé par une carriole encore en bon état, ainsi qu'un cheval de trait en bonne santé. Je ne voyage plus depuis quelques années. Je guettais maintenant son regard. Je pensais qu'entre de meilleures mains ils pourraient être réutilisés et rendre service.
Marchand du bazar - Hmm ... veuillez me pardonner pour mon comportement. En effet, il est possible que je m'intéresse aux carrioles. Je vais y réfléchir si vous le permettez. Je vous donne rendez-vous ici même après le déjeuner.
Je le remerciai et m'inclinai délicatement pour lui montrer que j'étais un homme honnête et respectueux, puis je me retirais. Dans quelque temps j'allais surtout embobiner un pauvre marchand qui se méfiait des Tigrains. Cela me mit en rogne de constater encore cette discrimination. Sans trop faire attention, je trébuchais sur une jeune femme. Je me cramponnais à ses épaules, constatant au passage qu'elle possédait un très joli collier. Je la soulageais de ce petit trésor délicatement et me relevais rapidement. Je m'excusais mille et une fois auprès de celle-ci pour ma maladresse. Et hop, c'est ce qu'on appelle faire de bonnes affaires. La journée n'était que plus belle.
Tyover- Bon
- Race : Tigrain Guépard
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
Le cri de surprise émit par la femme fit tourner la tête à Kylian, il vit le tigrain sur elle, se disant qu'il à peut être trébucher. Mais il vit un autre détail qui lui faire froncer les sourcil. Le collier de la jeune femme n'était plus là quand elle se relève. Alors i lest comme ça, ce tigrain est donc un voleur. Il demande à la jeune femme un service, il lui pose Ginette à coté d'elle, expliquant qu'elle à été volé mais qu'il à vu la scène et identifie le voleur. Il lui passe Ginette, elle fit une petite tête de dégoût, n'ayant pas envie de traînée avec elle. Mais ce qui est drôle c'est que le comportement raciste des humains prennent le dessus sur Ginette, voyant le comportement de certain, Ginette commence à ne pas aimer les humains.
Kylian courait mais avec sa carrure et la population dense, il était difficile pour lui de passer. Alors il sortit son épée ce qui fait peur à tout le monde, il courent partout pour fuir la lame de cet homme. Il chercha du regard le tigrain qui était loin. Il cherche encore et encore. Sans le trouver. Il soupir et jette son épée à terre, enervé de ne pas avoir trouver sa cible. Kylian ne voulais pas le tuer pour avoir voler mais qu'il comprenne que le vol est mal.
Au chemin du retour, le chevalier voit une petite ombre de couleur orange filer dans une petite ruelle où les femmes et hommes moisirent assis sur le sol à mendier de l'argent. Kylian repris sa course, est ce que le tigrain l'a vu ? Possible car niveau discrétion, Kylian ne sais pas s'y prendre. Il vit alors l'individu et le manque de l'attraper de peu. Le tigrain monte sur un mur puis se met derrière le mur, Kylian retourne dans le marché et contourne les bâtiments, il voit l'étranger sauter sur un autre toit mais se manque, sans doute la tuile qui est sale et qu'il a glisser. Mais pour Kylian c'est une opportunité à l'attraper. Il le plaque contre la boue et met son épée sous sa gorge histoire de lui montrer qui est le chef ici.
Plusieurs minutes s'écoulèrent, Kylian regarde droit dans les yeux le tigrains. Une troupe commence à venir voir la scène, et certain demande la mort du tigrain, Kylian se lève en prenant la main de se dernier pour le relever, toujours son épée sous la gorge du tigrain. Il commence à marcher vers le marché, il s'était grandement vidé suite à l'apparition du chevalier avec son épée sortit. Il vit la femme qui gardait GInette mais avec un peu d'écart. GInette sautillait sur place en voyant son chevalier. Il jette à terre le tigrain.
Kylian : Si il y a bien une chose que je ne peut tolérer, c'est le vol. Tu vas rendre le bijoux à la demoiselle et tu lui demande pardon.
Il mis son épée vers le dos du tigrain, signe qu'il doit se soumettre, les garde derrière rient en voyant la scène, c'est vrai que si c'était un humain qui serais à la place du tigrain, ils viendront voir et réagir. Mais malheureusement, le tigrain n'est pas humain.
Kylian : Tu ne mourras pas avec moi, n'ai crainte, mais après ça, je t’amène avec moi.
La femme rouge de colère mis une grosse gifle au tigrain et arrache de ses mains le collier puis part en marchant rapidement de rage. Un homme habillé en mage arrive et fit une poigné de main au chevallier. Voyant que le tigrain voulais s'enfuir, Ginette pris un bout de verre assez tranchant qui traînait sur le sol.
Ginette : comparé à Kylian, moi je pourrais te tuer. Je suis peut être qu'une enfant, mais j'ai la haîne d'avoir été abandonné par mon père.
Quand Kylian finit sa discussion il demande à un marchand une corde pour attacher le tigrain. Il le prend et attache solidement le tigrain. Il achête un cheval pour le mage et remonte sur la selle de son cheval. Ginette s'installe devant lui. Pour le trigrain et bien il devra marcher. C'est ça punition pour avoir voler.
Kylian : On en a pour au moins 3 jours à ce rythme. Vous avez de quoi dormir mage ?
Mage : oui j'ai préparer aussi de la nourriture en cas où on ce stoppe pour la nuit.
Kylian avait accomplis ce qu'il voulais, avoir le mage pour Ginette, mais il a une chose en plus. Un voleur qu'il compte bien corriger avec sa méthode.
Kylian courait mais avec sa carrure et la population dense, il était difficile pour lui de passer. Alors il sortit son épée ce qui fait peur à tout le monde, il courent partout pour fuir la lame de cet homme. Il chercha du regard le tigrain qui était loin. Il cherche encore et encore. Sans le trouver. Il soupir et jette son épée à terre, enervé de ne pas avoir trouver sa cible. Kylian ne voulais pas le tuer pour avoir voler mais qu'il comprenne que le vol est mal.
Au chemin du retour, le chevalier voit une petite ombre de couleur orange filer dans une petite ruelle où les femmes et hommes moisirent assis sur le sol à mendier de l'argent. Kylian repris sa course, est ce que le tigrain l'a vu ? Possible car niveau discrétion, Kylian ne sais pas s'y prendre. Il vit alors l'individu et le manque de l'attraper de peu. Le tigrain monte sur un mur puis se met derrière le mur, Kylian retourne dans le marché et contourne les bâtiments, il voit l'étranger sauter sur un autre toit mais se manque, sans doute la tuile qui est sale et qu'il a glisser. Mais pour Kylian c'est une opportunité à l'attraper. Il le plaque contre la boue et met son épée sous sa gorge histoire de lui montrer qui est le chef ici.
Plusieurs minutes s'écoulèrent, Kylian regarde droit dans les yeux le tigrains. Une troupe commence à venir voir la scène, et certain demande la mort du tigrain, Kylian se lève en prenant la main de se dernier pour le relever, toujours son épée sous la gorge du tigrain. Il commence à marcher vers le marché, il s'était grandement vidé suite à l'apparition du chevalier avec son épée sortit. Il vit la femme qui gardait GInette mais avec un peu d'écart. GInette sautillait sur place en voyant son chevalier. Il jette à terre le tigrain.
Kylian : Si il y a bien une chose que je ne peut tolérer, c'est le vol. Tu vas rendre le bijoux à la demoiselle et tu lui demande pardon.
Il mis son épée vers le dos du tigrain, signe qu'il doit se soumettre, les garde derrière rient en voyant la scène, c'est vrai que si c'était un humain qui serais à la place du tigrain, ils viendront voir et réagir. Mais malheureusement, le tigrain n'est pas humain.
Kylian : Tu ne mourras pas avec moi, n'ai crainte, mais après ça, je t’amène avec moi.
La femme rouge de colère mis une grosse gifle au tigrain et arrache de ses mains le collier puis part en marchant rapidement de rage. Un homme habillé en mage arrive et fit une poigné de main au chevallier. Voyant que le tigrain voulais s'enfuir, Ginette pris un bout de verre assez tranchant qui traînait sur le sol.
Ginette : comparé à Kylian, moi je pourrais te tuer. Je suis peut être qu'une enfant, mais j'ai la haîne d'avoir été abandonné par mon père.
Quand Kylian finit sa discussion il demande à un marchand une corde pour attacher le tigrain. Il le prend et attache solidement le tigrain. Il achête un cheval pour le mage et remonte sur la selle de son cheval. Ginette s'installe devant lui. Pour le trigrain et bien il devra marcher. C'est ça punition pour avoir voler.
Kylian : On en a pour au moins 3 jours à ce rythme. Vous avez de quoi dormir mage ?
Mage : oui j'ai préparer aussi de la nourriture en cas où on ce stoppe pour la nuit.
Kylian avait accomplis ce qu'il voulais, avoir le mage pour Ginette, mais il a une chose en plus. Un voleur qu'il compte bien corriger avec sa méthode.
Kylian Kragan- Expert
- Race : Humain
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
Par où je pouvais continuer ma visite maintenant? Je sentais que je pouvais encore m'en mettre plein les fouilles aujourd'hui. J'arrivais à peine au coin de la rue que j'entendais quelqu'un crier des "Stop!!" et des "Arrêtez vous!! ". Qui pouvait bien faire un tel raffut et à qui pouvait-il parler ainsi? Je me retournais et vis une personne qui m'était familière, mais bizarrement, il n'avait pas le même regard que la dernière fois. Il me fixait d'un regard noir et courait à toute vitesse. M'aurait-il vu voler la jeune femme? Non, ce n'était pas possible, j'étais bien de trop rapide pour que le commun des mortels puisse me voir en pleine action.
Je ne voulais courir aucun risque, alors je me cachais derrière la foule de client d'un marchand vendant des fioles, sûrement de l'alchimie. J'en empruntais une au passage, cela pourrait certainement me servir plus tard. Je tournais ensuite à l'angle de la rue, me cachant pour regarder le chevalier me courir après s'éloigner. La fureur prit possession de son corps et il jeta son arme au sol. Je ne m'étais pas rendu compte mais, s'il avait une épée dans les mains, cela voudrait dire qu'il voulait ma peau? Je tremblais à cette idée. Je profitais du moment de furie de ce dernier pour retourner sur mes pas, en faisant ainsi, s'il continuait à me chercher, il ne retournerait pas en arrière. C'était un pari risqué, mais il fallait essayer. Je continuais puis tournais dans une ruelle où se trouvait un vieil homme qui mendiait ainsi qu'une impasse. Mince! Visiblement je ne connaissais pas assez bien les recoins de la ville. Je me retournais pour voir le colosse bloquer la seule issue possible et me résignais à me rendre. Bon, la vérité, c'est que je ne voulais pas trop me faire remarquer dans le coin, surtout qu'un échange important m'attendait cette après-midi.
Je tendis mes mains et hochais la tête, je ne pouvais pas fuir de toute fessons, alors autant me rendre. Le blondin me plaqua au sol et me menaçait avec son épée. Il voulait vraiment me dépecer le bougre. Et je ne supportais pas le fait d'être face contre terre, cela avait le don de m'irriter au plus au point. Je forçais sur mes jambes pour essayer de me relever, mais c'était impossible, le guerrier m'était tout son poids sur moi pour me maintenir au sol. Les gens commençaient à s'agglutiner dans la petite ruelle. Tous nous regardaient et encourageaient le blondinet pour qu'il me zigouille. Pas maintenant quand même, Tacomnal était devenu aussi peu respectable envers les Tigrains? Il me regarda droit dans les yeux, comme si une envie meurtrière, qui sommeillait en lui jusqu'à présent, venait de se réveiller. Je le défiais du regard, je n'allais pas me laisser impressionner, même si mon corps tout entier tremblait de peur.
Il m'aida à me relever puis m'emmena au marché, toujours en me menaçant avec son épée, sans doute pour retourner voir la femme à qui j'avais dérobé le collier. Il y avait nettement moins de monde que tout à l'heure, à croire qu'un guerrier fou était passé. Je rigolais bien sûr. Je pouvais voir la femme que j'avais volée accompagné de la petite Femme-Lézard, si je pouvais ça comme cela. Kylian me poussa d'un coup sec, je me retrouvais un genou à terre devant la jeune femme.
Kylian : Si il y a bien une chose que je ne peut tolérer, c'est le vol. Tu vas rendre le bijoux à la demoiselle et tu lui demande pardon.
Il continuait à me menacer, même après tout ça, il avait peur que je puisse m'enfuir? Les gardes étaient venues assister à la scène. Ils riaient comme de gros bêta, Je n'aimais pas du tout ce moment. Au pire, dans quelques temps je partirais d'ici, loin de tous ces fayots, de tous ces esclavagistes, de tous ces méprisables.
Kylian : Tu ne mourras pas avec moi, n'ai crainte, mais après ça, je t’amène avec moi.
Comment cela il m'emmènerait avec lui? Il en était or de question qu'il me condamne à le suivre, je voulais bien rendre le pendentif de cette femme, mais il ne m'emmènera jamais avec lui. C'est un enlèvement! J'y pensais mais, de toutes manières, cela ne choquerait personne de voir une autre race que les humains se faire enlever ou encore se faire décapiter. Je suis sûr que les enfants regarderaient cela, non pas avec horreur, mais avec joie. Je tendis le collier à la jeune femme. Elle me gifla d'un revers de main puissant puis embarqua le collier avec elle avant de s'éloigner du marché. Ma joue me faisait mal, mais j'avais comme l'impression que je n'avais pas finie d'en baver avec ce gaillard. L'attention de Kylian s'était tourné vers une personne en toge. Une ouverture! Je commençais à marcher en reculons, le plus discrètement possible.
Femme-Lérzard miniature - Comparé à Kylian, moi je pourrais te tuer. Je suis peut être qu'une enfant, mais j'ai la haine d'avoir été abandonné par mon père.
Ils m'attachèrent avec une corde, une corde? Ils avaient déjà oublié que j'étais un Tigrain? Mes griffes étaient assez longues pour couper les liens qui me retenaient. Enfin bref, je n'allais pas me détacher sous les yeux de la garde, je n'irai pas loin comme ça. Le chevalier s'installait sur un cheval qu'il venait apparemment d'acheter à l'homme en toge, puis il fit monter la lézarde miniature à l'avant. Il continuait de discuter avec l'homme en toge, ils avaient parlé d'un voyage durant trois jours. Trois jours!? C'était trois de trop! Je devais retourner voir le marchand du bazar dans peu de temps et mes chevaux se trouvaient toujours à l'écurie. Dans quoi je me suis embarqué?!
Tyover - Excusez-moi? Ou m'emmenez-vous? je riais jaune. J'ai déjà quelque chose de prévu pour la journée vous savez, je ne pourrais pas vous accompagner pour votre voyage d'aventurier.
