Bazar de Telbara, tôt le matin
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Bazar de Telbara, tôt le matin
Le bazar de Telbara se présente habituellement sous son plus beau jour pour les habitants, ainsi que les visiteurs. En effet, un tel endroit à tout intérêt à avoir belle allure, sinon, les gens n’en serait-il pas moins enclin à venir marchander plusieurs variétés de biens, nourritures et autres objets utile pour la vie quotidienne? Quoi qu’il en soit, cet endroit où l’on pouvait voir un peu de toutes les races de la région, voir même d’ailleurs, n’était pas bondé d’individus comme il l’était habituellement. Possiblement pour la simple raison qu’il était encore tôt le matin, certains marchand venant tout juste d’arrivé à leurs lieux de travail; une préparation mentale commune pour passer la journée derrière des comptoirs, hélant les passant pour qu’ils viennent passer un coup d’œil à leur marchandise.
Zelethea, pendant un moment, resta sur place, observant le bazar depuis l’une des qui y menait. Ce spectacle matinal n’avait rien d’étranger pour la barde, qui voyait bien souvent ces même gens faisant les mêmes rituels matinaux. Il y avait quelque chose de rassurant dans cette routine. Un sentiment de sécurité peut-être… Mais, cette idée de partir vers l’extérieur de cette ville, ne viendrait-elle pas briser ce sentiment de sécurité? Sans aucuns doutes, Zelethea vivra un grand dépaysement, le moment où elle mettra les pieds dehors des murs.
Mais bon, de toute manière, ce n’était ni maintenant ni ici. Pour le moment, sans compagnons d’aventure, elle n’oserait pas. C’est donc avec entrain, s’aidant de sa canne même si pas réellement nécessaire, et sourire aux lèvres qu’elle quitta son ‘poste d’observation’ depuis la rue, et marcha dans le bazar jusqu’à ce qu’elle arrive devant son banc habituelle. Astrale ne put s’empêcher de passer d’une expression joyeuse, à une expression amusée lorsqu’elle s’y assise, déposant au passage l’étui de sa luth, ainsi que sa canne, les deux objets bien en dedans de sa portée de mains.
« Donné moi un peu de temps, et ce banc aura une décoloration sur son bois qui vas avoir la même forme que moi… » Dit-elle dans le vide, mais un marchand avoisinant eut un ricanement à cette remarque.
Elle offrit ce marchand un sourire en coin, avant d’extraire son instrument de son étui. Un peu de pratique, durant ce moment de tranquillité, ne fera pas de mal à personne. Ce pourquoi, après avoir vérifiée que le luth était bien accordé, elle commença à jouer. Les notes d’une mélodie lente s’élevaient depuis la caisse de l’instrument, les doigts de la barde travaillants les cordes en les pinçant. Étant donné qu’il était encore tôt, elle ne trouva pas l’envie de jouer quoi que ce soit de très entrainant; effectivement, le tout avait un air calme, détendu, de quoi relaxer les individus présentement dans les environs. Ou les agacé, s’ils n’aiment pas écouter ce genre de musique, bien entendu… Quoi qu’il fût raisonnablement difficile de ne pas apprécier la musique de l’artiste se nommant Astrale; bien qu’elle ne soit pas la meilleure des musiciennes des environs, elle avait du talent.
Levant les yeux de temps à autres, tout en continuant à jouer, elle zyeuta les passants, leur offrant un sourire si jamais ils croisaient son regard coloré.
Zelethea, pendant un moment, resta sur place, observant le bazar depuis l’une des qui y menait. Ce spectacle matinal n’avait rien d’étranger pour la barde, qui voyait bien souvent ces même gens faisant les mêmes rituels matinaux. Il y avait quelque chose de rassurant dans cette routine. Un sentiment de sécurité peut-être… Mais, cette idée de partir vers l’extérieur de cette ville, ne viendrait-elle pas briser ce sentiment de sécurité? Sans aucuns doutes, Zelethea vivra un grand dépaysement, le moment où elle mettra les pieds dehors des murs.
Mais bon, de toute manière, ce n’était ni maintenant ni ici. Pour le moment, sans compagnons d’aventure, elle n’oserait pas. C’est donc avec entrain, s’aidant de sa canne même si pas réellement nécessaire, et sourire aux lèvres qu’elle quitta son ‘poste d’observation’ depuis la rue, et marcha dans le bazar jusqu’à ce qu’elle arrive devant son banc habituelle. Astrale ne put s’empêcher de passer d’une expression joyeuse, à une expression amusée lorsqu’elle s’y assise, déposant au passage l’étui de sa luth, ainsi que sa canne, les deux objets bien en dedans de sa portée de mains.
« Donné moi un peu de temps, et ce banc aura une décoloration sur son bois qui vas avoir la même forme que moi… » Dit-elle dans le vide, mais un marchand avoisinant eut un ricanement à cette remarque.
Elle offrit ce marchand un sourire en coin, avant d’extraire son instrument de son étui. Un peu de pratique, durant ce moment de tranquillité, ne fera pas de mal à personne. Ce pourquoi, après avoir vérifiée que le luth était bien accordé, elle commença à jouer. Les notes d’une mélodie lente s’élevaient depuis la caisse de l’instrument, les doigts de la barde travaillants les cordes en les pinçant. Étant donné qu’il était encore tôt, elle ne trouva pas l’envie de jouer quoi que ce soit de très entrainant; effectivement, le tout avait un air calme, détendu, de quoi relaxer les individus présentement dans les environs. Ou les agacé, s’ils n’aiment pas écouter ce genre de musique, bien entendu… Quoi qu’il fût raisonnablement difficile de ne pas apprécier la musique de l’artiste se nommant Astrale; bien qu’elle ne soit pas la meilleure des musiciennes des environs, elle avait du talent.
Levant les yeux de temps à autres, tout en continuant à jouer, elle zyeuta les passants, leur offrant un sourire si jamais ils croisaient son regard coloré.
Zelethea- Novice
- Race : Humaine
Re: Bazar de Telbara, tôt le matin
Stepiled et Vlirm allaient de simples rencontres en simples rencontres depuis plusieurs mois. Ils avaient voyagé vers l'ouest, erré dans le Centre Historique, sans visiter de hameau halfelin – sans savoir en fait qu'ils en auraient eu la possibilité – puis étaient revenus dans le Royaume de Telbara, visitant parfois certains villages, dans lesquels parfois Vlirm avait pu entrer lui aussi quand il n'avait pas suscité trop de dégoût ni trop d'effroi. Toutes les rencontres qu'ils avaient faites n'avaient été qu'éphémères. Ils n'avaient jamais eu de compagnon stable pendant plus de deux jours. Cependant, leur amitié à eux, elle, n'avait fait que se renforcer. La présence de Vlirm avait quelque chose de lénitif. En même temps, durant tous ces mois, ils avaient aussi eu à faire face à des dangers, des monstres agressifs, animaux hostiles, bandits et autres. Ils s'étaient protégés l'un l'autre. Ils veillaient toujours l'un sur l'autre. Stepiled se rappelait sa rencontre avec Jawbol, l'ancien ami de Vlirm. Il comprenait parfaitement ce qui avait pu unir ces deux-là, car ce même lien se créait et se fortifiait entre Vlirm et Stepiled. Vlirm avait beau ne pas être doué de parole, il était le meilleur ami que Stepiled n'aurait jamais imaginé se faire en-dehors de sa famille.