Le guerrier ne daigna pas se retourner pour le moment, alors que la petite, elle, se retournait pour me tirer la langue. Je laissais couler pour le moment, j'attendrais patiemment mon heure. Dès qu'une occasion se présenterai, j'en profiterai pour m'échapper. Je devais au moins attendre qu'il descende de son cheval et qu'il s'en éloigne. J'avais beau courir vite, le cheval pouvait tenir l'allure plus longtemps que moi sans se forcer. J'avais toujours dans ma poche arrière la fiole que j'avais volé au marché. Je ne connaissais peut-être pas son utilisation, mais jeté en pleine figure, cela devait faire mal. On commençait à s'approcher de la grande porte de la ville, après quoi nous le quitterons pour je ne sais quelle destination. Trois jours d'ici, mais où est-ce qu'on irait à trois jours de Tacomnal?
Je ne voulais courir aucun risque, alors je me cachais derrière la foule de client d'un marchand vendant des fioles, sûrement de l'alchimie. J'en empruntais une au passage, cela pourrait certainement me servir plus tard. Je tournais ensuite à l'angle de la rue, me cachant pour regarder le chevalier me courir après s'éloigner. La fureur prit possession de son corps et il jeta son arme au sol. Je ne m'étais pas rendu compte mais, s'il avait une épée dans les mains, cela voudrait dire qu'il voulait ma peau? Je tremblais à cette idée. Je profitais du moment de furie de ce dernier pour retourner sur mes pas, en faisant ainsi, s'il continuait à me chercher, il ne retournerait pas en arrière. C'était un pari risqué, mais il fallait essayer. Je continuais puis tournais dans une ruelle où se trouvait un vieil homme qui mendiait ainsi qu'une impasse. Mince! Visiblement je ne connaissais pas assez bien les recoins de la ville. Je me retournais pour voir le colosse bloquer la seule issue possible et me résignais à me rendre. Bon, la vérité, c'est que je ne voulais pas trop me faire remarquer dans le coin, surtout qu'un échange important m'attendait cette après-midi.
Je tendis mes mains et hochais la tête, je ne pouvais pas fuir de toute fessons, alors autant me rendre. Le blondin me plaqua au sol et me menaçait avec son épée. Il voulait vraiment me dépecer le bougre. Et je ne supportais pas le fait d'être face contre terre, cela avait le don de m'irriter au plus au point. Je forçais sur mes jambes pour essayer de me relever, mais c'était impossible, le guerrier m'était tout son poids sur moi pour me maintenir au sol. Les gens commençaient à s'agglutiner dans la petite ruelle. Tous nous regardaient et encourageaient le blondinet pour qu'il me zigouille. Pas maintenant quand même, Tacomnal était devenu aussi peu respectable envers les Tigrains? Il me regarda droit dans les yeux, comme si une envie meurtrière, qui sommeillait en lui jusqu'à présent, venait de se réveiller. Je le défiais du regard, je n'allais pas me laisser impressionner, même si mon corps tout entier tremblait de peur.
Il m'aida à me relever puis m'emmena au marché, toujours en me menaçant avec son épée, sans doute pour retourner voir la femme à qui j'avais dérobé le collier. Il y avait nettement moins de monde que tout à l'heure, à croire qu'un guerrier fou était passé. Je rigolais bien sûr. Je pouvais voir la femme que j'avais volée accompagné de la petite Femme-Lézard, si je pouvais ça comme cela. Kylian me poussa d'un coup sec, je me retrouvais un genou à terre devant la jeune femme.
Kylian : Si il y a bien une chose que je ne peut tolérer, c'est le vol. Tu vas rendre le bijoux à la demoiselle et tu lui demande pardon.
Il continuait à me menacer, même après tout ça, il avait peur que je puisse m'enfuir? Les gardes étaient venues assister à la scène. Ils riaient comme de gros bêta, Je n'aimais pas du tout ce moment. Au pire, dans quelques temps je partirais d'ici, loin de tous ces fayots, de tous ces esclavagistes, de tous ces méprisables.
Kylian : Tu ne mourras pas avec moi, n'ai crainte, mais après ça, je t’amène avec moi.
Comment cela il m'emmènerait avec lui? Il en était or de question qu'il me condamne à le suivre, je voulais bien rendre le pendentif de cette femme, mais il ne m'emmènera jamais avec lui. C'est un enlèvement! J'y pensais mais, de toutes manières, cela ne choquerait personne de voir une autre race que les humains se faire enlever ou encore se faire décapiter. Je suis sûr que les enfants regarderaient cela, non pas avec horreur, mais avec joie. Je tendis le collier à la jeune femme. Elle me gifla d'un revers de main puissant puis embarqua le collier avec elle avant de s'éloigner du marché. Ma joue me faisait mal, mais j'avais comme l'impression que je n'avais pas finie d'en baver avec ce gaillard. L'attention de Kylian s'était tourné vers une personne en toge. Une ouverture! Je commençais à marcher en reculons, le plus discrètement possible.
Femme-Lérzard miniature - Comparé à Kylian, moi je pourrais te tuer. Je suis peut être qu'une enfant, mais j'ai la haine d'avoir été abandonné par mon père.
Ils m'attachèrent avec une corde, une corde? Ils avaient déjà oublié que j'étais un Tigrain? Mes griffes étaient assez longues pour couper les liens qui me retenaient. Enfin bref, je n'allais pas me détacher sous les yeux de la garde, je n'irai pas loin comme ça. Le chevalier s'installait sur un cheval qu'il venait apparemment d'acheter à l'homme en toge, puis il fit monter la lézarde miniature à l'avant. Il continuait de discuter avec l'homme en toge, ils avaient parlé d'un voyage durant trois jours. Trois jours!? C'était trois de trop! Je devais retourner voir le marchand du bazar dans peu de temps et mes chevaux se trouvaient toujours à l'écurie. Dans quoi je me suis embarqué?!
Tyover - Excusez-moi? Ou m'emmenez-vous? je riais jaune. J'ai déjà quelque chose de prévu pour la journée vous savez, je ne pourrais pas vous accompagner pour votre voyage d'aventurier.
Le guerrier ne daigna pas se retourner pour le moment, alors que la petite, elle, se retournait pour me tirer la langue. Je laissais couler pour le moment, j'attendrais patiemment mon heure. Dès qu'une occasion se présenterai, j'en profiterai pour m'échapper. Je devais au moins attendre qu'il descende de son cheval et qu'il s'en éloigne. J'avais beau courir vite, le cheval pouvait tenir l'allure plus longtemps que moi sans se forcer. J'avais toujours dans ma poche arrière la fiole que j'avais volé au marché. Je ne connaissais peut-être pas son utilisation, mais jeté en pleine figure, cela devait faire mal. On commençait à s'approcher de la grande porte de la ville, après quoi nous le quitterons pour je ne sais quelle destination. Trois jours d'ici, mais où est-ce qu'on irait à trois jours de Tacomnal?
Tyover- Bon
- Race : Tigrain Guépard
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
Quand le groupe sortirent de la ville, le tigrain s'exprime voulant faire quelque chose avant de partir. Mais qu'il le veuille ou non, il suivra Kylian coûte que coûte. Le mage quand à lui sourit au tigrain et parle à Kylian. Peut-après, il stoppe le cheval, descend et prend le tigrain par le bras. Il le pousse pour revenir à la ville. Malgré tout, Kylian ne voulais pas de mal à l'individu, même si sa tête et son attitude montrais le contraire.
Kylian : on vas faire ce que tu as faire, mais d'abord, comment tu t'appelle ? Parce que tu connais mon nom mais je ne connais pas ton nom.
Ils arrivent au centre ville et Kylian regarde autour de lui, comme si il cherchait quelque chose du regard. Il pousse encore en insistant bien sur le tigrain, ne voulant pas perdre son temps avec lui, il stoppe le tigrain de la marche et se met devant lui en lui levant le menton pour qu'il puisse le voir droit dans les yeux.
Kylian : Bon écoute, je vais être sympa avec toi ok ? On se fait une promesse mutuelle si tu es d'accord, je te libère des liens et je te prend un cheval, à condition que toi tu me suive à mon refuge. On doit parler de quelque chose, il vas à ton oreille. De pas très correct, je te payerais bien.
Kylian attend la réponse et sort une dague et met la dague entre le cordage. Prêt à entendre la réponse de son "prisonnier".
Kylian : on vas faire ce que tu as faire, mais d'abord, comment tu t'appelle ? Parce que tu connais mon nom mais je ne connais pas ton nom.
Ils arrivent au centre ville et Kylian regarde autour de lui, comme si il cherchait quelque chose du regard. Il pousse encore en insistant bien sur le tigrain, ne voulant pas perdre son temps avec lui, il stoppe le tigrain de la marche et se met devant lui en lui levant le menton pour qu'il puisse le voir droit dans les yeux.
Kylian : Bon écoute, je vais être sympa avec toi ok ? On se fait une promesse mutuelle si tu es d'accord, je te libère des liens et je te prend un cheval, à condition que toi tu me suive à mon refuge. On doit parler de quelque chose, il vas à ton oreille. De pas très correct, je te payerais bien.
Kylian attend la réponse et sort une dague et met la dague entre le cordage. Prêt à entendre la réponse de son "prisonnier".
Kylian Kragan- Expert
- Race : Humain
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
L'homme en toge me regardait comme s'il avait en face une bête de foire, comme tout à l'heure! J'avais juste envie de lui mordre le coup à celui là! Il commençait vraiment à m'énerver avec son sourire bêta. Il alla ensuite discuter avec le grand blondinet. Je ne sais pas ce qu'à bien pu dire ce coquebert, mais Kylian s'arrêta et vînt me voir. Il me poussa dans le sens inverse de notre direction, comme s'il voulait me ramener en ville, c'était à ni rien comprendre. Il me regardait, me dévisageant. Mais qu'avait-il en tête bon sang?!
Kylian - on vas faire ce que tu as faire, mais d'abord, comment tu t'appelle ? Parce que tu connais mon nom mais je ne connais pas ton nom.
Enfin, une parole sensée émanant de lui! Il allait me ramener en ville! Heureusement pour moi, je pourrai réaliser ma petite vente, faire marcher mon petit commerce. Il voulait un nom, mais comment pouvait-il savoir si je lui disais la vérité? De toute fessons, je ne suis pas comme ça.
Tyover - Je m'appelle Tyover.
Je ne voulais pas en dire plus, il ne m'en avait pas demandé plus non plus d'ailleurs. Cela m'arrangeait, je n'avais pas envie de discuter avec lui pour le moment. On arrivait dans le centre-ville. Je me sentais déjà un peu plus à l'aise en ville, même si les liens qui m'empêchaient de me mouvoir étaient toujours présents. Kylian me stoppa net dans mon élan, puis il prit par le menton pour que je puisse le regarder droit dans les yeux. Il me faisait penser à une véritable brute, mais son regard inébranlable me montrait à quel point il était sérieux.
Kylian - Bon écoute, je vais être sympa avec toi ok ? On se fait une promesse mutuelle si tu es d'accord, je te libère des liens et je te garde à l'œil pendant que tu fais ce que tu as à faire, à condition que toi tu me suive à mon refuge par la suite. On doit parler de quelque chose, Il se rapprocha de mon oreille pour me murmurer, de pas très correct, je te payerais bien.
Sympa? Il appelait ça sympa? Il m'espionnerait pendant que je marchanderai avec le vendeur du bazar? Tant qu'il ne s'improvisait pas et n'intervenait pas dans la discussion. Il me proposait maintenant un marché, une fois mon commerce terminé, je reviendrai vers lui pour que je le suive dans un refuge. Un refuge? Mais pourquoi voulait-il que je le suive dans un endroit pareil, ma race n'est pas en voie d'extinction, enfin je crois, et puis même, la n'étais pas la question! Je sentis la lame dans mon dos, prêt à me libérer si ma réponse était positive.
Tyover - Hmm ... je réfléchissais un instant. C'est entendu. Je fis un léger sourire, imaginant la récompense. A condition que vous n'intervenez en aucun cas dans mes affaires, que vous les jugiez bonne ou mauvaise, cela reste mes affaires. Je le regardais du plus sérieux que je pouvais. Ensuite, je vous suivrais ou bon vous semblera.
J'attendais la réponse de mon interlocuteur. Allait-il vraiment me libérer? Surtout que, même si je ne connaissais pas la ville par cœur, je ne ferais pas la même erreur deux fois de suite, si je devais m'enfuir. S'il acceptait, je me rendrais directement au bazar, j'avais attendu assez de temps comme ça. Il était temps que ce bêta de marchand m'achète à un prix déraisonnable ma carriole fraîchement volé.
Kylian - on vas faire ce que tu as faire, mais d'abord, comment tu t'appelle ? Parce que tu connais mon nom mais je ne connais pas ton nom.
Enfin, une parole sensée émanant de lui! Il allait me ramener en ville! Heureusement pour moi, je pourrai réaliser ma petite vente, faire marcher mon petit commerce. Il voulait un nom, mais comment pouvait-il savoir si je lui disais la vérité? De toute fessons, je ne suis pas comme ça.
Tyover - Je m'appelle Tyover.
Je ne voulais pas en dire plus, il ne m'en avait pas demandé plus non plus d'ailleurs. Cela m'arrangeait, je n'avais pas envie de discuter avec lui pour le moment. On arrivait dans le centre-ville. Je me sentais déjà un peu plus à l'aise en ville, même si les liens qui m'empêchaient de me mouvoir étaient toujours présents. Kylian me stoppa net dans mon élan, puis il prit par le menton pour que je puisse le regarder droit dans les yeux. Il me faisait penser à une véritable brute, mais son regard inébranlable me montrait à quel point il était sérieux.
Kylian - Bon écoute, je vais être sympa avec toi ok ? On se fait une promesse mutuelle si tu es d'accord, je te libère des liens et je te garde à l'œil pendant que tu fais ce que tu as à faire, à condition que toi tu me suive à mon refuge par la suite. On doit parler de quelque chose, Il se rapprocha de mon oreille pour me murmurer, de pas très correct, je te payerais bien.
Sympa? Il appelait ça sympa? Il m'espionnerait pendant que je marchanderai avec le vendeur du bazar? Tant qu'il ne s'improvisait pas et n'intervenait pas dans la discussion. Il me proposait maintenant un marché, une fois mon commerce terminé, je reviendrai vers lui pour que je le suive dans un refuge. Un refuge? Mais pourquoi voulait-il que je le suive dans un endroit pareil, ma race n'est pas en voie d'extinction, enfin je crois, et puis même, la n'étais pas la question! Je sentis la lame dans mon dos, prêt à me libérer si ma réponse était positive.
Tyover - Hmm ... je réfléchissais un instant. C'est entendu. Je fis un léger sourire, imaginant la récompense. A condition que vous n'intervenez en aucun cas dans mes affaires, que vous les jugiez bonne ou mauvaise, cela reste mes affaires. Je le regardais du plus sérieux que je pouvais. Ensuite, je vous suivrais ou bon vous semblera.