Parfois, ils se séparaient, le temps de quelques jours. Comme cette fois où Stepiled revint à Telbara même, cette cité cosmopolite par laquelle il avait découvert le continent à son arrivée avec Isheb – en négligeant les quelques semaines passées à Spéropoleos. Justement, il se demanda si, en s'approchant de la Guilde des Guerriers, il aurait l'occasion de rendre visite à Isheb. Il voulait savoir si elle allait bien. Il voulait aussi lui présenter Vlirm. Il passa une première nuit dans une auberge tenue par un Minotaure. Il n'y avait que dans le Royaume de Telbara que l'on pouvait voir ça : un Minotaure aubergiste. Ca ne choquait personne ici, ni à Telbara la capitale, ni dans les autres villes et villages du royaume. Un Minotaure aubergiste, un Tigrain potier, ou un Centaure tanneur, c'était aussi anodin ici que de les voir esclaves dans les Royaumes d'Estandre et de Tacomnal.
Stepiled dormit relativement mal. Cette auberge était mal entretenue, les chambres puaient – les Humains s'en accomodaient sûrement très bien, mais pour une race à l'odorat très puissant comme les Xolons, c'était insupportable – et les rats couinaient au milieu de la nuit. Stepiled se leva avant l'aube et quitta l'établissement. Il marcha dans les rues pendant que le soleil se levait, et arriva très tôt sur une place du marché. Les étals se mettaient en place, les marchands aiguisaient leurs voix, prêts à répéter les mêmes boniments. Puis, une musique s'éleva dans l'air. Douce et fluide, elle avait quelque chose de beau. La musique n'était pas un art familier de Stepiled. Le Xolon marcha jusqu'à la musicienne de son pas lent.
C'était une Humaine. Elle faisait jouer ses doigts sur les cordes de son luth, produisant des sons harmonieux. Le Xolon se planta devant elle, l'écoutant jouer. Il dénotait de tous ces citadins, trop habitués à entendre de la musique pour accorder une importance particulière à une joueuse de rue. La musicienne avait en revanche toute l'attention du Xolon. Stepiled courba la trompe pour la renifler sans s'approcher. Il était comme fasciné par la musique. Il attendit que la musicienne s'arrête un instant de jouer pour lui dire :
STEPILED – C'est beau, ce que vous faites. Merci.
Parfois, ils se séparaient, le temps de quelques jours. Comme cette fois où Stepiled revint à Telbara même, cette cité cosmopolite par laquelle il avait découvert le continent à son arrivée avec Isheb – en négligeant les quelques semaines passées à Spéropoleos. Justement, il se demanda si, en s'approchant de la Guilde des Guerriers, il aurait l'occasion de rendre visite à Isheb. Il voulait savoir si elle allait bien. Il voulait aussi lui présenter Vlirm. Il passa une première nuit dans une auberge tenue par un Minotaure. Il n'y avait que dans le Royaume de Telbara que l'on pouvait voir ça : un Minotaure aubergiste. Ca ne choquait personne ici, ni à Telbara la capitale, ni dans les autres villes et villages du royaume. Un Minotaure aubergiste, un Tigrain potier, ou un Centaure tanneur, c'était aussi anodin ici que de les voir esclaves dans les Royaumes d'Estandre et de Tacomnal.
Stepiled dormit relativement mal. Cette auberge était mal entretenue, les chambres puaient – les Humains s'en accomodaient sûrement très bien, mais pour une race à l'odorat très puissant comme les Xolons, c'était insupportable – et les rats couinaient au milieu de la nuit. Stepiled se leva avant l'aube et quitta l'établissement. Il marcha dans les rues pendant que le soleil se levait, et arriva très tôt sur une place du marché. Les étals se mettaient en place, les marchands aiguisaient leurs voix, prêts à répéter les mêmes boniments. Puis, une musique s'éleva dans l'air. Douce et fluide, elle avait quelque chose de beau. La musique n'était pas un art familier de Stepiled. Le Xolon marcha jusqu'à la musicienne de son pas lent.
C'était une Humaine. Elle faisait jouer ses doigts sur les cordes de son luth, produisant des sons harmonieux. Le Xolon se planta devant elle, l'écoutant jouer. Il dénotait de tous ces citadins, trop habitués à entendre de la musique pour accorder une importance particulière à une joueuse de rue. La musicienne avait en revanche toute l'attention du Xolon. Stepiled courba la trompe pour la renifler sans s'approcher. Il était comme fasciné par la musique. Il attendit que la musicienne s'arrête un instant de jouer pour lui dire :
STEPILED – C'est beau, ce que vous faites. Merci.
Stepiled- (personnage abandonné)
- Race : Xolon
Re: Bazar de Telbara, tôt le matin
STEPILED – C'est beau, ce que vous faites. Merci.
Zelethea avait bien entendu remarquée le xolon qui s’était approché d’elle pour écouter sa musique. À ce moment-là, elle lui avait adressé un sourire, puis continuer à jouer… Du moins, pendant un instant. Étant donné que celui-ci ne se détourna pas après avoir écouté pendant quelques instants, elle finalisa sa mélodie en enchainant les notes, mais ralentissant jusqu’à ce que les dernières quelques notes en furent presque qu’imperceptible à l’oreille humaine.
Le remercîment du xolon ne la surprise pas d’un poil; mais son attention centrer sur elle, en revanche, la rendit plutôt curieuse en retour. Elle savait bien, de connaissance générale, que ces pachydermes humanoïdes étaient relativement nouveau en Orcande; elle en avait déjà rencontré, donc ne s’offusqua pas non-plus lorsqu’il la renifla de sa trompe, surtout parce que ce dernier avait eu la politesse de pas trop approcher son organe olfactif d’elle. L’odorat développé du xolon pourrait très certainement sentir les odeurs bien habituelles de la ville accroché à la musicienne, mais celle-ci devait très certainement s’être lavée dans les jours récents. Non parfumée d’une huile quelconque, c’était très probablement un luxe qu’elle ne se payait tout simplement pas.
« Il n’y a pas de quoi. J’apprécie l’appréciation de ma musique. » Décidant qu’il aurait été impolie de demander quelques pièces à quelqu’un qui n’en offrit pas de sa propre volonté, elle garda le silence sur ce sujet, mais continua de parler tout de même. « Il est rare que quiconque s’arrête pour m’écouter jouer si tôt le matin. Quoi que… J’ais plus de succès dans les auberges, de toutes manières. »
Consciente du fait que les xolons ne se serraient généralement pas la main, mais la trompe lors d’une bonne rencontre, elle ne lui offrit pas sa main. Au lieu de ça, elle se hissa de son banc pour une fois de plus être debout, puis effectua une petits révérence de politesse tout en prenant soin de garder son luth en mains.
« Bien heureuse de vous rencontrer! Je suis Astrale, la barde des étoiles. Mais puisque je ne pas sur scène présentement, vous pouvez aussi m’appeler Zelethea – il s’agit de mon vrai nom. Puis-je savoir le vôtre? »
Toujours avec le sourire, avec une petite qualité espiègle dans son expression, elle s’efforça d’être le plus aimable possible, tout en restant aux aguets à la possibilité de glisser une plaisanterie ou deux dans la conversation. Pour elle, être une artiste, cela ne voulait pas dire de seulement faire ce pourquoi on a du talent – mais aussi toujours essayer de montrer ses bons côtés.
Être sous son meilleur jour, voir même faire oublier aux autres leurs misères le moment d’un instant. Le xolon devant elle ne donnait pas particulièrement l’impression qu’il était malheureux, mais néanmoins, elle cherchait toujours à être le baume qui rendrait les journées des autres un peu plus plaisant. Si elle pouvait du même coup gagner quelques pièces, bien que pas nécessaire pour son désir de divertir, cela l’aiderait.
Zelethea avait bien entendu remarquée le xolon qui s’était approché d’elle pour écouter sa musique. À ce moment-là, elle lui avait adressé un sourire, puis continuer à jouer… Du moins, pendant un instant. Étant donné que celui-ci ne se détourna pas après avoir écouté pendant quelques instants, elle finalisa sa mélodie en enchainant les notes, mais ralentissant jusqu’à ce que les dernières quelques notes en furent presque qu’imperceptible à l’oreille humaine.
Le remercîment du xolon ne la surprise pas d’un poil; mais son attention centrer sur elle, en revanche, la rendit plutôt curieuse en retour. Elle savait bien, de connaissance générale, que ces pachydermes humanoïdes étaient relativement nouveau en Orcande; elle en avait déjà rencontré, donc ne s’offusqua pas non-plus lorsqu’il la renifla de sa trompe, surtout parce que ce dernier avait eu la politesse de pas trop approcher son organe olfactif d’elle. L’odorat développé du xolon pourrait très certainement sentir les odeurs bien habituelles de la ville accroché à la musicienne, mais celle-ci devait très certainement s’être lavée dans les jours récents. Non parfumée d’une huile quelconque, c’était très probablement un luxe qu’elle ne se payait tout simplement pas.
« Il n’y a pas de quoi. J’apprécie l’appréciation de ma musique. » Décidant qu’il aurait été impolie de demander quelques pièces à quelqu’un qui n’en offrit pas de sa propre volonté, elle garda le silence sur ce sujet, mais continua de parler tout de même. « Il est rare que quiconque s’arrête pour m’écouter jouer si tôt le matin. Quoi que… J’ais plus de succès dans les auberges, de toutes manières. »
Consciente du fait que les xolons ne se serraient généralement pas la main, mais la trompe lors d’une bonne rencontre, elle ne lui offrit pas sa main. Au lieu de ça, elle se hissa de son banc pour une fois de plus être debout, puis effectua une petits révérence de politesse tout en prenant soin de garder son luth en mains.
« Bien heureuse de vous rencontrer! Je suis Astrale, la barde des étoiles. Mais puisque je ne pas sur scène présentement, vous pouvez aussi m’appeler Zelethea – il s’agit de mon vrai nom. Puis-je savoir le vôtre? »
Toujours avec le sourire, avec une petite qualité espiègle dans son expression, elle s’efforça d’être le plus aimable possible, tout en restant aux aguets à la possibilité de glisser une plaisanterie ou deux dans la conversation. Pour elle, être une artiste, cela ne voulait pas dire de seulement faire ce pourquoi on a du talent – mais aussi toujours essayer de montrer ses bons côtés.
Être sous son meilleur jour, voir même faire oublier aux autres leurs misères le moment d’un instant. Le xolon devant elle ne donnait pas particulièrement l’impression qu’il était malheureux, mais néanmoins, elle cherchait toujours à être le baume qui rendrait les journées des autres un peu plus plaisant. Si elle pouvait du même coup gagner quelques pièces, bien que pas nécessaire pour son désir de divertir, cela l’aiderait.
Zelethea- Novice
- Race : Humaine
Re: Bazar de Telbara, tôt le matin
ZELETHEA – Il n'y a pas de quoi. J'apprécie l'appréciation de ma musique.
Evidemment la tournure de la phrase était un peu lourde – “apprécier l'appréciation” – à moins quece ne soit fait exprès, mais Stepiled n'était pas du genre à chipoter sur les mots, sur les tournures de phrases et sur la politesse. De plus, il ne maîtrisait pas tous les codes sociaux des villes, et cela ne se ressentait pas que dans sa façon de traiter les paroles de ses interlocuteurs. Par exemple, il ne lui vint même pas à l'idée de donner des pièces à la musicienne des rues. Non pas que Stepiled était avare. Rien à voir. Il n'était simplement pas familier avec ce concept de métier artistique, de donner des pièces à un saltimbanque pour le récompenser du divertissement et de son art. Il n'était pas encore tout à fait familier avec le concept de la monnaie, plus généralement. Il ne devinait pas que cette femme espérait le versement de quelques pièces. Et de toute façon, il n'avait gardé sur lui qu'à peine de quoi s'offrir un repas chaud dans une auberge.
ZELETHEA – Il est rare que quiconque s'arrête pour m'écouter jouer si tôt le matin. Quoique... j'ai plus de succès dans les auberges, de toute manière.
Les gens des villes sont des gens blasés, se dit Stepiled. Il offrit un sourire à la musicienne qui se leva de son banc pour saluer le Xolon d'une humble révérence.
ZELETHEA – Bien heureuse de vous rencontrer ! Je suis Astrale, la barde des étoiles. Mais puisque je ne suis pas sur scène présentement, vous pouvez aussi m'appeler Zelethea – il s'agit de mon vrai nom. Puis-je savoir le vôtre ?
Stepiled hocha la tête légèrement et lentement.
STEPILED – Stepiled. Enchanté de faire votre rencontre, Zelethea.
La musicienne gardait son luth en main.
STEPILED – Ainsi, vous jouez de votre instrument dans les rues et dans les auberges ? Ainsi se déroulent vos journées ?
Evidemment la tournure de la phrase était un peu lourde – “apprécier l'appréciation” – à moins quece ne soit fait exprès, mais Stepiled n'était pas du genre à chipoter sur les mots, sur les tournures de phrases et sur la politesse. De plus, il ne maîtrisait pas tous les codes sociaux des villes, et cela ne se ressentait pas que dans sa façon de traiter les paroles de ses interlocuteurs. Par exemple, il ne lui vint même pas à l'idée de donner des pièces à la musicienne des rues. Non pas que Stepiled était avare. Rien à voir. Il n'était simplement pas familier avec ce concept de métier artistique, de donner des pièces à un saltimbanque pour le récompenser du divertissement et de son art. Il n'était pas encore tout à fait familier avec le concept de la monnaie, plus généralement. Il ne devinait pas que cette femme espérait le versement de quelques pièces. Et de toute façon, il n'avait gardé sur lui qu'à peine de quoi s'offrir un repas chaud dans une auberge.
ZELETHEA – Il est rare que quiconque s'arrête pour m'écouter jouer si tôt le matin. Quoique... j'ai plus de succès dans les auberges, de toute manière.
Les gens des villes sont des gens blasés, se dit Stepiled. Il offrit un sourire à la musicienne qui se leva de son banc pour saluer le Xolon d'une humble révérence.