J'attendais la réponse de mon interlocuteur. Allait-il vraiment me libérer? Surtout que, même si je ne connaissais pas la ville par cœur, je ne ferais pas la même erreur deux fois de suite, si je devais m'enfuir. S'il acceptait, je me rendrais directement au bazar, j'avais attendu assez de temps comme ça. Il était temps que ce bêta de marchand m'achète à un prix déraisonnable ma carriole fraîchement volé.
Tyover- Bon
- Race : Tigrain Guépard
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
Quand Kylian entendit la réponse il sourit et coupe les liens et viens poser sa main sur son épaule. IL était content qu'il accepte, même si il sait qu'il voudra un jour ou l'autre partir, mais bon. Kylian n'est pas un soldat qui est la pour punir le vol ou autre délit dans la ville, ce serais à Tyover de décider de son propre déstin, si il veut s'enfuir soit, mais il perdra une occasion de gagner de quoi vivre pour pas mal de temps. Il retourne à l'endroit où veut aller Tyover, pour montrer sa bonne foi, il reste en dehors mais toujours un oeil sur le tigrain. Mais comme il pense dans sa tête, libre à lui de choisir sa voie, tout dépend de ce tigrain.
Kylian attendait tranquillement, quand soudain, il entendit un cri de peur venant de la sortie de la ville, un cheval hurle de peur et une voix de petite fille hurle des "lachez moi". Kylian s'approche du tigrain pour lui expliquer qu'il revient rapidement et si il le voit pas, qu'il attende à la sortie de la ville. Il cours stresser et paniquer à cette sortie et voit deux hommes qui ont une allure de noble prendre et attacher GInette.
Homme 1 : Et aller, une esclave en plus.
Homme 2: en ce moment c'est comme des fleurs, il y en a partout.
Kylian regarde les environs, et vit le mage au sol, inconscient. Kylian n'a pas le choix, pas de stratégie, on fonce dans le tas comme à l'habitude. Il se soulève et tire son épée, les deux hommes voient le colosse de loin, ne prenant pas peur ils sifflent et des guerriers encercle Kylian, c'était une embuscade. GInette se débat en pleurant de peur, L'homme qui la tenait mis une dague à sa gorge, prêt à la tuer si nécessaire.
Homme 1 : Tu sais Kylian, on à eu beaucoup de mal à te trouver.
Homme 2: Ho que oui, heureusement qu'on à un bon espion.
Kylian grognait, toujours l'épée en main prêt à réagir si on l'attaque.
Kylian : Ne faites rien de mal à cette fille ! Elle vous à rien fait. Tuez moi si vous le voulez, pour que tout ça se finisse, tuez moi maintenant !! Et laissez la partir.
Des gardes de la ville viennent et quand ils voient les deux hommes, ils font marche arrière et font comme si il ne se passe rien.
L'homme qui est à coté de celui qui tient la petite avance vers Kylian avec un poignard dans la main, Ginette hurle en suppliant l'homme de l'épargner, elle pleurait, son cri était si déchirant qu'une larme coule de la joue du chevalier. Il laisse son épée tomber sous un bruit mât et métallique. Il se met à genoux, sentant que la fin est proche.
Homme 2: On vas enfin venger Raphaël, notre frère que tu as tuer, et puis après on iras voir l'Orc qui t'a aidé pour le tuer.
Cette phrase fait rire Kylian, si il était là, Breming aurais tout détruit, et puis il se rappelle de la tête de Raphaël, suppliant tête contre le sol et à genoux de ne pas le tuer. Peu importe, Kylian à pu venger sa famille du meurtre que ce dernier à commis.
Kylian : Vous savez, je n'ai rien contre vous, votre frère à tuer ma famille, donc je me suis venger, comme vous vous venger que je l'ai tué, c'est comme ça, c'est instinctif. Si vous décidez de me tuer, alors ayez les couilles de le faire, mais sachez une chose, ma pensé et ma foi ne partirons jamais, car j'ai de quoi sauver les races que vous voulez tellement voir souffrir, je suis un protecteur, j'ai voué ma vie à protéger des gens contre de l'argent, je prend ma retraite, je finit ma vie heureux d'avoir accomplit ce que j'ai rêver. Vous pouvez me tuer, mais les races que je suis en train de sauver, vous venir vous chasser et vous chercher pour me venger. Des assassins viendront vous ôter la vie pendant que vous dormez, des voleur pilleront tout les trésor que vous avez voler.
Pendant que Kylian était toujours à genoux, des soldat retirent son armure pour le laisser en chemise, puis l'homme devant lui lui mit un coup de genoux au visage qui le fait saigner du nez et le fait tomber sur le dos. L'homme prend le poignard et le pointe au torse de Kylian, il appuie doucement sur lui, ouvrant sa peau, Kylian hurle de douleur puis l'homme fit des petit accoue non mortel, juste pour que la lame le blesse et le fait souffrir. Kylian se débat et puis d'un coup sec, il planta la lame droit dans le ventre de Kylian. Kylian fit des gros yeux et arrête de bouger. L'homme et sa troupe se prépare à partir tandis que Ginette se libère pour se jetter sur Kylian qui tremble de douleur, elle pleure sur son corps tandis qu'un guerrier viens la chercher en lui donnant un coup de pommeau de son épée sur la tête de la petite qui tombe dans les pommes.
Homme 1 : Prenez son armure et son épée, il ne seras plus d'aucune utilité pour ce chien.
Les villageois sortent après le calme et certain courent voir Kylian, le femme brune au yeux vert arrive et voit la scène, elle court réveiller le mage qui se relève avec difficulté. Quand il voit le chevalier à terre, il pousse les gens pour être vers lui, il sait que la vie de Kylian est entre ses mains et ses capacité de le sauver. Les deux hommes s'enfuient avec la petite sédalienne. Quand au mage, il commence à sortir deux potions et des herbes médicinale. Ayant eu une pauvre expérience en médecine, le mage sait néanmoins les premier geste à faire en cas de blessures mortelle. Un mire arrive et vient aider le mage, ils retirent le poignard et le Mire panse et la blessure et vas voir le forgeron pour emprunté un bout de fer brûlant, il la passe dans la blessure et arrive à soigner l'hémorragie externe. Mais Kylian n'est pas encore sauvé, le mage et quelque hommes le soulève pour l'emmené dans le logement du Mire, il passe d'un coup le bras sur la table pour virer tout les document et les hommes posent Kylian sur la table. Le Mire envoie tout le monde dehors et s'occupe de soigner Kylian avec le mage.
La femme qui avait été victime du vol de Tyover était choquer et pleurait assise sur le sol. Même si Kylian n'était qu'une simple personne au yeux des autres villageois, pour elle, c'était un homme qui l'avais simplement aidé, ce qui n'a pas grande différence mais pour la femme, elle n'avais jamais eu l'habitude de voir une scène aussi violente que ça dans sa vie. Elle se relève et rentre chez elle, comme tout les autre villageois font.
Quand à Ginette, son sort est au mains des deux hommes nobles et pour Kylian, au sort des deux hommes qui le soigne.
Kylian attendait tranquillement, quand soudain, il entendit un cri de peur venant de la sortie de la ville, un cheval hurle de peur et une voix de petite fille hurle des "lachez moi". Kylian s'approche du tigrain pour lui expliquer qu'il revient rapidement et si il le voit pas, qu'il attende à la sortie de la ville. Il cours stresser et paniquer à cette sortie et voit deux hommes qui ont une allure de noble prendre et attacher GInette.
Homme 1 : Et aller, une esclave en plus.
Homme 2: en ce moment c'est comme des fleurs, il y en a partout.
Kylian regarde les environs, et vit le mage au sol, inconscient. Kylian n'a pas le choix, pas de stratégie, on fonce dans le tas comme à l'habitude. Il se soulève et tire son épée, les deux hommes voient le colosse de loin, ne prenant pas peur ils sifflent et des guerriers encercle Kylian, c'était une embuscade. GInette se débat en pleurant de peur, L'homme qui la tenait mis une dague à sa gorge, prêt à la tuer si nécessaire.
Homme 1 : Tu sais Kylian, on à eu beaucoup de mal à te trouver.
Homme 2: Ho que oui, heureusement qu'on à un bon espion.
Kylian grognait, toujours l'épée en main prêt à réagir si on l'attaque.
Kylian : Ne faites rien de mal à cette fille ! Elle vous à rien fait. Tuez moi si vous le voulez, pour que tout ça se finisse, tuez moi maintenant !! Et laissez la partir.
Des gardes de la ville viennent et quand ils voient les deux hommes, ils font marche arrière et font comme si il ne se passe rien.
L'homme qui est à coté de celui qui tient la petite avance vers Kylian avec un poignard dans la main, Ginette hurle en suppliant l'homme de l'épargner, elle pleurait, son cri était si déchirant qu'une larme coule de la joue du chevalier. Il laisse son épée tomber sous un bruit mât et métallique. Il se met à genoux, sentant que la fin est proche.
Homme 2: On vas enfin venger Raphaël, notre frère que tu as tuer, et puis après on iras voir l'Orc qui t'a aidé pour le tuer.
Cette phrase fait rire Kylian, si il était là, Breming aurais tout détruit, et puis il se rappelle de la tête de Raphaël, suppliant tête contre le sol et à genoux de ne pas le tuer. Peu importe, Kylian à pu venger sa famille du meurtre que ce dernier à commis.
Kylian : Vous savez, je n'ai rien contre vous, votre frère à tuer ma famille, donc je me suis venger, comme vous vous venger que je l'ai tué, c'est comme ça, c'est instinctif. Si vous décidez de me tuer, alors ayez les couilles de le faire, mais sachez une chose, ma pensé et ma foi ne partirons jamais, car j'ai de quoi sauver les races que vous voulez tellement voir souffrir, je suis un protecteur, j'ai voué ma vie à protéger des gens contre de l'argent, je prend ma retraite, je finit ma vie heureux d'avoir accomplit ce que j'ai rêver. Vous pouvez me tuer, mais les races que je suis en train de sauver, vous venir vous chasser et vous chercher pour me venger. Des assassins viendront vous ôter la vie pendant que vous dormez, des voleur pilleront tout les trésor que vous avez voler.
Pendant que Kylian était toujours à genoux, des soldat retirent son armure pour le laisser en chemise, puis l'homme devant lui lui mit un coup de genoux au visage qui le fait saigner du nez et le fait tomber sur le dos. L'homme prend le poignard et le pointe au torse de Kylian, il appuie doucement sur lui, ouvrant sa peau, Kylian hurle de douleur puis l'homme fit des petit accoue non mortel, juste pour que la lame le blesse et le fait souffrir. Kylian se débat et puis d'un coup sec, il planta la lame droit dans le ventre de Kylian. Kylian fit des gros yeux et arrête de bouger. L'homme et sa troupe se prépare à partir tandis que Ginette se libère pour se jetter sur Kylian qui tremble de douleur, elle pleure sur son corps tandis qu'un guerrier viens la chercher en lui donnant un coup de pommeau de son épée sur la tête de la petite qui tombe dans les pommes.
Homme 1 : Prenez son armure et son épée, il ne seras plus d'aucune utilité pour ce chien.
Les villageois sortent après le calme et certain courent voir Kylian, le femme brune au yeux vert arrive et voit la scène, elle court réveiller le mage qui se relève avec difficulté. Quand il voit le chevalier à terre, il pousse les gens pour être vers lui, il sait que la vie de Kylian est entre ses mains et ses capacité de le sauver. Les deux hommes s'enfuient avec la petite sédalienne. Quand au mage, il commence à sortir deux potions et des herbes médicinale. Ayant eu une pauvre expérience en médecine, le mage sait néanmoins les premier geste à faire en cas de blessures mortelle. Un mire arrive et vient aider le mage, ils retirent le poignard et le Mire panse et la blessure et vas voir le forgeron pour emprunté un bout de fer brûlant, il la passe dans la blessure et arrive à soigner l'hémorragie externe. Mais Kylian n'est pas encore sauvé, le mage et quelque hommes le soulève pour l'emmené dans le logement du Mire, il passe d'un coup le bras sur la table pour virer tout les document et les hommes posent Kylian sur la table. Le Mire envoie tout le monde dehors et s'occupe de soigner Kylian avec le mage.
La femme qui avait été victime du vol de Tyover était choquer et pleurait assise sur le sol. Même si Kylian n'était qu'une simple personne au yeux des autres villageois, pour elle, c'était un homme qui l'avais simplement aidé, ce qui n'a pas grande différence mais pour la femme, elle n'avais jamais eu l'habitude de voir une scène aussi violente que ça dans sa vie. Elle se relève et rentre chez elle, comme tout les autre villageois font.
Quand à Ginette, son sort est au mains des deux hommes nobles et pour Kylian, au sort des deux hommes qui le soigne.
Kylian Kragan- Expert
- Race : Humain
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
En entendant ma réponse, Kylian me libéra de mes entraves et me tapa à l'épaule amicalement en guise de remerciement pour ma compréhension. En même temps, il me prend par les sentiments, une récompense dorée à souhait, qui refuserait? Je lui indiquais la direction du bazar et l'y emmenais. Comme convenu, il ne s'occupa pas de mes affaires, il restait près de l'entré, sentant son regard peser sur moi. Il ne me faisait pas confiance, quoi de plus normal après tout, j'avais volé une femme sous ses yeux, puis j'avais tenté de lui échapper. J'abordais le marchand du bazar. Apparemment, il venait tout juste de terminer de manger, il avait un morceau de salade coincé entre les dents.
Tyover- Bonjour noble marchand, avez-vous bien mangé?
Marchand du bazar - Très bien je vous remercie. Alors, me montriez-vous votre carriole? Je ne vous proposerais un prix qu'après l'avoir vu.
Tyover - Je comprends tout à fait. Il est normal que vous souhaitiez voir de vos propres yeux la marchandise. Je vous y conduis dans ce cas, cela ne vous posera pas de problème s'il y a de la clientèle à venir pendant votre absence? La carriole se trouve derrière l'écurie la plus proche.
Marchand du bazar - Ne vous inquiétez pas pour mon petit bazar, ma femme prendra le relais pendant ma petite sortie. Elle se débrouille plutôt bien vous savez.
Nous sortions tout juste du bazar que de violents cris vers la sortie de la ville retentirent. Surpris et inquiet, Kylian vînt vers moi, m'expliquant qu'il reviendrait vite et que, a pire des cas, le point de rendez-vous serait l'endroit même d'où venaient les cris. J'acceptais d'un léger signe de tête, n'étant pas très convaincu que ce soit le meilleur endroit pour se donner rencontre. S'il y avait eu des cris, c'est qu'il devait y avoir du grabuge, alors pourquoi ne voulait-il pas aller ailleurs que là où il y avait de forte chance d'avoir de la bagarre? Il partit précipitamment en direction de la grande porte de la ville.
Marchand du bazar - Et bien et bien! Il y a beaucoup d'agitation ces temps-ci! J'ai entendu dire qu'il y avait un voleur en ville et qu'il serait passé pas très loin de mon petit marché. J'espère que ce n'est pas lui qui est encore derrière tout ça! Qu'il soit arrêté et pendu ce saligaud!
Tyover - Oui, c'est bien dommage que notre grande ville soit sujette à ce genre de malfrat. Malheureusement l'écurie se trouve près de l'entré également. Vous souhaitez peut-être reporter à plus tard la visi... Il me coupa net.
Marchand du bazar - Non, aujourd'hui sa ira, ne vous en faite pas. Allons-y, que je puisse voir votre merveille.
Tyover- Comme bon vous semblera.
Après cet échange, je l'emmenai à l'écurie. Nous pouvions voir un amas de foule devant les portes de la ville. Je ne sais pas ce qu'il se tramait, mais j'avais un mauvais. Je continuais tout de même à amadouer ce pauvre coquebert, qu'il m'achète cette carriole. Nous arrivions près du chariot, il n'avait pas bougé d'un pouce, personne ne s'en était pris à celui-ci. Le marchand prit son temps pour analyser la carriole. Il faisait des tours et des tours tout autour de la charrette, monta dessus, puis monta à l'intérieur. J'avais pris soin de retirer l'emblème de Tacomnal, cela aurait été mal vu de la part du marchand. Cet emblème était remis aux grands de la ville, que ce soit des marchands, des guerriers ou autres, il représentait l'honneur et la fierté de la capitale de l'Ouest. Un tigrain comme moi nous pourrait pas posséder un tel présent, sinon il penserait que je l'aurai volé.
Marchand du bazar - Combien pensez-vous en tirez mon brave?
Tyover - Je me concentrais et réfléchissais. Hmmm ... j'aimerais en tirer 200 pièces d'or à débattre bien entendu.
Marchand du bazar - Je vous en propose 125.
Tyover - 175 pièces.
Marchand du bazar - 150 pièces et ce sera ma dernière offre.
Tyover - Et bien je vais accepter dans ce cas et pour 15 pièces en plus, je vous laisse mon cheval de trait que voici. Je lui présentais le cheval, tout blanc.
Marchand du bazar - Marché conclu! Je suis heureux d'avoir pu faire des affaires avec vous! Sur ce je vous remercie et vous souhaite une bonne continuation.
Sur ces mots il me remit une bourse en y ajoutant quelques pièces. Il avait sans doute prévu de m'acheter le tout à moins chère, mais j'avais réussi à prendre le dessus sur les négociations. Je m'inclinais pour le remercier. 165 pièce d'or, voilà qui remplissait bien ma petite bourse. Maintenant que mon petit commerce était terminé, je pouvais retourner voir Kylian au point de rendez-vous. Je me dirigeais maintenant vers les grandes portes, la foule était toujours présente, moins étouffante mais toujours là, autour de ... Kylian! Il était au sol, le sang se rependant tout autour de lui. Mais que c'était-il passé ici? La petite lézarde était à ses côtés, pleurant de tout son petit être. Je poussais les gens pour essayer de me rapprocher. J'arrivais tout juste à sortir de la foule que deux hommes venaient d'embarquer la petite ainsi que l'équipement de Kylian. Des pileurs! Bon, il est vrai que je suis comme eux, je vole pour vivre, mais jamais je ne m'abaisserais à kidnapper qui que ce soit! Je me précipitais auprès de Kylian, inconscient.
L'homme en toge blanche de tout à l'heure fit signe à tout le monde de s'écarter. Je regardais Kylian un instant puis, je me lançais à la poursuite des deux kidnappeurs. Kylian n'est peut-être pas en bonne santé pour le moment, mais je sais qu'il s'en sortirait. Il avait certainement vécu de pire situation, ce n'était pas quelques entailles qui allait le faire disparaître. Enfin je l'espérais. Je déposais ma petite bourse dans la main du blondin et la refermais. C'est que ça pèse son poids quand même. Je me sentais plus léger pour courir après les deux pilleurs.
Tyover- Bonjour noble marchand, avez-vous bien mangé?
Marchand du bazar - Très bien je vous remercie. Alors, me montriez-vous votre carriole? Je ne vous proposerais un prix qu'après l'avoir vu.
Tyover - Je comprends tout à fait. Il est normal que vous souhaitiez voir de vos propres yeux la marchandise. Je vous y conduis dans ce cas, cela ne vous posera pas de problème s'il y a de la clientèle à venir pendant votre absence? La carriole se trouve derrière l'écurie la plus proche.
Marchand du bazar - Ne vous inquiétez pas pour mon petit bazar, ma femme prendra le relais pendant ma petite sortie. Elle se débrouille plutôt bien vous savez.
Nous sortions tout juste du bazar que de violents cris vers la sortie de la ville retentirent. Surpris et inquiet, Kylian vînt vers moi, m'expliquant qu'il reviendrait vite et que, a pire des cas, le point de rendez-vous serait l'endroit même d'où venaient les cris. J'acceptais d'un léger signe de tête, n'étant pas très convaincu que ce soit le meilleur endroit pour se donner rencontre. S'il y avait eu des cris, c'est qu'il devait y avoir du grabuge, alors pourquoi ne voulait-il pas aller ailleurs que là où il y avait de forte chance d'avoir de la bagarre? Il partit précipitamment en direction de la grande porte de la ville.
Marchand du bazar - Et bien et bien! Il y a beaucoup d'agitation ces temps-ci! J'ai entendu dire qu'il y avait un voleur en ville et qu'il serait passé pas très loin de mon petit marché. J'espère que ce n'est pas lui qui est encore derrière tout ça! Qu'il soit arrêté et pendu ce saligaud!
Tyover - Oui, c'est bien dommage que notre grande ville soit sujette à ce genre de malfrat. Malheureusement l'écurie se trouve près de l'entré également. Vous souhaitez peut-être reporter à plus tard la visi... Il me coupa net.
Marchand du bazar - Non, aujourd'hui sa ira, ne vous en faite pas. Allons-y, que je puisse voir votre merveille.
Tyover- Comme bon vous semblera.
Après cet échange, je l'emmenai à l'écurie. Nous pouvions voir un amas de foule devant les portes de la ville. Je ne sais pas ce qu'il se tramait, mais j'avais un mauvais. Je continuais tout de même à amadouer ce pauvre coquebert, qu'il m'achète cette carriole. Nous arrivions près du chariot, il n'avait pas bougé d'un pouce, personne ne s'en était pris à celui-ci. Le marchand prit son temps pour analyser la carriole. Il faisait des tours et des tours tout autour de la charrette, monta dessus, puis monta à l'intérieur. J'avais pris soin de retirer l'emblème de Tacomnal, cela aurait été mal vu de la part du marchand. Cet emblème était remis aux grands de la ville, que ce soit des marchands, des guerriers ou autres, il représentait l'honneur et la fierté de la capitale de l'Ouest. Un tigrain comme moi nous pourrait pas posséder un tel présent, sinon il penserait que je l'aurai volé.
Marchand du bazar - Combien pensez-vous en tirez mon brave?
Tyover - Je me concentrais et réfléchissais. Hmmm ... j'aimerais en tirer 200 pièces d'or à débattre bien entendu.
Marchand du bazar - Je vous en propose 125.
Tyover - 175 pièces.
Marchand du bazar - 150 pièces et ce sera ma dernière offre.
Tyover - Et bien je vais accepter dans ce cas et pour 15 pièces en plus, je vous laisse mon cheval de trait que voici. Je lui présentais le cheval, tout blanc.
Marchand du bazar - Marché conclu! Je suis heureux d'avoir pu faire des affaires avec vous! Sur ce je vous remercie et vous souhaite une bonne continuation.
Sur ces mots il me remit une bourse en y ajoutant quelques pièces. Il avait sans doute prévu de m'acheter le tout à moins chère, mais j'avais réussi à prendre le dessus sur les négociations. Je m'inclinais pour le remercier. 165 pièce d'or, voilà qui remplissait bien ma petite bourse. Maintenant que mon petit commerce était terminé, je pouvais retourner voir Kylian au point de rendez-vous. Je me dirigeais maintenant vers les grandes portes, la foule était toujours présente, moins étouffante mais toujours là, autour de ... Kylian! Il était au sol, le sang se rependant tout autour de lui. Mais que c'était-il passé ici? La petite lézarde était à ses côtés, pleurant de tout son petit être. Je poussais les gens pour essayer de me rapprocher. J'arrivais tout juste à sortir de la foule que deux hommes venaient d'embarquer la petite ainsi que l'équipement de Kylian. Des pileurs! Bon, il est vrai que je suis comme eux, je vole pour vivre, mais jamais je ne m'abaisserais à kidnapper qui que ce soit! Je me précipitais auprès de Kylian, inconscient.
L'homme en toge blanche de tout à l'heure fit signe à tout le monde de s'écarter. Je regardais Kylian un instant puis, je me lançais à la poursuite des deux kidnappeurs. Kylian n'est peut-être pas en bonne santé pour le moment, mais je sais qu'il s'en sortirait. Il avait certainement vécu de pire situation, ce n'était pas quelques entailles qui allait le faire disparaître. Enfin je l'espérais. Je déposais ma petite bourse dans la main du blondin et la refermais. C'est que ça pèse son poids quand même. Je me sentais plus léger pour courir après les deux pilleurs.
Tyover- Bon
- Race : Tigrain Guépard
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
Chaque seconde était importante pour les deux hommes, la magie et la médecine pourra t'elle sauver le chevalier ? Pour le moment il est très loin de s'en sortir. Pour l'heure les deux hommes avec leurs petite armée de soldats et la petite fille qui traînait les pieds en pleurant sont tous partit vers le Nord. Les deux hommes se remémore la scène et riait quand ils arrivent au coup du poignard dans le ventre. Ce qu'ils ne savent pas encore c'est que le tigrain est proche d'eux. Un de gardes avait mis l'armure et pris l'épée de Kylian. Il fait des moulinets agile et rapide. Si Tyover aurais à se battre contre lui il aura aucune chance. Pour se qui est de l'organisation des troupes, deux soldat sont sur les coté, deux à l'arrière et deux devant. Les soldats sont assez relaxer car le danger est partit et vas bientôt mourir. Quand à GInette on lui a mis des gants spéciaux pour que son pouvoir ne peut pas être activé. Ginette veut à tout prix revoir son protecteur. Elle est très proche de lui, ce qui l'a un peu surpris au départ. Mais Ginette considère Kylian comme son père, elle à eu une seconde chance de sourire à la vie, si elle maitrise bien ses pouvoirs elle les metteras au service du bien. Tout comme Kylian. Qui se bat pour la raison et la justice.
Kylian Kragan- Expert
- Race : Humain
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
Je continuais à courir après Les deux kidnappeurs. En fait, ils n'étaient pas que deux, leurs collègues attendaient sagement dans les alentours, maintenant ils étaient tout un groupe, en formation tortue. Les deux pilleurs se trouvaient au centre avec la petite Femme-Lézarde et tout autour d'eux, comme pour protéger les quatre point cardinaux, deux hommes couvraient chaque direction. On aurait dit une forteresse humaine imprenable. Mais de part leur nombre, ils n'avaient aucune chance de me distancer, je les rattrapais donc sans problème. Le souci était tout autre, comment j'allais m'y prendre pour récupérer la gamine? Je ne pouvais pas demander l'aide de la garde, qui aurait cru un jeune Tigrain qui avait été accusé de vol un peu plus tôt? Il fallait que je me débrouille par mes propres moyens.
Plutôt que de les rattraper, je laissais une distance entre nous, d'une part pour ne pas qu'ils s'aperçoivent de ma présence et d'une autre part pour pouvoir mieux analyser la situation et ne pas risquer de me blesser ou de tenter quoi que ce soit d'inutile. Il fallait que je réfléchisse, mais rien ne me venait à l'esprit! Comment je pouvais sortir cette gamine de ce pétrin? Tout seul je n'avais absolument aucune chance. Je réfléchissais tout en suivant la troupe de voleurs à plus d'une centaine de mètres devant moi. J'avais un avantage, j'étais bien plus rapide et vif que tous ces humains, mais leur nombre ne me facilitait pas la tâche, si je me rapprochais de trop près, ils pouvaient très bien m'encercler ou me parer sans trop d'effort, surtout que je n'ai pas un physique bien trempé.
Je remarquais que la petiote avait ses mains cachés par des gants, ils devaient en avoir après ses pouvoirs de guérisseuse! Je comprenais mieux la situation, la poursuite prenait déjà une configuration bien différente. Si j'avais à secourir une gamine sans pouvoir, ses ravisseurs ne se soucieraient pas trop d'elle, mais là, il était clair qu'ils en avaient après ses pouvoirs, ce qui changeait la donne. La meilleure solution serait de les prendre par surprise, mais sans distraction pour les occuper je ne pouvais pas faire n'importe quoi. Nous étions sortis de la ville et, mis à part les quelques marchands et visiteur qui sortaient de la ville, j'étais certainement le seul à leur courir après. Ils n'avaient pas l'air de se sentir suivi puisqu'ils avançaient à faible allure.
Après les avoir suivis jusqu'au croisement de la route de Tacomnal en direction de Bustre, je m'arrêtais, les laissant s'éloigner à l'horizon. J'avais ma petite idée sur leur destination, ou plutôt sur le trajet qu'ils allaient suivre pendant quelques temps. Bien que je ne prenais pas en compte le rétablissement du blondin, nous avions encore toutes nos chances de récupérer la gamine. Bien sûr, tout ça n'était que pure hypothèse, je ne pouvais pas prédire tout ce qu'allait faire la troupe de pillard. Je fis demi-tour pour retrouver Kylian, pour le moment, le plus urgent était d'être auprès de lui.
J'arrivais de nouveau en ville, fatigué et sans la petite lézarde. Il n'y avait plus personne sur la place, ou plutôt, il n'y avait plus Kylian et l'homme en toge qui était auprès de lui. Ma bourse !! Ma vie était dans le creux de la main du blessé et je l'avais perdu, je parle du blessé. Je m'approchais du garde à l'entré de la ville pour l'interroger et lui demander ce qu'était advenu du grand guerrier aux cheveux blond. Il me répondit qu'ils étaient partis en direction du petit bourg à l'Ouest de la place, le guerrier était transporté par deux hommes et guider par une femme. Je le remerciais puis m'en allais vers le bourg qu'il m'avait montré du doigt. Petit à petit, en demandant par-ci par là la direction qu'ils avaient empruntée, je me retrouvais devant une maison, pas bien grande, mais assez décoré à l'extérieur par d'innombrable fleurs. J'entrais sans frapper, je n'avais pas pensé que je pouvais me tromper de maison. De toute manière, je n'eu pas le temps de réfléchir à la question puisque j'étais tombé nez à nez avec la femme à qui j'avais volé le collier un peu plus tôt. Elle qui m'avait violemment claqué d'un revers de main ma joue. Elle me regarda, l'air ahuri, dans l'encadrement de la porte.
Jeune femme - Que ... que faites-vous là? Sortez de chez moi, où je fais dépêcher la garde!