ZELETHEA – Bien heureuse de vous rencontrer ! Je suis Astrale, la barde des étoiles. Mais puisque je ne suis pas sur scène présentement, vous pouvez aussi m'appeler Zelethea – il s'agit de mon vrai nom. Puis-je savoir le vôtre ?
Stepiled hocha la tête légèrement et lentement.
STEPILED – Stepiled. Enchanté de faire votre rencontre, Zelethea.
La musicienne gardait son luth en main.
STEPILED – Ainsi, vous jouez de votre instrument dans les rues et dans les auberges ? Ainsi se déroulent vos journées ?
Stepiled- (personnage abandonné)
- Race : Xolon
Re: Bazar de Telbara, tôt le matin
STEPILED – Stepiled. Enchanté de faire votre rencontre, Zelethea.
Astrale n’eut aucune misère à percevoir le sourire du xolon; malgré le fais que son visage soit celui d’un éléphant. La vie dans la ville de Telbara avait après tout éduquée la barde aux sujets des autres races. Bien entendu, elle n’était aux faits de tous les us et coutumes de chacune des races présentes en Orcande, mais être capable de comprendre les expressions des autres et ce malgré la différente morphologie faciale, est définitivement un atout.
STEPILED – Ainsi, vous jouez de votre instrument dans les rues et dans les auberges ? Ainsi se déroulent vos journées ?
« Effectivement! » répondit-elle à la suite de ces paroles. « Originellement, j’étais luthière. La fabrication d’instruments à cordes est un art en soit, mais pour faire une histoire courte je n’aie plus accès à l’atelier où je travaillais. Néanmoins, j’ai beaucoup pratiqué le maniement de tels instrument – surtout les luths – durant ce temps, donc aujourd’hui je mets cette pratique a l’œuvres pour gagner de quoi vivre. »
Elle n’allait tout de même pas raconter sa vie dans tous les détails au premier xolon venu, et ne certainement pas révéler autant de détails durant ce moment qu’elle avait passé avec ce garde il y a de ça un petit moment déjà.
« Un jour, je suis certaine que je pourrai avoir mon propre atelier. Mais en attendant, c’est ce qui marque ma vie quotidienne. Sauf durant les occasions spécial lorsqu’un ou une noble m’engage pour allez jouer de ma musique, le temps d’une soirée. Mais ça, voyez-vous, c’est d’une rareté… Mais bon, je radote. Veuillez me pardonner! »
Un autre sourire, cette fois-ci portant une intention apologétique. Bien qu’elle ne le dise pas haut et fort, il était rare que des individus s’intéressent à elle, même si cela concernait plus sa carrière que sa propre personne. Bien entendu, la vie d’Asrale n’avait rien qui sortait réellement de l’ordinaire, mis à part le fait qu’elle avait pratiqué de la magie dans le plus grand des secrets. Du moins, avant c’était comme sa… Maintenant, de temps à autres, elle offrait ses soins à ceux qui en ont besoin le plus, gratuitement. Après tout, elle a connu ce que c’est de devoir vivre dans les rues. En échange de leurs silences et de quelques informations, bien entendu.
Mais, Zelethea s’arracha de ses pensés, et retourna son attention sur Stepiled, ce xolon aux bonnes manières devant elle. Pour ce dernier, la barde était restée silencieuse le moment de quelques secondes à peine avant de lui adresser la parole de nouveau. Cette fois-ci, par contre, c’était pour lui poser une question. Posant son poids sur sa jambe droite, toujours en maintenant son luth contre sa personne d’une manière tout à fait décontractée, elle lui dit…
« Puis-je vous retournez la question? De quelle manière se déroules vos journées, en règles générale? »
Astrale n’eut aucune misère à percevoir le sourire du xolon; malgré le fais que son visage soit celui d’un éléphant. La vie dans la ville de Telbara avait après tout éduquée la barde aux sujets des autres races. Bien entendu, elle n’était aux faits de tous les us et coutumes de chacune des races présentes en Orcande, mais être capable de comprendre les expressions des autres et ce malgré la différente morphologie faciale, est définitivement un atout.
STEPILED – Ainsi, vous jouez de votre instrument dans les rues et dans les auberges ? Ainsi se déroulent vos journées ?
« Effectivement! » répondit-elle à la suite de ces paroles. « Originellement, j’étais luthière. La fabrication d’instruments à cordes est un art en soit, mais pour faire une histoire courte je n’aie plus accès à l’atelier où je travaillais. Néanmoins, j’ai beaucoup pratiqué le maniement de tels instrument – surtout les luths – durant ce temps, donc aujourd’hui je mets cette pratique a l’œuvres pour gagner de quoi vivre. »
Elle n’allait tout de même pas raconter sa vie dans tous les détails au premier xolon venu, et ne certainement pas révéler autant de détails durant ce moment qu’elle avait passé avec ce garde il y a de ça un petit moment déjà.
« Un jour, je suis certaine que je pourrai avoir mon propre atelier. Mais en attendant, c’est ce qui marque ma vie quotidienne. Sauf durant les occasions spécial lorsqu’un ou une noble m’engage pour allez jouer de ma musique, le temps d’une soirée. Mais ça, voyez-vous, c’est d’une rareté… Mais bon, je radote. Veuillez me pardonner! »
Un autre sourire, cette fois-ci portant une intention apologétique. Bien qu’elle ne le dise pas haut et fort, il était rare que des individus s’intéressent à elle, même si cela concernait plus sa carrière que sa propre personne. Bien entendu, la vie d’Asrale n’avait rien qui sortait réellement de l’ordinaire, mis à part le fait qu’elle avait pratiqué de la magie dans le plus grand des secrets. Du moins, avant c’était comme sa… Maintenant, de temps à autres, elle offrait ses soins à ceux qui en ont besoin le plus, gratuitement. Après tout, elle a connu ce que c’est de devoir vivre dans les rues. En échange de leurs silences et de quelques informations, bien entendu.
Mais, Zelethea s’arracha de ses pensés, et retourna son attention sur Stepiled, ce xolon aux bonnes manières devant elle. Pour ce dernier, la barde était restée silencieuse le moment de quelques secondes à peine avant de lui adresser la parole de nouveau. Cette fois-ci, par contre, c’était pour lui poser une question. Posant son poids sur sa jambe droite, toujours en maintenant son luth contre sa personne d’une manière tout à fait décontractée, elle lui dit…
« Puis-je vous retournez la question? De quelle manière se déroules vos journées, en règles générale? »
Zelethea- Novice
- Race : Humaine
Re: Bazar de Telbara, tôt le matin
La musicienne confirma, et parla un peu d'elle à l'occasion. Par le passé, elle avait fait de la fabrication d'instruments de musique à cordes son métier. Pour une raison qu'elle ne voulut pas détailler, elle avait perdu l'accès à son atelier. A défaut de continuer à fabriquer ce type d'intruments de musique, elle avait décidé de se mettre à en jouer. D'une certaine manière, cela lui avait permis de continuer à vivre de sa passion ; car, chose qui restait difficilement imaginable pour Stepiled, jouer de la musique était devenu son moyen de subvenir à ses besoins.