Tyover - Du calme, du calme! Je ne vous veux aucun mal! Même si mon geste un peu plus tôt pourrais laisser le doute sur mes paroles, je veux bien l'admettre. Mais je suis ici pour le blondin, je lui ai fait une promesse et je vais la tenir.
Sur ces mots, je m'avançais et contournais la jeune femme qui, visiblement, ne m'empêcha pas de passer. Le guerrier était allongé sur une table, d'un côté un magicien tendait ses mains au-dessus du guerrier sans doute pour le soigner, de l'autre un médecin qui devait apparemment nettoyer les plaies avec de l'alcool. Il était torse-nu montrant toutes ses cicatrices, toutes plus ou moins impressionnantes. Il y avait tout de même quatre grosses plaies vraiment très importantes au niveau de son ventre, elles avaient été cautérisées un peu plus tôt visiblement, les cicatrices étaient encore toutes rouges. Le mage me demanda de patienter dans la salle à côté pendant qu'ils le soignaient, il ne voulait pas qu'on les dérange. Je me rendis donc la pièce juste à côté, en compagnie de la jeune femme. Elle ne devait pas être rassuré de me savoir dans la même pièce qu'elle, mais c'était bien le cadet de mes soucis, j'espérais seulement que Kylian s'en sortirait, sinon comment allait-il me remettre ma petite récompense?
Plutôt que de les rattraper, je laissais une distance entre nous, d'une part pour ne pas qu'ils s'aperçoivent de ma présence et d'une autre part pour pouvoir mieux analyser la situation et ne pas risquer de me blesser ou de tenter quoi que ce soit d'inutile. Il fallait que je réfléchisse, mais rien ne me venait à l'esprit! Comment je pouvais sortir cette gamine de ce pétrin? Tout seul je n'avais absolument aucune chance. Je réfléchissais tout en suivant la troupe de voleurs à plus d'une centaine de mètres devant moi. J'avais un avantage, j'étais bien plus rapide et vif que tous ces humains, mais leur nombre ne me facilitait pas la tâche, si je me rapprochais de trop près, ils pouvaient très bien m'encercler ou me parer sans trop d'effort, surtout que je n'ai pas un physique bien trempé.
Je remarquais que la petiote avait ses mains cachés par des gants, ils devaient en avoir après ses pouvoirs de guérisseuse! Je comprenais mieux la situation, la poursuite prenait déjà une configuration bien différente. Si j'avais à secourir une gamine sans pouvoir, ses ravisseurs ne se soucieraient pas trop d'elle, mais là, il était clair qu'ils en avaient après ses pouvoirs, ce qui changeait la donne. La meilleure solution serait de les prendre par surprise, mais sans distraction pour les occuper je ne pouvais pas faire n'importe quoi. Nous étions sortis de la ville et, mis à part les quelques marchands et visiteur qui sortaient de la ville, j'étais certainement le seul à leur courir après. Ils n'avaient pas l'air de se sentir suivi puisqu'ils avançaient à faible allure.
Après les avoir suivis jusqu'au croisement de la route de Tacomnal en direction de Bustre, je m'arrêtais, les laissant s'éloigner à l'horizon. J'avais ma petite idée sur leur destination, ou plutôt sur le trajet qu'ils allaient suivre pendant quelques temps. Bien que je ne prenais pas en compte le rétablissement du blondin, nous avions encore toutes nos chances de récupérer la gamine. Bien sûr, tout ça n'était que pure hypothèse, je ne pouvais pas prédire tout ce qu'allait faire la troupe de pillard. Je fis demi-tour pour retrouver Kylian, pour le moment, le plus urgent était d'être auprès de lui.
J'arrivais de nouveau en ville, fatigué et sans la petite lézarde. Il n'y avait plus personne sur la place, ou plutôt, il n'y avait plus Kylian et l'homme en toge qui était auprès de lui. Ma bourse !! Ma vie était dans le creux de la main du blessé et je l'avais perdu, je parle du blessé. Je m'approchais du garde à l'entré de la ville pour l'interroger et lui demander ce qu'était advenu du grand guerrier aux cheveux blond. Il me répondit qu'ils étaient partis en direction du petit bourg à l'Ouest de la place, le guerrier était transporté par deux hommes et guider par une femme. Je le remerciais puis m'en allais vers le bourg qu'il m'avait montré du doigt. Petit à petit, en demandant par-ci par là la direction qu'ils avaient empruntée, je me retrouvais devant une maison, pas bien grande, mais assez décoré à l'extérieur par d'innombrable fleurs. J'entrais sans frapper, je n'avais pas pensé que je pouvais me tromper de maison. De toute manière, je n'eu pas le temps de réfléchir à la question puisque j'étais tombé nez à nez avec la femme à qui j'avais volé le collier un peu plus tôt. Elle qui m'avait violemment claqué d'un revers de main ma joue. Elle me regarda, l'air ahuri, dans l'encadrement de la porte.
Jeune femme - Que ... que faites-vous là? Sortez de chez moi, où je fais dépêcher la garde!
Tyover - Du calme, du calme! Je ne vous veux aucun mal! Même si mon geste un peu plus tôt pourrais laisser le doute sur mes paroles, je veux bien l'admettre. Mais je suis ici pour le blondin, je lui ai fait une promesse et je vais la tenir.
Sur ces mots, je m'avançais et contournais la jeune femme qui, visiblement, ne m'empêcha pas de passer. Le guerrier était allongé sur une table, d'un côté un magicien tendait ses mains au-dessus du guerrier sans doute pour le soigner, de l'autre un médecin qui devait apparemment nettoyer les plaies avec de l'alcool. Il était torse-nu montrant toutes ses cicatrices, toutes plus ou moins impressionnantes. Il y avait tout de même quatre grosses plaies vraiment très importantes au niveau de son ventre, elles avaient été cautérisées un peu plus tôt visiblement, les cicatrices étaient encore toutes rouges. Le mage me demanda de patienter dans la salle à côté pendant qu'ils le soignaient, il ne voulait pas qu'on les dérange. Je me rendis donc la pièce juste à côté, en compagnie de la jeune femme. Elle ne devait pas être rassuré de me savoir dans la même pièce qu'elle, mais c'était bien le cadet de mes soucis, j'espérais seulement que Kylian s'en sortirait, sinon comment allait-il me remettre ma petite récompense?
Tyover- Bon
- Race : Tigrain Guépard
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
Le jeune femme voulait aidé les deux personnes, mais quand elle vu le voleur entrer dans sa maison, elle ne fit pas très contente. Elle était prêt à appeler à l'aide, quand le tigrain lui dit qu'il ne faut pas s'inquiété et qu'il ne veut rien de mal, le jeune femme elle, reste douteuse. Elle fixait le sol et tenait dans ses main un collier, celui du blondin. Le symbole de ce collier est une tête de dragon, des narines duquel partent deux lignes onduleuses. On pouvait facilement (enfin, quelqu'un qui à un minimum de culture) deviner que c'était Ezor, en effet, ce dieu a la forme d'un dragon noir aux reflets lumineux dont le souffle fait naître ou guérir toute chose. certain lui donne un autre nom comme “Dieu-Dragon”. Son rôle est de produire de nouvelles âmes. Cependant, Ezor est contôlé par Silux afin de voir qu'Ezor n'engendre pas un surplus d'âmes et ne crée ainsi un déséquilibre. Le pouvoir d'Ezor se limite à l'âme car le pouvoir du corps est du domaine de Théno.
Quelque minutes, voir une petite heure a suffit pour que les deux hommes mettent en commun leurs connaissances et à sauver le chevalier. Le mage taché de sang vies voir les deux personnes, et est surtout étonné par voir le "prisonnier" de Kylian, il pensait qu'il allait prendre la fuite et qu'il n'allait jamais revenir. Le mage s'avance devant la femme et le tigrain.
Mage : Il se réveille tout doucement, vous pouvez aller le voir maintenant, à moins que vous ayez des "affaires" à prendre
D'un ton sarcastique, il dévisage le tigrain et puis le médecin de la ville sort faisant un au revoir au deux personnages. Quand à Kylian il se redresse déjà alors que le mage le remet sur le dos.
Kylian : Laissez moi me lever, je ne suis pas un bébé !
Le mage était un peu impréssioné de le vir rétablit assez vite, sauf qu'un vertige viens prendre le chevalier et lui fait perdre l'équilibre.
Mage : Vous devez rester assis car vous avez bea..
Kylian : Vous ne comprenez pas !!! J'ai perdu un être chère !!
Bousculant le mage, Kylian se revêtit de sa chemise rouge sang et sort de la maison. La femme lui tient fermement le bras.
Femme : Si, dans les moment à venir, vous vous sentez mieux, venez me rejoindre
Elle lui caresse doucement le torse, ce qui fait frémir Kylian, mais il n'en tient pas compte et sort quand même, le visage de la femme baissa d'émotion et elle soupire de tristesse.
Kylian : Tyover ! J'ai besoin de toi, en échange de t'a liberté et de tourner la page sur ce que tu as fait, j'ai besoin que tu m'aide à sauvé ma pupille.
Kylian cours à l'écurie avec le mage et ils retournent tout les deux à leurs chevaux. Kylian fait monter le tigrain à l'arrière du cheval, mais en montant, Kylian est pris d'un nouveau vertige. Le mage le regarde et le demande de ne pas forcer, si il vient à se battre, il pourras succomber à ses vertiges et surtout, les blessures pourront se réouvrir. Kylian hoche la tête de haut en bas pour dire qu'il à compris. Le mage et le chevalier partirent au galop dans le direction où partait les deux hommes et leurs petite armé. Les traces des chevaux se dirigent loin vers Gota'hac, là où est situé le refuge de Kylian, à la limite de la frontière de Tacomnal. Il tremble d'horreur si jamais ils viennent à arrivé trop tard. Tout ce qu'il veut c'est de sauver Ginette et son refuge qu'il à mis tant de temps à créer pour les gens en difficulté, un peu de personne bonne d'esprit peut faire du bien à Orcande, et Kylian veut en être le précurseur. Pour qu'au moins, on se souvienne des Kragan.
Kylian : M..Mon ventre
Il se le tient, une tache de sang imbibe le pansement. Le mage fit une demande d’arrêter la course, mais Kylian refuse. Kylian est prêt à donner sa vie pour sauver Ginette, on pouvait le voir dans son regard fixé à l'horizon et son envie de se battre revient avec le temps. En effet, même si il est une personne gentille, il aime bien se battre pour montrer qui à le plus d’expérience.
******************************************************
Le voyage dure des bonne heures, et Kylian arrive devant son refuge, deux murailles était devant lui, une grande porte en ois était fermé, Kylian se dit que si les hommes on finit par réussir, alors vaut mieux les prendre le lendemain matin, de plus, les chevaux sont énormément fatigué, Kylian regrette le départ de Fargot, assassiné, en plus le jour où il avait rencontrer une dryade de feu. Elle était si belle et si, brillante. Kylian sourit bêtement aux souvenirs quand le mage le fait revenir à la réalité. Les trois compagnons partent un peu plus loin pour ne pas se faire repérer. Ils n'allument pas de feu même si le mage en avait besoin pour le soigner, alors le mage fit des cercles sur ses mains et une toute petite boule de lumière éclaira faiblement le ventre du chevalier.
Quand au groupe, le vent frais faisait des petit accoue. Et puis il y eu un bruit, qui n'a pas été fait par le vent mais par une personne, elle tournait autour dans le plus grand des calme, mais assez pour montrer qu'elle est là. Et puis sans crier gare, une femme sortit des buissons, levant les mains mais une dague était sur sa manche, prête à la sortir si besoin.
Kylian : Julith...laisse les...Ils sont gentils
- Collier:
Quelque minutes, voir une petite heure a suffit pour que les deux hommes mettent en commun leurs connaissances et à sauver le chevalier. Le mage taché de sang vies voir les deux personnes, et est surtout étonné par voir le "prisonnier" de Kylian, il pensait qu'il allait prendre la fuite et qu'il n'allait jamais revenir. Le mage s'avance devant la femme et le tigrain.
Mage : Il se réveille tout doucement, vous pouvez aller le voir maintenant, à moins que vous ayez des "affaires" à prendre
D'un ton sarcastique, il dévisage le tigrain et puis le médecin de la ville sort faisant un au revoir au deux personnages. Quand à Kylian il se redresse déjà alors que le mage le remet sur le dos.
Kylian : Laissez moi me lever, je ne suis pas un bébé !
Le mage était un peu impréssioné de le vir rétablit assez vite, sauf qu'un vertige viens prendre le chevalier et lui fait perdre l'équilibre.
Mage : Vous devez rester assis car vous avez bea..
Kylian : Vous ne comprenez pas !!! J'ai perdu un être chère !!
Bousculant le mage, Kylian se revêtit de sa chemise rouge sang et sort de la maison. La femme lui tient fermement le bras.
Femme : Si, dans les moment à venir, vous vous sentez mieux, venez me rejoindre
Elle lui caresse doucement le torse, ce qui fait frémir Kylian, mais il n'en tient pas compte et sort quand même, le visage de la femme baissa d'émotion et elle soupire de tristesse.
Kylian : Tyover ! J'ai besoin de toi, en échange de t'a liberté et de tourner la page sur ce que tu as fait, j'ai besoin que tu m'aide à sauvé ma pupille.
Kylian cours à l'écurie avec le mage et ils retournent tout les deux à leurs chevaux. Kylian fait monter le tigrain à l'arrière du cheval, mais en montant, Kylian est pris d'un nouveau vertige. Le mage le regarde et le demande de ne pas forcer, si il vient à se battre, il pourras succomber à ses vertiges et surtout, les blessures pourront se réouvrir. Kylian hoche la tête de haut en bas pour dire qu'il à compris. Le mage et le chevalier partirent au galop dans le direction où partait les deux hommes et leurs petite armé. Les traces des chevaux se dirigent loin vers Gota'hac, là où est situé le refuge de Kylian, à la limite de la frontière de Tacomnal. Il tremble d'horreur si jamais ils viennent à arrivé trop tard. Tout ce qu'il veut c'est de sauver Ginette et son refuge qu'il à mis tant de temps à créer pour les gens en difficulté, un peu de personne bonne d'esprit peut faire du bien à Orcande, et Kylian veut en être le précurseur. Pour qu'au moins, on se souvienne des Kragan.
Kylian : M..Mon ventre
Il se le tient, une tache de sang imbibe le pansement. Le mage fit une demande d’arrêter la course, mais Kylian refuse. Kylian est prêt à donner sa vie pour sauver Ginette, on pouvait le voir dans son regard fixé à l'horizon et son envie de se battre revient avec le temps. En effet, même si il est une personne gentille, il aime bien se battre pour montrer qui à le plus d’expérience.
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Le voyage dure des bonne heures, et Kylian arrive devant son refuge, deux murailles était devant lui, une grande porte en ois était fermé, Kylian se dit que si les hommes on finit par réussir, alors vaut mieux les prendre le lendemain matin, de plus, les chevaux sont énormément fatigué, Kylian regrette le départ de Fargot, assassiné, en plus le jour où il avait rencontrer une dryade de feu. Elle était si belle et si, brillante. Kylian sourit bêtement aux souvenirs quand le mage le fait revenir à la réalité. Les trois compagnons partent un peu plus loin pour ne pas se faire repérer. Ils n'allument pas de feu même si le mage en avait besoin pour le soigner, alors le mage fit des cercles sur ses mains et une toute petite boule de lumière éclaira faiblement le ventre du chevalier.
Quand au groupe, le vent frais faisait des petit accoue. Et puis il y eu un bruit, qui n'a pas été fait par le vent mais par une personne, elle tournait autour dans le plus grand des calme, mais assez pour montrer qu'elle est là. Et puis sans crier gare, une femme sortit des buissons, levant les mains mais une dague était sur sa manche, prête à la sortir si besoin.
Kylian : Julith...laisse les...Ils sont gentils
Kylian Kragan- Expert
- Race : Humain
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
Qu'est ce que fait mon frère bon sang ? Il devait être arrivé avant la tomber de la nuit. J'entendis les portes se fermé et j'allais voir dans la cours pour saluer mon frère. Mais quand je vois plusieurs guerriers autour de deux hommes. Je me jetais dans l'ombre et sortit du refuge. Aller à l'assaut n'était pas l'acte le plus intelligent à faire. Alors je grimpait avec une grande facilité en dehors du refuge, en grimpant les mur. Il faudrait les refaire d'ailleurs, les trous dans les murs sont très utile pour y grimper.
Bon et bien maintenant, je suis en dehors du refuge. Je ressent quand même un truc pas net. Hum, c'est bien étrange. Décidant alors d'aller voir, je vois un homme en tenue de mage, je voit aussi un...chat ? Je ne sais pas ce que c'est et, je ne sais as. Secouant la tête je décide de tourner autour des deux personnes quand je vois qu'il y en a un troisième allonger sur le sol, je lève les mains mais avec une dague prête à la sortir si besoin et j'avance voir qui il est.
Kylian : Julith...laisse les...Ils sont gentils
Mon frère !! Mon coeur faillit de peu de se stopper sur le choc. Je me jetais à côté de lui en prenant sa tête pour le câliné. Depuis qu'il m'a trouvé avec un Orc, que j'en ai toujours peur, j'en fais des cauchemars en pensant à lui. Et là, j'y pense. Et merde, je vais encore mal dormir. Mais bon ! Le plus important c'est d'avoir retrouvé Kylian, je vit sa blessure et je ne suis pas très choquer, en même temps. Il en a l'habitude. Donc qu'est ce que je peut y faire ?
Je me tournais vers le tigrain et lui caresse le menton comme un chat.
Julith :mais qu'il est mignon ce petit chaton, ho qui c'est qui veut plein de caresse et de papouilles hein ?
Bon et bien maintenant, je suis en dehors du refuge. Je ressent quand même un truc pas net. Hum, c'est bien étrange. Décidant alors d'aller voir, je vois un homme en tenue de mage, je voit aussi un...chat ? Je ne sais pas ce que c'est et, je ne sais as. Secouant la tête je décide de tourner autour des deux personnes quand je vois qu'il y en a un troisième allonger sur le sol, je lève les mains mais avec une dague prête à la sortir si besoin et j'avance voir qui il est.
Kylian : Julith...laisse les...Ils sont gentils
Mon frère !! Mon coeur faillit de peu de se stopper sur le choc. Je me jetais à côté de lui en prenant sa tête pour le câliné. Depuis qu'il m'a trouvé avec un Orc, que j'en ai toujours peur, j'en fais des cauchemars en pensant à lui. Et là, j'y pense. Et merde, je vais encore mal dormir. Mais bon ! Le plus important c'est d'avoir retrouvé Kylian, je vit sa blessure et je ne suis pas très choquer, en même temps. Il en a l'habitude. Donc qu'est ce que je peut y faire ?
Je me tournais vers le tigrain et lui caresse le menton comme un chat.
Julith :mais qu'il est mignon ce petit chaton, ho qui c'est qui veut plein de caresse et de papouilles hein ?
Julith Kragan- Novice
- Race : Humain
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
Le temps filait lentement. J’essayais de m’occuper comme je pouvais, mais je savais pertinemment que la jeune femme gardait un œil sur moi. C’était compréhensible en même temps, qui ne serait pas sur sa défensive en étant devant le voleur qui avait dérobé un peu plutôt vos biens. Elle se rapprochait petit à petit du couteau à viande posé un peu plus loin sur l’étagère du fond, elle s’adossait conter le meuble juste à côté, en essayant d’avoir l’air le plus détendu possible. Mais je savais bien ce qu’elle avait en tête depuis le début, elle n’arrêtait pas de regarder le couteau depuis que j’étais rentré dans la pièce. Elle ressentait de la crainte et c’était tout à fait logique, alors pour détendre l’atmosphère, je tentais une approche la plus délicate possible.
Tyover – Je peux comprendre que vous ayez peur de moi. Je ne suis ni humain, ni honnête, mais je pense qu’a l’heure actuel, le mieux serait peut-être de se détendre. Je regardais la porte menant à la pièce d’à côté. J’ai prêté serment au chevalier allongé sur votre table de salon, je ne vous ferais rien de mal. Je lui faisais de petit geste pour lui faire comprendre de ce calmé. Alors s’il vous plaît, lâchez ce couteau avant que vous ne vous blessiez avec.
Le femme resserra sa main sur le couteau, puis le reposa, se dirigeant vers la fenêtre de la cuisine. Elle était dos à moi, elle tremblait, sa main droite n’arrêtait pas s’agiter comme ci celle-ci cherchais quelque chose à attraper. Après un bon moment passer à éplucher un bout de bois avec ma dague, l’homme en toge ouvra la porte et présenta brièvement l’état dans lequel était le colosse au mile cicatrice, tout en ajoutant une remarque m’étant dédié. J’aimerai bien lui découper les paupières à celui là. Puis mon regard descendit sur les taches rouge sur sa tunique. Le guerrier avait perdu beaucoup de sang, il lui faudrait plusieurs jours pour récupérer entièrement.
Finalement, contrairement à ce que je pensais, le blondin se leva, le mage tentant tant bien que mal de le recoucher en le résonnant éperdument. Le guerrier n’en fit qu’a sa tête, se rhabilla puis sorti de la maison, retenu au dernier moment par la jeune femme qui avait attendu près de la porte. Elle avait l’air de lui faire la cour, mais il l’ignora totalement ce qui me vola un petit sourire. Il sorti rapidement et je le suivais de prêt.
Kylian - Tyover ! J'ai besoin de toi, en échange de t'a liberté et de tourner la page sur ce que tu as fait, j'ai besoin que tu m'aide à sauvé ma pupille.
Il ne me laissa pas vraiment le temps de répondre à sa demande de toute manière. Nous nous dirigions vers l’écurie accompagnée de l’homme en toge. Je m’apprêtais à me diriger vers mon cheval de trait qui était juste à côté, mais en voyant les chevaux de ces messieurs, je me disais que prendre mon cheval ne ferait que rallonger notre trajet. Kylian me porta et me déposa sur à l’arrière de son destrier avant de monter dessus. En montant, il perdit légèrement l’équilibre, remettant en question une nouvelle fois son état de santé quant à la mission que nous nous étions fixé. L’homme en toge essaya de convaincre Kylian de ne pas trop forcer pour éviter de rouvrir les plaies ou pire, succomber de ces blessures. Le guerrier rassura le mage avant de signaler le départ de nos recherches.
Nous avions suivi la direction du Nord vers Azgalban en nous repérant via les traces des chevaux ennemis au sol. Les nombreuses secousses à répétition que subissait Kylian avec le galop du cheval suffirent à rouvrir les plaies de ce dernier, laissant apparaître quelques taches rouge. Mais je devinais que, même s’il avait été criblé de flèche, il aurait continué à se battre jusqu'à la fin, c’est pourquoi il ignora la demande du mage qui avait réagit à la vu du sang qui s’élargissait sur la chemise du guerrier.
Après plusieurs heures à remonter la piste des kidnappeurs, nous arrivâmes enfin au refuge que le blondinet m’avait tant parlé. Elle était protégée par 2 grandes murailles protégeant le cœur du refuge. Supposant que les pillards étaient passé par là, pour récupérer la gamine, il faudra agir discrètement, ça tombe bien, c’était mon rayon. Nous nous étions arrêtés aussi pour guérir comme l’on pouvait Kylian avec les soins du mage. Nous attendrions le lendemain matin pour agir, il était mieux ainsi selon le guerrier. Jusqu’à maintenant, je n’avais pas eu à faire grand-chose, plutôt à les suivre sans dire de mots, le plus discret possible.
Pendant que le colosse de muscle se faisait soigner, je comptais mes pièces dans ma bourse, une à une pour passer le temps, Bercé par la mélodie du vent qui s’engouffrait dans les arbres. Un bruit plus proche et plus direct se fit entendre également, comme un craquement de brindilles. Une personne sortie de l’ombre, le plus discrètement possible et se dirigea vers Kylian, soulevant légèrement sa tête. Ce la devait sans doute être une proche à Kylian, peut être sa femme ? En tout cas elle avait l’air de s’inquiéter pour lui. Moi se qui m’étonnai, c’était sa façon de se dissimuler puis d’apparaître comme une fleur comme elle l’avait fait un peu plus tôt.
Julith - Mais qu'il est mignon ce petit chaton, ho qui c'est qui veut plein de caresse et de papouilles hein ?
La femme me caressait au menton, comme ci j’étais un animal. Non, mais c’est dingue ça ! Je n’avais rien de mander du tout, je ne voulais no de papouille, ni de caresse ! J’avais l’impression de redevenir un animal de compagnie, juste présent pour les câlins et les moments de solitude. Sauf que je n’étais pas comme mes semblables Tigrains chats.
Tyover – Heu…Comment dire ? Heum…Pourriez-vous arrêter de me caresser ainsi, c’est très humiliant. Et puis je n’ai rien demandé. Je me tournais maintenant vers le blondin. Kylian ! Qui est cette jeune femme ? Une de vos connaissances ? Pourriez-vous lui dire d’arrêter.
Je m’écartais de la jeune femme d’un pas vif, mais gêné. Je n’avais pas du tout l’habitude de ce genre de comportement. Elle me faisait penser à la gamine lézard, elle avait réagit de la même manière en me voyant à l’auberge hier soir. De toute façon, s’il s’agissait bien d’une connaissance à Kylian et si je souhaitais toujours les accompagner au refuge pour récupérer ma petite récompense, il fallait que je m’adapte.
Tyover – Je peux comprendre que vous ayez peur de moi. Je ne suis ni humain, ni honnête, mais je pense qu’a l’heure actuel, le mieux serait peut-être de se détendre. Je regardais la porte menant à la pièce d’à côté. J’ai prêté serment au chevalier allongé sur votre table de salon, je ne vous ferais rien de mal. Je lui faisais de petit geste pour lui faire comprendre de ce calmé. Alors s’il vous plaît, lâchez ce couteau avant que vous ne vous blessiez avec.
Le femme resserra sa main sur le couteau, puis le reposa, se dirigeant vers la fenêtre de la cuisine. Elle était dos à moi, elle tremblait, sa main droite n’arrêtait pas s’agiter comme ci celle-ci cherchais quelque chose à attraper. Après un bon moment passer à éplucher un bout de bois avec ma dague, l’homme en toge ouvra la porte et présenta brièvement l’état dans lequel était le colosse au mile cicatrice, tout en ajoutant une remarque m’étant dédié. J’aimerai bien lui découper les paupières à celui là. Puis mon regard descendit sur les taches rouge sur sa tunique. Le guerrier avait perdu beaucoup de sang, il lui faudrait plusieurs jours pour récupérer entièrement.
Finalement, contrairement à ce que je pensais, le blondin se leva, le mage tentant tant bien que mal de le recoucher en le résonnant éperdument. Le guerrier n’en fit qu’a sa tête, se rhabilla puis sorti de la maison, retenu au dernier moment par la jeune femme qui avait attendu près de la porte. Elle avait l’air de lui faire la cour, mais il l’ignora totalement ce qui me vola un petit sourire. Il sorti rapidement et je le suivais de prêt.
Kylian - Tyover ! J'ai besoin de toi, en échange de t'a liberté et de tourner la page sur ce que tu as fait, j'ai besoin que tu m'aide à sauvé ma pupille.
Il ne me laissa pas vraiment le temps de répondre à sa demande de toute manière. Nous nous dirigions vers l’écurie accompagnée de l’homme en toge. Je m’apprêtais à me diriger vers mon cheval de trait qui était juste à côté, mais en voyant les chevaux de ces messieurs, je me disais que prendre mon cheval ne ferait que rallonger notre trajet. Kylian me porta et me déposa sur à l’arrière de son destrier avant de monter dessus. En montant, il perdit légèrement l’équilibre, remettant en question une nouvelle fois son état de santé quant à la mission que nous nous étions fixé. L’homme en toge essaya de convaincre Kylian de ne pas trop forcer pour éviter de rouvrir les plaies ou pire, succomber de ces blessures. Le guerrier rassura le mage avant de signaler le départ de nos recherches.
Nous avions suivi la direction du Nord vers Azgalban en nous repérant via les traces des chevaux ennemis au sol. Les nombreuses secousses à répétition que subissait Kylian avec le galop du cheval suffirent à rouvrir les plaies de ce dernier, laissant apparaître quelques taches rouge. Mais je devinais que, même s’il avait été criblé de flèche, il aurait continué à se battre jusqu'à la fin, c’est pourquoi il ignora la demande du mage qui avait réagit à la vu du sang qui s’élargissait sur la chemise du guerrier.
Après plusieurs heures à remonter la piste des kidnappeurs, nous arrivâmes enfin au refuge que le blondinet m’avait tant parlé. Elle était protégée par 2 grandes murailles protégeant le cœur du refuge. Supposant que les pillards étaient passé par là, pour récupérer la gamine, il faudra agir discrètement, ça tombe bien, c’était mon rayon. Nous nous étions arrêtés aussi pour guérir comme l’on pouvait Kylian avec les soins du mage. Nous attendrions le lendemain matin pour agir, il était mieux ainsi selon le guerrier. Jusqu’à maintenant, je n’avais pas eu à faire grand-chose, plutôt à les suivre sans dire de mots, le plus discret possible.
Pendant que le colosse de muscle se faisait soigner, je comptais mes pièces dans ma bourse, une à une pour passer le temps, Bercé par la mélodie du vent qui s’engouffrait dans les arbres. Un bruit plus proche et plus direct se fit entendre également, comme un craquement de brindilles. Une personne sortie de l’ombre, le plus discrètement possible et se dirigea vers Kylian, soulevant légèrement sa tête. Ce la devait sans doute être une proche à Kylian, peut être sa femme ? En tout cas elle avait l’air de s’inquiéter pour lui. Moi se qui m’étonnai, c’était sa façon de se dissimuler puis d’apparaître comme une fleur comme elle l’avait fait un peu plus tôt.