ZELETHEA – Un jour, je suis certaine que je pourrai avoir mon propre atelier. Mais en attendant, c'est ce qui marque ma vie quotidienne. Sauf durant les occasions spéciales lorsqu'un ou une noble m'engage pour aller jouer de ma musique, le temps d'une soirée. Mais ça, voyez-vous, c'est d'une rareté… Mais bon, je radote. Veuillez me pardonner !
Stepiled ne comprenait pas bien tout ce dont elle parlait, comme par exemple le fait qu'un « noble » l'engage pour aller jouer de la musique. Déjà, Stepiled n'avait jamais compris comment les habitants des villes déterminaient qui était noble et qui ne l'était pas. Et la notion d'« engager » quelqu'un pour qu'il joue de la musique, restait opaque au druide. Les gens jouaient de la musique s'ils en avaient envie, non ?
Le Xolon essaya de ne pas montrer qu'il était perdu et ne comprenait que la moitié de ce dont lui parlait la musicienne. Il se frotta nerveusement sous les côtes avec la trompe pour se donner consistance. La musicienne prit une position un peu plus décontractée et lui posa à son tour la question :
ZELETHEA – Puis-je vous retourner la question ? De quelle manière se déroulent vos journées, en règle générale ?
Les gens des villes avaient souvent des occupations bien particulières. Ils avaient cela de fascinant. Les villes étaient moches, sales et surtout puantes, mais leurs habitants avaient de quoi fasciner le druide de par leur mode de vie si différent. A côté, Stepiled avait bien du mal à expliquer de quoi étaient faites ses journées, car c'était si naturel pour lui...
STEPILED – Je ne vis pas en ville. Je vis au rythme du soleil et des Esprits de la Nature avec lesquels j'aime être en communion, tout comme avec mes invocations. Je préfère être entouré d'arbres et de hautes-herbes que de maisons et de murailles, et je préfère sentir l'herbe et la terre sous mes pieds que... ce sol.
Stepiled baissa la tête, et leva le pied droit. Il sentait d'ailleurs quelques cailloux enfoncés dans la corne de sa sole. Le Xolon n'était pas assez souple pour se pencher assez pour se la frotter en restant debout, aussi s'assit-il, et tendit la trompe pour essayer de se frotter le dessous du pied.
ZELETHEA – Un jour, je suis certaine que je pourrai avoir mon propre atelier. Mais en attendant, c'est ce qui marque ma vie quotidienne. Sauf durant les occasions spéciales lorsqu'un ou une noble m'engage pour aller jouer de ma musique, le temps d'une soirée. Mais ça, voyez-vous, c'est d'une rareté… Mais bon, je radote. Veuillez me pardonner !
Stepiled ne comprenait pas bien tout ce dont elle parlait, comme par exemple le fait qu'un « noble » l'engage pour aller jouer de la musique. Déjà, Stepiled n'avait jamais compris comment les habitants des villes déterminaient qui était noble et qui ne l'était pas. Et la notion d'« engager » quelqu'un pour qu'il joue de la musique, restait opaque au druide. Les gens jouaient de la musique s'ils en avaient envie, non ?
Le Xolon essaya de ne pas montrer qu'il était perdu et ne comprenait que la moitié de ce dont lui parlait la musicienne. Il se frotta nerveusement sous les côtes avec la trompe pour se donner consistance. La musicienne prit une position un peu plus décontractée et lui posa à son tour la question :
ZELETHEA – Puis-je vous retourner la question ? De quelle manière se déroulent vos journées, en règle générale ?
Les gens des villes avaient souvent des occupations bien particulières. Ils avaient cela de fascinant. Les villes étaient moches, sales et surtout puantes, mais leurs habitants avaient de quoi fasciner le druide de par leur mode de vie si différent. A côté, Stepiled avait bien du mal à expliquer de quoi étaient faites ses journées, car c'était si naturel pour lui...
STEPILED – Je ne vis pas en ville. Je vis au rythme du soleil et des Esprits de la Nature avec lesquels j'aime être en communion, tout comme avec mes invocations. Je préfère être entouré d'arbres et de hautes-herbes que de maisons et de murailles, et je préfère sentir l'herbe et la terre sous mes pieds que... ce sol.
Stepiled baissa la tête, et leva le pied droit. Il sentait d'ailleurs quelques cailloux enfoncés dans la corne de sa sole. Le Xolon n'était pas assez souple pour se pencher assez pour se la frotter en restant debout, aussi s'assit-il, et tendit la trompe pour essayer de se frotter le dessous du pied.
Stepiled- (personnage abandonné)
- Race : Xolon
Re: Bazar de Telbara, tôt le matin
Stepiled fit un mouvement de la trompe au bout d’un moment, mais la barde n’en compris pas la signification. Qu’est-ce qu’un frottement de trompe sur ses propres côtes pouvais bien vouloir dire? N’ayant aucune idée, et malgré sa curiosité, elle préféra ne rien demander à ce sujet. Peut-être un signe d’approbation? Un tic nerveux? Une douleur au niveau des côtes?
STEPILED – Je ne vis pas en ville. Je vis au rythme du soleil et des Esprits de la Nature avec lesquels j'aime être en communion, tout comme avec mes invocations. Je préfère être entouré d'arbres et de hautes-herbes que de maisons et de murailles, et je préfère sentir l'herbe et la terre sous mes pieds que... ce sol.
Quand le Xolon répondit, ce fut avec le sourire qu’Astrale accueillit cette réponse. Certainement un mode de vie différent que le sien. Deux univers complètement différent qui se rencontrent. L’un vivant au delà des murs, l’autre qui n’avait jamais quitté la ville autant qu’elle puisse s’en souvenir. C’était tout simplement fascinant pour Zelethea. Hors, Stepiled pris la peine de poser son postérieur sur le sol tandis qu’ils discutaient. Le mouvement de sa trompe trahit cette fois-ci ces intentions; le Xolon avait très probablement quelque chose de coincé sous sa grosse patte de pachyderme. Quoi qu’il en soit, Zelethea resta debout, toujours souriante.
Elle qui avait tant envie de voir le monde extérieur, Stepiled représentait une opportunité d’en savoir plus. De toute manière, elle appréciait véritablement cette conversation.
« Avant tout, un petit conseil – évité d’invoquer de vos compagnons en ville. Si je crois bien avoir compris de quel genre d’invocations il s’agit, bien entendu. Vous voyer, l’utilisation de la magie en Telbara est plutôt… Surveiller. Si l’on peut dire. Voir même mal vue par une majorité de gens. »
Elle se devait de lui dire. Il serait bien dommage pour ce gentil bonhomme d’être pris en train de lancer des sorts à l’intérieur de la ville. Ceci étant dit par contre, elle avait plus de paroles à déverser sur le Xolon.
« C’est un mode de vie fascinant. Je veux dire, pour moi! Je dois avouer qu’à ma connaissance, je ne suis jamais sortit des murs de cette ville. Une notion difficile à croire, mais pourtant c’est bien vrai… Mais, j’ai bien l’intention d’en sortir un jour. Je n’aie pas envie de passer l’entièreté de mon existence ici. Je veux voir des paysages qui ne se résument pas par des murs et des bâtisses à perte de vue. Qui sais – peut-être vais-je trouver une ou deux inspirations musicale dans la nature de nôtre monde. »
Elle eux l’air gênée le temps d’un instant.
« Mais je radote encore… Pardonnez-moi. Pouvez-vous me parler de ces Esprits de la Nature? Étant donné que la faune et la flore font partie intégrale de notre monde, j’aimerais en savoir plus. Surtout, comment évité de les mettre en colère! »
STEPILED – Je ne vis pas en ville. Je vis au rythme du soleil et des Esprits de la Nature avec lesquels j'aime être en communion, tout comme avec mes invocations. Je préfère être entouré d'arbres et de hautes-herbes que de maisons et de murailles, et je préfère sentir l'herbe et la terre sous mes pieds que... ce sol.
Quand le Xolon répondit, ce fut avec le sourire qu’Astrale accueillit cette réponse. Certainement un mode de vie différent que le sien. Deux univers complètement différent qui se rencontrent. L’un vivant au delà des murs, l’autre qui n’avait jamais quitté la ville autant qu’elle puisse s’en souvenir. C’était tout simplement fascinant pour Zelethea. Hors, Stepiled pris la peine de poser son postérieur sur le sol tandis qu’ils discutaient. Le mouvement de sa trompe trahit cette fois-ci ces intentions; le Xolon avait très probablement quelque chose de coincé sous sa grosse patte de pachyderme. Quoi qu’il en soit, Zelethea resta debout, toujours souriante.
Elle qui avait tant envie de voir le monde extérieur, Stepiled représentait une opportunité d’en savoir plus. De toute manière, elle appréciait véritablement cette conversation.
« Avant tout, un petit conseil – évité d’invoquer de vos compagnons en ville. Si je crois bien avoir compris de quel genre d’invocations il s’agit, bien entendu. Vous voyer, l’utilisation de la magie en Telbara est plutôt… Surveiller. Si l’on peut dire. Voir même mal vue par une majorité de gens. »
Elle se devait de lui dire. Il serait bien dommage pour ce gentil bonhomme d’être pris en train de lancer des sorts à l’intérieur de la ville. Ceci étant dit par contre, elle avait plus de paroles à déverser sur le Xolon.
« C’est un mode de vie fascinant. Je veux dire, pour moi! Je dois avouer qu’à ma connaissance, je ne suis jamais sortit des murs de cette ville. Une notion difficile à croire, mais pourtant c’est bien vrai… Mais, j’ai bien l’intention d’en sortir un jour. Je n’aie pas envie de passer l’entièreté de mon existence ici. Je veux voir des paysages qui ne se résument pas par des murs et des bâtisses à perte de vue. Qui sais – peut-être vais-je trouver une ou deux inspirations musicale dans la nature de nôtre monde. »
Elle eux l’air gênée le temps d’un instant.
« Mais je radote encore… Pardonnez-moi. Pouvez-vous me parler de ces Esprits de la Nature? Étant donné que la faune et la flore font partie intégrale de notre monde, j’aimerais en savoir plus. Surtout, comment évité de les mettre en colère! »
Zelethea- Novice
- Race : Humaine
Re: Bazar de Telbara, tôt le matin
D'une main, Stepiled se retint la cheville. Les Xolons manquaient cruellement de souplesse, Stepiled ne faisait pas exception. Cependant, sa trompe palliait ce problème grâce à sa longueur. Cet organe fabuleux était souple comme un serpent en plus d'être plus long qu'un bras – celle de Stepiled mesurait à peine moins d'un mètre – et remplissait à merveille sa fonction préhensile tel un tentacule, en plus de servir d'organe de l'odorat, un sens à la précision inégalable chez les Xolons. Ainsi, en se maintenant la jambe pliée au sol, Stepiled se gratta assez facilement le pied avec le bout de la trompe jusqu'à réussir à déloger le caillou de sa sole cornée.
ZELETHEA – Avant tout, un petit conseil : évitez d'invoquer de vos compagnons en ville. Si je crois bien avoir compris de quel genre d'invocations il s'agit, bien entendu. Vous voyez, l'utilisation de la magie en Telbara est plutôt... surveillée. Si l'on peut dire. Voire même mal vue par une majorité de gens.
Stepiled savait que les Humains et les autres races appréciaient peu l'utilisation de la magie à l'intérieur de leurs villes. Il apprécia cependant le conseil, c'était une douce attention de la part de la musicienne. Cette dernière ne s'étant pas mise debout, Stepiled resta assis, après s'être débarassé son gros pied rond et plat de ce caillou gênant. Cela le reposa un peu.
STEPILED – Je vous remercie, même si je le savais.
Zelethea ferma cette parenthèse et réagit à ce que Stepiled venait de lui dévoiler de son mode de vie. Elle confessa n'être jamais sortie hors de l'enceinte de la ville, et trouvait le mode de vie du druide fascinant. Ainsi donc, cette fascination pour le mode de vie de l'autre était réciproque. La seule différence, c'est que Zelethea semblait avoir envie de changer, de voyager et de découvrir la Nature, tandis que Stepiled n'avait aucune intention de s'installer en ville. Il savait qu'Isheb était membre de la Guilde des Guerriers, et que les villes étaient des lieux de rencontre ; voilà pourquoi il passait parfois en ville, ou plus couramment dans un village dont la taille très réduite lui était moins inconfortante.
ZELETHEA – Pouvez-vous me parler de ces Esprits de la Nature ? Etant donné que la faune et la flore font partie intégrante de notre monde, j'aimerais en savoir plus. Surtout, comment éviter de les mettre en colère !
Voilà une question que bien trop peu d'Humains semblaient se poser. Au contraire, les bâtisseurs de ville semblaient tout faire pour chercher à mettre les Esprits de la Nature en colère. Et encore, Stepiled n'était pas aux fait des parties de chasse où les citadins de classe noble ne tuaient pas les animaux que par besoin de se nourrir, mais simplement par divertissement, en faisant d'eux des trophées. C'était une autre chose qui mettait les Esprits de la Nature très en colère. Mais... les Esprits ne sont que des Esprits, ils ne parlent pas avec des mots intelligibles de tous.
STEPILED – Les Esprits de la Nature n'ont pas de raison de se mettre en colère tant qu'on les respecte. Pour bâtir ces villes, les gens tuent des arbres, par dizaines et peut-être plus. Ils ne se soucient ni de l'esprit de ces arbres, ni de la forêt qu'ils composent et des animaux qui vivent parmi eux et qui ont besoin de leur présence. Voilà qui les met en colère. Je viens pourtant d'une région où il n'y avait pas de grandes forêts, tout juste de petits bois ; mais les Esprits de la Nature étaient dans les hautes herbes, dans le sable, dans l'eau de la rivière, et dans l'air que nous respirions. L'air des villes est vicié.
ZELETHEA – Avant tout, un petit conseil : évitez d'invoquer de vos compagnons en ville. Si je crois bien avoir compris de quel genre d'invocations il s'agit, bien entendu. Vous voyez, l'utilisation de la magie en Telbara est plutôt... surveillée. Si l'on peut dire. Voire même mal vue par une majorité de gens.