Julith - Mais qu'il est mignon ce petit chaton, ho qui c'est qui veut plein de caresse et de papouilles hein ?
La femme me caressait au menton, comme ci j’étais un animal. Non, mais c’est dingue ça ! Je n’avais rien de mander du tout, je ne voulais no de papouille, ni de caresse ! J’avais l’impression de redevenir un animal de compagnie, juste présent pour les câlins et les moments de solitude. Sauf que je n’étais pas comme mes semblables Tigrains chats.
Tyover – Heu…Comment dire ? Heum…Pourriez-vous arrêter de me caresser ainsi, c’est très humiliant. Et puis je n’ai rien demandé. Je me tournais maintenant vers le blondin. Kylian ! Qui est cette jeune femme ? Une de vos connaissances ? Pourriez-vous lui dire d’arrêter.
Je m’écartais de la jeune femme d’un pas vif, mais gêné. Je n’avais pas du tout l’habitude de ce genre de comportement. Elle me faisait penser à la gamine lézard, elle avait réagit de la même manière en me voyant à l’auberge hier soir. De toute façon, s’il s’agissait bien d’une connaissance à Kylian et si je souhaitais toujours les accompagner au refuge pour récupérer ma petite récompense, il fallait que je m’adapte.
Tyover- Bon
- Race : Tigrain Guépard
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
Kylian riait doucement pour ne pas appuyer sur sa blessure. Le mage ne regardait pas la scène car il était bien trop occupé de soigner le malheureux. Kylian demande à sa soeur de venir contre lui, elle se mit à genoux oubliant le tigrain et elle viens se coller à lui. Elle est mal de voir son frère souffrir. Mais elle ne le montre pas, trop fière d'elle et ne veut pas montrer facilement la journée. Julith expliqua aussi qu'elle a vu des personnes inconnu entrer dans le chateau mais ne sentant pas amical elle est sortie du château pour attendre. Elle fut quand même apaisée de voir son frère vivant, car elle s'était inquiété de ne pas l'avoir vu avant la nuit. Quand le mage refit à nouveau des soins grossier par manque de moyen et de temps, Kylian se redresse doucement se tenant sa blessure et il se lève en posant une main sur l'épaule de la femme pour se tenir.
Kylian : Tyover, je te présente Julith ma petite soeur. Elle est lié par la même histoire que moi. Un homme nous a voulu du mal mais je l'ai tuer, cependant j'ignorais qu'il avait deux frères, et maintenant ils veulent reprendre leurs bien.
Kylian prépare de quoi dormir, le mage conseilla de ne pas faire un feu pour ne pas alerter les gardes. Kylian choisit la discrétion, en faisant le moins de bruit possible, il s'allonge, sa soeur lui tient la tête et lui caresse les cheveux. Elle regarde d'un air joueur le tigrain. Mais Kylian avant de dormir avait expliquer que Tyover n'est pas un animal comme un chat ou un chien. Il ferme les yeux, bercer par le massage capillaire de sa soeur et s'endort sous le vent frais mais doux.
Kylian : Tyover, je te présente Julith ma petite soeur. Elle est lié par la même histoire que moi. Un homme nous a voulu du mal mais je l'ai tuer, cependant j'ignorais qu'il avait deux frères, et maintenant ils veulent reprendre leurs bien.
Kylian prépare de quoi dormir, le mage conseilla de ne pas faire un feu pour ne pas alerter les gardes. Kylian choisit la discrétion, en faisant le moins de bruit possible, il s'allonge, sa soeur lui tient la tête et lui caresse les cheveux. Elle regarde d'un air joueur le tigrain. Mais Kylian avant de dormir avait expliquer que Tyover n'est pas un animal comme un chat ou un chien. Il ferme les yeux, bercer par le massage capillaire de sa soeur et s'endort sous le vent frais mais doux.
Kylian Kragan- Expert
- Race : Humain
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
Kylian riait se ma situation avec cette femme, comme si ça l'amusait de la voir jouer avec moi. Il esquissa d'ailleurs un léger rictus de douleur en riant. Le mage lui demanda de rester calme et de ne pas bouger, il essayait tant bien que mal à guérir ses plaies, mais si en plus il se mettait à les rouvrir toutes les dix minutes, il ne pourrait plus rien faire. Je trouvais d'ailleurs cela louche, il le "guérissait" toutes les dix minutes, mais est ce qu'il le guérissait vraiment, où est ce qu'il n'avait juste aucune compétence dans le domaine du soin? Oh et puis il avait sympathisé avec le blondin, cela voulait certainement dire qu'il était digne de confiance, et puis Kylian avait été grièvement blessé lors de l'attaque des bandits en ville. Même la garde Tacoman n'avait pas levé le petit doigt, tout ça parce qu'il s'agissait d'une "esclave" selon eux de part l'apparence de la gamine à la peau verte. C'est vraiment de la discrimination jusqu'à la moelle.
Kylian demanda à l'étrange femme de s'approcher près de lui. Je ne mettrais pas main à couper, mais j'étais persuadé que ces deux là était mari et femme, pourtant, dans leur comportement, l'un envers l'autre, on aurait dit qu'ils étaient un peu plus que ça. Elle se mit à lui parler à suffisamment fort pour que seul Kylian puisse l'entendre et moi non. Malheureusement, les gros chatons comme moi avions une audition bien meilleur que celle de vulgaire humain, du coup, j'entendis leur petite discussion. Elle expliquait au blondin que des personnes aux allures inquiétante étaient rentrés à l'intérieur du bâtiment. Probablement les hommes que nous recherchons, mais rien n'était moins sûr, elle n'avait pas mentionné la gamine lézarde ce qui laissait planer un léger doute. De toute façon, on en saurait plus demain matin lors de notre petite infiltration.
Le mage termina de recouvrir le ventre de Kylian de manière plus que douteuse. Il n'y avait là aucune logique à ce qu'il avait fait pour maintenir les bandages là où ils étaient. Lamentable. Même un gosse de huit ans pouvait très bien en faire autant. Même si le guerrier lui faisait confiance, moi, je le surveillais. Il n'avait pas agi une seule fois depuis notre rencontre avec les bandits, mis à part ses soins bâclé, ni même prononcé un mot concernant l'enlèvement ou l'opération de sauvetage pour la gamine. Kylian se releva tout doucement en s'aidant de l'épaule de sa 'compagne" puis il me présenta la jeune femme.
Kylian Kragan - Tyover, je te présente Julith ma petite sœur. Elle est lié par la même histoire que moi. Un homme nous a voulu du mal mais je l'ai tuer, cependant j'ignorais qu'il avait deux frères, et maintenant ils veulent reprendre leurs bien.
J'avais bien fait de ne pas mettre ma main à couper, il s'agissait donc de sa sœur, pourtant je ne voyais pas vraiment la ressemblance. Peut-être que celle-ci résidait dans leur comportement plutôt que dans leur ressemblance physique. D'ailleurs il n'y en avait pas, de ressemblance physique entre eux. Lui était grand, costaud et fort, alors qu'elle paraissait toute fine et maigrichonne. Elle n'avait pas l'air de porter d'arme sur elle, non, je retirais ce que je venais de dire, elle possédait une arbalète. Quand je disais qu'il n'y avait pas de ressemblance, l'un était guerrier et l'autre devait être archère ou rodeuse vue son accoutrement. Je reconnaissais tout de même qu'il avait un point commun, tout deux avait l'air de savoir se battre, ou du moins se défendre.
Le blondinet brossa le sol, comme s'il voulait balayer les saletés, puis il s'allongea, se préparant pour la nuit. Sa sœur n'avait pas bougé, elle lui caressait les cheveux tendrement. Je m'imaginais à sa place et un léger ronronnement s'échappa de mon fort intérieur. Je frappai légèrement mon ventre, comme pour le punir d'avoir fait ce bruit humiliant. Après cela, la jeune femme ne me verra plus que par un petit félin tout mignon tout plein. Je fis comme si de rien n'était puis, je me présentais à mon tour à la jeune femme.
Tyover - Je suis enchanté de faire votre connaissance, je me nomme Tyover, et j'accompagne votre frère pour une mission de sauvetage. Je lui souris pour faire bonne impression. Je ne sais pas s'il vous a mis au parfum, mais de vils bandits ont kidnappés une petite fille lézarde à qui Kylian tenait beaucoup. Nous avons donc fait le trajet depuis Tacomnal en les suivants jusqu'ici. Avez-vous des infos à propos des gens que vous avez aperçu un peu plus tôt?
J'espérais qu'elle veuille bien m'en dire un peu plus, pour que je puisse m'infiltrer pendant qu'ils dormiraient tous. Je préférai agir sel, par simple habitude. Je n'aimais pas que l'on me gène en traînant dans mes pieds. Le mage s'installa dans son coin, s'apprêtant également à dormir. Il n'y avait plus que moi et Julith, je n'aurai plus qu'à attendre que le sommeil vienne la cueillir, puis je m'en irais au château pour récupérer la gamine, comme ça, je repartirais le lendemain avec ma petite récompense et plus jamais je n'entendrai parler de ces humains qui vivent la main sur le cœur. Plus personne ne me traînerait n'importe où selon leur bon vouloir!
Kylian demanda à l'étrange femme de s'approcher près de lui. Je ne mettrais pas main à couper, mais j'étais persuadé que ces deux là était mari et femme, pourtant, dans leur comportement, l'un envers l'autre, on aurait dit qu'ils étaient un peu plus que ça. Elle se mit à lui parler à suffisamment fort pour que seul Kylian puisse l'entendre et moi non. Malheureusement, les gros chatons comme moi avions une audition bien meilleur que celle de vulgaire humain, du coup, j'entendis leur petite discussion. Elle expliquait au blondin que des personnes aux allures inquiétante étaient rentrés à l'intérieur du bâtiment. Probablement les hommes que nous recherchons, mais rien n'était moins sûr, elle n'avait pas mentionné la gamine lézarde ce qui laissait planer un léger doute. De toute façon, on en saurait plus demain matin lors de notre petite infiltration.
Le mage termina de recouvrir le ventre de Kylian de manière plus que douteuse. Il n'y avait là aucune logique à ce qu'il avait fait pour maintenir les bandages là où ils étaient. Lamentable. Même un gosse de huit ans pouvait très bien en faire autant. Même si le guerrier lui faisait confiance, moi, je le surveillais. Il n'avait pas agi une seule fois depuis notre rencontre avec les bandits, mis à part ses soins bâclé, ni même prononcé un mot concernant l'enlèvement ou l'opération de sauvetage pour la gamine. Kylian se releva tout doucement en s'aidant de l'épaule de sa 'compagne" puis il me présenta la jeune femme.
Kylian Kragan - Tyover, je te présente Julith ma petite sœur. Elle est lié par la même histoire que moi. Un homme nous a voulu du mal mais je l'ai tuer, cependant j'ignorais qu'il avait deux frères, et maintenant ils veulent reprendre leurs bien.
J'avais bien fait de ne pas mettre ma main à couper, il s'agissait donc de sa sœur, pourtant je ne voyais pas vraiment la ressemblance. Peut-être que celle-ci résidait dans leur comportement plutôt que dans leur ressemblance physique. D'ailleurs il n'y en avait pas, de ressemblance physique entre eux. Lui était grand, costaud et fort, alors qu'elle paraissait toute fine et maigrichonne. Elle n'avait pas l'air de porter d'arme sur elle, non, je retirais ce que je venais de dire, elle possédait une arbalète. Quand je disais qu'il n'y avait pas de ressemblance, l'un était guerrier et l'autre devait être archère ou rodeuse vue son accoutrement. Je reconnaissais tout de même qu'il avait un point commun, tout deux avait l'air de savoir se battre, ou du moins se défendre.
Le blondinet brossa le sol, comme s'il voulait balayer les saletés, puis il s'allongea, se préparant pour la nuit. Sa sœur n'avait pas bougé, elle lui caressait les cheveux tendrement. Je m'imaginais à sa place et un léger ronronnement s'échappa de mon fort intérieur. Je frappai légèrement mon ventre, comme pour le punir d'avoir fait ce bruit humiliant. Après cela, la jeune femme ne me verra plus que par un petit félin tout mignon tout plein. Je fis comme si de rien n'était puis, je me présentais à mon tour à la jeune femme.
Tyover - Je suis enchanté de faire votre connaissance, je me nomme Tyover, et j'accompagne votre frère pour une mission de sauvetage. Je lui souris pour faire bonne impression. Je ne sais pas s'il vous a mis au parfum, mais de vils bandits ont kidnappés une petite fille lézarde à qui Kylian tenait beaucoup. Nous avons donc fait le trajet depuis Tacomnal en les suivants jusqu'ici. Avez-vous des infos à propos des gens que vous avez aperçu un peu plus tôt?
J'espérais qu'elle veuille bien m'en dire un peu plus, pour que je puisse m'infiltrer pendant qu'ils dormiraient tous. Je préférai agir sel, par simple habitude. Je n'aimais pas que l'on me gène en traînant dans mes pieds. Le mage s'installa dans son coin, s'apprêtant également à dormir. Il n'y avait plus que moi et Julith, je n'aurai plus qu'à attendre que le sommeil vienne la cueillir, puis je m'en irais au château pour récupérer la gamine, comme ça, je repartirais le lendemain avec ma petite récompense et plus jamais je n'entendrai parler de ces humains qui vivent la main sur le cœur. Plus personne ne me traînerait n'importe où selon leur bon vouloir!
Tyover- Bon
- Race : Tigrain Guépard
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
Je chantonnais doucement pour faire dormir mon frère, mais le mage lui étais trop fatigué alors il s'endort sur le coups de ma voix. Une fois que mon frère dormais je posais sa tête contre le sol et je me levais et regardais dans les yeux le tigrain qui ronronnait tout seul, je voyais bien son envie que je le câline la tête, je lui pose une mains sur son épaule et je le regarde d'un air calme et gentil, je lui caresse d'une manière douce et attentionné la tête derrière ses oreilles. Je lui souris toute contente car c'est aussi un geste que j'aime faire pour apaiser mon frère et sa fille lézard. Mince ! La petite, je l'avais oublier une seconde, c'est vrai qu'elle n'étais pas avec Kylian, pourtant il le n'a quitte jamais du regard. Alors les hommes qui sont veuille du mal à Kylian. Mais qui sont-ils ?
Julith : Je te remercie jeune tigrain. Mais sache que je vais y aller, je vais sauver Ginette pour mon frère, tu sais tuer ? Tu sais grimper au murs et te faire discret ? Tant mieux si tu peut car je vais avoir besoin d'aide.