Stepiled savait que les Humains et les autres races appréciaient peu l'utilisation de la magie à l'intérieur de leurs villes. Il apprécia cependant le conseil, c'était une douce attention de la part de la musicienne. Cette dernière ne s'étant pas mise debout, Stepiled resta assis, après s'être débarassé son gros pied rond et plat de ce caillou gênant. Cela le reposa un peu.
STEPILED – Je vous remercie, même si je le savais.
Zelethea ferma cette parenthèse et réagit à ce que Stepiled venait de lui dévoiler de son mode de vie. Elle confessa n'être jamais sortie hors de l'enceinte de la ville, et trouvait le mode de vie du druide fascinant. Ainsi donc, cette fascination pour le mode de vie de l'autre était réciproque. La seule différence, c'est que Zelethea semblait avoir envie de changer, de voyager et de découvrir la Nature, tandis que Stepiled n'avait aucune intention de s'installer en ville. Il savait qu'Isheb était membre de la Guilde des Guerriers, et que les villes étaient des lieux de rencontre ; voilà pourquoi il passait parfois en ville, ou plus couramment dans un village dont la taille très réduite lui était moins inconfortante.
ZELETHEA – Pouvez-vous me parler de ces Esprits de la Nature ? Etant donné que la faune et la flore font partie intégrante de notre monde, j'aimerais en savoir plus. Surtout, comment éviter de les mettre en colère !
Voilà une question que bien trop peu d'Humains semblaient se poser. Au contraire, les bâtisseurs de ville semblaient tout faire pour chercher à mettre les Esprits de la Nature en colère. Et encore, Stepiled n'était pas aux fait des parties de chasse où les citadins de classe noble ne tuaient pas les animaux que par besoin de se nourrir, mais simplement par divertissement, en faisant d'eux des trophées. C'était une autre chose qui mettait les Esprits de la Nature très en colère. Mais... les Esprits ne sont que des Esprits, ils ne parlent pas avec des mots intelligibles de tous.
STEPILED – Les Esprits de la Nature n'ont pas de raison de se mettre en colère tant qu'on les respecte. Pour bâtir ces villes, les gens tuent des arbres, par dizaines et peut-être plus. Ils ne se soucient ni de l'esprit de ces arbres, ni de la forêt qu'ils composent et des animaux qui vivent parmi eux et qui ont besoin de leur présence. Voilà qui les met en colère. Je viens pourtant d'une région où il n'y avait pas de grandes forêts, tout juste de petits bois ; mais les Esprits de la Nature étaient dans les hautes herbes, dans le sable, dans l'eau de la rivière, et dans l'air que nous respirions. L'air des villes est vicié.
Stepiled- (personnage abandonné)
- Race : Xolon
Re: Bazar de Telbara, tôt le matin
Le Xolon se débarrassa effectivement d’un objet coincé sous son pied, un caillou. Rien de bien méchant à première vue. Du moins, rien qui ne causerait quelconque blessure au pied d’un être tel que lui. Concernant la magie en ville, il indiqua qu’il savait déjà à quoi s’en tenir, mais il la remercia tout de même. Elle s’était donc encore une fois inquiétée pour un autre pour aucune raison, mais vaux mieux prévenir que guérir. Puis, vint le moment durant lequel Zelethea écouta attentivement Stepiled.
STEPILED – Les Esprits de la Nature n'ont pas de raison de se mettre en colère tant qu'on les respecte. Pour bâtir ces villes, les gens tuent des arbres, par dizaines et peut-être plus. Ils ne se soucient ni de l'esprit de ces arbres, ni de la forêt qu'ils composent et des animaux qui vivent parmi eux et qui ont besoin de leur présence. Voilà qui les met en colère. Je viens pourtant d'une région où il n'y avait pas de grandes forêts, tout juste de petits bois ; mais les Esprits de la Nature étaient dans les hautes herbes, dans le sable, dans l'eau de la rivière, et dans l'air que nous respirions. L'air des villes est vicié.
C’était à-peu-près à ce quoi elle s’attendait, pour tout dire. Malgré tout, elle en apprit un peu plus. Respecté la nature tout en s’installant confortablement dans un style de vie citadin semblait être un défi complètement impossible à relever. Abriter autant de gens dans une ville demande beaucoup de ressources, donc beaucoup de matière première. Ce qui, de passage, détruis la nature environnant ainsi que les esprits de cet écosystème. La musicienne, qui y songea un instant, baissa les yeux sur son instrument et pinça les lèvres.
Sur le coup, elle ne savait pas trop quoi répondre. Elle qui avait vécu toute sa vie ici, dans cette ville, cette notion la perturbait quelques peu. Si les éléments de la nature possédaient réellement des esprits, qui étaient d’une certaine manière rattacher à la flore, est-ce que cela fais d’elle une meurtrière, indirectement? Après tout, être luthière demande une certaine quantité de bois. Après ces secondes de réflexions, elle leva le regard sur Stepiled de nouveau.
« J’aimerais pouvoir offrir un respect égal à tout être de ce monde et au delà, à moins bien entendu qu’ils se prouvent être indigne de respect. J’inclus bien entendu les êtres que je ne puis voir, tels les esprits de la nature. Mais, j’ai toujours vécu une vie de citadine, donc je ne sais pas comment vivre de la manière dont j’aimerais tout en respectant ces esprits. N’y a-t-il pas un moyen de trouver un juste milieu? Si je prends de la nature, serais-ce suffisant de redonner? Par exemple, planter de nouveaux arbres et plantes à de bons endroits. »
Distraitement, Astrale tapota les doigts sur la surface de son luth. Peut-être un geste nerveux, qui représentait bien sa soudaine préoccupation pour la nature. Devait-elle s’en faire autant seulement à cause d’une conversation? Après tout, elle n’avait que demander de l’information. Ce n’est pas comme-ci elle allait soudainement devenir une druidesse musicale.
STEPILED – Les Esprits de la Nature n'ont pas de raison de se mettre en colère tant qu'on les respecte. Pour bâtir ces villes, les gens tuent des arbres, par dizaines et peut-être plus. Ils ne se soucient ni de l'esprit de ces arbres, ni de la forêt qu'ils composent et des animaux qui vivent parmi eux et qui ont besoin de leur présence. Voilà qui les met en colère. Je viens pourtant d'une région où il n'y avait pas de grandes forêts, tout juste de petits bois ; mais les Esprits de la Nature étaient dans les hautes herbes, dans le sable, dans l'eau de la rivière, et dans l'air que nous respirions. L'air des villes est vicié.
C’était à-peu-près à ce quoi elle s’attendait, pour tout dire. Malgré tout, elle en apprit un peu plus. Respecté la nature tout en s’installant confortablement dans un style de vie citadin semblait être un défi complètement impossible à relever. Abriter autant de gens dans une ville demande beaucoup de ressources, donc beaucoup de matière première. Ce qui, de passage, détruis la nature environnant ainsi que les esprits de cet écosystème. La musicienne, qui y songea un instant, baissa les yeux sur son instrument et pinça les lèvres.