Sans dire quelque chose en plus je prépare mon arbalète, et ma dague que j'avais accroché à ma botte gauche, très utile en cas de prise d'otage. Après, je trottinais doucement vers la muraille sans faire de bruit, le fait que la lune ne soit pas visible dans le ciel m'aidais énormément car au moins. Je ne suis pas visible, j'utilise ma dague pour grimper au mur. Ils sont tellement fragile qu'un bélier peut le détruire. Après une lutte contre la paroi fragilisé, j'arrive enfin à la muraille. J'entend le claquement d'un homme en armure lourde et une lumière arrivé, je me cache facilement contre la praoi, le vide me tend les bras. Je sent les vibrations et j'anticipe son prochain geste, touché ! j'ai planté ma dague dans son armure mais pas assez fort pour le blesser, ma dague coincé je tire pour l'enlever. Le garde se penche pour toucher son armure, ne m'ayant pas vu, je grimpe sur son dos et je le pousse à coup de pieds, il hurle de peur et s'écrase dans un fracas métallique sur le sol. Plus rien, le crâne brisé par un rocher il n'était plus vivant. Je marche sur la muraille et fis la même chose pour deux gardes en haut. Pour le bas, il me faudra de l'aide pour faire diversion. Je pris une torche et la faisant bouger de droite à gauche pour faire un signe que le tigrain peut venir.
Julith : Je te remercie jeune tigrain. Mais sache que je vais y aller, je vais sauver Ginette pour mon frère, tu sais tuer ? Tu sais grimper au murs et te faire discret ? Tant mieux si tu peut car je vais avoir besoin d'aide.
Sans dire quelque chose en plus je prépare mon arbalète, et ma dague que j'avais accroché à ma botte gauche, très utile en cas de prise d'otage. Après, je trottinais doucement vers la muraille sans faire de bruit, le fait que la lune ne soit pas visible dans le ciel m'aidais énormément car au moins. Je ne suis pas visible, j'utilise ma dague pour grimper au mur. Ils sont tellement fragile qu'un bélier peut le détruire. Après une lutte contre la paroi fragilisé, j'arrive enfin à la muraille. J'entend le claquement d'un homme en armure lourde et une lumière arrivé, je me cache facilement contre la praoi, le vide me tend les bras. Je sent les vibrations et j'anticipe son prochain geste, touché ! j'ai planté ma dague dans son armure mais pas assez fort pour le blesser, ma dague coincé je tire pour l'enlever. Le garde se penche pour toucher son armure, ne m'ayant pas vu, je grimpe sur son dos et je le pousse à coup de pieds, il hurle de peur et s'écrase dans un fracas métallique sur le sol. Plus rien, le crâne brisé par un rocher il n'était plus vivant. Je marche sur la muraille et fis la même chose pour deux gardes en haut. Pour le bas, il me faudra de l'aide pour faire diversion. Je pris une torche et la faisant bouger de droite à gauche pour faire un signe que le tigrain peut venir.
Julith Kragan- Novice
- Race : Humain
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
Il allait sans dire qu'ils avaient ce point commun tous les deux, Kylian et sa sœur ne laissaient jamais le temps à son interlocuteur de répondre pour passer à l'action. Elle s'empressa de se préparer à attaquer le château armé d'une dague ainsi que d'une arbalète. Elle se dirigeait maintenant vers le mur qui donnait accès au chemin de ronde, apparemment bien gardé, des lumières brillaient tout du long de la muraille. Je me re-concentrais sur Julith qui ... qui avait disparu. Elle avait beau paraître un peu nunuche, elle était tout de même sacrément douée pour se cacher et se faufiler n'importe où. Elle était aussi complètement fêlée ! La voilà qu'elle escaladait la paroi du mur, elle était presque arrivée en haut. Plus ça allait et plus je commençais à avoir peur d'elle, je n'étais vraiment pas rassuré d'avoir une femme aussi doué qu'elle à mes côtés, elle était entièrement imprévisible.
Un garde se rapprochait de sa position, bien qu'elle soit dissimulée, il était dangereux de rester dans une position d'impuissance comme celle-ci. Elle ne bougea plus pendant un instant, puis elle lança sa dague sur le garde. Celui-ci se mit à tourner dans tous les sens, cherchant son agresseur. Il n'eu pas le temps de le voir, Julith se précipita sur lui et se retrouva derrière lui pour lui asséner un coup de pied dans le dos. Le garde s'écrasa au sol, au pied du mur, la tête fendue en deux contre un rocher. Je me retins de vomir à la vue de cette scène peu ragoûtante. Je repris mes esprits en apercevant du coin de l'œil une lueur s'agiter au bout de la muraille. Julith avait éliminé tout les gardes positionné sur le chemin de ronde de la muraille. Elle voulait que je la rejoigne, mais comment voulait-elle que je monte en haut?
Il fallait que je réfléchisse à un moyen de monter là-haut sans difficulté. Je croyais apercevoir au bout de la muraille une corde, celle-ci montait jusqu'à une sorte de petite tour d'angle. Le bout de la corde était reliée à une sorte de grosse dalle de pierre au moins trois fois plus grosse que moi. L'autres bout était attachée à un petit arceau fixé au pied de la muraille. L'endroit était dissimulé derrière la broussaille, sûrement pour que ce ne soit pas vu par l'ennemi en cas d'attaque de la forteresse. Je me souviens avoir entendu parler de ça chez Yaly. Pendant la guerre, c'était le seul moyen de se ravitailler en vivre. Un garde descendait chercher de quoi nourrir les soldats en ce faisant passer pour un paysan, puis il attachait les caisses de nourriture au bout du fil à la place de l'arceau. Sous le poids de la dalle, la caisse remontait jusqu'en haut puisqu'elle était plus légère.
Hm ... cela me paraissait une bonne idée, peut fatiguante et très rapide. Je prenais un bout de la corde et l'enroulais autour de mon poing, puis je tranchai net la corde qui était reliée à l'arceau. En effet, c'était très rapide, même trop rapide. Je me retrouvais propulsé dans les airs en direction de la tour. J'avais omis un détail, le trou dans la tour pour faire rentrer les vivres n'était pas bien large, juste de quoi rentrer une caisse. J'étais peut-être suffisamment maigre pour passer, mais à cette vitesse, si je me loupais, cela me serait fatal et je ne le sentirais pas passer. Le trou se rapprochait de plus en plus vite, j'eu juste le temps de pousser légèrement sur mes pattes arrières pour me replacer dans l'axe du trou et d'un coup, je me retrouvais à l'intérieur de la tour. Je lâchais la corde rapidement, de peur qu'elle m'entraîne jusqu'au plafond. Je me frottais vivement la main, la force et la vitesse à laquelle j'avais été propulsé en hauteur me m'avait brûlé. Je regardais autour de moi un petit peu sonné, je n'avais pas encore repris entièrement mes esprits. Deux gardes me regardaient sans voix, ahuri sans doute par mon entré fracassante.
Tyover - Heu ... Bonjour, heu ... je suis désolé pour le monte-charge, je crois que je l'ai cassé. Promis je vous en rachèterais un autre. Je leur souriais d'un air des plus naturel.
Les deux gardes ne bougeaient pas, toujours stupéfaits de voir un tigrain apparaître sous leurs yeux comme par magie. Je profitais justement du fait qu'ils soient encore sous le choc pour les attaquer. Je me jetais sur le premier en lui assenant un coup de pied violent sur le thorax, le projetant contre le mur et, tout en me retournant progressivement, je piochais dans mon fourreau derrière mon dos et lançai ma dague sur le garde. Celle-ci vint se planter au niveau de sa pomme d'Adam. A cette distance, il n'y avait aucune chance que je loupe ma cible. Une fois le travail terminé, je me dirigeais vers la porte et la poussais tout en douceur pour me retrouver nez-à-nez avec Julith qui s'apprêtait à rentrer.
Tyover - Je ne t'ai pas trop fait attendre? Je lui souriais la main derrière la tête, l'air un peu bêta.
Un garde se rapprochait de sa position, bien qu'elle soit dissimulée, il était dangereux de rester dans une position d'impuissance comme celle-ci. Elle ne bougea plus pendant un instant, puis elle lança sa dague sur le garde. Celui-ci se mit à tourner dans tous les sens, cherchant son agresseur. Il n'eu pas le temps de le voir, Julith se précipita sur lui et se retrouva derrière lui pour lui asséner un coup de pied dans le dos. Le garde s'écrasa au sol, au pied du mur, la tête fendue en deux contre un rocher. Je me retins de vomir à la vue de cette scène peu ragoûtante. Je repris mes esprits en apercevant du coin de l'œil une lueur s'agiter au bout de la muraille. Julith avait éliminé tout les gardes positionné sur le chemin de ronde de la muraille. Elle voulait que je la rejoigne, mais comment voulait-elle que je monte en haut?
Il fallait que je réfléchisse à un moyen de monter là-haut sans difficulté. Je croyais apercevoir au bout de la muraille une corde, celle-ci montait jusqu'à une sorte de petite tour d'angle. Le bout de la corde était reliée à une sorte de grosse dalle de pierre au moins trois fois plus grosse que moi. L'autres bout était attachée à un petit arceau fixé au pied de la muraille. L'endroit était dissimulé derrière la broussaille, sûrement pour que ce ne soit pas vu par l'ennemi en cas d'attaque de la forteresse. Je me souviens avoir entendu parler de ça chez Yaly. Pendant la guerre, c'était le seul moyen de se ravitailler en vivre. Un garde descendait chercher de quoi nourrir les soldats en ce faisant passer pour un paysan, puis il attachait les caisses de nourriture au bout du fil à la place de l'arceau. Sous le poids de la dalle, la caisse remontait jusqu'en haut puisqu'elle était plus légère.
Hm ... cela me paraissait une bonne idée, peut fatiguante et très rapide. Je prenais un bout de la corde et l'enroulais autour de mon poing, puis je tranchai net la corde qui était reliée à l'arceau. En effet, c'était très rapide, même trop rapide. Je me retrouvais propulsé dans les airs en direction de la tour. J'avais omis un détail, le trou dans la tour pour faire rentrer les vivres n'était pas bien large, juste de quoi rentrer une caisse. J'étais peut-être suffisamment maigre pour passer, mais à cette vitesse, si je me loupais, cela me serait fatal et je ne le sentirais pas passer. Le trou se rapprochait de plus en plus vite, j'eu juste le temps de pousser légèrement sur mes pattes arrières pour me replacer dans l'axe du trou et d'un coup, je me retrouvais à l'intérieur de la tour. Je lâchais la corde rapidement, de peur qu'elle m'entraîne jusqu'au plafond. Je me frottais vivement la main, la force et la vitesse à laquelle j'avais été propulsé en hauteur me m'avait brûlé. Je regardais autour de moi un petit peu sonné, je n'avais pas encore repris entièrement mes esprits. Deux gardes me regardaient sans voix, ahuri sans doute par mon entré fracassante.
Tyover - Heu ... Bonjour, heu ... je suis désolé pour le monte-charge, je crois que je l'ai cassé. Promis je vous en rachèterais un autre. Je leur souriais d'un air des plus naturel.
Les deux gardes ne bougeaient pas, toujours stupéfaits de voir un tigrain apparaître sous leurs yeux comme par magie. Je profitais justement du fait qu'ils soient encore sous le choc pour les attaquer. Je me jetais sur le premier en lui assenant un coup de pied violent sur le thorax, le projetant contre le mur et, tout en me retournant progressivement, je piochais dans mon fourreau derrière mon dos et lançai ma dague sur le garde. Celle-ci vint se planter au niveau de sa pomme d'Adam. A cette distance, il n'y avait aucune chance que je loupe ma cible. Une fois le travail terminé, je me dirigeais vers la porte et la poussais tout en douceur pour me retrouver nez-à-nez avec Julith qui s'apprêtait à rentrer.
Tyover - Je ne t'ai pas trop fait attendre? Je lui souriais la main derrière la tête, l'air un peu bêta.
Tyover- Bon
- Race : Tigrain Guépard
Re: L'honorable aventurier et le subterfuge
J'avais tout vu, mais quel idiot il à casser quelque chose de précieux pour nous, dès qu'il arrive devant moi je le secoue en lui disant qu'il est un vrai crétin et qu'il doit réfléchir avant d'agir. Puis je le regarde et je lui dit que je plaisantais, je lui dit aussi que je préfère le voir vivant et une machine cassé que le voir mort. Je lui sourit et fait le repérage des lieux, la porte qui mène au donjon souterrain avec les prisons -que Kylian veut retirer les grilles et mettre des sac de couchage- était gardé par deux hommes, trois au sol faisait des rondes. Je le sent tellement que ça vas être dur.
Julith : Bon écoute moi Tyover, je vais faire diversion pendant que toi tu vas tuer les deux gardes de la porte d'accord ? Et, ce que je vais faire, tu ne dis rien à mon frère, il vas me tuer si il apprend ce que je vais faire. Je te fait confiance.
N'attendant pas sa réponse je bondit de la muraille et atterrit avec agilité sur de la paille, je me lève et me frotte, les trois garde se réunisse pour faire un rapport tandis que les deux autres regarde sur les coté et devant, j'attendais que les trois se rassemble et une fois ceci fait je m'avance vers eux d'un pas gracieux et sensuelle, je me baissait devant eux en les demandant de venir, ne pouvant pas résisté à une invitation d'une femme, ils marchent vers moi. J'étais très étonné car aucun des trois ne se demandait comme je suis arrivée ici, bah, ce sera tellement plaisant de les tuer quand Tyover s'occupera des deux.
Quand au trois gardes, je les caresse leurs torses et les embrassaient. J'espère que le tigrain prendra pas tout son temps parce qu'ils puent l'alcool, si le tigrain pense que je prend du plaisir à faire ça, il peut aller se faire voir. Je déteste ça mais il y avait que ça à faire vu l'urgence de la situation.
Julith : Bon écoute moi Tyover, je vais faire diversion pendant que toi tu vas tuer les deux gardes de la porte d'accord ? Et, ce que je vais faire, tu ne dis rien à mon frère, il vas me tuer si il apprend ce que je vais faire. Je te fait confiance.
N'attendant pas sa réponse je bondit de la muraille et atterrit avec agilité sur de la paille, je me lève et me frotte, les trois garde se réunisse pour faire un rapport tandis que les deux autres regarde sur les coté et devant, j'attendais que les trois se rassemble et une fois ceci fait je m'avance vers eux d'un pas gracieux et sensuelle, je me baissait devant eux en les demandant de venir, ne pouvant pas résisté à une invitation d'une femme, ils marchent vers moi. J'étais très étonné car aucun des trois ne se demandait comme je suis arrivée ici, bah, ce sera tellement plaisant de les tuer quand Tyover s'occupera des deux.
Quand au trois gardes, je les caresse leurs torses et les embrassaient. J'espère que le tigrain prendra pas tout son temps parce qu'ils puent l'alcool, si le tigrain pense que je prend du plaisir à faire ça, il peut aller se faire voir. Je déteste ça mais il y avait que ça à faire vu l'urgence de la situation.
Julith Kragan- Novice
- Race : Humain
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