Sur le coup, elle ne savait pas trop quoi répondre. Elle qui avait vécu toute sa vie ici, dans cette ville, cette notion la perturbait quelques peu. Si les éléments de la nature possédaient réellement des esprits, qui étaient d’une certaine manière rattacher à la flore, est-ce que cela fais d’elle une meurtrière, indirectement? Après tout, être luthière demande une certaine quantité de bois. Après ces secondes de réflexions, elle leva le regard sur Stepiled de nouveau.
« J’aimerais pouvoir offrir un respect égal à tout être de ce monde et au delà, à moins bien entendu qu’ils se prouvent être indigne de respect. J’inclus bien entendu les êtres que je ne puis voir, tels les esprits de la nature. Mais, j’ai toujours vécu une vie de citadine, donc je ne sais pas comment vivre de la manière dont j’aimerais tout en respectant ces esprits. N’y a-t-il pas un moyen de trouver un juste milieu? Si je prends de la nature, serais-ce suffisant de redonner? Par exemple, planter de nouveaux arbres et plantes à de bons endroits. »
Distraitement, Astrale tapota les doigts sur la surface de son luth. Peut-être un geste nerveux, qui représentait bien sa soudaine préoccupation pour la nature. Devait-elle s’en faire autant seulement à cause d’une conversation? Après tout, elle n’avait que demander de l’information. Ce n’est pas comme-ci elle allait soudainement devenir une druidesse musicale.
Zelethea- Novice
- Race : Humaine
Re: Bazar de Telbara, tôt le matin
Zelethea baissa le regard d'un air coupable. En effet, sans que ce ne fût son intention, Stepiled venait de tenir un discours assez culpabilisant. Du moins, il accusait les bâtisseurs, mais Zelethea s'incluait naturellement dans le lot des citadins et suivait un mode de vie qui allait dans le contre-sens de la Nature. En voulant s'en prendre aux bâtisseurs, aux bûcherons, en fait, Stepiled s'en prenait à tous les citadins : ceux qui construisaient les villes et ceux qui y vivaient. Il pensait que vivre en ville était un choix, que n'importe qui pouvait, sur un coup de tête, adopter son mode de vie naturel et vagabond. Contrairement à ce qu'il pensait, les choses n'étaient pas si simples et voilà pourquoi Zelethea n'avait pas à se sentir coupable ; Stepiled ne voulait pas lui procurer ce sentiment mais n'avait pas les arguments pour l'en empêcher.
ZELETHEA – J'aimerais pouvoir offrir un respect égal à tout être de ce monde et au-delà, à moins bien entendu qu'ils ne prouvent être indignes de respect. J'inclus bien entendu les êtres que je ne puis voir, tels les Esprits de la Nature. Mais... j'ai toujours vécu une vie de citadine, donc je ne sais pas comment vivre de la manière que j'aimerais tout en respectant ces esprits. N'y a-t-il pas un moyen de trouver un juste milieu ? Si je prends de la Nature, serait-ce suffisant de redonner ? Par exemple, planter de nouveaux arbres et plantes à de bons endroits.
La solution qu'imaginait Zelethea était une preuve qu'elle n'avait pas encore bien conscience de l'existence des Esprits de la Nature et qu'elle ne traitait pas les arbres comme des êtres vivants. Quand un renard tue un campagnol pour le manger, il ne se soucie pas de la reproduction d'autres campagnols. Pourquoi ? Parce que la Nature et les Dieux ont suffisamment bien prévu les choses pour que le cycle de la vie soit continu : il y a suffisamment de renards pour éviter la surprolifération des campagnols sans pour autant provoquer leur extinction. Il peut ainsi assouvir un besoin naturel, celui de se nourrir, tout en remplissant une fonction écologique.
Le problème des citadins est multiple : ils ne remplissent aucune fonction écologique – ravager des arbres et des forêts entières est au contraire une nuisance importante – pour quelque chose qui, selon Stepiled, n'est pas un besoin mais un confort. Les arbres ne se reproduisent pas aussi vite que les Humains ne les déciment. Même si les citadins plantaient un arbre pour chaque arbre tué pour leur confort, il resterait une idée insoutenable : celle de n'accorder aucune considération à la vie d'un arbre.
STEPILED – Cela ne résoudrait qu'une partie du problème. En faisant cela, vous n'accordez toujours aucune considération à la vie d'un arbre. Vous pensez avoir le droit de tuer un arbre parce que vous en faites naître un autre, pour combler quelque chose qui n'est pas un besoin mais un confort. Vivre avec la Nature, c'est en suivre le rythme, et c'est éviter de prendre une vie si ce n'est pas pour subvenir à des besoins... justement naturels.
Ou dans un geste de défense : il est évident que personne n'en voudrait à un buffle de tuer une lionne en voulant défendre sa vie.
STEPILED – Si vous souhaitez apprendre à vivre parmi la Nature, qu'est-ce qui vous retient en ville ?
ZELETHEA – J'aimerais pouvoir offrir un respect égal à tout être de ce monde et au-delà, à moins bien entendu qu'ils ne prouvent être indignes de respect. J'inclus bien entendu les êtres que je ne puis voir, tels les Esprits de la Nature. Mais... j'ai toujours vécu une vie de citadine, donc je ne sais pas comment vivre de la manière que j'aimerais tout en respectant ces esprits. N'y a-t-il pas un moyen de trouver un juste milieu ? Si je prends de la Nature, serait-ce suffisant de redonner ? Par exemple, planter de nouveaux arbres et plantes à de bons endroits.
La solution qu'imaginait Zelethea était une preuve qu'elle n'avait pas encore bien conscience de l'existence des Esprits de la Nature et qu'elle ne traitait pas les arbres comme des êtres vivants. Quand un renard tue un campagnol pour le manger, il ne se soucie pas de la reproduction d'autres campagnols. Pourquoi ? Parce que la Nature et les Dieux ont suffisamment bien prévu les choses pour que le cycle de la vie soit continu : il y a suffisamment de renards pour éviter la surprolifération des campagnols sans pour autant provoquer leur extinction. Il peut ainsi assouvir un besoin naturel, celui de se nourrir, tout en remplissant une fonction écologique.
Le problème des citadins est multiple : ils ne remplissent aucune fonction écologique – ravager des arbres et des forêts entières est au contraire une nuisance importante – pour quelque chose qui, selon Stepiled, n'est pas un besoin mais un confort. Les arbres ne se reproduisent pas aussi vite que les Humains ne les déciment. Même si les citadins plantaient un arbre pour chaque arbre tué pour leur confort, il resterait une idée insoutenable : celle de n'accorder aucune considération à la vie d'un arbre.
STEPILED – Cela ne résoudrait qu'une partie du problème. En faisant cela, vous n'accordez toujours aucune considération à la vie d'un arbre. Vous pensez avoir le droit de tuer un arbre parce que vous en faites naître un autre, pour combler quelque chose qui n'est pas un besoin mais un confort. Vivre avec la Nature, c'est en suivre le rythme, et c'est éviter de prendre une vie si ce n'est pas pour subvenir à des besoins... justement naturels.
Ou dans un geste de défense : il est évident que personne n'en voudrait à un buffle de tuer une lionne en voulant défendre sa vie.
STEPILED – Si vous souhaitez apprendre à vivre parmi la Nature, qu'est-ce qui vous retient en ville ?
Stepiled- (personnage abandonné)
- Race : Xolon
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